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L'affaire du triple meurtre de l'Esteron est une affaire criminelle française qui éclate le 18 mars 1999[1] lors de la découverte, non loin de Toudon[2], dans le massif de l'Esteron (Alpes-Maritimes), de fragments de corps humains dissimulés dans des sacs-poubelle.

L'enquête[modifier | modifier le code]

Premières constatations[modifier | modifier le code]

Arrivés sur place, les gendarmes constatent que les fragments humains retrouvés correspondent à trois cadavres. Les victimes ont été découpées et éviscérées. Les sacs ne contiennent ni têtes, ni pieds, ni mains. Les viscères ont été conservées dans un emballage à part mais sont mélangées[2].

Les enquêteurs inspectent le territoire environnant sur un périmètre de 20 kilomètres à la recherche d'indices et de morceaux de corps manquants, mais en vain. Aucune empreinte ni aucun échantillon ADN ne pourra être prélevé sur les lieux de la découverte[3].

Autopsies[modifier | modifier le code]

L'objectif premier de l'autopsie a été la reconstitution de chaque dépouille sur base des fragments retrouvés. L'examen des cadavres a tout d'abord permis de confirmer que les experts se trouvaient bien en présence de trois corps: ceux de deux hommes et celui d'une femme. Les sexes masculins avaient été amputés[2] au cours d'un dépeçage qui aurait recourru à divers types d'armes (scies, haches, couteaux). Le découpage aurait été exécuté de manière quasi-professionnelle et dans un but pragmatique[3]: la facilitation du transport des cadavres [4]. Une ogive de 22-long-rifle, logée dans l'épaule de l'une des victimes, a en outre été retrouvée[2].

L'analyse du contenu gastrique a quant à elle révélé que les trois individus avaient consommé les mêmes aliments, à la même heure, avant leur décès, supposant la thèse du partage d'un repas juste avant la survenue des faits[3]. Ce dernier diner, selon les experts, remonterait au 26 ou 27 février 1999[1][2].

L'autopsie a en outre abouti à l'identification formelle des trois victimes[1]:

  • Jean-Pierre Calligaris (43 ans), identifié par le biais d'une comparaison ADN avec celui de sa soeur, cet ancien videur de boite de nuit d'Ajaccio (Corse)[1] était fiché pour trafic de stupéfiants et en cavale au moment des faits[2]
  • Francis Ben Mokhtar (50 ans), dont l'identité est envisagée en tant que fréquentation connue de Calligaris[3] et confirmée 21 mois plus tard par correspondence génétique avec l'ADN de sa mère [5][3], était un trafiquant international de stupéfiants proche du grand banditisme;
  • Thérésa Conte (52 ans), la compagne de Ben Mokhtar[4], était une mère de famille divorcée dont l'identité sera confirmée par comparaison génétique avec l'un de ses enfants[3].

Mobile(s)[modifier | modifier le code]

A partir des informations qu'ils ont réussi à rassembler, les enquêteurs vont établir une série d'hypothèses concernant le(s) mobile(s) du crime:

  • La thèse mafieuse sera rapidement écartée. En effet, ni le calibre utilisé, ni le meurtre de femmes, ni la dissimulation des corps ne correspond aux habitudes criminelles du "milieu"[3].
  • La thèse financière[2]: Francis Ben Mokhtar était connu comme ayant beaucoup dargent;
  • La thèse du règlement de compte lié à un trafic de stupéfiants[3].

Rencontre avec un suspect[modifier | modifier le code]

Avertis de l'existence d'un dîner auquel auraient participé Jean-Pierre Calligaris, Francis Ben Mokhtar et Teresa Conte le soir du 27 février 1999, les enquêteurs s'empressent d'en interroger l'hôte: un certain Michel Pinneteau, fromager à Juan-les-Pins. Ce dernier affirme cependant ne pas connaitre Ben Moktar. Mais les policiers savent alors qu'il ment.

En effet, la présence des trois victimes au domicile des Pinneteau le soir du 27 est confirmée par un autre témoin: la maîtresse de Calligaris. Ce soir-là , elle avait joint son amant par téléphone aux alentours de 21 heures: il lui avait confirmé être chez le fromager en compagnie de Ben Mokhtar et Conte. Apres ce coup de fil, Calligaris n'a plus jamais donné signe de vie à sa compagne[2][3]. De plus, les téléphones portables des trois victimes n'ont plus émis depuis la soirée du 27 février[3].

