Xantho (Néréide)
Pour les articles homonymes, voir Xantho (homonymie).
Pour l'océanide, voir Xanthé.
| Xantho | |
| Mythologie grecque | |
|---|---|
| Caractéristiques | |
| Fonction principale | Divinité marine |
| Résidence | Océan |
| Lieu d'origine | Grèce antique |
| Période d'origine | Antiquité grecque |
| Groupe divin | Les Néréides et les divinités marines |
| Culte | |
| Mentionné dans | Fables d'Hygin, Les Géorgiques de Virgile |
| Famille | |
| Père | Nérée |
| Mère | Doris |
| Fratrie | Les autres Néréides, Néritès |
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Dans la mythologie grecque, Xantho est une Néréide, fille de Nérée et de Doris, citée par Hygin[1] dans sa liste de Néréides.
Étymologie[modifier | modifier le code]
Xantho (du grec Ξάνθη / Xánthē) renvoie à la couleur jaune, son nom pouvant donc signifier « la blonde »[2].
Description[modifier | modifier le code]
Outre la signification de son nom, qui semble renvoyer au blond de ses cheveux, Virgile la décrit comme aux cheveux clairs et à la peau très blanche dans son ouvrage Les Géorgiques[3]:
Autour d'elle, les nymphes cardaient des toisons de Milet tachées de riches colorants marins, Drymo et Xantho, Ligie et Phyllodocé, leurs mèches claires tombant sur leurs cous de neige.
Famille[modifier | modifier le code]
Ses parents sont le dieu marin primitif Nérée, surnommé le vieillard de la mer, et l'océanide Doris. Elle est l'une de leur multiples filles, les Néréides, généralement au nombre de cinquante, et a un unique frère, Néritès. Pontos (le Flot) et Gaïa (la Terre) sont ses grands-parents paternels, Océan et Téthys ses grands-parents maternels.
Évocation moderne[modifier | modifier le code]
Biologie[modifier | modifier le code]
Le genre de genre de Crustacés des Xantho lui doit son nom, de même que le genre d'Annélides des Xantho.
Annexes[modifier | modifier le code]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Hygin, préface des Fabulae
- Anatole Bailly, Dictionnaire Grec Francais, Hachette, (lire en ligne), p. 1339
- Virgile, Les Géorgiques, Livre IV
