Discussion:Sûreté de fonctionnement

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Le cycle de vie[modifier le code]

Est ce que cette partie de l'article n'est pas complètement hors sujet? --Zen 38 21 février 2007 à 14:50 (CET)[répondre]

tout à fait d'accord cette partie est hors sujet dans sa version actuelle, au lien du cycle de vie produit, il serait possible de parler du cycle de vie en terme d'évolution de la fiabilité au cours du temps (phase de deverminage, phase à taux de défaillance stable, phase de fin de vie) avec la courbe en baignoire notamment. --Matthieu Fontaines 22 mai 2007 à 14:28 (CEST)[répondre]

La maintenabilité[modifier le code]

J'ai rajouté un lien vers l'article soutien logitique--Matthieu Fontaines 10 mai 2007 à 11:45 (CEST)[répondre]

A propos de l'affirmation sur Jean-Claude Ligeron[modifier le code]

Il me paraît nécessaire de mettre dans une rubrique bibliographique les titres des ouvrages de Jean Claude Ligeron.

La phrase "En France, la sûreté de fonctionnement a connu son essor sous l'impulsion de Jean-Claude LIGERON, notamment dans le domaine de la fiabilité mécanique comme en attestent ses nombreuses publications" peut être gardée mais le lien externe vers le site marchand doit être retiré.--Elnon (d) 14 mars 2008 à 17:28 (CET)[répondre]

Composantes de la sûreté de fonctionnement[modifier le code]

Une citation a été demandée pour les « Composantes de la sûreté de fonctionnement ». Le passage est sourcé par le livre d'Alain Villemeur Sûreté de fonctionnement des systèmes industriels page 744 où il est écrit à propos de la sûreté de fonctionnement : « ce concept peut englober la fiabilité, la disponibilité, la maintenabilité, la sécurité, la durabilité… ou des combinaisons de ces aptitudes ». O.Taris (discuter) 28 mai 2014 à 10:32 (CEST)[répondre]

Concordance entre les définitions[modifier le code]

(À la suite de cette modification) Les définitions données par Alain Villemeur et par Jean-Claude Laprie sont complémentaires et ne se contredisent pas. Villemeur dit que la SdF est un ensemble d'aptitudes, dont la fiabilité, la maintenabilité, la disponibilité et la sécurité. Laprie dit que ces aptitudes traduisent la confiance qu'on peut accorder à un système : c'est cohérent avec ce que dit Villemeur. En effet la fiabilité d'un système est une aptitude qui donne confiance dans le fait que le système ne tombera pas trop souvent en panne, sa maintenabilité est une aptitude qui donne confiance dans le fait qu'on pourra réparer assez rapidement le système en cas de défaillance, la disponibilité est une aptitude qui donne confiance dans le fait que le système fonctionnera au moment où on en aura besoin, la sécurité d'un système est une aptitude qui donne confiance dans le fait que le système n’aura pas de défaillance entraînant un accident : bref, la SdF donne confiance dans le fonctionnement du système. Enfin toutes ces notions sont en rapport direct avec les défaillance des systèmes, d'où la SdF qui peut être vue comme la science des défaillances et des pannes comme le dit Villemeur. Ces différentes définitions ne s'opposent donc pas, elle se complètent et ne constituent pas des points de vue différents qu'il conviendrait d'attribuer à leur auteur. O.Taris (discuter) 29 mai 2014 à 00:26 (CEST)[répondre]

RÉSUMÉ INTRODUCTIF INITIAL  :
La sûreté de fonctionnement (SdF) est, selon Alain Villemeur, l'aptitude d'une entité à satisfaire à une ou plusieurs fonctions requises dans des conditions données[1]. Elle traduit la confiance qu'on peut accorder à un système, la sûreté de fonctionnement étant, selon la définition proposée par Jean-Claude Laprie[2], « la propriété qui permet aux utilisateurs du système de placer une confiance justifiée dans le service qu'il leur délivre ». Ou encore, selon Alain Villemeur, « Au sens large, la sûreté de fonctionnement est considérée comme la science des défaillances et des pannes »[1].