Ayant approfondi leurs recherches sur le passé de Michel Pinneteau, les enquêteurs savent également que ce dernier connait en réalité Ben Moktar depuis le début des années 1980, période à laquelle ils étaient tombés ensemble pour trafic de haschisch[1][2].

Éléments biographiques[modifier | modifier le code]

Ancien postier

Devenu fromager a Antibes/Juan les Pins[6]. Il semble être un commerçant paisible et de plus il n'a jamais eu affaire à la justice[7].

Il travaille beaucoup a la fromagerie avec sa seconde femme, Joëlle. Tous deux se plaignent parfois d'un faible niveau de vie. Il est decrit comme un honnete commercant par sa clientele. Et pourtant, Michel Pinneteau semble mener grand train. Il a même un bateau de plaisance et des voitures de luxe. Il aime épater la galerie [8].

Garde à vue[modifier | modifier le code]

Au matin du 28 septembre 1999, les époux Pinneteau sont interpellés chez eux, placés en garde à vue dans les locaux de la gendarmerie et interrogés séparément[2][3]. Les époux Pinneteau seront mis en examen pour triple assassinat a l'issue de ces interrogatoires[2].

Joëlle Pinneteau[modifier | modifier le code]

Joëlle Pinneteau admettra rapidement l'existence du dîner du 27 février 1999: Francis Ben Mokhtar, Jean-Pierre Calligaris et Teresa Conte étaient bien chez les Pinneteau ce soir-là. Dans un premier temps, l'épouse du fromager assurera que la soirée s'est déroulée normalement. Après le dîner, son mari a ramené les invités chez eux[9]. Il était de retour au domicile une heure plus tard. Madame Pineteau décrira la liste d'aliments qui étaient au menu (du sanglier, des haricots verts et de la tarte aux pommes), correspondant au bol alimentaire des victimes lors de l'autopsie. A une exception près: l'expertise n' y avait pas retrouvé de tarte aux pommes[10].

Au fil de l'interrogatoire, le discours de Joëlle Pinneteau commence toutefois à se fissurer: le repas, dit-elle, a en fait été interrompu avant le dessert. Ben Mokthar se serait soudainement levé de table pour aller régler une affaire urgente. Les invités seraient partis dans la précipitation[11] avec Michel Pinneteau, qui voulait les raccompagner. Ce dernier ne serait pas rentré avant 5 heures le lendemain matin[12], évoquant une sérieuse "emboucade" (un piège, un guet-apens) et demandant à sa femme de garder le silence à propos du dîner de la veille.

Michel Pinneteau[modifier | modifier le code]

Dans les premiers temps de la garde a vue, Michel Pinneteau niera formellement avoir reçu Ben Mokhtar, Calligaris et Conte chez lui dans la soirée du 27 février 1999[2][3]. Par la suite, il admettra que le dîner a bien eu lieu ce soir la, en compagnie des trois victimes. Le fromager expliquera que Ben Mokthar lui aurait demandé de conserver l'argent du pactole en lieu sûr. Pinneteau et ses trois invites auraient alors écourté le repas pour se rendre ensemble chez Ben Mokhtar et régler cette affaire au plus vite. Arrivé chez ce dernier, le quator aurait ete surpris par deux commandos cagoulés et armés[4] qui les aurait contraint à se devetir et à s'allonger sur le sol du garage en les tenant en joug. Selon Pinneteau, les truands cherchaient certainement de la drogue ou de l'argent[3]. Ils auraient ensuite tiré une balle de 22 long rifle dans l'épaule droite de Calligaris, qui tentait de se relever, puis tué Ben Mokhtar et sa compagne d'une balle dans la tête. Ils auraient enfin obligé le fromager a procéder à la découpe du cadavre de Calligaris[3][13][1] tandis qu'ils s'occupaient des deux autres corps. Les commandos l'auraient également contraint a emballer les fragments de depouille et a les jeter dans un endroit peu fréquenté du massif de l'Esteron[2].

Les aveux partiels de Michel Pinneteau laissent les gendarmes sceptiques: ils s'étonnent du fait que leur suspect soit le seul survivant de l'attaque[3]. Certains éléments précis relatés par le fromager correspondent exactement aux les résultats de leurs expertises, notamment en ce qui concerne les détails balistiques, les outils de découpe et le lieu de dépôt des corps[3]. Pour les gendarmes, le lien de Michel Pinneteau à l'affaire du triple meurtre de lesteron devient désormais une certitude[2].

