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Utilisateur:Gouvernement officiel/Brouillon

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Royaume de Clarencie[modifier | modifier le code]

Le Royaume de Clarencie, plus communément appelé « Clarencie », « Gouvernement Officiel », est un Etat d’Europe occidentale. La Clarencie est une monarchie constitutionnelle parlementaire unitaire. Le chef de l’Etat est le roi Guillaume Ier depuis le 12 février 2020, mais l’exécutif est entre les mains du Chancelier National, poste détenu par Clarence Szkoda depuis la création du pays. Le pouvoir législatif est détenu par le Parlement, divisé en deux chambres, la chambre basse étant l’Assemblée Nationale et la chambre haute le Sénat. Sa plus grande ville et capitale est Saint-Germain-en-Laye, les institutions demeurant dans la commune de Chatou. Au niveau culturel et dans la fiction, la ville de Saint-Clarence est considérée comme capitale. La Clarencie a la particularité de disposer d’aires d’influence et de territoires de différentes formes. Il y a tout d’abord les lieux physiques de réunion dans lesquels les affaires et l’influence gouvernementales et parlementaires sont très importantes (Chancellerie, lycée Saint-Erembert, lieux de résidence des ministres). On trouve ensuite les différents comtés regroupant les communes yvelinoises, varoises et haut-savoyardes revendiqués par le gouvernement et dans lesquelles l’influence gouvernementale est moindre mais existante. Il y a ensuite les différents projets plus ou moins originaux et les territoires fictionnels, généralement issus de l’imaginaire du chancelier, du Parti Balkanyste et du Ministère de l’Information et de la Communication. Enfin, le Royaume est muni de différents groupes et serveurs sur internet ayant permis le développement de l’Etat durant le confinement du printemps 2020, l’âge d’or du gouvernement. Nation discrète mais active, la Clarencie a réussi à fédérer des groupes de personnes assez différentes et constitue un projet de micro-Etat imparfait mais réussi, tant sur le plan politique que sur le plan social et amical.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom du pays « Clarencie » vient du prénom de son fondateur, le Chancelier National Clarence Szkoda. La désignation « Gouvernement Officiel » est également utilisée pour désigner l’ensemble des citoyens disposant de ministères, soit environ 36% de la population, et de facto l’Etat lui-même.


Histoire[modifier | modifier le code]

Fondation de l’Etat[modifier | modifier le code]

Le 7 juin de l’an de grâce deux-mil-dix-neuf, deux jeunes illuminés décident de fonder un gouvernement. Quelles étaient leurs motivations ? Excellente question. Une chose est sûre, ce genre d’affaires gouvernementales, la plèbe de Saint-Erembert n’en était pas à son coup d’essai. En effet, l’année 2016 avait connu le « Grand Conseil », l’année 2017 l’âge d’or du Point-Virgule et de l’économie qui lui était associée, et l’année 2018 avait vu naître le premier gouvernement, celui de la Kaiserin Claire Ière, un gouvernement certes peu démocratique mais qui inspira les jeunes ministres-élèves Clarence Szkoda et Benoît Leclercq. Le gouvernement de la Kaiserin s’effondra malheureusement après quelques semaines face à la tyrannie de la 3ème6, l’Obersturmführer local n’approuvant guère les plans de conquête quelque peu originaux de la jeune monarque. Un peu plus d’un an après les faits, comme nous l’avons dit, les deux ex-ministres décidèrent de revisiter à leur sauce cette aventure gouvernementale. D’un commun accord, le sire Leclercq, futur militaire, pris le poste de Ministre de l’Intérieur ; le poste de Premier Ministre (qui fut par la suite renommé en « Chancelier National »après l’adoption de la Constitution) revint au sire Szkoda. Néanmoins, les seules actions de ce pré-gouvernement avant la fin de l’année de Seconde furent l’organisation d’une armée, le refus d’adopter une constitution médiévale et l’adoption d’une ligne de conduite plus libre et paisible que celle de la Kaiserin. L’été arriva, et le Premier Ministre fraîchement nommé/élu (on ne sait toujours pas si cette façon de fonctionner est démocratique mais elle n’a pas vraiment été remise en cause, si si je vous assure) commença à recruter des citoyens et ministres. Il acquit à sa cause trois premiers citoyens lors d’un séjour dans la charmante ville du Pradet (Var), qui fut par la même occasion colonisée, même si appeler ça une « cause » est un bien grand mot compte tenu de l’absence de projet. C’est peut-être ça le talent, rameuter des gens sans grande raison. Par la suite, aucune action gouvernementale n’eut lieu durant l’été, si ce n’est quelques sombres activités de propagande et d’espionnage au sein du fief haut-savoyard du Premier Ministre. La rentrée, c’est pour beaucoup la fin d’une ère bénite, pour d’autres c’est l’occasion de fonder une secte. Le Premier Ministre avait, en deux mois, eu le temps d’oublier qu’il était Premier Ministre. C’est évidemment une hyperbole, mais on comprendra là qu’il avait d’autres chats à fouetter (notamment le sien). Parenthèse de courte durée, puisque du jour au lendemain, il décida de ressusciter le projet. Il recruta alors des ministres parmi ses amis, faisant peu à peu fusionner différents groupes de personnes pour former un groupe d’amis plus vaste. Le Premier Ministre ne se soucia au départ que très peu de l’aspect démocratique des lieux, nommant ministres comme parlementaires, mais leur assurant néanmoins un champ d’action plus vaste. Etant bien évidemment un homme d’une humilité sans pareil et sur conseil du co-fondateur Leclercq, il fut décidé de mettre un monarque sur le trône, une personne qui serait capable de fédérer le peuple gouvernemental (faute de nom, l’Etat s’appelait Gouvernement Officiel, d’autant plus que sur la dizaine de citoyens initiaux, tous étaient ministres). Ce fut l’ancienne Kaiserin qui devint reine, car après tout elle était à l’origine du concept de gouvernement en ces bas-fonds. Claire Ière fut couronnée, le groupe WhatsApp gouvernemental fut créé le 19 septembre et le peule était content.

