Rosette Peschaud

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Rosette Peschaud
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Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 94 ans)
Porto-VecchioVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Rosette Berthe Isabelle TrinquetVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activités
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Distinctions

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Rosette Peschaud, née Trinquet, le à Hérin et morte le à Porto-Vecchio, est une ambulancière militaire française dans le Groupe Rochambeau durant la Seconde Guerre mondiale.

Biographie[modifier | modifier le code]

Pendant la Seconde Guerre mondiale, Rosette Trinquet vit au Maroc avec ses parents. Elle rejoint les Forces françaises libres fin 1943 et intègre le corps des ambulancières nommé Groupe Rochambeau créé au Maroc au sein du 13e bataillon médical de la 2e division blindée du général Leclerc, avec laquelle elle participe à la campagne de France, d’Alsace, et d’Allemagne, sous le commandement de l'Américaine Florence Conrad puis de la Française Suzanne Torrès.

En , elle s’engage au groupement de marche de la 2e DB commandé par le lieutenant-colonel Massu en Indochine[1], avant de retourner vivre vingt ans au Maroc avec son mari, le colonel Philippe Peschaud, qu’elle épouse le [2]. Philippe Peschaud, ex-président de l’Association des anciens de la 2e DB, est mort en mai 2006[1].

Rosette Peschaud est morte le 29 août 2015, à 94 ans, à Porto-Vecchio[1]. Elle était vice-présidente de la Fondation Maréchal Leclerc de Hauteclocque[1],[3].

Distinctions[modifier | modifier le code]

Œuvre[modifier | modifier le code]

  • Soldats de Leclerc, avec Jeanne Galley. Fondation Maréchal Leclerc de Hauteclocque, Paris, Éditions Lavauzelle, 2004 (ISBN 978-2-7025-0411-6)
  • Women of Valor: the Rochambelles on the WWII Front, par Ellen Hampton, McFarland Publishing, 2021.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. ↑ a b c et d « Mort de la Rochambelle Rosette Peschaud », ”Le Monde”,‎ (lire en ligne)
  2. ↑ « Biographie de Philippe Peschaud », Who's who en France, consulté le .
  3. ↑ « Leclerc infusait une telle autorité », Le journal du dimanche,
  4. ↑ Décret du 31 décembre 1997 portant promotion (lire en ligne)

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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