Discussion:Colorimétrie

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pour un article sur la colorimetrie, j'aurais espéré qu'on parle :

  • des fonctions de mélanges trichromatiques
  • de photométrie
  • la C.I.E.
  • d'illuminant et de source
  • d'espaces vectoriels
  • d'observateur standart
  • de diagrammes de chromaticité
  • de modèles d'apparence colorée
  • d'espace uniforme
  • de notion de blancheur
  • de différence colorée
  • etc.

mais pas gamut , imprimerie, informatique , peinture, psychologie ... manque le ciné et la cuisine ;)

SG — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 81.66.206.67 (discuter) 14 février 2007 à 23:36‎

Il ne tient qu'à toi de rajouter toutes ces informations manquantes dans l'article, tu as l'air de connaître pas mal de choses sur le sujet. Les paragraphes que tu incrimines pourraient effectivement être remaniés, mais ont à mon avis leur place dans l'article. Petit homme 16 février 2007 à 07:39
Je suis d'accord avec SG. Cette article est assez peu pertinent en l'état actuel ! Il faudrait également faire la distinction qui existe avec "chromatique" employé comme un synonyme dans le cas de la colorimétrie (les "systèmes colorimétriques" par exemple). ScSami (d) 9 mars 2011 à 18:05 (CET)[répondre]

"Cette répartition spectrale est extrêmement complexe : il y a, entre les longueurs d'onde extrêmes de 400 et 700 nm, autant d'intermédiaires qu'on veut, et pour chacune, autant d'intensités lumineuses possibles."

Cette phrase est vraiment idiote... Elle qualifie de complexe quelque chose de très simple ! En 2D axe des x longueurs d'onde, axe des y puissance. En quoi ceci est "extrêmement complexe"?

Adrien

Quel blouguiboulga ... Contribution du 22 octobre 2017 à 19:39 par 78.13.227.144

Rédigé d'une autre manière, qui heurtera moins j'espère la sensibilité d'Adrien. Ce qui est complexe, c'est la relation entre analyse spectrale et perception, et non la répartition elle-même. PolBr (discuter) 22 octobre 2017 à 22:12 (CEST)[répondre]

Retire passages hors sujet[modifier le code]

« Peinture

En peinture, les couleurs sont obtenues par l'utilisation de pigments, faits à partir de matériaux naturels (minéraux, végétaux ou animaux), ou artificiels (composés chimiques). Ces différents produits permettent d'avoir une gamme très étendue de couleurs, plus ou moins stables dans le temps. L'épaisseur du médium, sa transparence, ou ses propriétés chimiques, dépendent à la fois des pigments et du médium auquel ils sont mélangés. Ces combinaisons offrent de nombreuses possibilités au peintre. Malheureusement pour le peintre, les systèmes colorimétriques modernes ne sont d'un grand intérêt que dans le choix de peintures artificielles[réf. nécessaire], et les résultats de ces outils risquent de changer en séchant, à l'application du fixatif ou du vernis, mais également en fonction de leur éclairage. Des systèmes colorimétriques basés sur les matériaux utilisés, et les noms des couleurs dans la ou les langues du peintre, sont plus fréquents, ce sont certainement les systèmes colorimétriques les plus anciens, et ils dépendent réellement de la culture, de la maîtrise, du désir et de la forme du peintre.

Les tubes de peintures pour artistes contiennent généralement des indicateurs :
* De la durée de vie en éclairage de musée représentés par des astérisques ou des plus, allant de 1 à 3, chacun de ces symboles représentant une durée de 50 ans et sont additionnés.
* Des pigments utilisés, par un P suivit d'une ou deux lettres qui sont l'initiale en anglais de la couleur (W=white, blanc ; Y=yellow, jaune ; B=blue, bleu ; etc...) et une éventuelle deuxième lettre pour éviter les confusions dans certains cas. Un numéro suit ensuite, qui est une référence au composé chimique utilisé pour cette couleur. »

C'est intéressant, parfois contestable, avec des problèmes de compréhension du fait que le terme médium a deux sens. En tous cas, ça n'a pas de rapport avec la colorimétrie. Il faudrait d'ailleurs ouvrir un article sur les peintures, pour lequel je peux seulement proposer une source bibliographique :

  • Jean Petit, Jacques Roire et Henri Valot, Encyclopédie de la peinture : formuler, fabriquer, appliquer, t. 1, Puteaux, EREC,
  • Jean Petit, Jacques Roire et Henri Valot, Encyclopédie de la peinture : formuler, fabriquer, appliquer, t. 2, Puteaux, EREC,
  • Jean Petit, Jacques Roire et Henri Valot, Encyclopédie de la peinture : formuler, fabriquer, appliquer, t. 3, Puteaux, EREC,

PolBr (discuter) 12 juillet 2014 à 20:09 (CEST)[répondre]

« Imprimerie

En imprimerie, les couleurs sont généralement composées d'un mélange de minuscules points des trois couleurs fondamentales et du noir : Cet espace colorimétrique est appelé quadrichromie.

