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« Rainbow (album de Mariah Carey) » : différence entre les versions

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== Musique et paroles ==
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== Conflit avec Sony ==
== Conflit avec Sony ==

Version du 28 janvier 2012 à 17:27

Rainbow

Album de Mariah Carey
Sortie
Enregistré -
Durée 55:49
Genre Pop, R&B, Hip-hop
Producteur Mariah Carey, Jimmy Jam et Terry Lewis, James Wright, DJ Clue, Duro, Damizza, David Foster, Jermaine Dupri, Bryan Michael Cox, She'kspere, Master P, Craig B
Label Columbia

Albums de Mariah Carey

Singles

1. Heartbreaker (sortie : 21 septembre 1999)
2. Thank God I Found You (sortie : 1 février 2000)
3. Can't Take That Away (Mariah's Theme) (sortie : 6 juin 2000)
4. Crybaby (sortie : 18 juillet 2000)
5. Against All Odds (Take a Look at Me Now) (sortie : 3 octobre 2000)

Rainbow est le septième album studio de l'artiste américaine Mariah Carey sorti le 2 novembre 1999 sous le label Columbia Records. L'album suit le même rythme que Butterfly où elle continuait sa transition vers le R&B. Rainbow ressemble à un mélange de hip-hop et de R&B ainsi que quelques ballades. Carey collabore avec David Foster et Diane Warren, qui remplace Walter Afanasieff, le principal auteur de Carey dans les années 1990. En conséquence de sa séparation avec Tommy Mottola, Carey a plus de contrôle sur sa musique et sur l'album donc elle décide de collaborer avec Jay-Z, Usher et Snoop Dogg.

Dans son précédent album, Butterfly, Carey commencer à incorporer du R&B et du hip-hop dans son répertoire. Dans le but d'élargir ses horizons musicaux, Carey invite Jay-Z sur le premier single, la première dans sa carrière qu'un autre artiste accompagne la chanteuse sur un premier single. Carey écrit des ballades plus R&B que pop et travaille avec Snoop Dogg et Usher pour Crybaby et How Much, les deux ayant un rythme R&B. Plusieurs ballades qu'elle écrit durant cette période comme Thank God I Found You et After Tonight reflètent les sentiments qu'elle a vécus dans sa vie.

Après sa sortie, Rainbow reçoit des critiques mitigées. Si beaucoup félicitent son éloignement de son passé plus mature, d'autres pensent qu'il n'est pas aussi influent que Butterfly. L'album débute à la seconde place du Billboard 200 avec 323 000 exemplaires écoulés. C'est le premier album depuis plusieurs années à ne pas être numéro un. Rainbow est certifié triple disque de platine par la Recording Industry Association of America (RIAA) pour la vente de trois millions d'exemplaires. En dehors des États-Unis, l'album est numéro un en France, atteint le top 5 en Allemagne, Australie, Autriche, Belgique, Japon, Pays-Bas et Suisse. En Europe, Rainbow est certifié disque de platine par l'International Federation of the Phonographic Industry (IFPI) pour la vente d'un million d'exemplaires sur le continent.

Cinq singles sortent pour la promotion de l'album : deux singles internationaux, deux singles promotionnels et un single en Europe. Le premier, Heartbreaker, en collaboration avec Jay-Z, devient le quatorzième numéro un de Carey dans le Billboard Hot 100 et est numéro un au Canada, en Espagne et Nouvelle-Zélande. Thank God I Found You, en collaboration avec Joe et 98 Degrees, est le second single. La chanson devient le quinzième numéro un de Carey et atteint un succès international correct. Les deux suivants, Can't Take That Away (Mariah's Theme) et Crybaby, sortent en double face A. Ils sont au centre d'une polémique entre Carey et Sony à cause de la faible promotion des singles. La reprise de Against All Odds (Take a Look at Me Now) sort en Europe et est numéro un en Irlande et au Royaume-Uni.

Genèse

Depuis ses débuts en 1990, la carrière de Carey a été entièrement controlée par son mari Tommy Mottola, patron du label Sony Music Entertainment[1]. Depuis plusieurs années, ses albums contiennent beaucoup de ballades, mais aucune chanson de hip-hop. En janvier 1995, alors qu'elle enregistre Daydream, Carey prend plus de contrôle sur son style musical et ses influences[1]. Elle s'intéresse aux compétences de Ol' Dirty Bastard, qui apparaît sur le remix de Fantasy. Alors que Mottola était hésitant, l'influence de Carey paie[1] : la chanson devient un tube international et les critiques la considèrent comme l'une des collaborations pionnières de la pop et du R&B[2].

