Jean-Baptiste Auguste Reynaud de Savournin

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Jean Baptiste Auguste Reynaud de Savournin
Naissance
Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône)
Décès (à 59 ans)
Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône)
Origine Drapeau de la France France
Arme Artillerie
Grade Général de brigade
Années de service 1765 – 1803

Jean Baptiste Auguste Reynaud de Savournin, né le à Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône), mort le à Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône), est un général de brigade de la Révolution française.

États de service[modifier | modifier le code]

Il entre en service le , comme élève dans l’artillerie, il devient lieutenant en premier au régiment de Grenoble le et il est employé en Guadeloupe sous les ordres du marquis de Chambon. Il occupe le poste de directeur de l'artillerie du au . Il reçoit son brevet de capitaine de canonniers le , et en 1779, de retour en France, il est détaché comme capitaine en second à La Rochelle. Le , il embarque sur Le Zélé, et il sert aux îles du Vent et dans les armées navales jusqu'au .

Rentré au Havre sur le navire Le Citoyen, il obtient un congé en Guadeloupe d' à . À son retour, il tient garnison à Saint-Malo, et il démissionne le .

Il reprend du servive le , comme lieutenant au 4e régiment d'artillerie ci-devant Régiment de Grenoble artillerie puis comme chef de bataillon au 7e régiment d’artillerie à pied. Il est nommé chef de brigade le , directeur du parc d’artillerie à Rennes, puis à Cherbourg le suivant. Le , il est nommé directeur de l’école de l’artillerie à Rennes et le , il devient membre du comité central de l’artillerie.

Il est promu général de brigade le , directeur de l’artillerie à Draguignan, et le , il est affecté à l’armée d’Italie comme commandant de l’artillerie de l’aile gauche de cette armée. Le , il est directeur de l’artillerie en Ligurie et le il est candidat pour prendre le poste de commandant de l’artillerie du corps expéditionnaire de Saint-Domingue. Le , il est paralysé du côté gauche à la suite d'un accident vasculaire cérébral et le il est envoyé au commandement de l’école d’artillerie de Strasbourg. Il est admis à la retraite le .

Il meurt le , à Aix-en-Provence.

Sources[modifier | modifier le code]