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Chaykhana (Maison de thé) à Baku, 1888

Le thé en Azerbaïdjan est consommé de quasiment la même façon qu'en Asie centrale et de l'Asie de l'Ouest. Il est en tout cas fortement lié à l'hospitalité et est constament proposé aux invités; très ancré dans la culture et les traditions, la plupart des interactions avec les visiteurs commencent par des invitations à boire le thé[1]. La phrase "Çay nədir, say nədir", qui peut être traduite par "Quand on boit le thé on ne compte pas les tasses" donne une idée de comment se déroule une discution autour de la boisson chaude.

Production[modifier | modifier le code]

En Azerbaïdjan la production de thé se concentre dans le sud du pays, dans la region de Lenkéran-Astara, le climat humide de cette region, coincee entre la mer caspienne et les monts Talych, en fond l’endroit parfait pour la culture du the.[2]

Consommation[modifier | modifier le code]

Les feuilles de thé sont en génèrales infusées en grande quantité dans une théière ce qui produit un liquide très fort. Ce thé est ensuite versé en petite quantité dans la tasse et est dilué avec de l'eau chaude. Il est ainsi possible de gérer la force de son thé. Il est servit sans lait mais le sucre lui, est consommé sans limites. Les carrés de sucre ne sont pas ajouté dans le thé mais sont pris directement dans la bouche. En addition du sucre, il est commun qu'un bout de citron soit ajouté, parfois aussi du thym, de la menthe, de la canelle, du gingembre ou encore de l'eau de rose, des propriétés curatives pour l'estomac leurs etant prétées. Comme accompagnement sur la table, des pâtisseries, des fruits et des confitures.

Traditions[modifier | modifier le code]

Le thé est but dans un verre en forme de poire appelé Armudu. Il est courament pensés que les propriétés thermodynamique dût à sa forme permettent de garder le liquide en-bas chaud plus longtemps et celui en-haut moins longtemps (des études restent à faire).

Les Azéris vont égallement boire dans les maisons de thé traditionnelles (Chaykhana). Dans le passé, les femmes étaient interdites d'accés aux lieux publiques, cela va de même pour les maisons de thé, c'est pourquoi celles-ci sont encore aujourd'jui essentiellement cotoyées par les hommes.

Une légende urbaine dit qu'au moyen-âge, pour savoir si le thé était empoisonné, un carré de sucre était rapidement trempé dans la boisson, croyant que celui-ci allait réagir avec le liquide mortel; cette coutume est toujours pratiquée.

L'eau est souvent chauffées dans des Samovar, l'occupation russe aillant laiss des traces dans la tradition. {{Portail|agriculture et agronomie|thé|alimentation et gastronomie|Azerbaïdjan}} [[Catégorie:Azerbaïdjan]]

Impact d'une goutte d'eau

L'objectif de la politique nationale de l'Azerbaidjan concernant la gestion des ressources d'eau est de développer une stratégie d'état en accord avec différentes conventions et principes inscrits dans la "Convention sur la protection et l'utilisation des eaux transfrontalières"[3] de la commission économique pour l'Europe des Nations unies, les directives cadres de l'union européenne concernant l'eau et la santé[4] , ainsi que d'autres principes des nations unies et de l'Union Européenne.[réf. nécessaire]

Histoire[modifier | modifier le code]

Durant la fin des années 80 et le début des années 90 de gros problèmes de distribution d'eau ont touché la ville de Baku et la région de la péninsule d'Apchéron. La population n'avait accès à l'eau que 6 heures par jour par-exemple et les pertes dues au mauvais maintient du réseaux étaient élevées.[5] Dans ces ciconstances le nouveau gouvernement azéri créa la "Compagnie régionale des eaux" en 1995[6]. L'Azerbaidjan fût le premier pays de la CEI a recevoir un prêt de la Banque Mondiale, pour remettre à jour son systeme de distribution d'eau, avec des résultats plutôt positif sur le plan technique. [7]

Réserves et sources d'eau potables[modifier | modifier le code]


Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. (en) Culturegrams, Africa, Asia, and Oceania: Culturegrams, Ferguson Publishing Company, , 19 p.
  2. « Le thé noir en Azerbaïdjan » (consulté le )
  3. (en) « United Nations Treaty Collection » (consulté le )
  4. (en) « Report on implementation of the European Union Water Initiative National Policy Dialogues on Integrated Water Resources Management and on Water Supply and Sanitation » (consulté le )
  5. (en) « History of Azersu » (consulté le )
  6. (en) « Azerbaijan - Greater Baku Water Supply Rehabilitation Project », World Bank. 2006. (consulté le )
  7. (en) « World Bank, Azerbaijan - Greater Baku Water Supply Rehabilitation Project » (consulté le )

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