Discussion:L'Ami commun/Article de qualité

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Cet article a été promu comme Article de qualité en vertu de ce vote.
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Article promu au terme du premier tour.

  • Bilan : 15 pour, 0 bon article, 0 attendre, 0 autre(s) vote(s).
  • Commentaire : au moins 8 votes  Article de qualité et (pour) / (pour + bon article + attendre) = 100 % > 90 %

Gemini1980 oui ? non ? 17 octobre 2014 à 01:03 (CEST)[répondre]

Proposé par : RF Sesquipedalia verba (discuter) 16 septembre 2014 à 01:01 (CEST)[répondre]

L'Ami commun est le dernier roman achevé de Charles Dickens, un himalaya sillonné d'un labyrinthe, ardu à gravir et redoutable à décortiquer. Situé dans le présent, il offre plusieurs intrigues et des strates de société fort éloignées les unes des autres, mais le tout finit par se rejoindre et se fondre, tour de force ne pouvant émaner que d'un auteur aussi accompli que Dickens. Les personnages sont pléthore, les cadavres aussi, de même que les testaments perdus et retrouvés ; fleurissent ou explosent les amours portées aux deux héroïnes, d'une beauté étincelante, l'une d'elle d'abord bouffie d'un snobisme outrancier, mais que touche enfin la voie de la sagesse, l'autre méritant par son seul charisme le bonheur qui lui est réservé. Pèle-mêle, un articulateur de squelettes, un colporteur de ballades unijambiste et, partout, la Tamise, charriant des cadavres, les déchets de la capitale déversés en tumuli se monnayant à prix d'or. Il y a là violence, escroquerie, chantage, mystifications, usurpations, mais, en définitive, qui donc est cet ami commun ? Malgré certains candidats, le mystère demeure.
Bref, beaucoup de travail a été nécessaire pour venir à bout de ce monument, difficilement dispersable en articles détaillés (j'ai essayé sans trouver de formules adéquates, vu l'entrelacement de tous les aspects) : d'où une longueur certaine, mais que je revendique car à l'unisson des dimensions et de la profondeur du chef d'œuvre étudié.
Ce travail, illustré aux trois-quarts par des images que j'ai importées sur Commons, concerne le dernier des romans de Dickens qu'il me restait à traiter : tous les autres ont eu l'honneur de l'étoile d'or et j'espère que celui-ci mettra un terme à la série en beauté, l'ensemble, je le pense, pouvant alors justifier plusieurs thèmes de qualité.
Tel qu'il se présente, je le livre à votre jugement et attends des remarques constructives que je m'efforcerai de mettre à profit. D'avance merci.
Ma gratitude appuyée va à mes correcteurs de l'ombre, aussi discrets qu'efficaces, et qui se reconnaîtront.

Votes[modifier le code]

Format : Motivation, signature.

Article de qualité[modifier le code]

