Rue Cognacq-Jay

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7e arrt
Rue Cognacq-Jay
Voir la photo.
Rue vue en direction de la place de la Résistance.
Voir la plaque.
Situation
Arrondissement 7e
Quartier Gros-Caillou
Début rue Malar
Fin 3, avenue Bosquet et 1, place de la Résistance
Morphologie
Longueur 224 m
Largeur 18 m
Historique
Création 1928
Géocodification
Ville de Paris 2179
DGI 2177
Géolocalisation sur la carte : Paris
(Voir situation sur carte : Paris)
Rue Cognacq-Jay
Géolocalisation sur la carte : 7e arrondissement de Paris
(Voir situation sur carte : 7e arrondissement de Paris)
Rue Cognacq-Jay
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La rue Cognacq-Jay est une rue du 7e arrondissement de Paris.

Situation et accès[modifier | modifier le code]

La rue est située en bordure de la Seine sur la rive gauche, près du pont de l'Alma. Longue de 224 mètres, elle commence rue Malar et finit au 3, avenue Bosquet et au 1, place de la Résistance.

Le quartier est desservi par la ligne C du RER à la gare du Pont de l'Alma.

Origine du nom[modifier | modifier le code]

Ernest Cognacq.

La rue est nommée en mémoire d'Ernest Cognacq et de son épouse Marie-Louise Jaÿ, fondateurs du grand magasin de La Samaritaine.

Historique[modifier | modifier le code]

La rue est située sur la partie centrale de l'ancienne île des Cygnes, rattachée à la terre ferme partiellement en 1786 et entièrement en 1812 par comblement d'un bras de la Seine.

Cette rue est ouverte sous sa dénomination actuelle par un arrêté du dans un lotissement appartenant à Ernest Cognacq sur le terrain de l'ancien parc d'attractions « Magic City »[1] fermé en partie en 1925, qui avait été lui-même établi en 1900 à l'emplacement de l'ancien magasin central des hôpitaux militaires.

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire[modifier | modifier le code]

No 15 : plaque en hommage au résistant Alfred Lelluch (1900-1944).
No 22.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Compte rendu de la séance du lundi 19 mars 1928 », Bulletin municipal officiel de la Ville de Paris, 21 mars 1928, sur Gallica.
  2. Antoine de Baecque, Godard : biographie, Paris, Fayard/Pluriel, coll. « Grand Pluriel », (1re éd. 2010), 960 p. (ISBN 978-2-8185-0132-0), p. 19.
  3. Liste par ordre alphabétique et par départements de Mesdames et Messieurs les Députés, 1952, p. 49.
  4. Alexis Markovics (sous la direction de François Loyer), « Un architecte des années 30 à Paris », Paris patrimoine, histoire de l’architecture et archéologie, no 1, 2004.
  5. Protections patrimoniales, 7e arrondissement, Ville de Paris, Règlement du PLU, tome 2, annexe VI, p. 220 à 223.

Annexes[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]