Discussion:Alhazen

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Commons:Image:Ibn haithem portrait.jpg : je l'ai retirée de l'article car je ne pense pas que la licence de chargement sur Commons soit valide (GFDL) puisque l'utilisateur-chargeur n'en est pas l'auteur (du dessin et de sa gravure). C'est un billet irakien, donc il y a une possibilité de droits d'auteur plus ou moins strict du gouvernement ou de la banque centrale irakienne qui est à déterminer avant de télécharger.

Voir le bandeau générique sur Commons : Commons:Template:PD-Iraq qui réclame que les conditions de téléchargement sur Commons soit explicité par l'utilisateur-chargeur. sebjd 26 septembre 2007 à 18:37 (CEST)[répondre]

Commons:Commons:Deletion requests/Money of Iraq (2007-03-25) autorise ce genre d'acrobaties de licence avec des billets de banque... sebjd 2 octobre 2007 à 13:13 (CEST)[répondre]

Alhazen et l'astronomie[modifier le code]

Dans le cadre d'un nettoyage de l'article astronomie arabe, les informations suivantes concernant plus Alhazen que l'astronomie ont été supprimées. Elles demandent à être vérifiées avant d'être réintroduites dans l'article car elles proviennent de l'article anglais où un utilisateur Jagged85, banni pour mauvaise utilisation des sources, les avaient introduites. HB (d) 8 août 2013 à 07:55 (CEST)[répondre]


Entre 1025 et 1028, Ibn al-Haytham (latinisé en « Alhazen »), initia la tradition haya[Information douteuse] en astronomie arabe avec son livre intitulé Al-Shuku ala Batlamyus (Critique de Ptolémée). Tout en confirmant la réalité physique du géocentrisme, il fut le premier[Information douteuse] à remettre en cause le système planétaire de Ptolémée, qu'il critiqua pour des raisons expérimentales, pour leur incompatibilité avec les observations du ciel[1], et pour relier les véritables mouvements des astres à des points, lignes et cercles imaginaires : « Ptolémée fait l'hypothèse d’un ordre qui ne peut exister, et le fait que cet ordre reconstitue pour son imagination des mouvements qui sont ceux des planètes ne l’exonère pas de l'erreur qu’il a commise en faisant l’hypothèse de cet ordre ; car les mouvements réels des planètes ne peuvent résulter d’un ordre qui n'existe pas[2]. »

Alhazen élabora un mécanisme du système de Ptolémée dans son Traité de la figure du monde (Maqâlah fî hay'at al-‛âlam), ouvrage qui occupe une place centrale dans le corpus de la tradition hay’a[3]. Dans son Abrégé d'astronomie, il insiste sur le fait que les astres « sont justiciables des lois physiques[4]. » On peut aussi faire remonter les bases de l’astronomie télescopique à Alhazen, par l’influence de ses études sur l’optique sur le cours ultérieur de l’optique instrumentale[5].

En 1038, Alhazen décrivit le premier[Information douteuse] modèle non ptolémaïque dans son traité sur Le Modèle des Mouvements. Cette proposition était étrangère aux préoccupations cosmologiques, car il ne s'agissait là que d'une cinématique céleste purement géométrique ; mais elle suscita diverses innovations de géométrie infinitésimale[6]. Ce nouveau modèle était le premier[Information douteuse] à rejeter équants[7] et cercles déférents[8], à extraire l’astronomie de la philosophie naturelle, à délivrer la cinématique céleste de la cosmologie, et à abstraire les entités physiques en entités géométriques. Il faisait aussi intervenir une rotation de la Terre autour de l'axe des pôles[9] et les centres des orbites étaient des points géométriques sans signification matérielle particulière, comme le ferait des siècles plus tard Johannes Kepler[10]. Alhazen développe également une version primitive du « rasoir d'Ockham », en tâchant de faire le minimum d'hypothèses sur les propriétés caractéristiques des mouvements astraux, dans la mesure où il essaye d’éliminer de son modèle planétaire les hypothèses cosmologiques qu'on ne peut observer de la Terre[11]. Au début du XIe siècle, Alhazen rédigea un traité intitulé Maqala fi daw al-qamar (Sur l’éclat de la Lune) certainement avant 1021. C'était la première tentative satisfaisante de combiner l'astronomie mathématique et la physique et la première application de la méthode expérimentale[Information douteuse] en astronomie et en astrophysique. Il démentit l'opinion universellement reçue selon laquelle la Lune réfléchit la lumière du Soleil comme un miroir et conclut qu'elle émet plutôt « de la lumière par les portions de sa surface que la lumière du Soleil frappe. » Pour démontrer que « la lumière est émise depuis chaque point de la surface illuminée de la Lune », il fabriqua un « ingénieux dispositif expérimental ». Alhazen avait « formulée une conception claire des rapports entre un modèle mathématique idéalisé et la complexité des phénomènes observables ; en particulier, il fut le premier[Information douteuse] à faire varier de façon uniforme et reproductible les conditions expérimentales, dans une expérience montrant que l’intensité de la tache de lumière projetée sur un écran par la clarté lunaire à travers deux petits diaphragmes diminue constamment lorsque l'on referme régulièrement l'un des deux diaphragmes[12]. »

