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Georges Robert CATHERINE
Description de l'image Georges CATHERINE 1930.jpg.

Naissance
Paris 9 ème
Décès (à 85 ans)
Paris 9 ème
Lieux de résidence Paris 9 ème
Activité principale Musicien
Style Violoniste
Activités annexes Lepidoptérologie
Lieux d'activité Opéra de Paris
Années d'activité 1888 1952
Éditeurs Éditions Alphonse Leduc, L'Amateur de Papillons, Études de Lépidoptérologie comparée

Biographie de Georges CATHERINE Violoniste et Lépidoptériste

Georges CATHERINE est né à Paris le 23 mars 1872 et décède le 10 mars 1958. Il est enterré au cimetière du Père Lachaise.

Violoniste de talent et aussi brillant lépidoptériste il a laissé de nombreuses traces de ses travaux.

En tant musicien après ses études brillantes au conservatoire il débute par une carrière de soliste puis s'inscrit dans les sociétés de concert de l'époque et sera embauché par l'Opéra de Paris où il finira sa carrière en 1952 en tant que premier violon.

Il enseignera aussi beaucoup par des cours particuliers. Quelques uns de ses élèves suivront une belle carrière. ( à citer )

Sa grande réalisation Les Classiques du violon méthodes d'enseignement (440 fascicules aux Éditions Alphonse Leduc) certaines sont toujours utilisés et reste au catalogue des éditions.

Parallèlement en 1905 dans le cadre de ses expériences naturalistes il découvre la haute montagne à Chamonix Mont-Blanc et participera à de nombreuses courses dont le jubilé de Joseph Vallot qui laisse un reportage filmé par Gaumont. cf chapitre correspondant.

Il poursuit sa passion entomologique entamée à l'adolescence et il fréquente tous les Lépidoptéristes éminents de l'époque. Il intègre la Société Entomologique de France en 1909. Il effectue chaque année de nombreuses sorties de terrains où il procède à des observations, des captures et il note dans ses carnets avec moult détails et croquis, le résultat de ses recherches. Pratiquement jusqu'à la fin de sa vie il maintiendra cette activité. (Ses carnets sont conservés par la famille et par le Muséum National d'Histoire Naturelle)

A partir de ces observations y compris pendant la grande Guerre il publiera de nombreux articles dans les revues scientifiques dévolues à la lépidoptérologie ( voir liste)

Sommaire

Biographie[modifier | modifier le code]

  1. Enfance : Les événements de son enfance ne sont pas connus. il est né dans le 10 ème ardt de Paris à 8h00 du matin au domicile de ses parents 61 rue du Chateau d'Eau mais l'acte est enregistré à la mairie du 9 ème. Sa mère Jeanne-Thérèse VANDERBŒCK d'origine belge professeur de piano et son père Louis-Michel CATHERINE sertisseur, indique l'ascendance sur l'acte.
  2. Adolescence
  3. Mariage
  4. Décès: survient toujours dans le 9 ème ardt le 10 mars 1958 à l'age de 85 ans. Il est inhumé au Père Lachaise dans une tombe familiale discrète en granit, son épouse le rejoindra quelques années plus tard, puis sa fille.

Carrière musicale[modifier | modifier le code]

Son première participation à un concert 1888

Grande Guerre[modifier | modifier le code]

En Août 1914 âgé de 42 ans il n'est pas mobilisé, il le sera le 19 mars 1915 mais dans ces mois qui précèdent avec son frère Alphonse, ils se portent volontaires en tant que engagés civils, équipent un véhicule (un châssis Panhard et Levassor donné par un ami) à leurs frais en ambulance et participent aux évacuations sanitaires ou aux transferts des blessés dans le camp retranché de Paris puis à la Vème Armée, dans la région de Châlons-en-Champagne. Le 19 mars 1915 il est incorporé au 42 ème Rit à Toul, puis affecté pour plusieurs mois au poste de DCA Défense contre avions implanté à Dosches dans l'Aube ou il va mener durant ses temps libres quantité d'observations naturalistes consignées dans ses carnets. Ce qui lui permettra après la guerre de réaliser sa première publication : Notes sur Anthocharis belia Cr. et ausonia Hb. du département de l’Aube. Études de Lépidoptérologie comparée,

