Utilisateur:Pvi05/Pédales de piano

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Pédales d'un piano : (de gauche à droite) pédale douce, pédale de soutient et pédale forte
Pédales d'un piano : (de gauche à droite) pédale douce, pédale de soutient et pédale forte


Vue d'ensemble des pédales, placées sous le clavier du piano
Vue d'ensemble des pédales, placées sous le clavier du piano


Les pédales de piano sont des leviers actionnés au pieds situés au pied du piano qui permettent de modifier le son de l'instrument de plusieurs manières différentes. Les pianos modernes ont géneralement trois pédales, qui sont, de gauche à droite, la pédale douce (dite "una corda"), la pédale de soutient et la pédale forte. Certains piano ne possèdent pas de pédale de soutien, ou ont une pédale centrale avec une fonction différente telle que la sourdine.

Le dévellopement des pédales a débuté dès les tout premiers jours de l'invention du piano et s'est prolongé jusqu'à la fin du 19e siècle. Au cours de ces années, la configuration de ces pédale a beaucoup varié avant avant d'arriver à celle actuelle.

Détail des trois pédales usuelles[modifier | modifier le code]

Pédale douce[modifier | modifier le code]

La pédale douce, aussi appelée "una corda", fut inventé par Bartolomeo Cristofori. Ce fut le premier mécanisme imaginé pour modifier le son du piano. Cette fonction est généralement controlée par la pédale de gauche sur les pianos modernes. Cependant, aucun de ses noms - douce ou una corda - de décrit véritablement son effet. En effet, la pédale douce modifie le timbre de l'instrument, et non pas uniquement le volume sonore de celui-ci[1]. Rapidement après cette invention, pratiquement tout les fabriquants ont intégré la pédale douce sur leur piano[2]. Sur le piano de Cristofori, le mécanisme etait actionné par une tirette manuelle sur le coté du clavier. Quand celle-ci etait actionné, tout le mécanisme du piano se déplaçait vers la droite, de telle sorte que les marteaux ne tapaient qu'une corde (una corda) , au lieu de deux (due corde)[3]. Pour certains, le piano "...produit un son plus doux, éthéré."[4]

A la fin du 18e siècle, les fabriquants de piano commençèrent à poser trois cordes par notes sur le piano (au lieu de deux). Ce changement affecta la fonction una corda, comme décrit par Joseph Banowetz :

« Sur les pianos de la fin du 18e au début du 19e siècle, le pianiste pouvait passer de la position trois-cordes normale vers une position où deux voire seulement une corde serait pressée, selon la profondeur à laquelle la pédale était actionnée. Ce changement subtil mais important n'existe pas sur les pianos modernes, mais était déjà disponible sur les premiers instruments. »[2]

Le son de la pédale douce sur les premiers pianos créaient ainsi une plus grande différence en timbre et couleur du son que sur les pianos modernes. Sur ceux-ci, la pédale douce fait en sorte que les marteaux frappent deux cordes à la place de trois. Dans le cas des cordes graves, le mateaux va frapper une cordes au lieu de deux. Les notes les plus graves, il n'y a qu'une seule corde plus épaisse. Pour ces notes, la pédale fait se déplacer le marteau tel qu'il fappe la corde sur une partie moins utilisée de la pointe du marteau.[5]

Erwin Good déclara que :

« Sur le piano moderne, le timbre est légerement différent, mais beaucoup ne parviennent pas à l'entendre. Sur cet aspect, au moins, le piano moderne ne donne pas au joueur autant de flexibilité pour changer l'aspect du son par rapport aux premiers pianos. »[6]

Beethoven a utilisé cette ancienne fonctionnalité, permettant une plus large gamme de tons, dans deux de ses pièces pour pianos. Dans son Concerto pour Piano No. 4, Beethoven précise l'utilisation de une, deux ou trois cordes. Autrement, dans la Sonate Opus 106, il demande d'abord l'utilisation d'une corde, puis indique "poco a poco due ed allora tutte le corde", c'est-à-dire graduellement deux puis toutes les cordes.[2]

Effet de demi-frappe[modifier | modifier le code]

