Émile Steinilber-Oberlin
Naissance | |
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Décès | 19?? |
Activité principale |
Langue d’écriture | Français |
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Émile Steinilber-Oberlin (1878-19??[Quand ?]) est un écrivain et traducteur français.
Biographie
En , Émile Steinilber-Oberlin contribue au premier numéro de la Revue-Franco Nippone, aux côtés de Tsugouharu Foujita, Kikou Yamata, Marie-Louise Vignon, Michel Revon, Edmond Jaloux[1], Henri de Regnier et René Maublanc[2]. Revue qui, à la suite de la parution de Défense de L'Occident, d'Henri Massis publie, en 1928, son pamphlet intitulé Défense de l'Asie et du bouddhisme, réponse à M. Massis, auteur de « Défense de l'Occident » [3].
Le , il participe au déjeuner de la revue Vient de paraître[4],[5].
En , il devient membre du comité exécutif du Rapprochement intellectuel franco-nippon, aux côtés de Sylvain Lévi, Albert Maybon, Kuninosuke Matsuo, René Maublanc et Seiji Ikoumi[6][réf. non conforme].
Le , il participe à l’accueil, à Paris, du révérend bouddhiste, Gido Ishida[7].
Le , aux siège de la Société théosophique, situé aux 4 square Rapp, il donne une conférence sur le bouddhisme japonais[8].
Émile Steinilber-Oberlin est l'auteur de plusieurs livres et traduits du japonais au français[9].
Publications
Ouvrages
- Essais critiques sur les idées philosophiques contemporaines, 1912.
- Défense de l'Asie et du bouddhisme, réponse à M. Massis, auteur de « Défense de l'Occident », Revue Franco-Nippone, 1928.
- Les Langues sacrées de l'Orient, Comment déchiffrer les hiéroglyphes, Méthode claire et accessible à tous, 1928.
- Les sectes bouddhiques japonaises. Histoire, doctrines philosophiques, textes, les sanctuaires, coécrit avec Kuni Matsuo ainsi que plusieurs prêtres et professeurs bouddhistes, Les Éditions G. Crès, 1930.
- Au cœur du Hoggar mystérieux, Les Touareg tels que je les ai vus, 1934.
- Comment déchiffrer un texte sanscrit, Méthode claire et accessible à tous, 1935.
- Anthologie des poètes japonais contemporains. Textes traduits directement du japonais, coécrit avec Kuni Matsuo, Mercure de France, 1939[9].
Traductions
- Kâlidâsa. La Ronde des saisons, 1925
- Chansons des geishas, traduites avec Hidetaké Iwamura, 1926.
- Kikakou, Les Haï Kaï de Kikakou, traduit avec Kuni Matsuo, 1927.
- Sei-Shonagon, Les Notes de l'oreiller (Makura no soshi), traduit avec Kuni Matsuo, 1928.
- Okamoto Kido, Drames d'amour, traduit avec Kuni Matsuo, 1929.
- Hyakuzo Kurata, Le Prêtre et ses disciples, traduit avec Kuni Matsuo, 1932.
- Bashō Matsuo, Haïkai de Bashô et de ses disciples, traduit avec Kuni Matsuo, 1936[9].
Notes et références
- « Comœdia », sur RetroNews - Le site de presse de la BnF (consulté le ).
- « Mercure de France », sur RetroNews - Le site de presse de la BnF (consulté le ).
- Émile (1878-19[Quoi ?]) Auteur du texte Steinilber-Oberlin, Défense de l'Asie et du bouddhisme, réponse à M. Massis, auteur de « Défense de l'Occident » / Steinilber-Oberlin, (lire en ligne).
- « Comœdia », sur RetroNews - Le site de presse de la BnF (consulté le ).
- « Paris-soir », sur RetroNews - Le site de presse de la BnF (consulté le ).
- « retronews.fr », sur www.retronews.fr (consulté le ).
- « Le Journal », sur RetroNews - Le site de presse de la BnF (consulté le ).
- « Comœdia », sur RetroNews - Le site de presse de la BnF (consulté le ).
- « Émile Steinilber-Oberlin - Wikisource », sur fr.wikisource.org (consulté le ).
Liens externes