Durant l'enregistrement et la production de Butterfly, le couple se sépare, laissant à Carey un contrôle important sur l'album inachevé[2]. Suite à la séparation, Carey commence à collaborer avec de jeunes producteurs et auteurs de R&B et de hip-hop tout en continuant à travailler avec Walter Afanasieff et Kenneth Edmonds[3]. Tandis que l'album incorpore plusieurs genres musicaux qui ne sont pas présents dans ses disques précédents, Butterfly contient aussi des ballades[3]. Tandis que Sony acceptent les nouvelles collaborations de Carey avec des auteurs et des producteurs comme P. Diddy et Bone Thugs-N-Harmony, ils continuent à focaliser leur promotion sur les ballades. Après Honey, le premier single de Butterfly sorti en septembre 1997, Sony empêchent la sortie de chansons R&B et sortent My All comme second single international. Rainbow continue sur les traces de ses prédécesseurs, mais encore plus imprégné de R&B et de hip-hop[3].

Conception

Durant le printemps 1999, Carey commence à enregistrer le dernier disque de son contrat avec Sony, le label de son ex-mari[4]. À l'époque, son nouveau petit ami, Luis Miguel, est en tournée en Europe. Pour passer plus de temps avec lui, elle décide d'enregistrer l'album sur l'île de Capri, en pensant que l'éloignement l'aidera à compléter son album[4]. À l'époque, sa relation tendue avec Sony affecte son travail avec Afanasieff qui a été intensément présent durant la première partie de sa carrière[4]. En plus de différences créatives, Mottola a donné à Afanasieff l'ooportunité de travailler avec d'autres artistes[5]. Elle pense que Mottola essaie de la séparer d'Afanasieff en voulant garder leur relation tendue[5]. À cause de la pression et de la relation difficile entre Carey et Sony, elle termine l'album en trois mois durant l'été 1999, plus vite qu'aucun autre album[5]. Lors d'une interview pour Blitz TV, Carey parle de sa décision d'enregistrer l'album à Capri:

« J'adore New York. Mais si je suis là-bas, j'ai envie de partir, les amis viennent au studio, le téléphone sonne constamment. Mais à Capri, je suis dans un endroit isolé, et il n'y a personne pour me déranger. Je pense qu'à Capri, je serai capable de finir efficacement l'album sur une période courte. Et je l'ai fait. Je l'ait fait en trois mois et je me disais : « Expédiez-moi de ce label ! Je ne peux pas y rester ». La situation était devenue très difficile[4] ».

Tout comme pour ses albums précédents, Carey co-écrit et produit les chansons, en travaillant avec plusieurs producteurs de R&B et de hip-hop comme Jay-Z, Terry Lewis, Usher, Snoop Dogg, Missy Elliott, Jermaine Dupri et Bryan Michael Cox[5]. Pour le premier single de l'album, elle collabore avec Jay-Z et DJ Clue[6]. Durant le printemps 1999, Carey commence à travailler avec DJ Clue sur plusieurs mélodies. Après quelques heures, ils décident d'inviter une star du hip-hop sur la piste et c'est ainsi qu'arrive Jay-Z[6]. Un ami de longue date de Carey, Trey Lorenz, qui est présent sur la reprise de I'll Be There, ajoute « des chœurs masculins[6] ». Carey collabore avec Jam et Lewis pour la ballade Thank God I Found You[7]. Elle est déjà allée en studio avec le duo plusieurs fois car elle leur a demandé de venir avec un titre et une mélodie. D'ordinaire, quand Carey écrit des chansons pour Rainbow, James Wright joue de l'orgue et du piano afin d'assister Carey pour qu'elle « trouve la mélodie[7] ». Cependant, comme Wright n'était pas présent, Lewis joue tandis que Carey le dirige dans son registre le plus grave afin de constituer la progression d'accords. Ils composent la chanson et Carey enregistre. Sachant qu'elle veut un chanteur sur la piste, Lewis contacte Joe et le groupe 98 Degrees[7]. Après quelques heures, le groupe et Joe ont enregistré et la chanson est achevée[7]. Lors d'une interview pour Fred Bronson, Lewis parle de la nuit où Carey a écrit Thank God I Found You :

« Tout s'est passé la nuit. Elle nous a donné le nom de la chanson, le concept et chanté la mélodie. D'habitude, il y avait Big Jim Wright qui était assis pour travailler les accords. Il n'était pas là donc je devais travailler sur les accords moi-même. Donc je jouais et il y avait une partie de moi qui disait : « Quel accord suis-je supposé faire ? » et comme Mariah avait une bonne oreille, elle me le chantait[7] ».