La sûreté de fonctionnement peut donc désigner plusieurs choses :

  1. L'aptitude d'une entité (organisation, système, produit, moyen, etc.) d'une part, à disposer de ses performances fonctionnelles (fiabilité, maintenabilité, disponibilité) et d'autre part, à ne pas engendrer de risques majeurs (humains, environnementaux, financiers, etc.) (sécurité) ;
  2. Les activités d'évaluation de cette aptitude (études de sûreté de fonctionnement) ;
  3. L'ensemble du personnel chargé de ces activités.
  1. a et b Alain Villemeur, Sûreté de fonctionnement des systèmes industriels, Paris, Eyrolles, coll. « Collection de la direction des études et recherches d'Électricité de France », (ISSN 0399-4198) page 744
  2. LIS sous la direction de J.-C. Laprie, Guide de la sûreté de fonctionnement, Toulouse, Cépaduès, , 2e éd., 369 p. (ISBN 978-2-85428-382-2)

Certes, ces définitions ne s'opposent pas ni ne se contredisent – je n'ai jamais dit que c'était le cas, me contenant de noter qu'elles différaient –, mais elles correspondent bien à des points de vue distincts. On serait en droit d'attendre, à propos d'une notion aussi importante que la sécurité de fonctionnement, des définitions convergentes de la part des auteurs cités, ou du moins que Laprie reprenne la définition de Villemeur avant de fournir la sienne (puisque selon vous celle-ci est complémentaire de celle-là) mais il n'en est rien. Sans doute pourrait-on écrire que la définition de Villemeur donnée en 1988 est complétée par celle de Laprie (si c'est bien lui, que veut dire LIS ?), proposée en 1995. Cette reformulation règlerait le problème concernant les deux premières définitions. Cela donnerait :
La sureté de fonctionnement est l'aptitude d'une entité à..., ainsi que la définit Alain Villemeur en 1988. Elle est aussi la propriété qui permet... pour reprendre la définition proposée par Jean-Claude Laprie en 1995.

Par contre, la troisième définition me semble étrangère aux deux premières. Comment la capacité d'une entité à remplir sa fonction et à susciter la confiance de l'utilisateur pourrait-elle se muer en « science des défaillances et des pannes ». Manifestement, on est passé en vitesse de distorsion... Je suppose que ce à quoi renvoie cette troisième définition, ce sont, plus modestement, « les études de sûreté de fonctionnement » mentionnées dans le dernier paragraphe (qui rajoute une couche de définitions en plus d'être non sourcé) du résumé introductif.

Je ne m'appesantirai pas sur le jargon qui règne dans ces définitions (« satisfaire à une fonction » au lieu de « remplir une fonction » ; « délivrer un service », bel anglicisme, au lieu d'« assurer un service », etc.).

En bref, la maxime « Ce qui se conçoit bien, s'énonce clairement » paraît bien lointaine. --Elnon (discuter) 29 mai 2014 à 10:48 (CEST)[répondre]

  • Oui, il y a un double sens à « sûreté de fonctionnement » : théoriquement, c'est une aptitude mais souvent, peut être par abus, ce terme désigne une discipline, les études de sûreté de fonctionnement. Les définitions de Villemeur et de Laprie permettent donc de sourcer les deux premiers points de la fin du résumé introductif mais pas le troisième (« L'ensemble du personnel chargé de ces activités. ») qu'on pourrait sans doute retirer (je n'ai d'ailleurs jamais vu ce sens donné à la SdF).
  • Concernant la publication de Jean-Claude Laprie citée en référence, je ne la connais pas, la consulter pourrait peut-être nous aider.
  • Pour le vocabulaire jargonnant et les anglicismes, je ne suis pas contre un nettoyage tant qu'on reste exact.
  • Mais je persiste, je trouve inadapté pour un résumé introductif de citer explicitement l'origine des différentes définitions. Cependant ce désaccord entre nous n'est pas essentiel et je n'insisterai outre mesure. Mais une solution pourrait être de créer une section de type « définition » qui citerait en les différentes définition en les attribuant (c'est à dire l'actuel résumé introductif) et de rédiger un vrai résumé introductif ne nécessitant pas de notes ni d'attribution. Qu'en pensez-vous ?
O.Taris (discuter) 29 mai 2014 à 19:59 (CEST)[répondre]
D'accord pour la mise en œuvre de ces propositions, étant entendu que le résumé introductif doit refléter le contenu de la page. --Elnon (discuter) 30 mai 2014 à 12:27 (CEST)[répondre]

SdF, FMDS[modifier le code]