Son frère Alphonse Catherine, chef d'orchestre à l'Opéra comique est incorporé comme officier à l'Etat Major de la 4ème Armée. Il s'emploie à réunir les musiciens et acteurs qu'il connait pour organiser le théâtre aux Armées et les concerts et spectacles vont se succéder. Georges le rejoint en étant affecté comme chauffeur ambulance au corps expéditionnaire russe en France. Alphonse lui rejoint en 1916 le front oriental à Salonique. Il raconte sa Guerre dans un album très illustré conservé à la BNF et consultable en ligne. Georges Catherine est très présent dans ce document. Jusqu'à sa démobilisation qui survient en mars 1918, Georges indique qu'il aura participé à 71 manifestations devant les poilus dont certaines devant les généraux Pétain et Gouraud.

Publications musicales[modifier | modifier le code]

Georges Catherine est l’auteur d’un très grand nombre de travaux relatifs à l’enseignement et à la pratique du violon, presque tous publiés aux Éditions Musicales Alphonse Leduc, et dont beaucoup figurent encore au Catalogue de cette prestigieuse maison d’édition. La liste dressée ci-après tente de donner un aperçu des travaux de G. Catherine dans ce domaine — aperçu probablement partiel, car, d’une part, les sources aisément accessibles ne procurent que des informations disparates et souvent lacunaires, et, d’autre part, le mode de publication des diverses études, regroupées en ensembles et sous-ensembles au sein de collections dont les intitulés sont généralement omis dans les sources d’information, rend leur ordonnancement bibliographique extrêmement compliqué.

A. Enseignement complet du violon (1909-1952)

Cette collection publiée chez Alphonse Leduc comprend les séries Études et exercices et Premiers solos, la première série renfermant par ailleurs le sous-ensemble Étude méthodique des gammes.

Études et exercices

Étude méthodique des gammes pour le violon, en 2 cahiers (5ème, 9ème). – 1er cahier : gammes mélodiques ; 2e cahier : doubles cordes (15 p.) (1909).

– Gammes et arpèges pour le violon (5e, 6e) (5 p.) (1911).

– Gammes en sons harmoniques (7e, 9e) (1932).

Méthode complète de violon, de [Jacques-Féréol] Mazas. Nouvelle édition, revue et augmentée par Georges Catherine. Tome Ier (1911).

Trente-six études de F[rederigo] Fiorillo (7e, 9e). Nouvelle édition, revue et augmentée, d’après les notes de L[ambert Joseph] Massart.

Quarante études de R[odolphe] Kreutzer (6e, 8e). Nouvelle édition, revue et augmentée, d’après les notes de L[ambert Joseph] Massart [1946].

Vingt-quatre caprices en forme d’études, pour le violon de P[ierre] Rode (op. 22) (6e, 9e). Nouvelle édition, revue d’après les notes de L[ambert Joseph] Massart, par Georges Catherine [s. d.].

Vingt-six caprices de P[ietro] Locatelli (7e, 8e), extraits de ses œuvres, réalisés d’après les documents originaux revus et augmentés (1919).

Trois sonates faciles de Rodolphe Kreutzer. Lettre A (4e-5e).

Extrait de la célèbre méthode de violon de Jacques-Féréol Mazas. Nouvelle édition, revue et augmentée par Georges Catherine. I-IV + 1-79, pl. (1911).

Traité des sons harmoniques du violon de Jacques-Féréol Mazas. Édition revue et augmentée de textes, d’exercices originaux et de fragments tirés d’auteurs célèbres, par Georges Catherine (1913).