Sur les pianos droits modernes, la pédale de droite n'est en fait pas réellement une una corda, parce qu'elle déplace pas le mécanisme de coté. La dispostion des cordes, dont l'angle par rapport aux martaux est très oblique, ne permet pas un tel mouvement (le marteau risquerait de frapper la corde d'à côté).[6] Ainsi, un terme plus judicieux serait "demi-frappe" : quand la pédale est pressée, les marteaux se rapprochent des cordes, réduisant la distance de frappe du marteau.[7]

Pédale de soutien[modifier | modifier le code]

La pédale de soutien fut la dernière pédale à être ajoutée, d'abord par des fabriquants français. En utilisant cette pédale, un pianiste peut maintenir certaines notes, pendant que les autres notes fonctionnent normalements.

La pédale de soutien ("sostenuto") fut présenté pour la première fois à l'expostition industrielle française de 1844 à Paris, par Boisselot & Fils (en), une entreprise marseillaise. Par la suite, Alexandre François Debain et Claude Montal, deux fabricants de pianos, construisirent des mécanisme de sostenuto respectivement en 1860 et 1862. Ces innovations n'interressèrent pas immédiatement les autres manufactures de pianos. Ce n'est qu'en 1874 qu'Albert Steinway perfectionna et breveta la pédale de soutien[5]. Il en fit alors publiquement la publicité en 1876, et rapidement Steinway l'inclua dans tout ses pianos droits haut de gamme et à queue.[2] Les autres manufactures américaines incluèrent alors la pédale à leur piano, alors qu'en parralèle l'adoption de celle-ci par les fabricants européens fut beaucoup plus lente et ne s'acheva que recemment[8]

Le terme de soutient (sostenuto en italien) n'est pas des plus clair concernant le fonctionnement exact de cette pédale. Sostenuto sinifiant simplement maintenir en italien,[1] on pourrait alors penser que la pédale de soutient a la même fonction que la pédale forte. Un nom plus approprié serait en fait pédale de soutient de notes[2], en effet la pédale ayant pour fonction le maintient d'une ou d'un groupe de notes, sans altérer les autres. La pédale maintient relevé seulement les étouffoirs des notes utilisées quand elle fut préssée.

L'utilité de la pédale de soutient inclut la possiblilité de jouer des transcriptions de musique destinés originellements à l'orgue (où les notes maintenus remplaçent celles actionnées par les pédales sur l'orgue). Autrement, elle est utilisé dans beaucoup de musiques contemporaines, notamment spectrales. Elle s'utilise généralement avec le pied droit.

Pédale forte[modifier | modifier le code]

La pédale forte est situé à droite des autres pédales et est souvent la plus utilisée. Elle relève tout les étouffoirs des cordes afin que celles-ci continuent de vibrer après que le joueur ait relaché la note. De plus, la pédale forte rend toutes les autres cordes du piano sympathiques, créant ainsi une riche qualité tonale. C'est cet effet qui est peut-être derrière l'adage disant que la pédale forte est "l'âme du piano"[1].

La pédale forte a comme fonction secondaire de permettre au joueur de jouer de manière lié des notes qui autrement ne pourraient pas l'être.

Autres fonctions courantes pour la pédale centrale[modifier | modifier le code]

Il est assez courant de trouver des pianos droits voire à queue qui ne possèdent pas de pédale centrale. Et même si un piano dispose d'une pédale centrale, on ne peut pas être sur qu'il s'agisse véritablement d'une pédale de soutien, car il existe plein d'autres fonctions donnés à la pédale centrale.

Souvent, sur les pianos droits, la pédale centrale est une autre pédale de demi-frappe, comme celle à gauche, mais avec un encart permettant de la maintenir en place.

Parfois, la pédale centrale n'agit que sur les étouffoirs des notes graves.[6]

Autrement, celle-ci peut aussi faire descendre une sourdine (une bande de feutre se glissant entre les marteaux et les notes)[7], afin de pouvoir pratiquer silencieusement.

Les vraies pédales de soutien sont assez rares sur les pianos droits, mis à part sur quelques modèles hauts-de-gammes comme ceux de Steinway ou Bechstein. Elles sont plus courantes sur les pianos numériques, puisque l'effet est assez simple à réaliser avec un logiciel.