  1.  Article de qualité en tant que proposant. --RF Sesquipedalia verba (discuter) 16 septembre 2014 à 01:56 (CEST)[répondre]
  2.  Article de qualité La fin de la série de Robert Ferrieux sur l'œuvre de M. Dickens. Un grand hurrah pour eux deux : article à la hauteur des précédents. Émoticône sourire Nosfer'Atu 16 septembre 2014 à 22:56 (CEST)[répondre]
  3.  Article de qualité Quel travail ! Quelle qualité ! Une série exceptionnelle sur les romans de Dickens, un énorme plaisir de lecture. Un grand bravo aux contributeurs. Bibo le magicien (discuter) 18 septembre 2014 à 09:29 (CEST)[répondre]
  4.  Article de qualité Relu et approuvé, comme tous les articles de Robert. Bravo, même si, comme moi, vous avez la passion des virgules, Ο Κολυμβητής (You know my name) 20 septembre 2014 à 19:24 (CEST)[répondre]
  5.  Article de qualité Voir observations ci-après. En-dehors d'infimes détails qui peuvent être corrigés, de précisions qui peuvent être apportées, l'article couvre l'intégralité de son sujet en s'appuyant sur des références appropriées — bravo pour ce travail de longue haleine ! Quant au style, ce n'est pas la ponctuation qui doit compter (ni points ni virgules…) mais le texte entre les signes, ce qu'il exprime, explique et nous apprend : « Tout ce qui est compris est bien » (Oscar Wilde) — FLni d'yeux n'y mettre 20 septembre 2014 à 23:27 (CEST)[répondre]
  6.  Article de qualité sans problèmes, et félicitations pour le beau travail réalisé. Frédéric (discuter) 20 septembre 2014 à 23:40 (CEST)[répondre]
  7.  Article de qualité très beau travail, mais il faudrait relire à tête reposée (tombé sur un étiage au lieu de étage) et un peu gêné par les sections d'une ou deux lignes. Impatient de voter pour le thème des romans de Charles Dickens --GdGourou - Talk to °o° 24 septembre 2014 à 13:27 (CEST)[répondre]
    Pardon, mais il s'agit bien de « étiage » et non « étage ». Je suis au regret de devoir corriger la correction. Les sections d'une ou deux lignes servent d'introduction aux différentes rubriques, pratique qui, en son temps, m'avait été suggérée par Gemini80. Cordialement, --RF Sesquipedalia verba (discuter) 24 septembre 2014 à 15:57 (CEST)[répondre]
  8.  Article de qualité Après relecture de l'ensemble, j'ai apprécié et je vote pour le label. Pour l'anecdote, je n'avais jamais entendu parler de L'Ami commun autour de moi jusqu'à hier soir : j'épluchais des sources sur Hergé, et au détour d'un chapitre, il y avait un parallèle entre lui et Dickens, avec un focus sur... Riah, je cite, « le pire personnage juif de l'histoire de la littérature ». Intrigué, j'ai donc lu L'Ami commun et trouvé les réponses à mes interrogations. --Consulnico (discuter) 24 septembre 2014 à 13:46 (CEST)[répondre]
  9.  Article de qualité Relu et globalement approuvé. --Eymery (discuter) 1 octobre 2014 à 23:17 (CEST)[répondre]
  10.  Article de qualité Suite à mes « remarques » ci-dessous et conscient, en même temps que de la qualité de l'article, de la difficulté d'en maîtriser la matière. Parmi cent autres le revirement de Mr Boffin. Tonval (discuter) 4 octobre 2014 à 15:29 (CEST)[répondre]
  11.  Article de qualité Sujet parfaitement étudié, lu et très bon de manière générale. Mérite le label AdQ --John Trololo (discuter) 5 octobre 2014 à 23:19 (CEST)[répondre]
  12.  Article de qualité Relu et approuvé, label évident ! Pradigue (discuter) 8 octobre 2014 à 17:37 (CEST)[répondre]
  13.  Article de qualité sans hésitation. --Arcyon (d) 13 octobre 2014 à 10:13 (CEST)[répondre]
  14.  Article de qualité Par respect devant l'évidente qualité du travail accompli, bien que, je l'avoue, cet intimidant « Himalaya » ne puisse, vu la matière traitée, que difficilement échapper aux conséquences de la loi de la pesanteur, (revers imparable de la médaille en ce qui me concerne ...) Archibald Tuttle (discuter) 14 octobre 2014 à 10:00 (CEST)[répondre]
  15.  Article de qualité. Je ne sais pas dans quelle mesure l'art de Dickens a progressé entre Les Papiers posthumes du Pickwick Club et L'Ami commun, mais celui de Robert Ferrieux a évolué à pas de géant pour atteindre une maturité et un équilibre exemplaire : tout y est, la clarté du plan, la qualité de l'expression, la rigueur du sourçage, la richesse de l'illustration... Un modèle absolu.
    Je ne peux m'empêcher d'évoquer un souvenir en forme de private joke, en ressortant la version de l'article sur lequel travaillait Robert lors de notre toute première rencontre, le 12 février 2009, suite à un message de GiovanniP sur le Bistro : difficile de s'y référer sans mesurer aussitôt le chemin parcouru Émoticône sourire. — Azurfrog [नीले मेंढक के साथ बात करना] 15 octobre 2014 à 13:46 (CEST)[répondre]
    Aië ! Et grâce à qui, ce progrès ? je ne l'ai pas oublié. Merci GiovanniP, que je regrette toujours, et Azurfrog (d · c · b) Quant à l'art de Dickens, je pense que Pickwick Papers est… ce qu'il a fait de mieux ! Émoticône --RF sesquipedalia verba (discuter) 15 octobre 2014 à 14:07 (CEST).[répondre]

Bon article[modifier le code]

Attendre[modifier le code]

Neutre / autres[modifier le code]

Discussions[modifier le code]

Toutes les discussions vont ci-dessous.