Étude du mécanisme de l’archet (1er, 9e). 1-47 (1914). — Texte de présentation des éditions Leduc. « Violoniste à l’Opéra de Paris, Georges Catherine (1872-1958) est l’auteur d’une œuvre pédagogique qui n’a jamais cessé de faire autorité. L’Étude du mécanisme de l’archet trouve sa place dans le cadre d’un vaste « Enseignement complet du violon », qui comprend également une Étude méthodique des Gammes, divers cycles d’exercices et de caprices ainsi qu’un recueil d’arrangements intitulé Premiers solos. Dans l’avant-propos, Catherine définit les deux impératifs qui doivent présider à l’apprentissage de la technique violonistique : « la souplesse du poignet et la flexibilité des doigts quel que soit le déplacement du bras ». L’auteur passe en revue les cinq coups d’archet fondamentaux : le grand détaché sec, le détaché soutenu (ou chantant), le martelé, le détaché vif (ou d’avant-bras), le sautillé. L’élève trouvera le plus grand profit à respecter une règle d’or : « dans le travail de l’archet, rien ne doit se faire par la violence : tout doit se faire par la souplesse ».

Premiers solos

Extraits de « Concertos classiques », pour violon seul. Revus et doigtés d’après les textes originaux par Georges Catherine (4e, 5e degrés) : 49 concertos (1931). — [Pierre] Baillot (7e) — [Charles-Auguste] de Bériot (1er, 2e, 6e, 7e, 9e) — [Joseph] Haydn (en ut) — [Rodolphe] Kreutzer (Concertino) — [Rodolphe] Kreutzer (1er, 7e, 9e, 10e, 13e, 15e,18e, 19e) — [Hubert] Léonard (5e) — [Wolfgang Amadeus] Mozart (en ré, en la, en mi) — [Niccolò] Paganini (1er) — [Pierre] Rode (1er, 2e, 4e, 6e, 7e, 8e, 9e, 10e) — [Louis] Spohr (6e, 9e, 11e) — [Henri] Vieuxtemps (1er, 2e, 3e, 4e, 5e) — [Giovanni-Battista] Viotti (12e, 13e, 14e, 15e, 17e, 18e, 19e, 20e, 22e, 23e, 24e, 25e, 29e). — Violon avec accompagnement de piano ou violon séparé.

B. Les classiques du violon (1911-1952)

Première et quatrième pages de couverture de l’un des nombreux recueils de morceaux choisis transcrits et adaptés pour le violon par Georges CATHERINE et figurant toujours au Catalogue de l’Éditeur. © Éditions Alphonse Leduc, Paris.

Collection de transcriptions classiques pour violon avec accompagnement de piano, collationnées sur les textes originaux reconstitués, adaptés et doigtés (450 numéros). — Texte de présentation des éditions Leduc : « Cette collection est la plus importante de celles parues à ce jour, dans tous les pays. Embrassant le cycle entier de la musique du XVIIe à nos jours, elle constitue un vaste répertoire de chefs-d’œuvre sélectionnés, où toutes les formes, tous les genres, toutes les écoles sont représentées. Universellement répandue, elle est adoptée par les Conservatoires nationaux et étrangers. Accentué par son prix, plus bas que celui de toutes les collections existantes, son succès est dû à sa haute valeur pédagogique. Elle contient tout ce qui convient à la force des élèves : des pièces les plus faciles, en ronde, à celles du 6e degré. La partie de Piano, simplifiée, est accessible aux jeunes pianistes. Les élèves pianistes et violonistes pourront s’initier à la musique d’ensemble. Le Maître G. Catherine a indiqué avec soin tous les doigtés, nuances, accents et coups d’archet. Les textes ont été révisés d’après les meilleures éditions de l’époque et d’après les manuscrits originaux, notamment ceux du Conservatoire et de l’Opéra. Cette collection constitue la base de toute bibliothèque violonistique ».

C. Autres publications musicales

Georges Catherine et Auguste Périer. Pièces classiques célèbres. Pour clarinette et piano. — Cantilène (Ludwig van Beethoven). – Mélodie (Ludwig van Beethoven). – La flûte enchantée : Invocation (Wolfgang Amadeus Mozart). – Orphée : Menuet des Champs-Élysées (Christoph Willibald von Gluck). – Petite marche (Georg Friedrich Haendel). – Scènes d'enfants : Rêverie (Robert Schumann). – Ballets du Roi : Sarabande et Gavotte (Jean-Baptiste Lully). – Romance sans paroles no. 22 (Felix Mendelssohn-Bartholdy). Alphonse Leduc édit., Paris, 1936.

