Utilisateur:Khaled Bouchoucha/Brouillon

Khaled Bouchoucha, né le 24 juin1987 à Nabeul ( Tunisie ) est un entrepreneur et ingénieur. Il est le PDG et fondateur de la société IRIS Technologies leader african spécialisé en design et développement des solution technologiques de pointes dédiées à l'apiculture.

Débutant sa carrière professionnelle en tant qu'ingénieur de maintenance aéronautique à Sabena Technics basée à l'aéroport de Monastir, il a décidé de changer de cap pour s’intéresser aux abeilles.

Il est le fondateur de IRIS Technologies et cofondateur de Ozone corp. Il propose l'intégration de l'internet des objets, le Big Data, Le could computing, l'intelligence artificielle et la biologie de l'abeille afin de comprendre de plus près l'abeille et maitriser davantage la chaine de valeur apicole. Il exprime son souhait de contribuer à lutter contre le syndrome d'effondrement des colonies d'abeilles sauvant ainsi l'abeille premier responsable de pollinisation.

== Biographie ==

Enfance[modifier | modifier le code]

Cette page est un brouillon appartenant à Khaled Bouchoucha

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Activités Associatives & Artistique[modifier | modifier le code]

Inspiration et Genèse des techno-ruche[modifier | modifier le code]

L’idée est née pendant l’été de 2011 quand le père de M. Bouchoucha, un prof de maths et apiculteur amateur s’est plaint à maintes reprises de la rentabilité de ses ruches. Une vague de chaleur qui lui a valu 5 ou 6 ruches, une mauvaise gestion et une absence de l’information à temps, figurent parmi les facteurs qui ont poussé le jeune ingénieur à étudier la possibilité d’agir sur le climat à l’intérieur des ruches. Par ailleurs, ses recherches l’ont conduit à des chiffres inquiétants et urgents l’élaboration d’une solution radicale. En effet, la moyenne nationale de production de miel est de 8kg/ruche par an. La moyenne européenne quant à elle est de 30kg/ ruche/ an. Le constat qui s’impose : l’approche biologique n’était pas réellement efficace, c’est le moment de se lancer dans une solution basée sur la technologie.

Pour Khaled Bouchoucha, l’équation était simple, des abeilles heureuses c’est des abeilles nettement plus productives, et si les génies de la technologie à l’instar des japonais ont eu l’idée et les capacités d’introduire la technologie dans quasiment tous les domaines, il se pourrait qu’ils aient oublié un, l’apiculture. A ce stade, des recherches poussées sur les abeilles étaient menées par des états tels que le Canada, mais il n’y avait pas de réelle solution disponible sur le marché disponible afin d’augmenter la rentabilité des ruches. L’opportunité s’est annoncée, l’idée s’est métamorphosée en un plan.

Quête du financement[modifier | modifier le code]

Là où il n y a pas de prise de risque, il n y a pas d’entreprenariat. Les risques qu’a courus Khaled Bouchoucha se regroupent sur trois axes aussi importants les uns que les autres, à savoir les fonds, les collaborateurs, et l’encadrement. Il faut savoir que le coaching et le mentorat sont aussi vitaux que l’argent pour une start up. L’entreprenariat est une aventure, l’idée a beau être innovante et brillante, elle peut facilement échouer à cause d’une mauvaise gestion des ressources et des priorités ou à un simple manque d’informations.

Aujourd’hui, il existe en Tunisie de plus en plus de structures de financement dédiées aux promoteurs tunisiens, ce qui n’était pas le cas avant la révolution. Cependant, le plus grand défi réside dans la méthode de la recherche de fonds. INTILAQ, une plateforme résultant du partenariat entre Qatar Friendship Fund, Ooredoo et Microsoft lancée dans le but de soutenir les jeunes entrepreneurs tunisiens est l’un des principaux investisseurs dans le projet de Khaled Bouchoucha. Sa recherche de financement a commencé par une inscription en ligne à la plateforme dédiée à cet effet. L’idée a ensuite été évaluée lors d’une phase de pré-sélection, a été finalement présenté devant le jury et a remporté 160 000 milles dinars. Sous-capitalisé, Il cherche à fortifier son entreprise via la participation dans plusieurs concours d'entreprenariat. En fin 2015, indépendamment de la conjoncture économique difficile, Khaled Bouchoucha a su levé 380 000 dinars comme un capital d'amorçage, principalement, de INTILAQ, CAPITALease et Startup Factory.