Sur certaines imprimantes personnelles haut de gamme, on trouve maintenant des systèmes à 6 couleurs, des couleurs désaturées étant ajoutées pour étendre la gamme.

Sur certaines imprimantes industrielles, il est également possible de jouer sur le vernis, pour refléter plus ou moins la lumière.

Sur d'autres imprimantes industrielles, il est également possible de faire des aplats de couleurs brutes ou d'un mélange de plusieurs couleurs, lorsqu'il n'y a que très peu de couleurs différentes pour une impression (généralement moins de 5). Dans ce cas, des systèmes comme Pantone serviront à l'étalonnage des couleurs. Une impression de quelques couleurs de référence, sur le bord de la feuille imprimée, servira au contrôle de la qualité du tirage. Ces systèmes permettent également de poser des couleurs, ayant des propriétés d'utilisation de la lumière différentes, de celle de la quadrichromie, comme des couleurs fluorescentes, ou avec des propriétés de réflexion.

Photographie, cinématographie et vidéo

Dans ces techniques, la production des images en couleur est faite en trichromie. Les couleurs fondamentales analysées sont le rouge, le vert et le bleu. On procède ensuite, en photographie, à un tirage par synthèse soustractive, en cinéma et vidéo, à une synthèse additive. Les supports (pellicule ou capteur électronique) sont équilibrés pour une certaine température de couleur, le plus souvent 5 400 K (+ ou - 400) (appelée « température de couleur de la lumière artificielle ») en cinéma et en vidéo 6 500 K, 5 500 K en photographie (température de couleur de la « lumière du jour »), ou 4 300 K pour les caméras vidéo professionnelles récentes (qui acceptent, sans filtrage les deux types de sources).

La bonne reproduction des couleurs est assurée lorsqu'une plage blanche est restituée sans dominante colorée (voir : tirage photographique, étalonnage).

Il est donc essentiel de connaître la température de couleur de la scène pour procéder à son éventuelle correction, par filtrage des sources ou devant l'appareil de prise de vues.

La mesure se fait à l'aide d'un thermocolorimètre.

Informatique

En informatique, où sont de plus en plus centralisés les systèmes de gestion de couleur, il existe des systèmes permettant d'avoir des références qui serviront pour les différents appareils de saisie (appareil photo, scanner, vidéo, etc.) et de restitution (écran, projecteur, imprimante, presse, etc.). L'ICC (International Color Consortium), est un organisme international, chargé de constituer des standards en la matière. Il a créé le format ICC profile, pour tenter de résoudre le problème. »

Également hors sujet, puisque traitant de procédés de synthèse des couleurs, mais désormais traités dans des articles indépendants. PolBr (discuter) 12 juillet 2014 à 20:17 (CEST)[répondre]

CIE L*a*b*[modifier le code]

Notification Ellande : je veux bien qu'on harmonise les écritures, mais si CIE L*a*b* s'écrit avec des astérisques, c'est pour le différencier de Hunter Lab, espace colorimétrique à écart de couleur utilisé antérieurement, dont les paramètres L, a, b sont définis différemment. PolBr (discuter) 17 janvier 2018 à 18:46 (CET)[répondre]

Notification PolBr : C'est un détail intéressant. Après vérification, je lis chez Sève p.139 « L*a*b* CIE 1976 ou [généralement appelé] CIELAB », sans espace d'ailleurs. Pour un raison similaire L*u*v* pour distinguer de CIE UVW et je lis également « L*u*v* CIE 1976 ou CIELUV ». J'imagine que les majuscules évitent également le semblant d’ambiguïté.
Chez Janos Schanda ː « CIE 1976 (L*u*v*) Color Space, CIELUV Color Space ».
Si j'en crois google pour ce qui est de l'usage CIELAB l'emporte haut la main.
Je vous laisse faire le choix et je m'en vais corriger les notations dans les articles concernés.
Ellande (Disc.) 17 janvier 2018 à 23:16 (CET)[répondre]