Aller au contenu

Jean-Michel Cadiot

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Jean-Michel Cadiot
Jean-Michel Cadiot en 2016.
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 67 ans)
MassyVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Jean-Michel Alphonse CadiotVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activités
Parentèle
Francisque Gay (grand-père maternel)
Blanche Gay (d) (grand-mère maternelle)
Alain Terrenoire (demi-cousin)
Isidore Clut (arrière-arrière-grand-oncle)
Camille Gay (d) (tante maternelle)
Élisabeth Terrenoire (d) (tante maternelle)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Parti politique

Jean-Michel Cadiot, né le à Neuilly-sur-Seine (Seine) et mort le à Massy[1],[2],[3], est un journaliste et écrivain français.

Jean-Michel Cadiot est le fils de Robert Cadiot (1909-1967), polytechnicien (X 1930), ingénieur en sidérurgie et d'Odile Gay (née en 1919), professeur de latin et de grec.

Il est le petit-fils de Francisque Gay (1885-1963), journaliste et ancien vice-président du Conseil.

Il est titulaire d'une licence de chinois obtenue en 1973 à l'université Paris-Diderot[4]. Il suivit en parallèle un cursus de sciences économiques et de théologie.

Carrière journalistique

[modifier | modifier le code]

Entré en 1970 à Témoignage chrétien, il travaille à la revue France-Pays arabes et devient en 1979 correspondant de l'AFP à Bagdad. Il entre à l'AFP à Paris en 1981, et travaille notamment à Rennes, Brest, au service politique et dirige les bureaux de Téhéran et de Bucarest. Il est vice-président de l’Association d'entraide aux minorités d'Orient.

Carrière politique

[modifier | modifier le code]

Aux élections législatives de 2007, Jean-Michel Cadiot s'est présenté comme candidat à la députation sous l'étiquette UDF-MoDem dans la 8e circonscription du Val-d'Oise, il est battu dès le premier tour où il obtient 3,32 % des voix. Le 9 décembre 2007, il est de nouveau candidat du MoDem à l'élection législative partielle organisée pour remplacer Dominique Strauss-Kahn (PS) à la suite de sa nomination à la tête du FMI, mais il n’obtient que 3,04 % des voix sur l'ensemble de cette circonscription. En 2008, il se présente à l'élection cantonale partielle du canton de Sarcelles Nord-Est, il est battu au premier tour où il obtient 3,48 % des suffrages.

Publications

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]