Observation(s) de FL[modifier le code]

Bonjour,

1. Par où commencer… sinon par un détail ? La mention de l'illustrateur (Marcus Stone) pourrait être uniformisée. À partir du recensement des personnages, cela devient très confus :

  • « Scène montrant ceci-cela », par Marcus Stone.
  • « Autre scène » (Marcus Stone).
  • « Encore une autre scène » (sans mention du dessinateur).

Le lien en bleu n'a pas à être d'un emploi systématique. La reste est encore discutable.

Cordialement, FLni d'yeux n'y mettre 17 septembre 2014 à 15:56 (CEST)[répondre]

Si je comprends bien, vous souhaiteriez que Marcus Stone fût mentionné chaque fois qu'il est l'auteur d'une illustration ; vous avez raison et je vais uniformiser cela. Le lien, déjà présent dans la rubrique appropriée, pourrait en effet être ailleurs supprimé. Je m'en occupe aussi vite que possible. Cordialement, --RF Sesquipedalia verba (discuter) 17 septembre 2014 à 16:14 (CEST) ✔️[répondre]

2. Une question et une observation :

  • Pourquoi une section intitulée « Manière d'écrire » plutôt que « Style » (qui serait plus convenu, mais répondant au principe de moindre surprise de WP) ? Comme je devine une intention, je pose simplement la question — disons : par curiosité Émoticône
  • les conventions typographiques ne réclameraient-elles pas la suppression de certains adjectifs dans les titres de sections ? Je retiens les exemples suivants : « LA Gestation », « LA diversité narrative », « L'Humour » — que l'on remplacerait sans dommage par « Gestation », « Diversité narrative » et « Humour » — j'exclus absolument de cette observation des cas précis comme « La loi sur les pauvres de 1834 » (événement factuel, historique et non littéraire) et tous les « Uns / Une » (qui traduisent une intention stylistique). Tout bien réfléchi, « UNE ressemblance avec le modèle précédent » se justifie moins : « Ressemblance avec le modèle précédent » serait peut-être préférable…

La lecture de l'article réclame un effort d'attention assez soutenu (j'entends bien : la lecture, pas la « chasse aux fautes de frappe » !) — ce qui laisse deviner l'ampleur du travail de rédaction… Émoticône sourire

Cordialement, FLni d'yeux n'y mettre 17 septembre 2014 à 20:45 (CEST)[répondre]

Je ne peux qu'être d'accord sur les intertitres. Pourquoi, en effet ? Cela ne fait qu'alourdir. Allons-y ! En revanche, je ne retiens pas le mot « style », trop vague (autrefois, nous étudions séparément « langue » et « style », puis, dans le cas d'œuvres poétiques, « versification ») ; est-ce que la satire, par exemple, fait vraiment partie du style ? Je préfère « forme » ou ce que j'ai choisi. Cordialement, --RF Sesquipedalia verba (discuter) 17 septembre 2014 à 23:03 (CEST)[répondre]
✔️ : je comprends pour la distinction avec « Style ». Je m'attendais à cette nuance, en effet.
Ce n'est pas que je sois un fervent partisan des titres en un seul mot. Ou avec le moins de mots possible... Par exemple, il me semble que « Un titre plutôt bancal » est préférable à « Titre plutôt bancal » : la présence du « Un ceci-cela » traduit un jugement, clairement attribué dès la première ligne (à Chesterton, si je ne me trompe pas). Sans ce Un, je trouve le titre un peu sec Émoticône et le jugement (si on s'en tient aux têtes de sections dans le plan) trop absolu.
C'est bien pointilleux, j'en suis conscient (Smiley oups) mais nous parlons bien de littérature, et d'un auteur qui connaissait la valeur des nuances…
J'ajouterai que je partage l'opinion de Frédéric (d · c · b) sur certaines constructions de phrase. Chacun s'exprime comme il l'entend, pour mieux exprimer la pensée de l'auteur. Mais nous avions déjà eu cette discussion à propos de la genèse de Frankenstein ou le Prométhée moderne, où l'abondance des virgules donnait un torticolis à la phrase (le sujet devenait, en quelque sorte, son propre complément d'objet direct). Sans vouloir macadamiser le style, il y aurait peut-être quelques phrases à reformuler, ou à scinder en plusieurs phrases.
J'avance dans la lecture, et je confirme également : c'est remarquable !
Cordialement, FLni d'yeux n'y mettre 18 septembre 2014 à 15:40 (CEST)[répondre]