Historique[modifier | modifier le code]

Systèmes[modifier | modifier le code]

Leviers manuels[modifier | modifier le code]

La pédale forte etait à l'origine controllée à la main sur les tout premiers pianos construits. Cependant, cela était peu pratique pour le joueur, qui devait continuer à jouer d'une main tout en opérant le mécanisme d'une autre. Si cela n'etait pas possible, un assistant etait necéssaire pour actionner le levier, comme aujourd'hui avec les orgues.

Leviers de genoux[modifier | modifier le code]

Le levier actionné au genoux pour remplacer la tirette manuelle apparu en Allemagne vers 1765, et ce de manière assez répandue pour actionner le mécanisme des étouffoirs.

Mozart, vers 1777, fait l'éloge de cette nouvelle fonctionnalité dans une lettre, après avoir essayé un piano de Johann Andreas Stein, où il déclare que : "Le mécanisme actionné par le genoux est mieux réalisé chez Stein que chez les autres. A peine touché, il s'enclenche, et dès que je retire ne serait-ce que légérement mon genoux, on n'entend plus le moindre son"

Pédales[modifier | modifier le code]

Bien qu'il y ait quelques contreverses sur qui serait le premier constructeur à utiliser des pédales au lieu de leviers à genoux, il semblerait que celle-ci furent d'abord utilisées par les constructeurs anglais. Beaucoup de fabricants de pianos anglais, ayant été apprentits de Gottfried Silbermann (premier fabricant de piano allemand et inventeur du mécanisme de maintient des étouffoirs), retournèrent à Londres suite à la guerre de sept ans. Parmis eux, Adam Beyer et Americus Backers (en), sont considérés comme les premiers à avoir incorporé cette nouvelle fonctionnalité à leur piano, avec John Broadwood. En effet, un piano à queue de Backers, datant de 1772, dispose de pédales d'origine, et est probablement le premier piano à utiliser des pédales plutôt que des léviers de genoux. D'autres pianos de Broadwood et de Beyer, respectivement de 1777 et 1783, ont par la suite aussi des pédales.

Après leur invention, les pédales ne se sont pas immédiatement répendues. Les constructeurs allemands et viennois continuèrent à priviliégier les leviers à genoux, et ce pendant une assez longues période.

Des pédales et des leviers à genoux furent même présents ensemble sur le même instrument, un piano à queue de Nannette Streicher construit à Vienne en 1814. Ce piano avait deux leviers à genoux Janissary qui actionnaient des cloches et un tambour, et quatres pédales, une douce, une basson, une forte, et une de modération

Emplacement[modifier | modifier le code]

La position des pédales sur le piano fut un autre aspect qui fluctua de manière important durant l'évolution de l'instrument. Les fabricants de pianos furent assez créatifs avec la position des pédales, donnant parfois aux instrument un aspect assez comique, comparé à la norme actuelle.

Par exemple, certains pianos à queue de Broadwood avaient deux pédales (douce et forte) qui etaient attaché sur les cotés gauches et droits du piano.

Un placement assez particulier fut observé sur un piano surnomé "niche de chien". Construit par Sebastien Mercer en 1831, il fut surnomé ainsi à cause de sa forme. Sous le piano droit, à l'endroit ou les pédales seraient situés sur un piano moderne, se trouvait une niche semi-circulaire ou les pieds du joueur pouvaient se placer. Les pédales fortes et douces se trouvaient sur les cotés de cet espace et orientés vers l'avant.

Pendant le 19e siècle, les pédales, sur les pianos à queue, furent attachées sur un cadre en situé sous le piano, permettant de renforcer et maintenir le mécanisme. On notera que cet ensemble prenant généralement la forme d'un lyre, cela lui donnera le nom de "lyre à pédales", encore utilisé de nos jours.

