Sœurs de la Divine Providence de Saint-Jean-de-Bassel

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Sœurs de la Divine Providence de Saint-Jean-de-Bassel
Ordre de droit pontifical
Approbation diocésaine 13 décembre 1838
par Mgr de Forbin-Janson
Approbation pontificale 31 janvier 1931
par Pie XI
Institut congrégation religieuse
Type apostolique
Spiritualité école française de spiritualité
But enseignement, soins des malades
Structure et histoire
Fondation 14 janvier 1762
Saint-Hubert
Fondateur Jean-Martin Moyë
Abréviation C.D.P.
Branche(s) Sœurs de la Divine Providence de San Antonio
Site web site officiel
Liste des ordres religieux

Les Sœurs de la Divine Providence de Saint-Jean-de-Bassel (en latin Congregatio Divinae Providentiae) forment une congrégation religieuse féminine enseignante et hospitalière de droit pontifical.

Historique[modifier | modifier le code]

Le père Jean-Martin Moyë (1730-1793) fonde le à Saint-Hubert une congrégation pour l'éducation des filles dans les zones rurales de France. Dispersée à la Révolution, la congrégation est rétablie en deux branches, une branche de langue française qui devient les Sœurs de la Providence de Portieux et une branche de langue allemande par l'abbé Decker qui ouvre en 1827 un noviciat à Saint-Jean-de-Bassel dans un bâtiment qui appartenait aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem. Le , Mgr Charles de Forbin-Janson, évêque de Nancy, reconnaît cette fondation comme congrégation autonome qui est approuvée civilement par le président Louis Napoléon Bonaparte le .

En 1866, à la demande de Claude-Marie Dubuis, évêque de Galveston, les sœurs de Saint-Jean-de-Bassel envoient des religieuses au Texas qui forment une congrégation autonome en 1886 en prenant le nom de Sœurs de la Divine Providence de San Antonio.

L'institut reçoit le décret de louange le et ses constitutions sont définitivement approuvées par le Saint-Siège le . En 1966, les sœurs absorbent la congrégation de la Miséricorde de Beaulieu[1].

Fusion[modifier | modifier le code]

  • 1966 : Sœurs de la Miséricorde fondée en 1860 à Beaulieu-sur-Dordogne par Marie Guittard (1818-1872), en religion mère Marie-Joseph pour le soin des malades à domicile.

Activités et diffusion[modifier | modifier le code]

Les sœurs se dédient à l'enseignement et aux soins des malades.

Elles sont présentes en :

La maison-mère est à Fénétrange.

En 2017, la congrégation comptait 466 sœurs dans 90 maisons[2].

Source[modifier | modifier le code]

(it) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en italien intitulé « Suore della Divina Provvidenza (Saint-Jean-de-Bassel) » (voir la liste des auteurs).

Notes et références[modifier | modifier le code]

Annexes[modifier | modifier le code]

Article connexe[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]