Manataria hercyna
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(vue de profil).
| Règne | Animalia |
|---|---|
| Embranchement | Arthropoda |
| Classe | Insecta |
| Ordre | Lepidoptera |
| Famille | Nymphalidae |
| Sous-famille | Satyrinae |
| Tribu | Satyrini |
| Genre | Manataria |
Manataria hercyna est une espèce d'insectes lépidoptères (papillons) de la famille des Nymphalidae, de la sous-famille des Satyrinae et du genre Manataria.
Dénomination[modifier | modifier le code]
Manataria hercyna a été décrit par Jacob Hübner en 1821 sous le nom initial de Tisiphone hercyna[1].
Sous-espèces[modifier | modifier le code]
- Manataria hercyna hercyna ; présent au Brésil.
- Manataria hercyna daguana (Neustetter, 1929) ; présent en Équateur et en Colombie.
- Manataria hercyna distincta (Lathy, 1918) ; présent en Guyane.
- Manataria hercyna hyrnethia Fruhstorfer, 1912 ; présent en Bolivie, en Équateur, en Colombie et au Pérou.
- Manataria hercyna maculata (Hopffer, 1874) ; présent au Mexique et au Costa Rica[1].
Nom vernaculaire[modifier | modifier le code]
Manataria hercyna se nomme White-spotted Satyr en anglais[2].
Description[modifier | modifier le code]
Manataria hercyna est un grand papillon au dessus de couleur marron avec aux ailes antérieures une bande de taches blanches ovales séparant l'apex du reste de l'aile[2].
Le revers est marron avec un ocelle noir à l'apex des ailes antérieures et aux ailes postérieures une multitude de taches et de nombreux ocelles dont les deux proches de l'apex et le plus proche de l'angle anal sont noir et pupillés [3].
Biologie[modifier | modifier le code]
Manataria hercyna vole en Guyane durant la saison sèche en septembre-octobre[3].
Plantes hôtes[modifier | modifier le code]
Les plantes hôtes de sa chenille sont des bambous[1].
Écologie et distribution[modifier | modifier le code]
Chloreuptychia chlorimene est présent au Mexique, au Costa Rica, en Colombie, en Équateur, en Bolivie, au Pérou, au Brésil et en Guyane[1],[3].
Biotope[modifier | modifier le code]
Manataria hercyna réside en sous-bois[3].
Protection[modifier | modifier le code]
Pas de statut de protection particulier
Notes et références[modifier | modifier le code]
- « Manataria », sur funet.fi (consulté le )
- « White-spotted Satyr », sur learnaboutbutterflies (consulté le )
- (Brévignon 2008)
Annexes[modifier | modifier le code]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- « Manataria hercyna maculata », sur butterfliesofamerica (consulté le )
- « White-spotted Satyr », sur learnaboutbutterflies (consulté le )
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Christian Brévignon, « Inventaire des Satyrinae de Guyane », dans Lépidoptères de Guyane, t. III, paris, Lépidoptèristes de France, , 67 p. (ISBN 2-9525440-3-4)