La 22 long rifle? Dossiers[modifier | modifier le code]

Perquisition chez Pinneteau, decouvertebdes étuis de 22 long rifle en depit du nuage dans le jardin (dossier). Plus tard, en remontant vers la motte beuvron (loir et cher) ou Pinneteau habitait précédemment, avant de venir s'installer dans le sud, ils se rendent à armurerie et se rendent compte que Pinneteau avait bien acheté une 22 long rifle en 1989. Pinneteau admettra, mais dira qu'au moment des faits, il avait justement prête sa carabine à Ben Mokhtar (dossier).

Le pactole/Le magot/Le butin[modifier | modifier le code]

Surnomme "le riche"[14], Francis Ben Mokhtar transportait partout une glacière de camping bleue contenant un montant total de 200.000 a 2.000.000 de francs francais en coupures de 500FF et autres devises [15]. Un pactole qui, selon les enquêteurs, aurait découlé de grosses affaires de trafics de stupéfiants[16]. Changeant régulièrement d'identité et d'adresse, le truand, connu des services de police, se méfiait, se cachait et se rendait intracable[15].

Selon les déclarations de Pinneteau pendant sa garde à vue, Ben Mokhtar et Calligaris avaient décidé de lui confier au moins une partie de ce magot, qu'il aurait gardé caché dans sa villa a Antibes[16] en attendant de pouvoir en faire profiter Bruno, le fils de Ben Mokhtar. Cependant, Michel Pinneteau avait apparemment revu Bruno après avoir reçu la glacière, et ne lui avait pas mentionné l'existence du pactole.

Les enquêteurs voient évidemment cette affaire d'un tout autre oeil. Pour eux, le magot pourrait constituer le mobile du triple meurtre: Pinneteau aurait volé ou voulu voler la précieuse glacière à ses victimes. Fait acablant pour le fromager: deux mois après les faits, il se serait rendu à l'étranger avec sa femme et y aurait place quelques 534.000 euro sur des comptes en banque[17]. Interrogé à ce sujet, Michel Pinneteau affirme simplement que son ami Ben Mokhtar lui avait en fait confié cet argent[14].

Au moment du proces, 4 à 5 millions auraient encore manque au butin (fela).

Rétractation / Retour sur aveux[modifier | modifier le code]

Mais des le lendemain matin, depuis sa cellule de prison, Michel Pinneteau reviendra sur ses aveux[1][4] dans un courrier adressé à la gendarmerie en ecrivant: "je vous ai servi une belle 'salade' que vous rêviez dentendre"[2]. Plus tard au cours de l'instruction, en effet, Pinneteau livrera encore une autre version: il n'a pas raccompagné les victimes, il les a suivies a quelques minutes près. Il a assisté au triple carnage par les 2 commandos caché derrière un buisson, et il a vu la carabine 22 long rifle tenue par le truand[3]. Ça lui a pris quelques heures pour se remettre et oser sortir de la, voilà pourquoi il n'est arrive chez lui qu'à 5h du matin (dossier).

Perquisitions[modifier | modifier le code]

  • Au domicile de Ben Mokhtar: l'examen du garage de Ben Mokhtar, ou Pinneteau dit que le massacre s'est déroulé, ne révèle aucune trace de sang;
  • Au domicile de Michel Pinneteau: Les gendarmes constatent que le fromager à fait refaire sa cuisine et une autre pièce de sa maison, au-dessus de ses moyens[3], environ trois semaines après les faits[2]

Analyses toxicologiques[modifier | modifier le code]

Après les gardes à vue, les enquêteurs se demandent comment un homme petit et frêle comme Michel Pinneteau aurait pu s'en prendre à 3 victimes, dont l'un, Jean Pierre calligaris, pesait 110 kilos. Ils envisagent alors la thèse de l'empoisonnement lors du dîner du 27 février. Des analyses des cheveux, des tissus et du bol gastrique sont réalisées sur les 3 cadavres. Il en ressort qu'effectivement, 1 des hommes a des traces dans le sang d'un puissant tranquilisant, le rohypnol. Mais ben mokhtar et calligaris etaient tous deux cocainomans. Les cocainoman utilisent souvent le rohypnol pour attenuer les effects de la cocaine en fin de prise. On ne saura donc jamais si oui ou non Pinneteau à drogue ses invités masculins[2][3].

Les Procès[modifier | modifier le code]

Premier proces[modifier | modifier le code]

Comparution au palais De justice de nice, ouverture le 04 novembre 2002 (dossier)

Après 3 ans de detention provisoire(dossier)

Joëlle Pinneteau comparaît libre,

Michel Pinneteau à le visage tumefie, il raconte qu'il a été battu par plusieurs codétenus à la maison darret.