(À la suite de cette modification) Il me semble qu'en français, l'équivalence entre SdF et FMDS est communément admise, c'est ce que j'ai toujours vu et qui est précisé par Villemeur. Aussi, sauf si cela est contesté par des sources sérieuses, il ne me semble pas nécessaire, dans la rédaction de l'article, d'attribuer à Villemeur cette équivalence, la référence suffit, je pense. O.Taris (discuter) 29 mai 2014 à 00:26 (CEST)[répondre]

Elnon, pensez-vous indispensable d'attribuer explicitement à Villemeur le texte de ce paragraphe, la référence ne suffit-elle pas ? O.Taris (discuter) 29 mai 2014 à 19:59 (CEST)[répondre]

FMDS et FDMS[modifier le code]

(À la suite de cette modification) L'usage, en anglais, est d'ordonner les composantes de la SdF dans l'ordre fiabilité, disponibilité, maintenabilité, sécurité (ce qui donne RAMS). L'usage en français, plus logique, est de placer la maintenabilité avant la disponibilité (ce qui donne FMDS) mais les traductions de l'anglais, qu'on retrouve notamment dans les normes, donnent l'ordre FDMS. Les réponses google montrent que ces deux sigles ont utilisés (FMDS et FDMS). Il me parait donc utile de préciser dans l'article l'existence des deux sigles. O.Taris (discuter) 29 mai 2014 à 00:26 (CEST)[répondre]

