Discussion:Force de police auxiliaire

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L'engagement de la " FPA " en métropole[modifier le code]

Associer les noms "PAPON"," Harkis" aux "FPA" puis évoquer la torture, est d'une malhonnêteté inouïe. Ça revient à dire que les Harkis étaient des nazis alors que d'après les différents articles qui leur sont consacrés dont les vôtres, il est reconnu qu'ils n'étaient que pour la plupart des paysans engagés dans des milices d'autodéfense. Paulette Péju et son mari étaient des communistes engagés du côté du FLN. Que ce dernier, arrivé au pouvoir torture, massacre son propre peuple depuis 45 ans ne les avait jamais fait douter. Non, les Harkis n'étaient pas Paris. Quant aux références que vous citez dont Olivier Le Cour Grandmaison, il faut aussi s'intéresser à l'opinion de ses confrères sur ses travaux jugés excessifs et trop marqués idéologiquement.

Il est facile de faire ce genre d'amalgame et de jeter le discrédit sur une communauté qu'on a jetée aux chiens.

Voici ma version plus réaliste et selon votre modèle de cette histoire, je vous joins aussi un lien :

En France métropolitaine, Maurice Papon est préfet de police depuis avril 1958. Il s'inspire de la “Brigade Nord Africaine” recrutée par “la bande de la carlingue” de Bonny et Lafont. Installée au 93 de la rue Lauriston, à Paris, au siège de la Gestapo, elle participa aux basses oeuvres dont étaient chargés leurs supérieurs. Sur ce modèle, une Force de Police Auxiliaire (FPA) est créée, composée d'Algériens recrutés par des militaires en Algérie. La FPA dépend directement du préfet. Elle est basée à la caserne du fort de Romainville. Présente dans les zones de forte implantation du FLN, elle montre à l'ensemble de la population algérienne de Paris que la toute puissance du FLN a des limites. Alors que la police judiciaire ne lance ses coups de filets qu'après un long travail d'enquête ayant permis de mettre à jour un réseau, la FPA exploite immédiatement les renseignements obtenus, procède à l'interpellation des suspects, à leur interrogatoire en vue de remonter jusqu'à la tête du réseau.

http://www.netlexfrance.com/weblogs/?p=100


Massi

Harkis.info

Je ne comprends pas ce que ce lien sur la période 40-44 vient faire dans notre histoire. Par ailleurs, dans le texte, il n'est pas dit que les "FPA" étaient des "harkis", mais que Paulette Péju avait écrit un livre Les harkis à Paris, ce qui est incontestable. Je vous rappelle la règle de wikipédia: Lorsqu'un sujet est controversé et qu'en histoire, par exemple, des historiens différents ont une lecture différente des mêmes évènements, alors, on rapporte ce qu'ont écrit les différents historiens en "sourçant", c'est-à-dire, en donnant les références des livres ou des articles de revue, les différents points de vue. Cordialement--EdC / Contact 5 février 2007 à 13:27 (CET)[répondre]

Bien sûr mais je me suis expliqué ci-dessus. Quant au lien, il prouve qu'il est facile de démontrer qu'on a pas attendu les Harkis pour créer des auxilliaires de polices à Paris. Et en faisant référence à un journaliste communiste, je ne suis pas sûr qu'elle était bien placé pour dire la vérité de manière objective. Paulette Péju était journaliste à Libération, journal proche du Parti communiste selon Algéria Watch. Marcel Péju, son mari, était journaliste à Jeune Afrique. Il fût condamné pour diffamation envers les Harkis. Qu'en pensez-vous ?

Alors citer comme référence des communistes lorsqu'on parle de Harkis, c'est tout sauf innocent. Qant à écrire sur le FLN, ça ne m'intéresse pas : seul la défense de l'histoire des Harkis me motive. La page du FLN peut raconter ce qu'elle veut, je n'y interviendrai pas car j'accepte qu'ils aient un point de vue différent et que je connais leurs motivations.

Ensuite apporter des articles et des points de vue différents ne ferait que créer des débats sans fins.


Cordialement

Massi

Harkis.info

Proposé par : Tilbud (d) 4 avril 2009 à 01:54 (CEST)[répondre]

Raisons de la demande de vérification[modifier le code]

Forme :

  • Elle est pour le moment celle d'un pavé indigeste. Il faut le réorganiser entièrement et le contextualiser, par exemple sous la forme suivante :

1. Statut de cette force de police
2. Histoire
2.1. Création
2.2. Faits d'armes
2.3. Dissolution
3. Bilan
4. Critiques (torture ? agissements illégaux ?)

  • Il faudrait définir ce qu'est un supplétif ou utiliser un autre terme, plus clair.
  • L'article est plein d'imprécisions : on ne parle pas de personnel en tenue de policier, des dates sont citées sans que l'on sache de quelle année il s'agit, ...
  • La deuxième partie de l'article, ajoutée par Viala jj, n'est quasiment pas sourcée.
  • L'orthographe laisse à désirer.

Fond :

  • L'article commence par parler de la nomination de Maurice Papon, mais n'explique pas le rapport avec le sujet. Il y a une erreur : Maurice Papon n'est pas nommé préfet de police mais préfet de police de Paris. Donc soit la création de cette force n'a rien à Voir avec Maurice Papon et il n'a pas à être mentionné à cet endroit de l'article.
  • S'agissant de la torture, se baser de préférence sur un ouvrage n'ayant pas été publié pendant la guerre d'Algérie !

Tant que tout cela n'aura pas été fait (ce que j'ai essayé de faire, mais je connais trop mal le sujet), cet article n'aura aucune valeur encyclopédique, AMHA. Tilbud (d) 4 avril 2009 à 01:54 (CEST)[répondre]

Discussions et commentaires[modifier le code]

J'ai tenté une première mise en forme et J'y reviendrai peut-être car c'est loin d'être parfait. J'ai laissé une référence à Papon, préfet de police de Paris en 1959, parce qu'une telle référence parait pertinente à Brunet lorsqu'il évoque la création des FPA par Debré. Comme les FPA ont été esentiellement concentrés dans le département de la Seine (dépendant de la PP de Paris), le préfet de police est évidemment concerné au premier chef. --EdC / Contact 26 avril 2009 à 14:28 (CEST)[répondre]