Josiane Aubert
Josiane Aubert | |
Portrait de Josiane Aubert | |
Fonctions | |
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Conseillère nationale | |
– [1] (6 ans, 11 mois et 28 jours) |
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Législature | 47e (2003-2007) 48e (2007-2011) 49e (2011-2015) |
Successeur | Rebecca Ruiz |
Présidente du parti socialiste vaudois | |
– (4 ans) |
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Successeur | Cesla Amarelle |
Députée au Grand Conseil du Canton de Vaud [1] | |
– (5 ans et 6 mois) |
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Législature | 2002-2007 |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Le Chenit (VD) |
Nationalité | Suisse |
Parti politique | Parti socialiste |
Profession | Animatrice en formation continue et enseignante secondaire[1] |
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Josiane Aubert, née le au Chenit[1], est une personnalité politique suisse, membre du parti socialiste.
Biographie
[modifier | modifier le code]Née Josiane Irène Honsberger, elle est la fille d'un horloger[2],[3]. Elle est mariée, mère de trois filles adultes et grand-mère de deux petits-enfants.
Après avoir obtenu une licence en sciences naturelles de l'Université de Lausanne, elle séjourne trois ans à Berlin pendant les années 1970, puis, à son retour en Suisse, elle devient coordinatrice des groupes suisses d'Amnesty International[4]. Parallèlement, elle est enseignante secondaire (branches scientifiques) à la Vallée de Joux[4]. Elle sera également animatrice de formation continue.
En 1992, elle adhère au Parti socialiste et entre au conseil communal de la commune du Chenit[4].
En 1999, elle est élue à l'Assemblée constituante vaudoise puis, en 2002, au Grand Conseil[5]. En 2004, elle accède à la présidence du Parti socialiste du canton de Vaud, succédant à Pierre-Yves Maillard[5]. Elle conserve cette fonction pendant quatre ans[5].
Elle est par ailleurs conseillère nationale pour le canton de Vaud entre 2007 et 2014[5]. Elle y préside de la commission de la science, de l'éducation et de la culture en 2008 et 2009[5]. Pendant son mandat, elle s'engage notamment pour des objets liés à cette commission, telle que la loi sur la formation continue ou la loi sur l'encouragement à la culture, mais également pour la protection des consommateurs ou la défense des droits des enfants[6]. Elle est la première élue fédérale habitant à la Vallée de Joux[5].
Après son départ du Conseil national, elle reste vice-présidente du syndicat Travail.Suisse[4]. À ce titre, elle s'engage en faveur de l'initiative populaire « 6 semaines de vacances pour tous » lancée par cette organisation[7].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « Biographie de Josiane Aubert », sur le site de l'Assemblée fédérale suisse. (réf. 27.01.2010)
- « Scriptorium », sur scriptorium.bcu-lausanne.ch (consulté le )
- Raynald Künzi, « Josiane Aubert reçue avec les honneurs », La Région Nord vaudois, , p. 20 (lire en ligne )
- Rébecca Reymond, « Josiane Aubert, porteuse des valeurs socialistes au-delà de la carrière politique », Feuille d'avis de la Vallée de Joux, , p. 8 (lire en ligne )
- « La socialiste vaudoise Josiane Aubert démissionne du Conseil national », La Côte, (lire en ligne)
- Alex Charmey, « La socialiste vaudoise Josiane Aubert quitte le Conseil national », Feuille d'avis de la Vallée de Joux, , p. 5 (lire en ligne)
- Timothée Guillemin, « Josiane Aubert veut plus de vacances », La Région Nord vaudois, , p. 3 (lire en ligne )
Lien externe
[modifier | modifier le code]- « Biographie de Josiane Aubert », sur le site de l'Assemblée fédérale suisse.