Gramont (Balma)

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Gramont
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Métropole Toulouse Métropole
Commune Balma

Toulouse

Fonctions urbaines Zone d'activité
Géographie
Coordonnées 43° 37′ 48″ nord, 1° 29′ 09″ est
Transport
Métro Métro de Toulouse  :
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Toulouse
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Gramont
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
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Gramont

Gramont est un quartier de la ville de Balma et de Toulouse. Il est intégré dans le secteur 4 (est) de la ville de Toulouse.

Origine du nom[modifier | modifier le code]

Le quartier de Gramont tient son nom du domaine de Gramont, qui s'étendait sur une partie de la plaine de l'Hers et le coteau voisin. Les vestiges de ce vaste domaine agricole consistent en un château, construit au début du XIXe siècle (actuel no 7 chemin de Montredon), et une métairie, construite au milieu du XVIIIe siècle (actuel no 3 chemin de Montredon). Le château est élevé pour Jean-Baptiste Cassaigne, procureur au parlement avant 1789. Il est bâti en plusieurs parties : le corps principal en 1801, la tour ouest en 1818, la tour est et l'orangerie en 1820, la cuisine en 1832. À la mort de Jean-Baptiste Cassaigne (1754-1832), le domaine échoit à son épouse, Nanette de Théron, qui le laisse ensuite à un de ses neveux, le magistrat Édouard Théron de Montaugé. Au début du XXe siècle, il passe à Marie Théron de Montaugé, épouse de Jean Meunier[1].

Situation[modifier | modifier le code]

Le quartier est situé au nord-est de Toulouse et au nord de Balma. À l'ouest se situe le quartier toulousain de la Roseraie et au nord la commune de L'Union.

Histoire[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

De nombreux centres commerciaux sont implantés dans le quartier. Ils sont principalement situés aux alentours de la station de métro Balma – Gramont, dont cette dernière a contribué à l'essor commercial du secteur[2].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Aménagements urbain[modifier | modifier le code]

Le quartier dispose de centre commerciaux et d'une station de métro depuis 2003.

Vie culturelle et associative[modifier | modifier le code]

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Axes routiers[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Christian Maillebiau, « Toulouse. Des terres nourricières en grande surface », La Dépêche du Midi, 1er septembre 2001.
  2. Philippe Emery, « Comment le métro a changé Toulouse », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne)

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]