NGC 348

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

NGC 348
Image illustrative de l’article NGC 348
La galaxie spirale NGC 348
Données d’observation
(Époque J2000.0)
Constellation Phénix
Ascension droite (α) 01h 00m 52,0s[1]
Déclinaison (δ) −53° 14′ 40″ [1]
Magnitude apparente (V) 13,8 [2]
14,6 dans la Bande B [2]
Brillance de surface 13,17 mag/am2[2]
Dimensions apparentes (V) 0,8 × 0,7 [2]
Décalage vers le rouge +0,029477 ± 0,000150 [1]
Angle de position 94° [2]

Localisation dans la constellation : Phénix

(Voir situation dans la constellation : Phénix)
Astrométrie
Vitesse radiale 8 837 ± 45 km/s [1]
Distance 127,98 ± 8,98 Mpc (∼417 millions d'al) [1]
Caractéristiques physiques
Type d'objet Galaxie spirale
Type de galaxie Sb[1],[2] Sb?[3]
Dimensions environ 44,32 kpc (∼145 000 al)[1],[a]
Découverte
Découvreur(s) John Herschel[3]
Date [3]
Désignation(s) PGC 3632
ESO 151-17[2]
Liste des galaxies spirales

NGC 348 est une galaxie spirale située dans la constellation du Phénix. Sa vitesse par rapport au fond diffus cosmologique est de 8 677 ± 46 km/s, ce qui correspond à une distance de Hubble de 128,0 ± 9,0 Mpc (∼417 millions d'al)[1]. Elle a été découverte par l'astronome britannique John Herschel en 1834.

La classe de luminosité de NGC 348 est II[1].

NGC 348 et ESO 151- G 018 forment une paire de galaxies[4]. La distance de Hubble d'ESO 151- G 018 est de 107,63 ± 7,54 (∼)[5]. Étant donné les incertitudes des distances pour ces deux galaxies, il n'est pas impossible qu'elles forment une paire réelle.

Trou noir supermassif[modifier | modifier le code]

Selon une autre étude publiée en et basée sur la dispersion des vitesses de la région centrale de NGC 348, la masse du trou noir central serait de 15,5 millions de (107,19)[6].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Diamètre isophote du relevé ESO-LV Quick Blue"" IIa-O.

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f g h et i (en) « Results for object NGC 348 », NASA/IPAC Extragalactic Database (consulté le )
  2. a b c d e f et g « Les données de «Revised NGC and IC Catalog by Wolfgang Steinicke», NGC 300 à 399 », sur astrovalleyfield.ca (consulté le )
  3. a b et c (en) Courtney Seligman, « Celestial Atlas Table of Contents, NGC 348 » (consulté le )
  4. D. S. L. Soares, R. E. de Souza, R. R. de Carvalho et T. C. Couto da Silva, « Southern binary galaxies. I. A sample of isolated pairs. », Astronomy and Astrophysics Supplement, vol. 110,‎ , p. 371 (DOI 10.48550/arXiv.astro-ph/9410092, Bibcode 1995A&AS..110..371S, lire en ligne [PDF])
  5. (en) « Results for object ESO 151- G 018 (ESO 151-G 018) », NASA/IPAC Extragalactic Database (consulté le ).
  6. Andrea Marinucci, Stefano Bianchi, Fabrizio Nicastro, Giorgio Matt et Andy D. Goulding, « The Link between the Hidden Broad Line Region and the Accretion Rate in Seyfert 2 Galaxies », The Astrophysical Journal, vol. 748, no 2,‎ , p. 10 pages (DOI 10.1088/0004-637X/748/2/130, Bibcode 2012ApJ...748..130M, lire en ligne [PDF])

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

    •  NGC 340  •  NGC 341  •  NGC 342  •  NGC 343  •  NGC 344  •  NGC 345  •  NGC 346  •  NGC 347  •  NGC 348  •  NGC 349  •  NGC 350  •  NGC 351  •  NGC 352  •  NGC 353  •  NGC 354  •  NGC 355  •  NGC 356