Liste des abbesses de l'abbaye de la Cambre

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Bernardine de l'abbaye de la Cambre.
Ordre cistercien

Liste exhaustive des abbesses de l'abbaye de la Cambre[1].

Histoire[modifier | modifier le code]

Gisèle († 1201)
Gertrude - Ode - Ermentrude
-
Vitrail consacré à la fondatrice
et aux trois premières abbesses de la Cambre[2]
Marguerite II - Ermertude II - Aleyde II - Marguerite III
Ida- Élisabeth IV - Aleyde IV
Sceaux des abbesses de la Cambre. XIIIe siècle au XIVe siècle[3].
Sceaux des Abbesses de la Cambre. XVe siècle au XVIIIe siècle[3].
Isabelle de Grobbendonck, portrait armorié avec crosse épiscopale, par Jean-Baptiste Berterham (1696)[3].
Marie Alexandrine Snoy (dame Séraphine), née en 1704, 41e et dernière abbesse de la Cambre en 1757, morte en 1794[4].

Les origines de l’abbaye de la Cambre se situent au tournant des XIIe et XIIIe siècles[5]. Vers 1200, Gisèle[6], une dame bruxelloise éprise d’un idéal religieux et vivant peut-être déjà sous la règle de saint Benoît, souhaite fonder un monastère de cisterciennes dans le village d’Ixelles[7]. Pendant 600 ans, 41 abbesses se succéderont à la tête de l'abbaye cistercienne de La Cambre[8]. Le , l'abbaye est supprimée, les 48 moniales se dispersent. Une communauté de chanoines Prémontrés s'est installée en 2013 dans l'ancien monastère devenu prieuré.

XIIIe siècle[modifier | modifier le code]

XIVe siècle[modifier | modifier le code]

XVe siècle[modifier | modifier le code]

XVIe siècle[modifier | modifier le code]

XVIIe siècle[modifier | modifier le code]

XVIIIe siècle[modifier | modifier le code]

Galerie[modifier | modifier le code]

Détail des sceaux des abbesses du XIIIe siècle au XIVe siècle[modifier | modifier le code]

Détail des sceaux des abbesses du XVe siècle au XVIIIe siècle[modifier | modifier le code]

Quelques vitraux aux armes des abbesses dans le cloître[modifier | modifier le code]

Armes des abbesses du XVIIIe siècle présentes sur le site[modifier | modifier le code]

Armes, gravées dans la pierre, des trois dernières abbesses du XVIIIe siècle  :

Vue de l'abbaye de la Cambre au début du XVIIe siècle[modifier | modifier le code]


Bibliographie[modifier | modifier le code]

Vitrine du cloître de l'abbaye de la Cambre.
Maxime Carton de Wiart

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Ce nom vient de Camera beatae Mariae, ou Chambre de Notre-Dame, qui donnera finalement la Cambre.
  2. irismonument.be. - le Cloître p.19
  3. a b et c Fernand de Ryckman de Betz, Georges Dansaert et l'abbé Thibaut de Maisières, L'abbaye cistercienne de La Cambre : étude d'histoire et d'archéologie, De Nederlandsche Boekhandel, , 394 p. (lire en ligne).
  4. Nobiliaire des Pays-Bas et du Comté de Bourgogne.
  5. Article du journal le Soir.
  6. Émile Poumon, Abbayes de Belgique, Office de Publicité, S. A., Éditeurs, Bruxelles, 1954, p. 73.
  7. Ixelles de Philippe Bovy
  8. Irismonument.be
  9. Histoire de la religion catholique en Brabant, et en particulier à Bruxelles.
  10. Sur ce vitrail du cloître, les étoiles n’ont (par erreur) que cinq rais.
  11. Sur ce vitrail, il y a quelques erreurs d'émaux : les corbeaux essorant, posé sur un monticule de 3 coupeaux de sinople, devraient être de sable.
  12. Sur ce vitrail, il y a quelques erreurs d'émaux : les trois quintefeuilles, boutonnées et barbées d'or, devraient être de sable.
  13. a et b Armes que l'on retrouve à maints endroits du site de l'abbaye de la Cambre.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]