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Utilisateur:Fiseliss/Brouillon

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Incipit de Un amour de Swann (analyse)[modifier | modifier le code]

A la recherche du temps perdu, Marcel proust

Marcel Proust compose entre 1913 et 1922 une somme romanesque intitulé A la recherche du temps perdu . Un amour de Swann et un récit qui provient de 1er tome de la recherche intitulé Du côté de chez Swann paru en 1913. Dans ce premier tome, le narrateur évoque d'abord ses souvenirs d'enfance puis il raconte la liaison amoureuse de Swann, amis de ses parents, avec une demi-mondaine, Odette de Crécy. C'est pour cette raison que ce récit est détaché de la recherche. Ce récit s'ouvre sur la présentation du salon des Verdurin, petits bourgeois ayant l'ambition de concurrencer les grands cercles mondains du Faubourg St Germain, quartier le plus prestigieux de Paris. Nous pouvons nous demander dans quelles mesures ce texte illustre-t-il la comédie sociale ainsi que le motif du Teatrum Mundi ?

Nous allons diviser notre texte en trois partie, en premier de la ligne 1 à 10 ou le narrateur associe le salon des Verdurin à une secte, en deuxième de la ligne 11 à 19 ou le narrateur dénonce la médiocrité sociale des membres du salon et en troisième de la ligne 19 jusqu'à la fin ou le narrateur fait un portrait indirect du couple Verdurin.

Le narrateur associant le salon Verurin à une secte[modifier | modifier le code]

On peut premièrement remarquer les phrases "petit noyau" "petit groupe" et "petit clan" ce qui démontre le fait que le cercle qui a été battit par les Verdurin est très restreint, le salon est décrit comme limité et donc médiocre. De surcroit on peut noté que ses phrases glorifie les membres du salon, ayant l'honneur de faire partit des "fidèles" du salon. Cette suite de phrase est une gradation croissante qui fait la satire des adeptes du salon.

par la suite, on remarque les deux phrases "il fallait adhérer facilement à un Credo" et "nouvelle recrue", phrases qui visent a accentué l'aspect religieux, voir sectaire du salon, ses phrases comparant implicitement le salon a une secte dont la cheffe est Mme de Verdurin. Tout au long du texte on va d'ailleurs pouvoir retrouver le champs lexical de la religion ("fidèle" "église" "orthodoxie"). Avec ses deux phrases on peut aussi deviner qu'il y avais des règles au seins de ce salon auxquelles ls fallait rapidement adhéré si ont ne voulais pas être brutalement répudié du petit cercle. Effectivement les membres de ce salon doivent avoir les mêmes gouts que Mme de Verdurin pour être promus dans la hiérarchie du salon.

Avec la phrase "toutes les "nouvelle recrue" à qui les Verdurin ne pouvaient pas persuader que les soirées des gens qui n'allaient pas chez eux étaient ennuyeuse comme la pluie, ils se voyaient immédiatement exclue" on comprend encore plus le climat social qui se déploie a l'intérieur du salon Verdurin qui critique les autres salons si ils ne veulent pas être exclue. On remarque aussi que les principales femme du salons ont été exclues car elles sont trop "curieuse" pour respecter les règles instauré par Mme de Verdurin .

La dénonciation de la médiocrité sociale des membres du salon Verdurin[modifier | modifier le code]

On remarque que Mme de Verdurin fait la promotion de personne très dépreciable au seins de la société du XXème siècle, en effet, les seules femmes qu'elle accepte dans sa secte sont premièrement la femme qui va séduire Swann et qui va jouer un rôle important dans le récit, Odette de Crécy, une cocotte que l'on peut assimiler a une "prostitué" qui se lie avec les personnes les plus fortuné en échange de leurs argent. Deuxièmement on a la tante du pianiste qui est un personnage fortement aimé de Mme de Verdurin, cette femme qui a appartenue a la classe moyenne (elle était avant concierge), nous n'avons pas plus d'information sur elle au cours de l'incipit d'Un amour de Swann . Le narrateur associe aussi les Verdurin comme vertueux, en effet ceux-ci accueillent des personnes peut recommandable de la société de son siècle.

Le narrateur dit aussi que Mme de Verdurin est "excessivement riche est entierrement obscure", effectvement il dit implicitement que celle ci est issue de la petite bourgeoisie et se permet en étant médiocre de critiquer des personne s'illustrant brillamment dans leurs monde comme la duchesse de Guermantes.

Le portrait indirect du couple Verdurin[modifier | modifier le code]

Dans la phrase "les Verdurin n'invitaient pas a dîner : on avait chez eux "son couvert mis"" on devine qu'il n'y avait pas, au contraire des grands salon, d'invitation pour les Verdurin qui s'opposent donc aux grand salons mondains très réglementé et cette idée est renforcé avec la phrase suivante : "il n'y avait pas de programme", en effet, on peut venir chez les Verdurins comme ont veut.

Le salon est aussi décrit par M de Verdurin comme une grande famille, effectivement avec sa déclaration exclamative "tout pour les amis, vive les camarade !" on remarque que le salon est comme une grande famille, ce qui se pose en antithèse avec la première partie du récit ou le salon est décrit comme sectaire et donc refermé sur lui même. On remarque aussi que le pianiste des Verdurin est assimilé ici comme un très grand pianiste, en effet il est ici présenté comme pouvant jouer "la chevauchée de la Walkyrie" ou "le prélude de Tristan" qui sont des morceaux écrit par Wagner, un pianiste extrêmement talentueux de leurs siècle.

Durant la lecture de la phrase "lâchait, comme disait Mme. Verdurin "une grosse faribole qui faisait s'esclaffer tout le monde"" on peut aussi deviner que le salon des Verdurin a une connotation très grossière, une satire du narrateur qui vise a décrédibiliser complètement le salon Verdurin et aussi le couple Verdurin don le marie est "l'esclave" de sa femme.

La dernière réplique, elle, vise a rajouter encore un éléments satirique pour finir de bâtir le portrait du salon Verdurin, "le docteur Cottard dut un jour remettre sa mâchoire qu'elle avait décrochée pour avoir trop ri", cette phrase a en effet pour cause d'achever la destruction du salon Verdurin alors que le récit ne vient que de finir d'être introduit.

Conclusion[modifier | modifier le code]

Pour conclure nous pouvons dire que la présentation du salon Verdurin est enfait une satire, le narrateur est ironique qui ridiculise les ambitions des Verdurin a imiter les grand salon aristocratiques. Mme et M de Verdurin sont ici présenter comme des carricature du monde mondain, ils sont en effet pourvu d'un bassesse sociale inégalé et d'une médiocrité intellectuelle hors norme. Mme Verdurin et en sus décrite comme un "gourou" et comme une actrice qui jour dans son théâtre qui n'est autre que son salon.

L'incipit d'un amour de Swann fait un rapprochement avec les critiques des coteries des Caractères écrit par Labruyère, avec seulement un changement de décors et d'interprète des personnages, le grand siècle a remplacer la belle époque.