General Elektriks

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
(Redirigé depuis Parker Street)
General Elektriks
Pays d'origine Drapeau de la France France
Genre musical Electropop, rock, soul, jazz
Années actives Depuis 2003
Site officiel www.general-elektriks.com
Composition du groupe
Membres Hervé Salters
Jessie Chaton
Anciens membres Jordan Dalrymple

General Elektriks est un projet musical d'electropop français, inspiré de plusieurs autres styles (comme la funk, la soul ou le jazz), formé par Hervé Salters. Il a été inspiré par de nombreux artistes, notamment Stevie Wonder.

Biographie[modifier | modifier le code]

Hervé Salters, de nationalité française et claviériste vintage, jouait des claviers pour divers artistes à Paris (Femi Kuti, Matthieu Chedid, Vercoquin, DJ Mehdi) avant de déménager à San Francisco en 1999[1],[2]. Il commence à travailler sur ce qui allait devenir General Elektriks alors qu'il déménageait aux États-Unis[1],[3],[4]. Une fois en Californie, il s'associe rapidement au collectif Quannum Projects (Blackalicious, Lyrics Born, etc.) et commence à faire des sessions pour eux. Il invite Lateef the Truthspeaker et Chief Xcel, membres de Quannum, sur quelques morceaux, puis réalise le premier album de General Elektriks, Cliquety Kliqk[5]. Il sort donc son premier album en 2003, produit par Chief Xcel de Blackalicious et avec une apparition de Lateef the Truth Speaker[1]. Cliquety Kliqk a été enregistré sur l'ordinateur portable de Salters entre 2000 et 2003[1],[6]. Salters continuera à collaborer avec Blackalicious, apparaissant sur leur album The Craft[7]. Il commencera à travailler avec le groupe de Quannum Honeycut, et sortira un deuxième album studio, Good City for Dreamers, en 2009. Depuis cette même année, le français Jessie Chaton accompagne à la basse General Elektriks en tournées[8]. L'album Parker Street sort en 2011.

General Elektriks a sorti le long-métrage To Be a Stranger et un album live, Punk Funk City, en 2016, et le long-métrage Carry No Ghosts en 2018[9]. Toujours en 2018, il se produit au Nice Jazz Festival[10].

En 2021 sort l'album Party like a human, dont le style est qualifié de funk et soul[11]. Il a été conçu à Berlin[12].

Discographie[modifier | modifier le code]

Albums studios[modifier | modifier le code]


Albums live[modifier | modifier le code]


EP[modifier | modifier le code]

Membres[modifier | modifier le code]

Membres actuels[modifier | modifier le code]

  • Hervé Salters - claviers, chant
  • Jessie Chaton

Membres live[modifier | modifier le code]

  • Jessie Chaton - basse, clavier basse
  • Toma Milteau - MPC, batterie
  • Guillaume Lantonnet - batterie, vibraphone, percussions
  • Éric Starczan - guitare électrique

Anciens membres[modifier | modifier le code]

  • Jordan Dalrymple - MPC, batterie
  • Touski - batterie, vibraphone

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d (en) « General Elektriks biography », sur AllMusic.
  2. (en) « General Elektriks review », sur Okayplayer, .
  3. « General Elektriks : "Les punks nous ont balancé des Tampax et craché dessus" », sur Télérama, (consulté le ).
  4. Nicolas Dambre, « General Elektriks, le musicien antistatique », sur rfi.fr, RFI Musique, (consulté le ).
  5. (en) « Cliquety Kliqk album review », sur AllMusic.
  6. (en) « General Elektriks », sur Broward New Times.
  7. (en) « Cliquety Kliqk review », sur Prefix Magazine, .
  8. Yann HALOPEAU, « Saint-Lô. L’électro-funk de General Elektriks fait sauter les plombs au Normandy », sur www.ouest-france.fr,
  9. « Carry No Ghosts review », sur Les Oreilles Curieuses, .
  10. « General Elektriks », sur Nice Jazz Festival.
  11. « La bombe General Elektriks », sur ladepeche.fr (consulté le )
  12. « General Elektriks est toujours en survoltage », sur Radio France, (consulté le )

Liens externes[modifier | modifier le code]