Auguste Léonard Samie. Soixante études pour violon, divisées en trois cahiers. Édition entièrement revue, corrigée et annotée par Georges Catherine. – Vol. 1, Études mignonnes pour violon (op. 31). – Vol. 2, Études progressives pour violon (op. 32). – Vol. 3, Études mélodiques pour violon (op. 33). Alphonse Leduc édit., Paris, 1938.

Ernest Depas. L’Agilité. 25 études brillantes à la 1ère position pour violon seul. Édition entièrement revue, corrigée et annotée par Georges Catherine. Alphonse Leduc édit., Paris, 1938.

Ernest Depas. Le Progrès. 25 études graduées à la 1ère position pour violon seul. Édition entièrement revue, corrigée et annotée par Georges Catherine. Alphonse Leduc édit., Paris, 1939.

Publications de Lépidoptérologie[modifier | modifier le code]

Catherine (Georges), 1920. Notes sur Anthocharis belia Cr. et ausonia Hb. du département de l’Aube. Études de Lépidoptérologie comparée, Rennes, 17 [1] : 48-53, 1 schéma, 4 fig. color. (pl. DVIII, fig. 4249 à 4252) ; 17 [2] : 45-46 (corrigendum), 3 fig. color. d’Harold Powell (pl. DXXIX, fig. 4396 à 4398) (novembre 1920).

Catherine (Georges), 1923. Note sur Setina (Cybosia Hbn.) mesomella L. L’Amateur de Papillons, Paris, 1 (15) : 241-242 (septembre 1923).

Catherine (Georges), 1929 a. À propos d’Endrosa aurita Esper. L’Amateur de Papillons, 4 (18) : 285-287 (octobre 1929).

Catherine (Georges), 1929 b. Description de deux aberrations inédites [Triphaena fimbria L. ab. iago ; Arctia villica L. ab. dryope dans les Alpes-Maritimes]. L’Amateur de Papillons, 4 (18) : 287-288 (octobre 1929) ; 4 (19) : 304, 1 illustr. photogr. de Louis-Gabriel Le Charles (pl. V, fig. 13, insérée entre les pages 304 et 305) (novembre 1929).

Catherine (Georges), 1931 a. Les bonnes localités : le Massif du Mont-Blanc. L’Amateur de Papillons, Paris, 5 (11) : 170-176, 1 carte (janvier 1931) ; 5 (12) : 179-188 (février 1931) ; 5 (13) : 201-206 (mars 1931) ; 5 (14) : 217-228 (avril 1931).

Catherine (Georges), 1931 b. Note sur Panolis flammea Schiff. L’Amateur de Papillons, 5 (20) : 309-310 (décembre 1931).

Catherine (Georges), 1932 a. Une chasse mémorable au Lemonia dumi. L’Amateur de Papillons, Paris, 6 (1-2) : 26-30 (janvier-février 1932).

Catherine (Georges), 1932 b. Les bonnes localités : Lanslebourg (Haute-Maurienne) [Savoie]. L’Amateur de Papillons, Paris, 6 (3) : 36-41 (mars 1932).

Catherine (Georges), 1933. Supplément à la liste des espèces capturées à Argentière. L’Amateur de Papillons, Paris, 6 (11) : 186 (janvier 1933).

Catherine (Georges), 1934 a. Les bonnes localités. Les environs de Grenoble. L’Amateur de Papillons, Paris, 7 (2-3) : 28-39 (février-mars 1934).

Catherine (Georges), 1934 b. À propos de deux articles d’Achille Guenée [Les Entomologistes peints par eux-mêmes – Des noms en Entomologie]. L’Amateur de Papillons, Paris, 7 (4) : 58-64 (avril 1934) ; 7 (5-6) : 65-79 (mai-juin 1934).