3. Deux questions, d'ordre assez différent :

  • Dans quelle mesure Maggie Morgan rapproche-t-elle L'ami commun (et/ou sa technique de narration) avec la technique de Dostoïevsky pour « les accents de la société » ? À quel titre de Dostoïevsky fait-elle allusion dans son analyse ? (je pense à L'idiot où on pourrait évoquer une telle multiplicité de points de vue, mais...) J'avoue ne pas comprendre l'intérêt de ce rapprochement — ou plutôt : il me manque des éléments pour le comprendre... La présence d'une photographie de Dostoïevsky attire le regard et crée une attente du lecteur : influence d'un écrivain sur l'autre ? jugement du second sur le premier ? Or, ce n'est rien de tout cela, c'est dommage Émoticône
  • (sans rapport avec le précédent) La présence de cet Analytical Chemist m'a beaucoup intrigué… pour une raison que vous trouverez peut-être anecdotique : Au cinéma, c'est presque un « cliché » de trouver un personnage de serviteur qui sait et qui ne parle pas (le valet interprété par Art Smith dans Lettre d'une inconnue, par exemple) — en-dehors des adaptations directes, L'ami commun de Dickens a-t-il exercé une influence plus subtile dans le 7e art ? (pas facile de savoir, mais je serais curieux d'en apprendre davantage)

En regardant la bibliographie, je suis un peu surpris de voir que 100% des ouvrages de référence sont en anglais (Smiley oups) — plus de 80% me paraissait inévitable, mais le manque d'intérêt porté par les chercheurs français ne manque pas d'être inquiétant...

À ce stade de la lecture, je vote  Article de qualité, parce que je ne vois que de petits détails à modifier pour retrouver son chemin dans ce « labyrinthe au sommet de l'Himalaya » (et Robert Ferrieux (d · c · b) pourra toujours nous dire : « Vous étiez prévenus ! »)

Cordialement, FLni d'yeux n'y mettre 20 septembre 2014 à 23:15 (CEST)[répondre]

4. Une observation en deux points :

  • Les références à la correspondance de Dickens ne revoient pas à l'ouvrage cité en bibliographie (Charles Dickens (Lettres), The Letters of Charles Dickens, Pilgrim Edition, Oxford, Clarendon Press,‎ 1965-2002) et ne citent pas les numéros de page de cette édition — c'est fastidieux (ça marche aussi en anglais : It is fastidious Émoticône) mais pour le label AdQ, on est en droit d'avoir les liens wikifiés entre les références du texte, le texte du bloc références et l'ouvrage cité.
  • Le n° ISBN de l'édition manque, mais il doit y en avoir plusieurs puisque l'édition s'est prolongée sur près de quarante ans ? Combien de volumes, d'ailleurs ?

Cordialement, FLni d'yeux n'y mettre 21 septembre 2014 à 20:31 (CEST)[répondre]

Je réponds sur le tard, ce dont je vous prie de m'excuser.
1. À propos de Dostoïevsky : la critique mentionnée utilise la théorie de Bakhin pour L'Ami commun, tout en précisant qu'elle a été formulée à propos du romancier russe et non de Dickens ; mais elle trouve que les deux œuvres ont des points communs, en particulier dans le roman qui nous intéresse ici.
2. Le chimiste reste énigmatique et je ne saurais répondre à la question posée. Tout ce que je sais, c'est les serviteurs truculents comme Sam Weller dans Oliver Twist ont inspiré le célèbre Jeeves de P. G. Woodhouse qui, lui, a bénéficié de moult films et série télévisuelles.
3. Bibliographie : oui, Dickens est assez négligé en France où de l'adulation on est passé à une sorte de mépris dans le milieu universitaire. C'est ainsi que Our Mutual Friend a été au programme de l'agrégation en 1957, et c'est tout. Peu de doctorants choisissent Dickens comme sujet de leur thèse, encore qu'assez récemment s'est constitué un groupe de recherche dans une université (je le mentionne dans l'article lorsque je parle du grotesque, mais le nom ne me revient pas ici).
4. Il est très difficile de se référer chaque fois à l'édition Pilgrim des lettres de Dickens, car pour se retrouver dans cet amas de volumes et la classification bizarre utilisée, il faudrait les posséder chez soi. D'autre part, certaines références à ces lettres citées dans les ouvrages critiques ne la mentionne pas, se contentant de donner la date et le destinataire de la lettre. Ainsi s'explique une certaine disparité dans ces références à laquelle il m'est impossible de remédier. Quant à l'isbn, je ne l'ai jamais rencontré. Si je le trouve, je l'ajouterai.