Autres pédales[modifier | modifier le code]

Beaucoup de nouvelles pédales firent leur apparition durant le dévelloppement de l'instrument, avant d'arriver à la configuration actuelle. La plupart modifiaient le volume, le timbre ou cherchaient à imiter d'autres instruments.[2]

Parmis les autres pédales trouvées parfois sur les premiers pianos, on trouve les pédales dites "luth", "de modération", "basson", "buffle", "clavecin" et d'expression[9] :

  • La pédale "luth" créait un son de type pizzicato.[6]
  • La pédale "de modération" plaçait une bande de tissu léger ou de cuir entre les marteaux et les cordes, créant un son plus doux, légerement étouffé.[4] La bande de tissus ou de cuir avait une épaisseur graduelle en hauteur : ainsi, plus elle etait descendue, plus le marteau frappait un tissu épais, et plus le son etait réduit. Cette pédale était assez populaire sur les pianos viennois, et le mécanisme se retrouve aujourd'hui dans la sourdine avec les pianos droits.[6]
  • La pédale "basson" faisait placer une bande de papier ou de soie au dessus des cordes graves pour créer un son de bourdonement similaire à celui d'un basson.[2]
  • La pédale 'buffle" et la pédale "clavecin" sont assez similaires dans leur fonctionnement. La pédale "buffle" (sous-entendu cuir de buffle) utilisait une fine bande de cuir appliquée sur les cordes pour leur donner un son sec, cassant le maintient du son. La pédale "clavecin" utilisait elle des poids en cuirs appliqués sur les cordes, produisant le même effet, similaire au son d'un clavecin.[2][4][6]
  • Johannes Pohlmann utilisait une pédale d'expression pour ouvrir ou fermer le couvercle de son piano afin de controler le volume sonore. Autrement, l'expression pouvait aussi etre controlée par des volets situés sur les cotés du piano.[2] Dans certains cas plus rares, l'expression utilisait les vibrations sympatiques de la partie non exploitées des cordes à l'aide d'un deuxième chevalet.[7]

Quelques autres expérimentations isolées existent, comme celle d'une pédale visant à imiter le son de cloches (à l'aide de marteau tombant sur des vis), ou d'un système de demi-frappe, comme sur un piano droit, intégré à un piano à queue (notamment dans le F308 de Fazioli).

Les pédales et Beethoven[modifier | modifier le code]

A travers son existence, Ludwig van Beethoven posseda de nombreux pianos différents, issus de fabricants différents, tous avec des configurations de pédales différentes. Ses pianos sont ainsi de très bons exemples des innnovations et expérimentations de l'époque sur les pédales.

Il reçevait régulièrement des piano en cadeau, comme en 1803, avec la manufacture française Erard qui lui offrit un piano à queue, considéré comme le plus aboutit de l'époque, avec quatres pédales, une douce, une forte, une "luth" et une de modération pour adoucir de le son. En 1817, Broadwood lui offrit un piano à queue qui avait une pédale douce et une pédale forte dédoublée (une moitié pour les basses et l'autre pour les aigus).

Dans la volonté de lui offrir un instrument suffisament fort pour qu'il puisse toujours l'entendre alors que son audition déclinait, Conrad Graf lui conçu en 1824 un instrument personnalisé, avec quatres cordes par notes au lieu de trois. Il ne produisit en tout que trois instruments de ce type. Le son, qui etait plus riche et puissant - sans être vraiment plus fort néanmoins -, etait cependant beaucoup plus malléable par la pédale douce, qui réduisait le nombre de cordes frappés de 4 à 2. Le piano en lui même comprenait cinq pédales : une douce (due corde, donc), une basson, deux modératrices, et une forte.

En temps que compositeur et pianiste, Beethoven expérimenta beaucoup avec ses pédales. Sa première indication pour utiliser la pédale dans une partition fut dans ses deux premiers concertos pour pianos.

Auparavant, en 1795, Beethoven avait demandé l'utilisation du levier de genou dans un manuscrit de 1790-92, avec l'inscription "avec le genou" pour une série d'accords. Cela serait la première indication d'utilisation du mécanisme de maintient d'étouffoir dans une partition selon certains.[2] En effet, de son coté, Hadyn ne précisera pas son utilisation avant 1794. En tout, il y a presque 800 indications pour l'utilisation de la pédale dans les partitions de Beethoven, faisant largement de lui le compositeur utilisant le plus la pédale.