Alhazen, dans son Kitâb fi'l Manazîr (Traité d'optique, composé entre 1015 et 1021), découvrit le premier[Information douteuse] que les sphères célestes ne sont pas faites de matière solide, et il établit en outre que les cieux sont moins denses que l’air. Ces idées, reprises par Vitellion, eurent une influence décisive sur les systèmes copernicien et tychonien de l’astronomie[13].

Alhazen réfuta aussi les idées d’Aristote sur la nature de la Voie lactée. Aristote croyait qu'elle résultait de « l’ignition d'exhalaisons violentes de nombreuses étoiles de grande taille serrées les unes contre les autres » et que « l’ignition a lieu dans la partie supérieure de l’atmosphère, dans la sphère sublunaire, une région de l'univers qui touche à la sphère céleste des fixes[14]. » Alhazen réfuta cette opinion en entreprenant pour la première fois[Information douteuse] de mesurer la parallaxe de la Voie lactée[15] et ainsi il put « établir que, puisque la Voie lactée ne présente aucune parallaxe, elle est extrêmement éloignée de la Terre et ne peut donc appartenir à l’atmosphère[16]. »

  1. (Sabra 1998, p. 300)
  2. Stanford Encyclopedia of Philosophy, (lire en ligne), « Nicolaus Copernicus »
  3. (Alhazen (trad. Y. Tzvi Langermann) 1990, p. 25-34).
  4. (Duhem 1908, p. 28)
  5. (Marshall 1950)
  6. (Rashed 2007)
  7. (Rashed 2007)
  8. (Rashed 2007)
  9. (Rashed 2007)
  10. (Rashed 2007)
  11. (Rashed 2007)
  12. G. J. Toomer, « Review: Ibn al-Haythams Weg zur Physik by Matthias Schramm », Isis, vol. 55, no 4,‎ , p. 463–465 [463–4] (DOI 10.1086/349914)
  13. (Rosen 1985)
  14. Josep Puig Montada, « Ibn Bajja », Stanford Encyclopedia of Philosophy, (consulté le )
  15. Mohaini Mohamed, Great Muslim Mathematicians, Penerbit UTM, , 49–50 p. (ISBN 9835201579)
  16. Hamid-Eddine Bouali, Mourad Zghal, Zohra Ben Lakhdar, « Popularisation of Optical Phenomena: Establishing the First Ibn Al-Haytham Workshop on Photography » [PDF], The Education and Training in Optics and Photonics Conference, (consulté le )
  • (en) A. I. Sabra, « Configuring the Universe: Aporetic, Problem Solving, and Kinematic Modeling as Themes of Arabic Astronomy », Perspectives on Science, vol. 6,‎ , p. 288–330
  • (en) Alhazen (trad. Y. Tzvi Langermann), On the Configuration of the World, New York, Garland, coll. « Harvard Dissertations in the History of Science », (ISBN 0824000412)
  • Pierre Duhem, Sozein ta phainomena. Essai sur la notion de théorie physique de Platon à Galilée, Vrin, coll. « Mathesis », (réimpr. 1992) (ISBN 2-71160-805-0)
  • (en) O. S. Marshall, Alhazen and the Telescope, vol. 6, , p. 4
  • (en) Roshdi Rashed, The Celestial Kinematics of Ibn al-Haytham, vol. 17, Cambridge University Press, , 7–55 p.

Biographie et étiquettes nationalistes[modifier le code]

Quelle valse hésitation sur le qualificatif de ce scientifique !