PS. fastidious évoque le pinaillage et non l'exaspération de l'ennui. Cordialement, --RF Sesquipedalia verba (discuter) 22 septembre 2014 à 17:31 (CEST)[répondre]

Bonjour,

OK pour moi :

  1. Le lien Bakhin - Dostoïevsky - Dickens gagnerait à être un peu plus explicite, mais dans l'ensemble on comprend : les points communs entre les romans de Dostoïevsky et L'Ami commun (tout cela est bien commun...) mériteraient d'être développés : c'est certainement intéressant.
  2. Ma question était trop large, et mériterait une étude autrement orientée.
  3. La Bibliographie 100% anglophone n'est pas un problème. L'évaluation de l'article mentionne seulement la littérature britannique.
  4. OK pour l'absence de références. C'est regrettable, mais je comprends que vous ne disposiez pas d'une édition complète, critique, etc. de référence (j'essaie d'obtenir la même chose pour la Correspondance de Debussy — pour celle de Berlioz, je préfère ne pas en parler !) Je pense qu'il n'y aura pas UN n° isbn, mais plusieurs, ce qui fait qu'on peut s'en passer, légitimement.

PS : C'est le caractère double des quasi-homophones « fastidieux »/« fastidious » qui m'amusait justement — c'est du micro-détail et c'est exaspérant… Émoticône

Cordialement, FLni d'yeux n'y mettre 22 septembre 2014 à 18:33 (CEST)[répondre]

Remarques de Frédéric[modifier le code]

Bonjour, tout d'abord je souligne que j'apprécie pleinement et même que j'admire le travail assidu qui est fait autour des œuvres de Dickens, notamment par Robert Ferrieux. Je n'ai pas encore trouvé le temps de lire dans le détail tout l'article, ce qui est bien le moins avant de voter, mais je ne doute pas qu'il est d'excellente tenue. En revanche (in cauda venenumÉmoticône sourire) j'ai lu quelques passages, le R.I. etc, et je dois dire que je suis fatigué avant même d'entamer une « vraie » lecture par la surabondance de virgules. Pour moi, cela rend la lecture heurtée, touffue et lente. Je cite un exemple pris à l’instant dans le paragraphe sur le « Titre bancal » :

« La vedette, pourtant, énigmatiquement appelée, toujours avec les majuscules, The Analytical Chemist (« L'Analyseur chimiste ») appartient à un personnage secret qui ne parle jamais, l'impénétrable maître d'hôtel dont le silence, à la fois raide et distingué, et plus éloquent que la logorrhée qui l'entoure, révèle (…). »

Cet exemple est loin d'être unique : une dizaine de virgules dans une phrase de 2 ou 3 lignes, sans guère d'autres signes de ponctuation qui pourraient signifier d’autres effets rythmiques… je vous assure que cela me freine vraiment. J'accepte parfaitement que cet article, comme d'autres sur Dickens, soit rédigé dans un style littéraire assumé et non pas d'une manière encyclopédique froide ; mais cela ne devrait pas aller jusqu'à entraver la lecture.

J'ai hésité avant d’écrire cela, à la fois parce que cela n'empêche certainement pas l'article d'être de haute tenue, mais aussi parce que je suis bien conscient que c'est un aspect fort ardu à corriger car il exigerait une relecture plus que minutieuse. Désolé si je semble pointilleux, mais après tout pour un vote AdQ on peut sans doute (un peu) se le permettre… Si l'auteur principal est grosso modo d'accord sur le diagnostic, je m'engage à participer à un travail de retouche de cette ponctuation! Cordialement, Frédéric (discuter) 18 septembre 2014 à 09:15 (CEST)[répondre]