Piano-pédalier[modifier | modifier le code]

Piano-pédalier droit
Piano-pédalier droit

En parallèle du dévellopement des pédales sur le piano apparu phénomène du piano-pédalier, c'est-à-dire un piano équipé d'un pédalier pour jouer les notes les plus graves, de manière similaire à l'orgue. Certains modèles de piano-pédalier remontent à 1815. Celui-ci eut une certaines utilité pour les orguanistes qui souhaitaient pratiquer sans utiliser l'orgue. Dans certains cas, le pédalier etait complètement intégré au piano, avec un siège en hauteur, comme un orgue, mais autrement, un pédalier indépendant pouvait etre attaché à un piano à queue classique.

Schumann, en plus d'utiliser son piano-pédalier pour pratiquer l'orgue, composa plusieurs pièces dédié à celui-ci. On peut citer ses Six Etudes Op. 56, ses Quatres Esquisses Op. 58, ou encore ses Six Fugues sur BACH Op. 60. D'autres compositeurs utilisèrent le piano pédalier, tels que Mozart, Liszt, Alkan ou Gounod.

Sur les claviers électroniques[modifier | modifier le code]

Une pédale externe, branchée sur un clavier électrique, typiquement pour faire office de pédale forte.
Une pédale externe, branchée sur un clavier électrique, typiquement pour faire office de pédale forte.

De nos jours, les claviers électroniques ou de concert ont généralement une prise jack pour reçevoir une pédale externe, tandis que les pianos numériques l'ont intégrée dans l'instrument.

La pédale en elle-même est généralement un simple interrupteur, bien que les modèles les plus sophistiqués peuvent prendre en compte une nuance dans la pression appliquée. Généralement, celle-ci sert à émuler la pédale forte dans un piano acoustique.

Le panneau arrière de ce clavier electronique montre typiquement une prise jack 1/4", pour émuler une pédale forte (troisième prise depuis la gauche).
Le panneau arrière de ce clavier electronique montre typiquement une prise jack 1/4", pour émuler une pédale forte (troisième prise depuis la gauche).

Les modèles les plus sophistiqués de claviers électroniques peuvent proposer une gamme de pédale possibles à l'utilisateur, avec une ou plusieurs prises jack personnalisables. Parmis les options possibles de manière générale, on retrouve bien sûr la pédale forte, de portamento, de soutien, douce, de legato, ect...

Ainsi, il est possible pour l'utilisateur d'ajouter des pédales pour certaines voires toutes ces options.

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c Siepmann, Jeremy., The piano, H. Leonard, (ISBN 0-7935-9976-8 et 978-0-7935-9976-9, OCLC 41241269, lire en ligne)
  2. a b c d e f g h i et j Banowetz, Joseph., The pianist's guide to pedaling, Indiana University Press, (ISBN 0-253-34494-8, 978-0-253-34494-6 et 0-253-20732-0, OCLC 27995253, lire en ligne)
  3. James Parakilas, « Piano Roles », Yale University Press,‎ (DOI 10.12987/9780300130829, lire en ligne, consulté le )
  4. a b et c Gill, Dominic, 06., The book of the piano, Cornell University Press, (ISBN 0-8014-1399-0 et 978-0-8014-1399-5, OCLC 638020347, lire en ligne)
  5. a et b Williams, John Paul., The piano : an inspirational style guide to the piano and its place in history, ABC Books, (ISBN 0-7333-1131-8 et 978-0-7333-1131-4, OCLC 155720167, lire en ligne)
  6. a b c d e et f Edwin M. Good, « Giraffes, Black Dragons, and Other Pianos », Stanford University Press,‎ (DOI 10.1515/9781503617414, lire en ligne, consulté le )
  7. a b et c Crombie, David., Piano : a photographic history of the world's most celebrated instrument, Miller Freeman, (ISBN 0-87930-372-7 et 978-0-87930-372-3, OCLC 659088728, lire en ligne)
  8. Concernant l'absence de pédale de soutien sur les piano européens en 1982, voir le livre de Good. Les sites webs de Bechstein, Bösendorfer, Petrof et Fazioli décrivent maintenant tout leurs instruments hauts-de-gamme comme possedant la pédale, et il s'agit d'une option chez Grotrian.
  9. Les noms donnés ici, mis à part la pédale d'expression, sont des adaptions des noms anglais. Les noms réellements utilisés à l'époque sont potentiellement différents.

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