  • arabo-islamique en 2005
  • islamique
  • musulman persan (en avril 2008 sous la plume de Wayiran) avec 3 sources , 2 non consusltables : Understanding History by John Child, Paul Shuter, David Taylor - Page 70, Science and Human Destiny by by Norman F. Dessel, Richard B. Nehrich, Glenn I. Voran - Page 164, et une consultable [1] The Journal of Science, and Annals of Astronomy, Biology, Geology by James Samuelson, William Crookes - Page 497 qui ne parle pas de persan mais de «arab optician», «native of Persia» et deux sources inadaptées pour musulman (citation autour du terme de génie) -qui me permet de mettre en doute la qualité de toutes ses sources
  • persan de confession musulmane (en sept 2008 après correction de style par Verbex)
  • persan de confession musulmane chiite
  • arabe ou persan de confession musulmane en juillet 2009
  • persan de confession musulmane en septembre 2010
  • arabe de confession musulmane en aout 2011 (sans changer les références)
  • iranien de confession musulmane en décembre 2011 (sans changer les références)
  • irakien de confession musulmane en janvier 2012 (id.)
  • iranien de confession musulmane en juin 2012 (avec 8 références , deux où la nationalité n'est pas indiquée [2] , [3], un site iranien, deux [4][5] qui n'en font qu'une où il est qualifié de «persian scholar», les 3 préexistantes et une non consultable
  • en novembre 2012, il perd sa confession musulmane sous la plume de Bibi Saint-Pol
  • arabe un court instant en janvier 2013 puis février 2013 sans changement de source
  • irakien en mai 2013 sous la plume de Dfeldman avec l'argument «Irakien ou perse, mais pas iranien, en tout cas» suivi d'une guerre d'édition iranien/irakien entre Euterpia et Yutabam
  • brièvement arab muslim en juillet 2013
  • perse sous la plume d'Euterpia après discussion par commentaire de diff (musulmanie n'est pas un pays, à l'époque l'irak n'existait pas, perse en fait)
  • arabe en décembre 2013
  • iranien puis arabe en janvier 2014 sous la plume de Michel Abada
  • perse en février 2014

Cet adjectif me semble particulièrement inadapté si j'en crois les pages de wikipedia Perses qui le dit synonyme d'iraniens et concernant 2 empires l'un avant JC et l'autre du temps des Sassanides. Ibn al-Haytham est né en Irak sous la dynastie de Bouyides et a vécu au Caire.

Si on s'en réfère aux sources consultables on lit

  • «persian scholar»ici,
  • physicien de l'islam [6]
  • pas de nationalité pour EU et Mac Tutor, encyclopédie biographique des astronomes [7]
  • «scientist and polymath from the ‘Golden Age’ of Muslim civilization» sur http://www.ibnalhaytham.net/
  • Roshdi Rashed [8] ne parle de nationalité mais de la période historique nommée «die Renaissance des Islams» mais ici le range dans les «arab mathématicians» (pour avoir lu pas mal de textes de Roshdi Rashed, il faut savoir que chez lui arabe se réfère à la langue de communication donc ni a une nationalité ni une origine ethnique)
  • «arabic doctor» dans ncbi
  • '«arabic scholar», », ici (mais site probablement non neutre)
  • «d'origine perse» dans 'les Fondateurs de la Médecine[9],
  • «physicien du monde arabe» chez A. Dahan-Dalmedico et J. Peiffer, Une histoire des mathématiques : Routes et dédales, [détail des éditions], p 22

je crains qu'il soit difficile d'obtenir une stabilité dans l'article sauf si on fait apparaitre aucune mot ou tous les mots du genre

  • est un mathématicien, philosophe et physicien du monde médiéval arabo-musulman d'origine perse. médiéval pour l'époque, arabo pour la langue, musulman pour la religion, perse pour l'origine

d'autres avis? d'autres sources?

