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PIND

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PIND (Punk Is Not Dead), sous-titré « une histoire de la scène punk en France (1976-2016) », est un projet de recherche porté depuis 2013 par le Centre d'études supérieures de la Renaissance et THALIM (Théorie et histoire des arts et des littératures de la modernité).

Initié et dirigé depuis 2013 par Solveig Serre, musicologue et historienne, chercheuse au CNRS [1] et Luc Robène[2] , historien, professeur à l'université de Bordeaux et musicien (Strychnine, Arno Futur, The Hyènes) le projet de recherche interdisciplinaire PIND[3],[4] regroupe une équipe interdisciplinaire composée de chercheurs, d'artistes, d'acteurs et d'activistes de la scène punk. Il bénéficie du soutien des Nouvelles éditions indépendantes, de l'Agence nationale de la recherche depuis 2016 et de la labellisation 80 ans du CNRS depuis 2019[5],[6].

Développement

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La presse régionale se fait l'écho de nombreuses manifestations tenues sous ce patronage ; celles-ci présentent la particularité d'allier réflexion scientifique et spectacle [7],[8],[9],[10],[11],[12]. Parmi d'autres, François Guillemot, ancien chanteur de Bérurier Noir et Molodoï, devenu ingénieur de recherche au CNRS (histoire du Viêt Nam), est intervenu plusieurs fois dans le cadre du projet PIND.

En , un colloque autour de l'histoire de Bérurier noir et du punk français est organisé par le projet PIND à la BnF[13]

Documentation

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Filmographie

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  • 2019 : PIND, « Punk is not dead. Une histoire de la scène punk en France », réalisé par Alexandra Ena pour CNRS Images

Bibliographie

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  • 2019 : De l’histoire de la scène punk à l’intelligence artificielle, le CNRS dévoile à tous la richesse de la science”, in Le Journal du CNRS, n°295, Hiver 2019, p. 15-16.
  • 2020 : Underground ! Chroniques de recherche en terres punk

Site officiel

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http://pind.univ-tours.fr/

Notes et références

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  1. « Solveig Serre | CESR », sur www.cesr.cnrs.fr (consulté le )
  2. FanXoa, « Quand le punk devient un objet de science » (consulté le )
  3. « « Punk Is Not Dead : Une histoire de la scène punk en France » : entretien avec Luc Robène », sur Revue d'histoire culturelle XVIIIe – XXIe siècle (consulté le )
  4. « Vidéo. Quand le punk devient un objet de science », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  5. CNRS, « La grande histoire du punk | Reportage CNRS » [vidéo], (consulté le )
  6. « Quand le punk devient un objet de science) », sur www.lemonde.fr, (consulté le )
  7. Stéphane C.Jonathan, « Punk is not dead », Sud-Ouest,‎ , p. 2
  8. Caroline Delabroy, « Marseille n’est pas qu’une ville de rap, c’est aussi une ville punk », sur 20minutes.fr, (consulté le )
  9. Grégoire Hallinger, « Plongée dans l’histoire du punk lorrain », sur vosgesmatin.fr, (consulté le )
  10. « Le punk n'est pas mort à Montaigu », sur ouest-france.fr, Ouest-France, (consulté le )
  11. Jean-Christophe Lalay, « Il y a 40 ans, la punk attitude de la Normandie », sur ouest-france.fr, Ouest-France, (consulté le )
  12. Christophe Casanova, « La culture punk se raconte à Marseille », sur lamarseillaise.fr, La Marseillaise, (consulté le )
  13. Laurent Carpentier, « Les punks de « Bérurier noir » squattent la BNF », Le Monde,