Utilisateur:Farid Daoudi/Brouillon

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« L'Algérie aléatoire - Ses maux-clés endogènes -Une matrice transversale de sous-développement » est le titre d’un essai de Farid Daoudi , comportant 900 pages documentées, exposant sur 21 parties la problématique d’un pays en quête d’émergence économique et de reconnaissance sur le devant de la scène internationale. Il est consultable et téléchargeable sur le site Tribune-diplomatique-internationale.com du même auteur, lui consacrant un large espace dans son menu. En outre, des médias électroniques en font référence documentaire : Les7duQuebec.com, ReseauInternational.com, Reporters.dz, Lequotidien-oran.com, etc. … . .

« Incroyablement riche et fertile, pointant du doigt les problèmes pour mieux leur apporter des remèdes ou souligner les inflexions nécessaires, voici un texte qui se met au service de tout un peuple pour mieux l’assister et le guider dans ses transformations. » indique-t-on.   A la fin de l’ouvrage, l’auteur ne manque pas également d’y ajouter :  “ Je dédie cet ouvrage, à la nouvelle génération, et à nos gouvernants actuels.  Puisse -t-il être utile dans la réflexion autour des préoccupations citoyennes et des enjeux démocratiques qui animent l’Algérie dans ses multiples défis.”

Farid Daoudi, né le à Alger est journaliste, fonctionnaire, chercheur universitaire associé à l’université Alger3, documentariste et essayiste, résidant à Tlemcen.

Biographie[modifier | modifier le code]

Enfant orphelin à l’âge de deux ans (fils d’Ali et de Zerarka Hassiba), sans profession, il fut recueilli par ses grands parents maternels, Abdelkader Zerarka (originaire de Khemis Meliana), poissonnier à Alger au marché de Belcourt et Fatma-Zohra Hamroun (native d’Azzefoun).

En 1966, il obtient un double baccalauréat, français et algérien au lycée El Idrissi d’Alger, puis, fut admis à la session de rattrapage au CPEM à la faculté de médecine de l'université d'Alger (1966 -1967). Il réussit ensuite à se faire admettre à suivre des études polytechniques à Moscou et à Kiev en ex-URSS. À la fin de 1971, il émigre en France et suit des études d’électroniques à l'institut universitaire de technologie du Havre et de Calais (1973 – 1975). A l’université Paris VIII, il obtient une licence et maîtrise en Administration économique et sociale (option bases de données), et obtient également une licence en langues slaves à dominante russe (1985). Au sein du mouvement étudiant, il sera élu (1976-1978) secrétaire général de l’AEMNAF (association des étudiants musulmans nord-africains en France).

En 1985, Il obtient au sein de l’hebdomadaire de la CGT La vie ouvrière sa carte de journaliste professionnel délivrée par la commission nationale d’identité professionnelle suite à une série de stages effectués dans la presse écrite et télévisuelle (CFPJ, INA).

En septembre 1987, il est recruté comme secrétaire général du CNDPI (documentation de presse) et initie la revue mensuelle L’Algérie Aujourd’hui. Il effectuera à Rabat (Maroc) à l’invitation du centre de documentation économique maghrébin une mission prospective d’une semaine et participera à un séminaire maghrébin portant sur la mise en place du réseau maghrébin de documentation associant le centre de documentation de Tunis avec le concours du CRDI du Canada (Otawa).

Puis en décembre 1988, il est appelé à occuper le poste de sous-directeur du département de la communication au Premier ministère (gouvernement de Kasdi Merbah). A ce poste, il réalise, durant 1989, 14 pages spéciales de télévision consacrées aux visites programmées par un « gouvernement de terrain ».

En 1990, il s’installe à Tlemcen en tant qu’attaché de cabinet chargé de la presse et de la communication et initie un séminaire national sur la communication lequel donnera lieu à la création des cellules de communication à l’échelon des wilayas du pays. En outre, il confectionne une vingtaine de numéros mensuels de la revue L’Echo de Tlemcen ainsi qu’un documentaire télévisé de 52 minutes intitulé Destination Tlemcen, une région aux multiples potentialités économiques et culturelles.

En l’an 2000, en tant que correspondant du quotidien national El Moudjahid, il remporte le prix du journalisme « Paix, Culture et Développement » organisé par l’association des journalistes de la wilaya de Tlemcen.

En 2012, invité à titre individuel, il effectuera un séjour d’études de 3 mois et demi au Canada (Toronto et Montréal) pour fréquenter l’université du Québec, Radio Canada, la Grande Bibliothèque publique de Montréal et s’enquérir des conditions de vie et de travail des compatriotes algériens résidents.

Il s’attela durant les années 2014-2018 à confectionner un essai multi-thématique (21 sections) de 900 pages intitulé L’Algérie aléatoire – ses maux-clés endogènes – Une matrice du sous-développement. Constatant le manque d’audace de l’édition algérienne, il fonde le site journalistique La Tribune Diplomatique internationale qui consacrera à cet ouvrage un large espace dans son menu déroulant.