Pour Michel Pinneteau, cette agression se justifie par la peur qu'il parle de ce qu'il a vu le triple meurtre et pourrait faire tomber des gens(dossier)

Il comparaît avec son épouse Joëlle, 46 ans, pour: « meurtres précédés, accompagnés, suivis d'actes de barbarie, assassinats, destruction, soustraction, altération d'objets de nature à faciliter la découverte d'un crime, vol à main armée, recel de crimes ».

Pour les gendarmes, il s'agit de l'oeuvre d'un seul homme, habile, avec scies manuelles, haches, couteaux.

Il nie les faits, dira qu'il a menti précédemment par peur car il avait déjà un passe judiciaire.

Apparaît blessé au front et à un pansement d'une blessure apparemment faite en prison par des codétenus a la maison darret de Nice (alpes maritimes)[18].

Hier, Michel Pinneteau a affirmé que cette version des faits était destinée « à faire libérer sa femme de prison »[19].(au 1er procès donc)

Des le début du proces, coup de theatre: un détenu de la prison de Nice, codétenu de Pinneteau, laurent Roméo, deliquant notoir dénommée le nettoyeurs de la côte d'Azur, écrit au procureur de la république Eric de Mongolfier pour lui dire qu'il a d'importantes révélations a faire au sujet du triple meurtre[3].

Il aurait eu les confessions de Pinneteau(dossier)

Supplément d'information et suspension du proces[modifier | modifier le code]

Roméo dit que Pinneteau, en prison, lui aurait demandé de faire disparaître certains éléments compromettants, dont la carabi'e et les voitures. Il indique que Pinneteau cache sa carabine chez un ami restaurateur et en effet, les enquêteurs retrouvent la carabine et analysent. C'est bien l'arme du crime.(dossier) le procès a été ajourné pour vérifier le témoignage de Roméo et ces nouveaux éléments (dossier) pour diligenter un supplément d'information . Roméo dira aussi que Pinneteau serait vanté d'avoir garde une partie de l'argent de Ben mokhtar(fela)

Pour 22 mille euro, pinneteau aurait demande a jp morin, qui sortait bientot de prison, de faire ce nettoyage. Cest la belle mere de pinneteau qui devait donner largent. Elle a sorti tte la valise de 450 mille a 900 mille euros et sest laissee convaincre par morin de la lui confier(fela).

Second proces[modifier | modifier le code]

cours d'assises des alpes maritimes. ouverture proces le 16/09/04[20].

2004: assises de nice

A la réouverture du proces Le 16 septembre 2004, Pinneteau à une explication. Après 1voir été témoin du triple meurtre il a vite repris son arme de peur qu'elle ne le fasse tomber(dossier)

Il continue à clamer son innocence(dossier)

Un autre codétenu vient témoigner a la barre pour dire que Pinneteau lui aurait confesse avoir jeté les autres restes des victimes du cote de l'Eden roc a Antibes

Nouvelle suspension daudience[modifier | modifier le code]

mais rien ne sera retrouve au cours de cette nouvelle suspension d'audience (Fela)

Reprise du proces[modifier | modifier le code]

La défense s'appuie sur la frêle morphologie de Michel Pinneteau pour dire qu'il a peut être bien volé le butin de Ben Mokhtar, mais pas ou pas tout seul, commis le triple assassinat(fela).

Après 5 jours de procès et 3heures de délibérés, le 25 ou 26.09.2004, Michel Pinneteau est reconnu coupable du triple meurtre,net prend 30 ans dont 20 ans de sûreté (sûreté des 2 tiers) (dossier).(fela dit le 25)

Pinneteau écope de 30 ans de reclusion criminelle dont une période de sûreté des 2 tiers.

Joëlle prend 4 ans dont 1 ferme pour recel de vol à main armée[4].

Au moins une partie de l'argent à été saisie après le proces (nice).

Pinneteau fait appel immédiatement. Il expliquera qu'il avait été moleste en garde à vue, qu Il a du rester sans dormir sur la chaise pendant 48h (fela)

Joëlle n'a pas fait appel[21].

Proces en appel[modifier | modifier le code]

Comparution a aix en provence(dossier) cours d'appel (fela)

Après 7 ans passés en prison, nous sommes le 23.05.2006. Michel Pinneteau a vieilli et est moins combattif(dossier)

Plus réfléchi, parle plus lentement, il fait presque pitié, il n'a pas l'air du tout d'un tueur monstrueux(fela).

