María Novaro

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María Novaro
Biographie
Naissance
Nom de naissance
María Luisa Novaro PeñalozaVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Université nationale autonome du Mexique
Escuela Nacional de Artes Cinematográficas (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Autres informations
Distinction

María Novaro (née le ) est une réalisatrice et sociologue mexicaine.

Biographie[modifier | modifier le code]

Née en 1951 à Mexico[1], María Novaro étudie, dans les années 1970, la sociologie à l'université nationale autonome du Mexique[2]. S'étant mis au service d'une société de cinéma féministe, elle s'intéresse à cet art et poursuit par une formation au Centro Universitario de Estudios Cinematográficos (en), toujours à Mexico[2]. La formation dure cinq ans mais elle persévère, bien qu'étant déjà mère de famille : « J'avais déjà deux garçons. Je me suis obstinée, j'ai obtenu mes diplômes. Et à la fin, j'avais en plus un troisième garçon »[3].

Elle commence alors au début des années 1980 à tourner des courts métrages, à participer à des équipes techniques. Puis elle est en 1985 l'assistante d'un réalisateur. Puis elle enchaîne les tournages, de documentaires mais aussi de longs-métrages de fiction, plusieurs fois sélectionné (comme pour la Quinzaine des réalisateurs à Cannes[3]) et primé (Prix Ariel d'argent en 1985, 1989, etc.)[2].

Filmographie (extrait)[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. (en) Romy Sutherland, « Maria Novaro », sur Senses of Cinema
  2. a b et c Miriam Haddu, « Novaro, Maria (Maria Luisa Novaro Peñaloza, dite) [Mexico 1951] », dans Béatrice Didier, Antoinette Fouque et Mireille Calle-Gruber (dir.), Dictionnaire universel des créatrices, Éditions Des femmes, , p. 3216
  3. a b et c « Maria Novaro danse avec ses rêves " Danzon ", ou la nostalgie des dancings », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  4. « Télévision. Vendredi 3 juin. Film “Lola”. Arte, 23 h 15. Film mexicano-espagnol de Maria Novaro (1989) (90 min) », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  5. Didier Péron, « "Le jardin de l'Eden" : aux marges du paradis perdu », Libération,‎ (lire en ligne)
  6. « Tesoros », sur Première

Liens externes[modifier | modifier le code]