Je regrette, on ne peut pas, en bonne logique, écrire
La sûreté de fonctionnement englobe principalement la fiabilité, la disponibilité, la maintenabilité et la sécurité (qui forment le sigle FMDS ou parfois le sigle FDMS) vu que « fiabilité, disponibilité, maintenabilité et sécurité », énumérés dans cet ordre, donnent FDMS uniquement. --Elnon (discuter) 29 mai 2014 à 10:54 (CEST)[répondre]
Donc il s'agit seulement d'un désaccord rédactionnel, c'est bien cela ? O.Taris (discuter) 29 mai 2014 à 19:59 (CEST)[répondre]
Personnellement, de mémoire, j'ai toujours vu l'ordre FMDS dans les documents en français et ce dans différentes entreprises et secteurs d'activité. Curieusement, j'ai aussi trouvé FDM voire FDMST (je vais demander toutefois confirmation auprès de mes anciens collègues côté documents SIEMENS, ALSTOM, RATP, SNCF, THALES et AIRBUS).
Mais qui peut prétendre détenir la vérité sur l'origine exacte et l'utilisation à venir de cet acronyme FMDS vs. dans l'autre sens FDM(ST). Tout ce que l'on peut dire c'est que manifestement FDMS semble être la traduction littérale de RAMS en anglais alors que FMDS semble être plus largement utilisé dans la communauté des ingénieurs depuis des années. FDM est utilisé par les services dont la partie Sécurité leur semble hors périmètre. FDMST, plus complet, si la Testabilité est aussi retenue lors de l'étude et ce dans le but de rajouter des exigences explicites en ce sens.
De fait, comme déjà mentionné dans un autre chapitre de cette discussion, je ne vois pas l'intérêt (hors promotionnel) de citer explicitement un illustre inconnu sur des sujets utilisés par tous depuis des décennies. La simple note de référence vers l'ouvrage de M. Villemeur devrait suffire sans alourdir la lecture pour autant ni lui attribuer un mérite incertain.
Pourquoi donc ne pas écrire quelque chose du style : La sûreté de fonctionnement englobe principalement la fiabilité, la disponibilité, la maintenabilité et la sécurité mais aussi d'autres aptitudes telles que la durabilité, la testabilité... ou encore des combinaisons de ces aptitudes1. Elles forment les sigles FMDS ou FDMS (à l'image de l'acronyme anglais RAMS), parfois FDM ou FDMST. Ces divers acronymes cohabitent d'ailleurs en entreprise comme dans différentes normes5,6. Reste à positionner correctement le '1' de la référence fonction de ce qui est dit exactement dans l'ouvrage original de Villemeur afin de ne pas lui attribuer faussement la totalité de la phrase. Et à rajouter les liens vers les références sur les normes qui utilisent effectivement FDMS et FMD tels [5]↑ a et b Norme NF EN 50126 Applications ferroviaires - Spécification et démonstration de la fiabilité, de la disponibilité, de la maintenabilité et de la sécurité (FDMS) (janvier 2000), [6]↑ Norme NF X60-500 Terminologie relative à la fiabilité - Maintenabilité - Disponibilité (Octobre 1988) ou toute autre norme ferroviaire, médicale, aérospatiale, nucléaire ou automobile encore à lister ici.
Il reste à rajouter FDMS explicitement dans le chapitre "Les traductions en anglais"
De même, le titre même ou à défaut le tout premier chapitre devrait ainsi proposer ces deux acronymes afin d'éclairer les lecteurs ingénieurs expérimentés comme moi du pourquoi en tapant FMDS je suis redirigé vers de la sécurité de fonctionnement, qui dans mon esprit reste une science encore différente et souvent associée aux systèmes temps réels critiques, ce que ne sont pas les sigles FDMS ou FMDS.
Enfin, les redirections wikipedia vers la page SdF doivent être permises des points d'entrée FDMS comme FMDS. A la lumière des discussions sur les 2 sigles, il est intéressant de constater qu'à ce jour seul le sigle FMDS redirige vers cette page (dans la quelle l'ordre des définitions est bien Fiabilité, Maintenabilité, Disponibilité et Sécurité) et alors que FDMS reste inconnu de Wikipedia...
De plus je remarque qu'aucun des 2 sigles FDMS ni FMDS n'est explicité dans la liste des sigles de 4 lettres de Wikipedia.
Non plus que le sigle FDM de 3 lettres ni FDMST de 5 lettres aussi rencontrés en entreprise comme vu précédemment.
Encore moins le sigle SdF de 3 lettres.
Or tous devraient rediriger vers la page de SdF.
Je propose de mettre à jour les pages et redirections concernés comme proposé dans les prochains jour si pas de réponses en sens contraire d'ici là.
Golem Le Brut (discuter) 13 juin 2019 à 12:48 (CEST)[répondre]
Comme vous, hormis dans les normes, j'ai toujours vu utiliser le signe FMDS. Le sigle FDMS est, je pense, issu de la traduction de l'anglais RAMS et c'est parce que les normes européennes en français sont, de fait, des traductions de l'anglais, que ces normes ont retenu le sigle FDMS.
Je ne connaissais pas le signe FMDST, il existe d'après google qui donne 5000 réponses (parmi ces réponses il y en a cependant beaucoup qui n'ont pas de rapport avec la sûreté de fonctionnement) mais ces réponses sont bien moins nombreuses que les près de 400000 que renvoie google pour la FMDS. Quant à FDMST, les réponses google sont encore plus rares que pour FMDST et je n'en ai pas trouvé en rapport avec le sûreté de fonctionnement. Je ne suis donc pas très favorable à l'introduction dans l'article du sigle FMDST et opposé à l'introduction du sigle FDMST.
En revanche, le signe FMD (de même que le signe RAM en anglais) me parait d'usage courant dès lors que les études de sécurité sont traitées séparément des autres études de sûreté de fonctionnement.
Concernant le texte en gras ci-dessus que vous proposez de substituer dans l'article, j'y suis favorable à l'exception du sigle FDMST qui ne me parait pas être reconnu.
Pour faire correctement référence à ce qu'a écrit Alain Villemeur à la page 744 de son livre, il est exactement écrit à propos de la sûreté de fonctionnement : « ce concept peut englober la fiabilité, la disponibilité, la maintenabilité, la sécurité, la durabilité… ou des combinaisons de ces aptitudes. » (on trouve aussi dans cette page les autres éléments cités dans l'article définissant le sûreté de fonctionnement — l'aptitude d'une entité à satisfaire à une ou plusieurs fonctions… et la science des défaillances et des pannes —).
Oui, il pourrait être utilise de citer le sigle FMDS dans le résumé introductif de l'article. Pour les redirections, je viens de créer FDMS en complément de FMDS qui existait déjà.
Je pense que vous pouvez tout à fait ajouter FDMS, FMDS, FDM et FMDST (mais pas FDMST, voir plus haut) dans les listes des sigles de x caractère de Wikipedia, s'ils n'y sont pas, je suppose que c'est simplement parce que personne n'a pensé ou n'a eu envie de les y mettre. En revanche, je suis plutôt défavorable à l'introduction de SdF qui me parait être surtout une abréviation avant d'être un sigle reconnu.
O.Taris (discuter) 13 juin 2019 à 23:00 (CEST)[répondre]