Tandis que l'album plonge dans le R&B, Carey compose quelques ballades et d'autres chansons d'amour, en travaillant avec les producteurs David Foster et Diane Warren[5]. L'idée de travailler avec Warren vient de Foster qui pense que les deux ensemble pourraient « concevoir une ballade d'enfer[5] ». Ils écrivent et produisent une chanson intitulée After Tonight. Carey pense que la chanson est une métaphore parfaite de sa relation avec Miguel et qui décrit sa romance à Capri. Alors qu'elles trouvent la chanson réussie, elles décrivent leur relation professionnelle différemment[5]. Selon Foster, qui est présent lors de la session d'écriture, Carey et Warren ne sont pas toujours d'accord sur les paroles et la structure musicale des chansons. Il la décrit comme « une relation de compromis » ; Warren offre les paroles à Carey mais elle ne les aime pas ; elle veut quelque chose de plus détaillé et plus compliqué. Carey voulait produire une mélodie que Warren ne sentait pas[5]. À la fin, Foster pense qu'elles « travaillent bien ensemble ». Après avoir enregistré la chanson, Carey invite Miguel pour en faire un duo[8]. Cependant, après avoir enregistré plusieurs fois, Foster et Carey réalisent que la chanson ne marchera pas comme ils l'avaient prévu[8]. Foster pense que la tonalité est « trop haute pour lui » et que les voix ne s'harmonisent pas bien. Carey n'a pas le temps de ré-enregistrer dans un registre plus grave pour s'accomoder à la voix de Miguel[8]. Miguel, furieux de cette collaboration ratée, envoie une démo parodique à Foster. Carey, Warren et Foster écrivent ensuite Can't Take That Away (Mariah's Theme), une autre ballade de Rainbow[8].

Musique et paroles

Comme Butterfly, les chansons de Rainbow sont choisies pour montrer que Carey est une artiste multi-genres[6]. Tout au long de la première partie de sa carrière, ses albums se composent de chansons et de ballades. Rainbow mélange le R&B et le hip-hop avec d'autres ballades qui ressemblent à ce que Carey a déjà chanté[6]. Heartbreaker échantillonne la chanson Attack of the Name Game de Stacy Lattisaw[6] Convaincue, elle incorpore la mélodie et les paroles dans l'échantillon et commence à enregistrer la chanson. Cependant, après avoir terminé Heartbreaker, elle pense qu'elle a besoin d'une voix masculine pour la transformer en artiste hip-hop. Elle commence à collaborer avec Jay-Z en ré-arrangeant la chanson par un nouveau couplet[6]. La chanson contient des paroles sur l'émancipation des femmes que Carey a écrites comme un hymne car elle a connu la même situation dans le passé. Thank God I Found You est produite par Jimmy Jam et Terry Lewis et co-produite par Carey. Elle est une chanson d'amour inspiratrice[9] dans laquelle la chanteuse remercie Dieu d'avoir trouvé le partenaire parfait[7]. Selon Carey, elle s'inspire de la relation qu'elle a avec Luis Miguel à cette époque[7],[10].

Conflit avec Sony

Description

Rainbow est un album comprenant de nombreuses collaborations avec divers artistes hip-hop influents à la fin des années 1990. Le magazine Rolling Stone décrit Rainbow comme "un excellent album de ballades hip-hop faciles d'accès à la fin de 1999[11]."
Parmi les artistes invités sur l'album, on trouve les rappeurs Jay-Z, Da Brat, Missy Elliott, Snoop Dogg, Mystikal and Master P, les chanteurs Usher and Joe, et le boys band 98 Degrees. C'est le premier album de Mariah Carey n'ayant pas été principalement produit par Walter Afanasieff, son collaborateur de longue date, qui a co-produit la plupart de ses ballades à succès. Les producteurs Jimmy Jam and Terry Lewis ont été engagés à sa place.

Pour de nombreux observateurs, cet album est la continuation naturelle des sonorités R&B et hip-hop que Mariah Carey avait commencé à explorer dans l'album Butterfly (1997).