Me Eric Dupont Moretti son avocat, dira que s'il n'a pas été tué lors de Dassault, cest bien parce que les coupables étaient certains que tout lui retomberait dessus(dossier).

Les avocats: Michel cardix et Eric Dupont Moretti. ont convaincu les jurés que Pinneteau, 160 cm et 56 kg n'a pas pu découper seul les 3 victimes dont 1 était 1 colosse de 110 kg.

Il dévie également la suspiction sur un autre suspect, Jacques Lefèvre, qui avait été découvert après avoir vide la villa de Ben Moktar et arrête d'écrire dans l'agenda de son patron le lendemain de la disparition, cad le 27.02.1999, et non pas le jour de la découverte des corps(dossier).

Le juge requiert a nouveau 15 ans, et les jurés délibérént en sachant que le doute doit profiter a l'accusé et que Pinneteau est peut être juste un menteur et un voleur qui aurait voulu garder l'argent de Ben Mokhtar, et quil na pas pu commettre le triple meurtre tout seul (dossier).

Michel Pinneteau est acquitté, il pre's juste 5 ans pour le vol et le recel de l'argent de Ben mokhtar mais il a déjà purgé cette peine en préventive, il ressort donc du tribunal libre (dossier)

Jacques Lefèvre ne sera jamais poursuivi dans le cadre de cette affaire(dossier)

C'est lacquittement pour Michel Pinneteau qui s'est fait discret au procès. Il est cependant condamné à vols avec armés dans la même affaire ce pour quoi il a pris 3 ans. Le principal suspect de l'affaire est donc innocente des meurtres.

Conclusion/Note conclusive[modifier | modifier le code]

L'affaire reste non élucidée,

Ni argent, ni mains, ni pieds ni têtes n'ont jamais été retrouvés (dossier).

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f et g François Corbara, « Les mystères du triple meurtre de l'Esteron », Le Parisien,‎ (lire en ligne)
  2. a b c d e f g h i j k l m n o p et q "Le mystère du triple meurtre de l'Esteron", Dossiers Criminels, Numéro 23.
  3. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s et t "Michel Pinneteau, les corps sans tête de l'Esteron", faites entrer l'accusé, 17.06.2007
  4. a b c d et e « Le triple meurtre de l'Estéron avait fait grand bruit en mars 1999 », Nice-Matin,‎ (lire en ligne)
  5. Décédée en 1975, la mère de Francis Ben Mokthar devra être exhumée et prélevée pour permettre l'identification du corps de son fils.
  6. François Corbara, « Les mystères du triple meurtre de l'Esteron », Le Parisien,‎ (lire en ligne)
  7. "Le mystère du triple meurtre de l'Esteron", Dossiers Criminels, Numéro 23.
  8. "Michel Pinneteau, les corps sans tête de l'Esteron", faites entrer l'accusé, 17.06.2007
  9. François Corbara, « Les mystères du triple meurtre de l'Esteron », Le Parisien,‎ (lire en ligne)
  10. "Le mystère du triple meurtre de l'Esteron", Dossiers Criminels, Numéro 23.
  11. "Le mystère du triple meurtre de l'Esteron", Dossiers Criminels, Numéro 23.
  12. "Michel Pinneteau, les corps sans tête de l'Esteron", faites entrer l'accusé, 17.06.2007
  13. « Triple meurtre de l’Esteron: l’accusé revient sur ses aveux », 20 minutes,‎ (lire en ligne)
  14. a et b "Michel Pinneteau, les corps sans tête de l'Esteron", faites entrer l'accusé, 17.06.2007
  15. a et b "Le mystère du triple meurtre de l'Esteron", Dossiers Criminels, Numéro 23.
  16. a et b « Le triple meurtre de l'Estéron avait fait grand bruit en mars 1999 », Nice-Matin,‎ (lire en ligne)
  17. « Triple meurtre de l’Esteron: l’accusé revient sur ses aveux », 20 minutes,‎ (lire en ligne)
  18. François Corbara, « Les mystères du triple meurtre de l'Esteron », Le Parisien,‎ (lire en ligne)
  19. « Triple meurtre de l’Esteron: l’accusé revient sur ses aveux », 20 minutes,‎ (lire en ligne)
  20. « Triple meurtre de l’Esteron: l’accusé revient sur ses aveux », 20 minutes,‎ (lire en ligne)
  21. « Le triple meurtre de l'Estéron avait fait grand bruit en mars 1999 », Nice-Matin,‎ (lire en ligne)

Documentaires télévisés[modifier | modifier le code]