Pour l'instant j'enlève les sources non consultables car je n'ai pas confiance en celui qui les a déposé, et les sources consultables qui ne justifient pas l'appellation de perse et remet le terme de perse car les sources avaient été déposées pour justifier le terme persan ou iranien et pas celui d'arabe. HB (discuter) 11 février 2014 à 10:31 (CET)[répondre]

D'accord pour la formule : « mathématicien, philosophe et physicien du monde médiéval arabo-musulman d'origine perse. » La valse des formulations est impressionnante. Michel Abada (d) 11 février 2014 à 11:27 (CET)[répondre]
Merci HB pour ton analyse et pour avoir tranché Émoticône sourire. J'avoue que cette histoire est un sujet sur lequel je me suis toujours dit qu'il faudrait que je me penche mais que je n'ai jamais «trouvé le temps de faire» Émoticône. Pour avoir lu récemment un ouvrage sur le monde arabo-musulman qui passe sur cette époque en détail, il me semble que la période durant laquelle Ibn Al Haytham est né est effectivement celle de l'âge d'or arabo-musulman, mais que la région était encore considérée comme l'ancienne perse « géographiquement parlant». Bref grand merci Émoticône sourire ¤ Euterpia ¤ Just ask ¤ 13 février 2014 à 17:00 (CET)[répondre]
✔️ J'ai pris ton remerciement pour un bon pour accord à ma proposition que j'ai donc mise enligne. HB (discuter) 17 février 2014 à 12:01 (CET)[répondre]

Bonjour, HB, Michel Abada et Euterpia et Amara-Amaziɣ, pardon de relancer la machine, mais la question est remise sur le tapis, cette fois-ci, par Amara-Amaziɣ, qui a rejoint nos rangs le 13 août (Bienvenue à toi, l'ami ! ), et de ce fait n'est pas encore auto-patrolled. J'ai patrouillé et validé (marqué comme relu), malgré le fait que ce soit légèrement différent du choix que vous avez retenu ci-dessus. En espérant que ça convient, j'attire tout de même votre attention. Cordialement, et Hop ! Kikuyu3 Sous l'Arbre à palabres 26 octobre 2015 à 09:39 (CET)[répondre]

Problème d'Alhazen[modifier le code]

Il me semble que le développement du problème dans l'article sur Alhazen est, d'une part très maladroit, d'autre part grandement hors sujet.

  • Selon Neuman ( Reflections on Reflection in a Spherical Mirror , The American Mathematical Monthly, Vol. 105, No. 6 (Jun. - Jul., 1998), pp. 523-528, ) , le problème existe bien au moins depuis Ptolémée (Optique vers 150) il était donc dommage de supprimer cette information.
  • Il me semble faux de laisser croire qu'Alhazen n'aurait pas prouvé la solution de son problème (Cette version est une scorie de la première version du texte en 2006[10]) : Alhazen construit le point de réflexion et démontre sa construction à l'aide de 6 lemmes (voir le texte de A.I. Sabra, Ibn al-Haytham' lemas for solving Alhazen's Problem). Pour dire qu'il aurait échoué à présenter une solution algébrique il faudrait d'abord prouver qu'il en aurait cherché une (on sait que certains mathématiciens arabes ont tenté de résoudre l'équation de degré trois de manière algébrique mais la résolution de ce problème particulier semble fondamentalement géométrique).
  • Je ne sais pas ce qu'Huygens recherchait dans ce problème mais je sais que Neuman n'est pas celui qui aurait exhibé l'équation que doit vérifier l'abscisse du point de contact (Neuman renvoie sur John D. Smith, The remarkable ibn al-haytham, math. Gazette, 76 (1992), 189-198).
  • Quant à Neuman, très prudemment, il écrit que la question de la constructibilité du point de réflexion ne semble pas avoir été résolue avant lui, peut-être que la question n'a jamais été posée.
  • Enfin, dernier point, le fait que l'équation soit de degré 4 n'empêche absolument la constructibilité du point de réflexion donc la phrase «la solution fait appel à une équation du quatrième degré et ne peut donc être résolue avec une règle et un compas» est éminemment maladroite.

Je propose de limiter dans cette page la question du problème d'Alhazen à son énoncé et à sa résolution par Alhazen comme intersection de coniques. Si quelqu'un veut créer le pendant de l'article anglais en:Alhazen's problem, il pourra y parler de l'apport de Huygens et autres, des constructions mécaniques, et de la non-constructibilité en sourçant correctement. HB (discuter) 22 septembre 2014 à 16:48 (CEST)[répondre]

✔️ article créée version écrite ici purgée. HB (discuter) 14 janvier 2019 à 18:16 (CET)[répondre]

Théorie de l’intromission chez Aristote ?[modifier le code]

