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Projet:Sources/Chez Manon/Technique « Harvard » exemple 1

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Cet article, fictif, est destiné à étudier les avantages et inconvénients de la technique de sourçage par:

Un tutoriel explicitant cette technique est disponible ici: Aide:Références Harvard

Les avantages et inconvénients sont à commenter dans le cadre bleu, en bas de la page.

Bon comestible, le pouce-pied a longtemps été une source de nourriture pour les habitants des côtes. Depuis de nombreuses années, une forte demande existe pour cette ressource en Espagne et au Portugal où il est particulièrememt prisé[1],[2].

Il a fait l’objet d’une pêche intensive qui a conduit à une surexploitation[3] et à un fort déclin de ses populations dans plusieurs régions[1]. La faible productivité de l'espèce, liée à une croissance lente et à une possibilité d'implantation réduite en raison d'exigences écologiques fortes, en fait une ressource peu abondante et fragile à l’exploitation[1].

Noms vernaculaires et taxinomie[modifier | modifier le code]

Le nom binomial officiel du pouce-pied de l'Atlantique Est est Pollicipes pollicipes, toutefois deux autres noms scientifiques sont encore en usage mais non valides : Pollicipes cornucopia (Leach, 1824)[3],[4] et Mitella pollicipes (Gmelin, 1790)[4]. Pollicipes vient du latin pollex (pouce) et de pēs (pied).

Il existe de nombreux noms vernaculaires pour cet animal : pouce-pied[5] (ou pousse-pied, poussepied), qui viendrait du fait que le pédoncule ou pied ressemble à un pouce dressé, mais aussi operne, pied de biche, lanperna au Pays basque et pas-e-bez en Bretagne.

Les espagnols le nomment « percebes »[6] et les portugais « perceves ».

Deux autres espèces appartiennent également au genre Pollicipes, vivant dans des conditions analogues, c’est-à-dire sur les rochers marins battus par la houle :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Ouvrages[modifier | modifier le code]

  • Document utilisé pour la rédaction de l’article (en) Charles Darwin, A monograph on the sub-class Cirripedia, with figures of all the species, Londres, Ray Society, , 684 p. (lire en ligne)
  • Girard S., Étude du stock de pouces-pieds de Belle-île et de son exploitation, Rennes, ENSAR, , 79 p.
    Mémoire de fin d’études
  • De Kergariou G., Le pouce-pied (Pollicipes cornucopiae Leach) sur les côtes de Belle-Île, ISTPM,
  • Document utilisé pour la rédaction de l’article (es) Molares J., Estudio del ciclo biológico del percebe (Pollicipes cornucopia Leach) de las costas de Galicia, Xunta de Galicia, (ISBN 84-453-1200-6)
    Tesis doctoral

Articles[modifier | modifier le code]

  • (en) J. Quinteiro, J. Rodríguez-Castro et M. Rey-Méndez, « Population genetic structure of the stalked barnacle Pollicipes pollicipes (Gmelin, 1789) in the northeastern Atlantic: influence of coastal currents and mesoscale hydrographic structures », Marine Biology, vol. 153, no 1,‎ , p. 47–60 (ISSN 0025-3162, DOI 10.1007/s00227-007-0783-0, résumé)
  • Document utilisé pour la rédaction de l’article (en) J. Molares, F. Tilves et C. Pascual, « Larval development of the pedunculate barnacle Pollicipes cornucopia (Cirripedia: Scalpellomorpha) reared in the laboratory », Marine Biology, vol. 120, no 2,‎ , p. 261-264 (ISSN 0025-3162, DOI 10.1007/BF00349686, résumé)

Sites web[modifier | modifier le code]

Références taxinomiques[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]


Avantages de cette technique
  • Les modèles de sources très complexes, avec de très nombreux paramètres, n'apparaissent que dans la bibliographie et pas dans le code des chapitres, ce qui les rend beaucoup plus faciles à modifier par les contributeurs débutants.
  • Un éditeur peut améliorer la présentation et la description de la source (utilisation d'un nouveau modèle, ajout de paramètres, d'url pour lire en ligne, etc.) sans compliquer le code du texte de l'article.
Inconvénients
  • Les modèles de sources très complexes, avec de très nombreux paramètres, n'apparaissent que dans la bibliographie et pas dans le code des chapitres, ce qui les rend beaucoup trop faciles à modifier par les contributeurs débutants! Émoticône
  • Il y a un "étage intermédiaire" entre les appels de références (les numéros) et les sources (dans la bibliographie).
  • Le résultat et la mise en page sont utilisables mais moins convaincants et moins élégants avec le navigateur « Internet Explorer », très répandu, qui ne surligne pas (ou pas encore) les cibles des références et qui n'organise pas (ou pas encore) les références sur deux colonnes.
Remarques
  • Dans quelques cas (auteur et date inconnus) le système Harvard (auteur-date) ne peut normalement plus être utilisé. Mais rien n'interdit de mélanger les références Harvard avec les références "classiques".