Rainbow est souvent considéré comme l'un des albums les plus personnels de Mariah Carey, avec Butterfly et Charmbracelet. Dans le livret de l'album, Mariah Carey écrit :

"Cet album est la chronique de mes hauts et bas émotionnels de l'année passée. Si vous écoutez attentivement, vous découvrirez ici une histoire avec une fin très heureuse. Après chaque orage, si vous faites l'effort de le chercher, vous verrez un arc-en-ciel"

Le magazine américain Entertainment Weekly estime dans sa critique de l'album que la chanson "Against All Odds (Take a Look at me Now)" fait référence à la relation entre la chanteuse et Derek Jeter. "Petals" fait plusieurs allusions mystérieuses à un "pissenlit", des frères et sœurs et un "Valentin". Nombreux pensent que "Valentin" représente l'ex-mari de Mariah Carey, Tommy Mottola, qui avait autrefois le nom de scène "T.D. Valentine"[12]. Certains pensent que la fratrie évoquée fait référence aux enfants de Mottola et que le "pissenlit" fait allusion à Allison, la sœur de Mariah Carey, une prostituée.

Accueil

Critique

Commercial

Réception

Rainbow est entré n°2 au Billboard 200 américain avec 323 000 exemplaires vendus, la meilleure vente de la carrière de la chanteuse à l'époque, sur une période de 5 semaines[13]. Il est resté dans le top 20 aux États-Unis pendant 10 semaines. La RIAA l'a certifié triple album de platine. Malgré un succès commercial certain, cet album était le premier, depuis Emotions (1991) à ne pas atteindre la première place aux États-Unis. Rainbow a atteint le top 10 dans de nombreux pays, voire la place de n°1 en France. En 2005, l'album s'était vendu à près de 4 millions d'exemplaires aux États-Unis, d'après "Nielsen SoundScan"[14], plus 500 000 exemplaires vendus dans les magasins Columbia House et 440 000 exemplaires dans les BMG Music Clubs[15].
Il s'est vendu en tout à plus de 16 millions d'exemplaires dans le monde.

Singles

Promotion

Liste des Pistes

  1. "Heartbreaker" – 4:46
  2. "Can't Take That Away (Mariah's Theme)" – 4:33
  3. "Bliss" – 5:44
  4. "How Much" – 3:31
  5. "After Tonight" – 4:16
  6. "X-Girlfriend" – 3:58
  7. "Heartbreaker" (Remix) – 4:32
  8. "Vulnerability (Interlude)" – 1:12
  9. "Against All Odds (Take a Look at Me Now)" (solo version) – 3:25
  10. "Crybaby" – 5:20
  11. "Did I Do That?" – 4:16
  12. "Petals" – 4:23
  13. "Rainbow (Interlude)" – 1:32
  14. "Thank God I Found You" – 4:17
  15. "Do You Know Where You're Going To (BO de Mahogany)" - 3:47 (édition française de l'album)

Clips issus de Rainbow

  1. "Heartbreaker" (Août 1999) (Brett Ratner)
  2. "Heartbreaker" (Remix) (1999) (Diane Martel)
  3. "Thank God I Found You" (Février 2000) (Brett Ratner)
  4. "Thank God I Found You (Make It Last)" (2000) (Brett Ratner)
  5. "Against All Odds" (Septembre 2000) (Bill Boatman & P. Snyde)
  6. "Can't Take That Away" (2000) (Sanaa Hamri)
  7. "Crybaby" (Mai 2000) (Sanaa Hamri)

Crédits

Classements et certifications

Classements des singles

Compléments

Voir aussi

Références

  1. a b et c Marc Shapiro 2001, p. 91-92
  2. a et b Marc Shapiro 2001, p. 93
  3. a b et c Marc Shapiro 2001, p. 94
  4. a b c et d Marc Shapiro 2001, p. 121
  5. a b c d e f g et h Marc Shapiro 2001, p. 122
  6. a b c d e f et g Fred Bronson 2003, p. 888
  7. a b c d e f et g Fred Bronson 2003, p. 892
  8. a b c et d Marc Shapiro 2001, p. 123
  9. (en) Richard Harrington, « Mariah Carey's Lackluster 'Rainbow' », sur The Washington Post, (consulté le )
  10. (en) J.D. Considine, « A 'Rainbow' for Mariah Carey », sur The Baltimore Sun, (consulté le )
  11. Berger, Arion. "Mariah Carey - Rainbow". Rolling Stone. 25 novembre 1999. Consulté le 25 janvier 2007.
  12. AskMen.com - Tommy Mottola
  13. Jenison, David. "Mariah Massacres 50 Cent". E! Online. 20 avril 2005. Consulté le 25 janvier 2007.
  14. Mariah Daily | 2007
  15. U.S. BMG Music Club and Columbia House sales as of February 2005

Bibliographie

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • (en) Fred Bronson, The Billboard Book of Number 1 Hits, Billboard Books, (ISBN 0-823-07677-6). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • (en) Marc Shapiro, Mariah Carey: The Unauthorized Biography, ECW Press, (ISBN 1-550-22444-3[à vérifier : ISBN invalide]). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article

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