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L'État québécois est officiellement né durant la révolution tranquille, en 1968, et sa fondation a mené à la création de multiples ministères et sociétés d’État, et par la suite, à de multiples réformes.

Histoire[modifier | modifier le code]

Avant la formation de l'État québecois[modifier | modifier le code]

Rébellion[modifier | modifier le code]

La conquête par les Britanniques met fin à l'empire français en Amérique du Nord[1]. L'Acte de Québec (1774) permet alors aux Francophones de garder leur langue et leur religion, ainsi que le code civil français et en 1791 sont formés le haut et le Bas-Canada ; le Bas-Canada bénéficie alors d'une assemblée législative aux pouvoirs très limités[1].

À partir de 1791, les Canadiens-français s'activent sur le plan politique et en 1837-1838 les rébellions pour obtenir l'autonomie gouvernementale dégénèrent et entraînent une répression militaire qui aboutira ensuite au Rapport Durham de 1839[1]. Le but de Durham étant d'assimiler les Canadiens-français son plan décrète que la seule langue officielle sera dorénavant l'anglais, le plan est adopté par l'Acte d'Union voté à Londres en 1840[1].

Jusqu'en 1867, le droit de vote était réservé aux hommes Britanniques (par naissance ou naturalisation).

Le nationalisme québécois se voit doté en 1917 d'une revue : L'Action catholique, fondée par Lionel Groulx, qui défendait « dans l’ordre, la religion et la patrie, en s’inspirant de la revue française du même nom qui professait des positions d’extrême-droite.[2] »

Jeunesse ouvrière catholique[modifier | modifier le code]

La JOC francophone du Québec[3] (d'inspiration belge), est vue comme significative d'un tournant majeur dans l'engagement des jeunes catholiques francophones des années 1930 pour les enjeux politiques[4].

À partir de la révolution tranquille[modifier | modifier le code]

Pouvoirs fondamentaux[modifier | modifier le code]

L’État québécois comporte plusieurs institutions exerçant l’un de ces 3 pouvoirs fondamentaux[5]:

Place des autochtones dans l'État québecois[modifier | modifier le code]

Rapport Viens

Nationalisation[modifier | modifier le code]

Sociétés d'État qui relève exclusivement de l'État Québécois :

Références et notes[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d The Canadian encyclopedia. Québec En ligne
  2. Yvan Lamonde. La modernité au Québec À babord, No 42 - déc. 2011 / jan. 2012 En ligne
  3. Notes « La Jeunesse ouvrière catholique (JOC), fondée en Belgique en 1925 par l’abbé Joseph Cardin, fait des petits au Québec : la JOC est créée en 1932 et sera suivie trois ans plus tard par la Jeunesse étudiante catholique (JEC). Or ces associations ne sont pas nationalistes, contrairement à l’Action catholique de la jeunesse canadienne-française (ACJC) mise en place en 1904 et qui conserve tout l’appui de Lionel Groulx. [1] »
  4. Revue étudiante du département d'histoire de l'UQÀM. 2013. Camille Robert, La jeunesse ouvrière catholique comme pilier de l'engagement social : 1931-1939 En ligne
  5. Assemblée nationale du Québec. Au cœur de l’État québécois En ligne

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Liens internes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Catégorie:Histoire contemporaine du Québec