Vasco Ascolini

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Vasco Ascolini
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Vasco Ascolini (né le à Reggio d'Émilie, en Émilie-Romagne) est un photographe italien contemporain.

Biographie[modifier | modifier le code]

Vasco Ascolini commence son activité photographique au milieu des années 1960. Il affirme très vite un style personnel grâce aux études de la photographie aux États-Unis et à l'université de Parme.

Il collabore de 1973 à 1990 avec le Théâtre Municipal Romolo Valli de Reggio Emilia, ce qui lui permet de se familiariser avec la photographie de théâtre. Les photographies du spectacle de Lindsay Kemp (1979) définies par la critique comme « hautainement expressives » sont une référence de ce travail. Vers la moitié des années 1980, le marbre devient son centre d'interêt. Il photographie désormais les volumes architecturaux, les colonnes, statues et pièces de musée.

Ses œuvres sont exposées aux Rencontres d'Arles, au musée Nicéphore-Niépce de Chalon-sur-Saône et au musée du Louvre

Ses photos de sa « période théâtrale » figurent notamment dans les collections du Museum of Modern Art, du Metropolitan Museum of Art de New York et au Guggenheim Museum ainsi que près d'autres importantes institutions internationales : Lincoln Center Public Library, Texas University d'Austin, Fondation Italienne pour la Photographie de Turin, Bibliothèque nationale de Paris[1], Musée Carnavalet. Vasco Ascolini est représenté par la galerie Vrais Rêves, Lyon, France.

Expositions[modifier | modifier le code]

Distinction[modifier | modifier le code]

La ligne critique[modifier | modifier le code]

La marque distinctive du style de Vasco Ascolini est le « noir et le sombre » avec un peu de blanc dans une image qui est rigoureusement en noir et blanc basée sur le contraste de tons et dans le refus de l'emploi de la couleur. Dans sa photographie de théâtre marquée par les noirs contrastés il a une forte prédilection pour la danse et pour la mime, la « période des marbres » est marquée par l'absence de la figure humaine.

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Vasco Ascolini », sur Catalogue.bnf.fr