Monts du Zab
Cet article est une ébauche concernant la montagne et la géographie de l'Algérie.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
| Monts du Zab | |
 Localisation des monts du Zab en Algérie. | |
| Géographie | |
|---|---|
| Altitude | 1 313 m, Djebel Mimouna[1] |
| Massif | Atlas saharien |
| Administration | |
| Pays |  Algérie |
| Wilayas | Biskra, Batna |
modifier  |
|
Les monts du Zab, aussi appelés monts des Zibans, sont une chaîne montagneuse d'Algérie située à l'Est du pays et constituant une partie de l'Atlas saharien.
Toponymie[modifier | modifier le code]
La chaîne porte le nom de la région historique du Zab, terme tombé en désuétude qui désignait une vaste région, contiguë à l’Aurès[2].
Géographie[modifier | modifier le code]
Les monts du Zab font partie de l’Atlas saharien. Ils sont situés entre le massif de l'Aurès à l’est et les monts des Ouled Naïl à l'ouest[1]. Ils sont composés d'une série de monts : le Zab al-Gharbi ou Zab occidental et le Zab al-Chergui ou Zab oriental[3].
Les monts ont une position remarquable dans la partie rétrécie du bourrelet montagneux maghrébin et au débouché du grand axe méridien de communication de l’Est algérien : Skikda-Constantine-Batna-Biskra[4].
Le massif se trouve à l'ouest de la ville de Biskra[5]. À ses pieds s’étendent les oasis des Zibans[6]. La pluviométrie ne dépasse pas 300 mm par an[7].
Références[modifier | modifier le code]
- Monts du Zab, sur larousse.fr.
- Pierre Morizot, Romains et Berbères face à face, Errance, (ISBN 978-2-87772-858-4, lire en ligne), p. 34
- Mon beau pays : Les Ziban (I), Info Soir, 15 août 2007
- Marc Côte, « Zāb », Encyclopédie de l’Islam, première publication en ligne en 2010
- Marc Côte, Guide d'Algérie : paysages et patrimoine, Média-Plus, , 319 p. (ISBN 9961-922-00-X), p. 233
- Marc Côte, L'Algérie : espace et société, Masson, , 253 p. (ISBN 2-225-85146-8), p. 216
- G. Camps, « Amour (djebel) », in Encyclopédie berbère, 4 | Alger – Amzwar En ligne, mis en ligne le 1er décembre 2012, consulté le 14 mars 2015.
