Ibrahima Sacko
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| Ibrahima Sacko | |
 Ibrahima Sacko, juillet 2017 | |
| Fonctions | |
|---|---|
| Président de l'Union des forces pour le retour à l'ordre constitutionnel UFROC | |
| En fonction depuis le (13 jours) |
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| Prédécesseur | Coalition créé |
| Président du Changement, progrès, unité pour la Guinée CPUG | |
| En fonction depuis (9 ans) |
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| Secrétaire général | Mamadou Mouctar Bah |
| Coalition | Coalition sauvons la Guinée CoSaG Union des Forces pour le Retour à l'Ordre Constitution UFROC UFROC |
| Prédécesseur | Parti créé |
| Président de la Coalition sauvons la Guinée (CoSaG) | |
| En fonction depuis le (2 ans, 7 mois et 4 jours) |
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| Prédécesseur | Coalition créé |
| Biographie | |
| Date de naissance | |
| Lieu de naissance | Siguiri (Guinée) |
| Nationalité | Guinéenne |
| Parti politique | Changement, progrès, unité pour la Guinée - (CPUG) |
| Père | Damou Sacko |
| Mère | Hawa Condé |
| Diplômé de | université Paris Panthéon Sorbonne |
| Profession | Ancien chef d'entreprises |
| Religion | Islam |
| Résidence | Conakry |
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Ibrahima Sacko né le à Siguiri en Haute Guinée, est un homme politique et chef d'entreprises guinéen[1].
Fondateur et président du parti changement, progrès, unité pour la Guinée (CPUG) depuis , également président des coalitions Sauvons la Guinée (CoSaG ) en et de l'Unions des forces pour le retour à l'ordre constitutionnel[2],[3].
Biographie[modifier | modifier le code]
Origine[modifier | modifier le code]
Ibrahima Sacko originaire de Siguiri, est fils de Damou Sacko, professeur de biologie et de Hawa Condé, responsable d'un magasin d'état de fournitures scolaires. Ses parents étaient engagés en politique au sein du parti démocratique de Guinée - rassemblement démocratique Africain (PDG-RDA) du président Ahmed Sékou Touré[4].
Enfance et formation[modifier | modifier le code]
Ibrahima Sacko est arrivé en France à l'âge de 7 ans, il suit ses études primaires et secondaires au collège lycée Saint-Charles de Chauny en Aisne. Après un bac scientifique, il poursuit ses études supérieures à l'université Paris Panthéon-Sorbonne où il obtient une maîtrise de droit "Carrière judiciaire" et un DEA en droit des Affaires[5].
Parcours politique[modifier | modifier le code]
Ibrahima Sacko passe un parcours professionnel dans l'entrepreneuriat en France et en Europe, il retourne dans son pays d'origine la Guinée et fonde en 2015 le parti changement, progrès, unité pour la Guinée (CPUG) et en octobre 2021 la coalition sauvons la Guinée (CoSaG)[6],[7].
Il dénonce la gestion du pouvoir de l'ancien président Alpha Condé lors de l'assemblée générale du parti CPUG du 22 décembre 2018[8].
En 2019, à Macenta en Guinée forestière devant des militants du parti CPUG, Ibrahima Sacko préconise une lutte contre la corruption et plaide pour la première fois pour le renouvellement de la classe politique pour permettre le développement socio-économique de la Guinée[9].
Il rencontre l'imam en chef de la mosquée Fayçal à Conakry Elhadj Mamadou Saliou Camara le 11 octobre 2019 afin que celui-ci lance un appel aux hommes politiques guinéens et à la population guinéenne à ne pas céder aux violences alors qu'une tension est perceptible entre l'opposition guinéenne et les promoteurs de la nouvelle constitution en vue d'un éventuel 3e mandat du président Alpha Condé[10].
En octobre 2020, pour dénoncer la misère sociale, la corruption, les détournements des deniers publics, les tueries perpétrées par le régime de Alpha Condé et l'illégalité de la candidature de ce dernier à un 3e mandat, Ibrahima Sacko appelle à la désobéissance civique et décide de retirer sa candidature aux élections présidentielles du 18 octobre 2020[11].
Après le coup d'état du 5 septembre 2021, Ibrahima Sacko, le parti CPUG (Changement, Progrès, Unité pour la Guinée) et la Coalition CoSag (Coalition Sauvons la Guinée) affirment leur volonté d'accompagner la transition enclenchée par le président Mamadi Doumbouya[12].
Le 17 Mai 2024, il crée et devient le président part intérim de la coalition l’union des forces pour le retour à l’ordre constitutionnel (UFROC), dont la mission est d’œuvrer pour restaurer l’ordre constitutionnel et de promouvoir les valeurs démocratiques en Guinée[13],[3].
Vie privée[modifier | modifier le code]
Ibrahima Sacko est marié et père de quatre enfants.
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
Références[modifier | modifier le code]
- Eric Topona, « Guinée : Ibrahima Sakho rêve d’un État de droit », sur amp.dw.com, (consulté le )
- Aboubacar Halimatou Soumah, « Politique : la "Coalition sauvons la Guinée" lance ses activités à Conakry », sur Fatalainfos, (consulté le )
- « Retour à l’ordre constitutionnel : Dr Ibrahima SACKO préside une nouvelle union dénommée » Union des Forces pour le Retour à l’Ordre Constitutionnel (UFROC). », sur Lerenifleur224.com, (consulté le )
- GuineeInfoMonde, « Le député RPG Savané soutient le leader du CPUG: Mon fils Sakho est une relève sûre », sur www.guineeinfomonde.com (consulté le )
- « sorbonne »
- Aminata.com, « Le président du CPUG, le Dr Ibrahima Sacko et la vision politique du parti présenté aux militants. »
- « Une nouvelle coalition politique pour sauver la transition en Guinée - Kakoulima », (consulté le )
- guiquo-admin, « Dr Ibrahima Sakho : « l’argent récolté grâce à ses ressources naturelles jusqu’à présent est destiné uniquement au train de vie somptuaire et immoral du président Alpha Condé, de son premier ministre » », sur Guinée Quotidien (consulté le )
- admin, « Macenta : Dr Ibrahima Sakho, président du CPUG, à la rencontre de ses militants », sur Guineematin.com, (consulté le )
- admin, « Le premier imam de Fayçal aux politiciens : « je condamne fermement toute sorte de violence... » », sur Guineematin.com, (consulté le )
- admin, « Élection présidentielle du 18 octobre 2020 : la déclaration du parti CPUG, Dr. Ibrahima Sakho », sur Guineematin.com, (consulté le )
- Loupeguinee, « Guinée : la COSAG affirme sa volonté d'accompagner la transition », sur Loupeguinee, (consulté le )
- « Nos luttes politiques 2024-2025 - CPUG », sur www.cpu-guinee.com (consulté le )
Liens externes[modifier | modifier le code]