Bonjour. merci de votre remarque. Je comprends que vous soyez las de la découpe des phrases. Pourtant, reprenons l'exemple que vous donnez sans ses virgules : « La vedette pourtant énigmatiquement appelée toujours avec les majuscules The Analytical Chemist (« L'Analyseur chimiste ») appartient à un personnage secret qui ne parle jamais l'impénétrable maître d'hôtel dont le silence à la fois raide et distingué et plus éloquent que la logorrhée qui l'entoure révèle (…) ». Est-ce que cela a un sens et rend compte de toutes les nuances du texte rédactionnel ? Certes, j'ai exagéré en les enlevant toutes, mais je crains que, même en n'en gardant que quelques-unes, cela devienne un galimatias incompréhensible. C'est comme cela que j'écris, sans doute à l'ancienne : aujourd'hui, on tend au style télégraphique. Votre offre est généreuse et je l'apprécie pleinement, mais pour le moment, je préférerais en rester là, ce qui ne va pas m'empêcher de relire à nouveau et de supprimer les virgules dont, effectivement, on pourrait se passer sans nuire à la clarté de l'expression, mais a priori, je doute qu'il y en ait beaucoup. Cordialement, --RF Sesquipedalia verba (discuter) 18 septembre 2014 à 10:02 (CEST)[répondre]
Oui, comme vous dites, vous exagérez en enlevant toutes les virgules car ce n'est pas du tout ce que je suggérais! Émoticône sourire Bien sûr que dans cet exemple, la phrase devient strictement illisible. Mais imaginons plutôt ceci : « La vedette, pourtant, appartient à un personnage secret qui ne parle jamais : l'impénétrable maître d'hôtel énigmatiquement appelé The Analytical Chemist (« L'Analyseur chimiste »), toujours avec des majuscules. Son silence est raide et distingué, plus éloquent que la logorrhée qui l'entoure ; il révèle (…). »
Il n'y a plus que 4 virgules, un deux-points et un point-virgule ; la phrase est scindée en deux et le tout me semble plus lisible, bien qu'elle contienne les mêmes idées et termes que ceux que vous avez choisis. Et je ne pense pas qu'on en soit pour autant réduit à du style télégraphique, n'est-ce pas? Enfin j'espère ne pas vous avoir froissé, ce n'était évidemment pas mon intention. Cordialement, Frédéric (discuter) 18 septembre 2014 à 10:49 (CEST)[répondre]
Froissé ? Grands dieux ! Mais non, jamais lorsque les échanges sont courtois et constructifs. Oui, bien sûr, votre rendu est moins découpé que le mien, mais, si vous le permettez, je le trouve aussi moins percutant, car cet énigmatique maître d'hôtel ne mérite pas tant de phrases. Bref, je reste perplexe, car il me paraît impossible d'écrire autrement. J'aimerais bien avoir l'avis d'autres lecteurs sur ce point. Cordialement, --RF Sesquipedalia verba (discuter) 18 septembre 2014 à 15:49 (CEST)[répondre]
Bonjour, puisque les virgules semblent être un frein à la lecture plutôt qu'un atout pour la clarté, je vais m'employer à relire l'article et à en supprimer chaque fois que je le pourrai. Cordialement, --RF Sesquipedalia verba (discuter) 19 septembre 2014 à 14:15 (CEST)[répondre]
Bonjour, je désire vous remercier, Frédéric et FL, d'avoir attiré mon attention sur le découpage trop accentué de beaucoup de mes phrases. La relecture, que je n'ai pas encore totalement terminée, m'a permis de resserrer le texte, d'éliminer les nombreuses incises et de l'alléger. Je devrais avoir fini ce travail d'ici mercredi. J'en profite pour signaler que j'ai ajouté alt= à toutes les illustrations, ce dont je n'avais pas l'habitude et que je ferai désormais dans mes articles.
Bien cordialement, --RF Sesquipedalia verba (discuter) 22 septembre 2014 à 17:42 (CEST) ✔️ Relecture achevée. --RF Sesquipedalia verba (discuter) 23 septembre 2014 à 23:41 (CEST)[répondre]
Beau travail, bravo ! Frédéric (discuter) 24 septembre 2014 à 13:57 (CEST)[répondre]
Tiens, c'est un échange intéressant : en lisant l'article, j'ai trouvé en plusieurs occasions qu'il manquait des virgules, qui auraient pu contribuer à mieux structurer le texte ; ce qui m'a un peu surpris, connaissant la rigueur d'expression de Robert Ferrieux. Il est vrai que je me surprend parfois à mettre moi-même un peu trop de virgules, tant je trouve utile leur rôle pour « faire respirer » les phrases, surtout lorsqu'elles sont un peu longues et complexes. — Azurfrog [नीले मेंढक के साथ बात करना] 15 octobre 2014 à 13:58 (CEST)[répondre]

Remarques de Ange Gabriel[modifier le code]

Je regarde. Merci. --RF Sesquipedalia verba (discuter) 27 septembre 2014 à 19:37 (CEST) ✔️[répondre]

Relecture d'Eymery[modifier le code]

The Hospital For Sick Children, London WC1
Victoria Hospital for Sick Children, Toronto
  • Arrivée au chapitre L'hôpital des enfants malades, j'ai un problème avec l'illustration de l'hôpital. La légende dit : Bâtiment original de l'Hôpital des enfants malades, à Londres, or la photo est prise à Toronto.