Dans la section _Ses recherches_ il est affirmé que « il (Alhazen) prouve scientifiquement la théorie de l’intromission d’Aristote selon laquelle la lumière entre dans l’œil. » Or, je crois pas qu’Aristote n'est jamais énoncé cette théorie ! Dans cette source https://www.annabac.com/annales-bac/l-evolution-des-idees-sur-la-vision il est décrit qu’Aristote est partisan du rayon visuel émis par l‘œil, théorie déjà avancée par Platon à peu près. Chez les penseurs antiques je ne vois que Lucrèce pour avoir suggéré le principe de l’intromission, cf. http://www.lyc-vinci-st-witz.ac-versailles.fr/IMG/pdf/a13-_l_oeil_-_systeme_optique_et_formation_des_images_cours_.pdf Ici https://www.ilephysique.net/sujet-la-vision-premiere-l-249779.html est listé différentes théories, mais c’est pas très clair sur la pensée d’Aristote. Tandis qu’ici je lis une chose http://lewebpedagogique.com/brefjailuleblogduprofdesvt/2013/11/25/conception-de-la-vision/ et là un peu le contraire au sujet de la position d’Aristote. Il ya même parfois des variantes pour les autres auteurs grecs. Je ne sais plus trop moi-même que dire. Apparemment c’est dans les Météorologiques qu’Aristote en parle. Je ne suis pas en capacité d'évaluer les sources, et leurs interprétations. Si vous trouvez mieux je suis preneur. Mais je pense qu'en l'état la phrase relevée plus haut est caduque. (ProfCalculus (discuter) 2 décembre 2017 à 17:37 (CET))[répondre]

Bon, entre un annabac et un livre d'histoire des sciences, mon choix porte sur le livre d'histoire des sciences Gul A. Russel, dans le livre coédité par Rashed et Morelon, Histoire des sciences arabes, T2, p.324 consacre toute la page à la position d'Aristote (la vision est un processus passif, l’œil reçoit les rayons lumineux, les idées aristotéliciennes constituent par la suite le noyau des arguments contre l'approche tactile de la vision) Il renvoie vers R. Sorabji « Aristotle on demarcating the five Senses », dans J. Barnes, M. Schofield, R. Sorabji (éd.), Articles on Aristotle, t IV, Psychology and Aesthetics, Duckworth, 1975, p.77-85. Le problème a disparu ici avec la refonte mais reste pendant dans l’article Traité d'optique où je me fie aux universitaires pour le dire opposé à la théorie de l'émission. HB (discuter) 8 juillet 2021 à 11:48 (CEST)[répondre]

Théorème de la cotangente[modifier le code]

Dans The encyclopaedia of Islam, volume III, 1986, p.788, Juan Vernet indique que dans son Fī istikhrāj samt al-qibla (détermination de la direction de la Mecque), Alhazen établit le théorème de la cotangente (?):

sans indication du sens à donner aux diffférentes valeurs.

Or je ne trouve rien de tel dans le livre Histoire des sciences arabes ni dans la bio de Sabra.

Dans un autre traité d'Alhazen au sujet voisin Fī samt al-qibla bi-al-ḥisāb (détermination de la direction de la Mecque par le calcul), et étudié par Ahmad S. Dallal, il n'y a a aucune allusion à ce théorème de la cotangente.

Dans le doute, je préfère ne pas y faire référence. HB (discuter) 8 juillet 2021 à 11:18 (CEST)[répondre]

Vitesses différentes de la lumière ???[modifier le code]

"La lumière se déplace en ligne droite, à vitesse variable selon les milieux traversés"

Peut-on détailler par quels instruments il aurait obtenu ce résultat à son époque ? 93.31.103.40 (discuter) 21 janvier 2022 à 12:27 (CET)[répondre]

Bonjour ; c'est une bonne remarque, non pour une question d'instruments, mais parce que le raisonnement sur les vitesses expliquant la réfraction (et amenant à une célèbre controverse entre Fermat et Descartes) ne me semblait pas connu du temps d'Alhazen (mais peut-être qualitativement, en raisonnant comme pour un projectile lancé dans l'eau ?). . Je me renseigne...--Dfeldmann (discuter) 21 janvier 2022 à 12:41 (CET)[répondre]
Hypothèse de travail pour expliquer la réfraction, tout comme Descartes. Mais la références à Rashed tome 2 p313-314 ne vaut que pour la dernière phrase (Rapport avec ibn Sahl). Pour la vitesse de la lumière - regarder dans le même livre sous la plume de Russel p 335 «se fondant sur le principe que la vitesse de la lumière est affectée par la densité du milieu qu'elle traverse». HB (discuter) 21 janvier 2022 à 14:21 (CET)[répondre]