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Lilian Constantini

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Lilian Constantini
Description de l'image Lilian Constantini (Le Pèlerin).jpg.
Nom de naissance Liliane Louise Hélène Volpert
Naissance
Paris 9e
Nationalité Drapeau de la France Française
Décès (à 79 ans)
Saint-Tropez
Profession Actrice
Danseuse
Films notables Le Coup de trois
Naples au baiser de feu
Cousin Pons

Lilian Constantini, nom de scène de Lilian Louise Hélène Volpert, née le dans le 9e arrondissement de Paris et morte le à Saint-Tropez[1], est une actrice et philanthrope française.

Biographie

Petite-fille de Jules Guesde[2], Lilian Constantini a commencé une carrière de danseuse et de comédienne au début des années 1920 avant d'épouser l'industriel Charles Schneider[3]. Ils sont les parents de Dominique Schneidre et de Catherine Schneider.

À la Libération, Charles, à la tête du groupe Schneider et Cie, lui confie la charge des œuvres sociales de la ville du Creusot, notamment elle préside l'Hôtel-Dieu et fait construire des maisons pour les Anciens. Les creusotins la surnomme "la bonne Dame du Creusot".

Au décès de son époux le 6 août 1960 elle fut automatiquement cogérante du groupe Schneider[4] mais transmet rapidement l'entreprise au baron Édouard-Jean Empain[5],[6].

Dans Les Passagers du souvenir, Maurice Bessy évoque la « jeune femme ravissante, Lilian Constantini, celle-là même qui (...) devint par veuvage maîtresse de forges et régna sur l'empire du Creusot »[7].

Hommages

(en) « The Righteous Among the Nations Database » (consulté le ).

Filmographie

Notes et références

  1. Archives de Paris 9e, acte de naissance no 1176, année 1902 (page 17/29) (avec mention marginale de décès)
  2. Dominique Schneidre, Fortune de mère, Fayard, 2001
  3. Dominique Schneidre, Schneider, maître de forges, bulletin de l'Académie François Bourdon, n°11 page 9
  4. Henry Coston, L'Europe des banquiers, Dépôt: Librairie française, (lire en ligne)
  5. Tristan de la Broise et Félix Torres, Schneider, l'histoire en force, pages 214-216
  6. L'Année économique et sociale, Le Monde., (lire en ligne)
  7. Albin Michel, 1977, p. 16

Liens externes