Le peuple était content certes mais il manquait quelque chose : une Constitution. Après une petite étude de différentes constitutions, le Premier Ministre qui allait devenir le Chancelier mit en place en 20 minutes sur le fauteuil rouge du CDI lycée son nouveau système constitutionnel. Un samedi où il n’y avait pas de devoir surveillé, le Premier Ministre s’attela à la rédaction du texte sacré, et 30 articles plus tard, la Constitution du 6 octobre 2019 est née et adoptée par le nouveau Sénat. Il fallut également trouver un nom à l’Etat, qui sur proposition du gouvernement, devint « Royaume de Clarencie », du nom du Chancelier-fondateur.

L’ère de la reine Claire[modifier | modifier le code]

Les débuts du règne de la nouvelle reine furent marqués par l’adoption des premières lois, parfois loufoques. La loi clarençaise est par défaut la même que celle de la République Française, et chaque nouvelle loi passée au Parlement de Clarencie j’ajoute ou amende la loi française. La première loi clarençaise fut d’instaurer la poule au pot en plat national. Cela donne le ton de la ribambelle de lois originales passées par la suite entre octobre et décembre 2019, malgré le vote de lois sur des sujets plus sérieux comme les taux d’imposition, l’accès à la citoyenneté, l’administration des territoires et la création des comtés et la défense nationale (avec comme fameux projet celui de construire des Katiouchas Soviétiques pour défendre le pays, projet finalement réalisé grandeur nature sur… Minecraft). Le 1er octobre 2019 est votée la loi de « Collectivisation des Jardins », rendant chaque jardin d’un citoyen territoire à part entière du gouvernement. Cette loi fut étendue en mars 2020 à toutes les communes dans lesquelles réside au moins un citoyen et dans laquelle au moins deux citoyens y ont pratiqué une action en lien avec le gouvernement. La Justice fit aussi son apparition, avec des procès assez douteux qui ne respectaient absolument pas la législation mais qui avait le mérite d’être indépendante de l’exécutif, c’est déjà ça me direz-vous. L’Etat était donc bien lancé. En décembre 2019, le Chancelier et la reine remanièrent pour la première fois le gouvernement et firent quelques adaptations. Le gouvernement dit « Szkoda » (pour reprendre les termes officiels) laissa la place au gouvernement « Szkoda II ». Ainsi se termina l’année 2019, l’an 0 du gouvernement, bercé par des projets de lois loufoques. Néanmoins, quelque chose manquait à l’idéal gouvernemental : c’est bien beau de rassembler des gens, de voter, de débattre et de faire des traits d’esprit sur tout et n’importe quoi, mais encore fallait-il trouver un objectif commun à tout cela. Le gouvernement d’alors ne l’avait pas encore trouvé, mais les choses allaient évoluer. Le 31 décembre 2020 fut pour beaucoup une soirée festive pour fêter la nouvelle année (ah, s’ils savaient…). La Chancelier, quant à lui, la passa à organiser les nouvelles institutions de l’Etat, qui jusque à étaient assez peu claires. Il instaura une meilleure administration qu’il tenta, avec un succès discutable, de décentraliser et un tableau public des attributions officielles. Le comptage des citoyens et un projet de cartes d’identité virent le jour (24 citoyens au 31 décembre). Alors qu’il pensait que ce beau projet gouvernemental touchait à sa fin, il ignorait que ce n’était que le début. 2020. Une sacrée années n’est-ce pas ? Et bien en janvier, non. L’Etat fut assez peu actif à cette époque. Crise législative sans doute. La Constitution gagna tout de même deux nouveaux articles, le nombre de postes cumulables fut fixé à deux, et le Ministère des Affaires Etrangères proposa quelques déclarations de guerre. Le suffrage censitaire fut également adopté mais jamais précisé dans la Constitution ni appliqué. Bref, il était grand temps de changer le Parlement. Mais avant cela, pourquoi ne pas changer de monarque ?

L’ère du roi Guillaume Ier[modifier | modifier le code]

Le 12 février 2020, coup de théâtre. La reine Claire abdique. Ancienne Kaiserin et femme de poigne, elle considérait que son rôle ne lui accordait que trop peu de pouvoir (les lettres de cachet lui étant néanmoins accordées sous certaines conditions, ce n’est pas rien). Conformément à la Constitution, elle nomma son successeur alors président du Sénat : Guillaume de Montgolfier, qui devint au cours d’une courte cérémonie le roi Guillaume Ier de Clarencie. Un grand homme, il marquera l’histoire. Il fut remplacé à la présidence du Sénat par l’illustre Raphaël Gomez. Le temps de la démocratie vint peu après. Le peuple choisit en effet le 4 mars 2020 de dissoudre l’Assemblée Nationale et le lendemain, 5 mars 2020, les premières véritables élections libres et démocratiques de l’Etat eurent lieu. 9 députés furent élus, et ce juste à temps, car le 12 mars, on annonçait la fermeture des écoles. Le nouveau monarque pris publiquement la parole pour la première fois le 13 mars pour soutenir son peuple face à la pandémie de Covid 19. Un discours controversé où il parla de dictature, de revenu universel et de référendum douteux, classé sans suite.