Autres activités[modifier | modifier le code]

chapeau explicatif à venir élevage reliure

  1. photographie, comme beaucoup de naturalistes, voyageurs, etc. de l'époque il s'initie à la photographie argentique et au développement sur papier. Il laisse une collection importante de tirages et de négatifs classée par année, conservés dans les archives familiales, très souvent accompagnés de notes précisant les conditions de prise de vue, les papiers utilisés et autres informations . Dans les années précédant la guerre il se livrera aussi à la photographie en stéréoscopie, technique photographique très utilisée à l’époque. Le fonds photographique dédié au massif du Mont-Blanc a été numérisé par la maison du Patrimoine de Chamonix à des fins de conservation. Une exposition a même eu lieu durant l’hiver 2014-2015, à l’occasion de laquelle furent présentées des centaines de photographies réalisées par plusieurs auteurs, dont Georges Catherine pour plus d’une dizaine de vues. (Maison de la Mémoire et du Patrimoine Janny Couttet 90 rue des Moulins 74400 Chamonix https://www.chamonix.com/maison-de-la-memoire-et-du-patrimoine-janny-couttet,48-209704,fr.html)
  2. ébénisterie, un peu plus surprenante est cette activité de loisirs, comme il la définit. Bien sûr, il est habile. La pratique du violon comme la préparation des papillons exigent une certaine dextérité. Durant la guerre, la fabrication de coupe-papier en bois lui a peut-être inspiré cette envie d’approfondir ses connaissances dans le domaine de la manipulation et du façonnage des bois. Il se lance donc dans cet artisanat du bois et, entre les années 1919 et 1940, il réalise une bonne vingtaine de meubles et accessoires. Cet aspect des activités de Georges Catherine nous éloigne sans doute de la musique et de l’entomologie mais, avec une rigueur identique à celle qu’il appliquait à ses activités de lépidoptériste, il a laissé un catalogue très précis de ses créations mentionnant l’origine des bois, le modèle d’inspiration, les fournitures et le coût ! Bien entendu, il les photographie, documents conservé par la famille. La première de ses créations est un buffet-crédence réalisé au moyen de bois provenant des anciens ateliers de la bijouterie Guillemin Frères et de bois de lits récupérés. Il s’inspire d’un baptistère de Trédrez, en Bretagne. Les frais de fournitures s’élèvent à 146 francs. La photographie est réalisée le 21 avril 1925 avec une plaque Lumière Ʃ. Tout est consigné, ce qui confirme sa volonté de noter de façon aussi complète que précise, comme le fait l’entomologiste. Il va ensuite réaliser, entre autres, un petit bureau « bonheur-du-jour » Louis XVI, une table à coiffer Louis XV, une commode, des consoles, un cabinet à faux tiroirs, un buffet à deux corps (une partie du bois provient de l’ancien buffet d’orgue de l’église de Nesles-la-Vallée, commune sur laquelle il chasse !), des armoires, des coffres, un pupitre, etc. À la liste de tous ces meubles, fabriqués dans un simple appartement, il convient encore d’ajouter son propre bureau de travail dont il donne le descriptif dans son recueil d’ébénisterie. Tous ces meubles ont été dispersés à l'exception du bureau (voir photo).[1]
  3. montagne

Notes références[modifier | modifier le code]

  1. François (Bernard), 2018. — Georges CATHERINE. Un musicien lépidoptériste au Mont-Blanc. Alexanor, 28 (5), Supplément hors-série : (1)-(424), 270 fig. n. et bl. et coul. (Illustr. photogr., fac-similés et cartes) ISBN 978-2903273-16-3
  2. Société des Concerts Lamoureux
  1. Bernard FRANÇOIS, Georges CATHERINE Un musicien lépidoptériste au Mont-Blanc, Paris, ALEXANOR, , 422 p. (ISBN 978-2-903273-16-2[à vérifier : ISBN invalide]), p. 80 Chapître VIII La photographie