Le bâtiment « original » aurait-il été reconstruit au Canada (ça n'a rien d'absolument invraisemblable, on l'a fait pour d'autres bâtiments !) ou est-ce une erreur d'illustration ? j'en ai profité pour mettre un |lien vers l'article ad hoc, puisqu'il y en a un (petit) en français. -- Eymery (discuter) 30 septembre 2014 à 13:52 (CEST)[répondre]

Me serais-je fait avoir pour l'illustration de l'hôpital ? Je vais regarder cela de plus près. ✔️ Réparé. Merci. --RF Sesquipedalia verba (discuter) 30 septembre 2014 à 17:06 (CEST)[répondre]
Le roitelet ? À ma connaissance, c'est wren. D'ailleurs, voyez, extrait d'un dictionaire : « roitelet (n.) wren, goldcrest, golden-crested kinglet, Regulus regulus, kinglet / roitelet (n.) (zoologie) wren, golden-crested wren, Troglodytidae, family Troglodytidae / roitelet à couronne rubis (n.) Regulus calendula, ruby-crowned kinglet, ruby-crowned wren / roitelet huppé (n.) goldcrest, golden-crested kinglet, Regulus regulus » --RF Sesquipedalia verba (discuter) 30 septembre 2014 à 16:41 (CEST)[répondre]
Le « leur » s'adresse aux personnages. Quant au mandarin, je ne m'en souviens pas et je vais regarder. --RF Sesquipedalia verba (discuter) 1 octobre 2014 à 20:25 (CEST)[répondre]
J'ai expliqué ce que je crois être la signification de mandarin utilisé par Dickens mais qu'Henriette Loreau a traduit par « poussah ». J'ai cité le passage dans sa traduction et ajouté une note. --RF Sesquipedalia verba (discuter) 1 octobre 2014 à 21:06 (CEST)[répondre]

Remarques de Tonval[modifier le code]

Dans le § De Charybde en Scylla et dans le § Une satire sans concession on lit la même citation sur les Veneering (le mari et l'épouse que le miroir réfléchit). Ce n'est peut-être pas un doublon dans la mesure où cela me semble une insistance, mais peut-être faudrait-il alors souligner (discrètement) qu'elle est intentionnelle? Tonval (discuter) 4 octobre 2014 à 13:46 (CEST) En réalité, c'est peut-être fait (« Ainsi le passage très significatif etc. ») lorsque cette phrase est citée pour la deuxième fois. Il y a peut-être aussi un problème dans la mesure où c'est le même passage mais la deuxième citation de ce même passage n'est pas identique à la première... Tonval (discuter) 4 octobre 2014 à 13:51 (CEST)[répondre]

Je ressens très fort la qualité de cet article et sa grande richesse. Je n'arrive pas à l'appréhender aussi bien que d'autres articles du même auteur principal, mais c'est moi que je juge en disant cela. Enfin, c'est bien! Tonval (discuter) 4 octobre 2014 à 14:24 (CEST)[répondre]

Merci de ces remarques très pertinentes. Je réponds d'abord à la seconde. Vous n'appréhendez pas l'article aussi facilement que les précédents pour la bonne raison que, vu la complexité, la densité et, disons le, la pesanteur du roman, l'auteur principal (i.e. votre serviteur) a lui-même appréhendé différemment (et plus difficilement) la matière qu'il avait à traiter, ce qui doit se ressentir dans la rédaction. Quant au second point, le doublon n'est pas volontaire : il me faut donc rectifier cela qui m'avait échappé. --RF Sesquipedalia verba (discuter) 4 octobre 2014 à 14:49 (CEST) ✔️ (citation en doublon éliminée). --RF Sesquipedalia verba (discuter) 4 octobre 2014 à 14:59 (CEST)[répondre]