Discussion:El Gaada/Archive 1

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Travail inédit ?[modifier le code]

Bonsoir. Aux deux contributeurs prolixes de ces derniers jours. Le fait qu'un article soit d'intérêt faible ou moyen n'exonère pas des principes de Wikipedia. Entre autres, référencer ses informations de sources fiables, et publiées; tendre à la neutralité de point de vue. Je signale d'autre part, que des "références nécessaires" ne se retirent pas, si aucune référence ne peut être apportée.

Sur le fond, je suis quand même surpris, s'agissant d'une région , et de l'un des douars, qui étaient principalement peuplés d'Ouled Ali, d'après les seules souces relatives à El Gada que j'ai pu trouver, Ouled Ali qui ont dû s'y replier vers 1550, que vous arriviez à n'en point parler, et à vous contenter de faire votre promotion familiale.

Etant généalogiste amateur, j'ai l'habitude de voir des intervenants se hausser un peu du col, pour telle ou telle partie prestigieuse de leur généalogie, réelle ou supposée. Mais je n'en avais jamais rencontré qui s'annexent toute l'histoire et la réalité d'un lieu ! C'est assez comique, je dois dire. Cordialement. --Tmouchentois (d) 17 novembre 2010 à 19:49 (CET)[répondre]

Nettoyage de l'article[modifier le code]

Suite à cette discussion l'article est en cours de "nettoyage". --Poudou99 (d) 18 novembre 2010 à 23:05 (CET)[répondre]

J'ai supprimé un certain nombre de paragraphes et fait quelques reformulations.
J'enlève le bandeau de maintenance afin que vous puissiez continuer. --Poudou99 (d) 18 novembre 2010 à 23:10 (CET)[répondre]

Localisation , signification d'El Gada[modifier le code]

Monts des Ouled Ali, à l'est du Tessalah, et au sud-est d'Oran

Bonjour. Où précisément se situe El Gada-village ? Serait-il possible de le localiser sur cette carte orographique de la région des Ouled Ali ?

Autre question, sur la signification: l'article indique que "El Gaâda" signifie Caravansérail, alors que l'étude orographique dont est tirée la carte jointe donne la signification de plateau à El Gada, et nomme en effet "EL GADA" un plateau calcaire de direction SO/NE, bordé de falaises.

--Tmouchentois (d) 19 novembre 2010 à 10:25 (CET)[répondre]

Bonjour Tmouchentois. Google Maps situe El Gaâda ici, dans les environs de Sig, au sud d'Arzew, mais ce n'est pas très précis : est-ce l'ensemble d'haabitations, de forme triangulaire, au nord de Sig ? Je reste dubitatif. Google maps donne aussi une autre El Gaada au nord de Tlemcen (ici), mais ce ne doit être qu'un lieu-dit, Tlemcen ne comptant aucune commune du nom d'El Gaada.
Cependant, Google Maps recense aussi deux autres El Gaada au Maroc (ici et ici). Si ses deux toponymes localisent bien des communes, alors un renommage conforme aux conventions s'impose : El Gaada vers El Gaada (Algérie). Il faudrait poser la question au projet Maroc. Cdlt. --Indif (d - c) 19 novembre 2010 à 11:57 (CET)[répondre]
Bonjour Indif. El Gaâda étant donné dans la wilaya de Mascara, je suis tenté de le situer dans la pointe que ce département fait vers l'ouest, dans la zone justement de la carte orographique ci-dessus. Aïn Chorfa, que l'on présente comme un village de cette commune, et qui est bien répertorié sur les cartes, est situé dans cette zone, un peu au nord du barrage des Cheurfas. Je suis tenté de situer El Gada ici, un peu au nord-ouest du lac de barrage du même nom, sur le plateau, bien que Google Map nomme ce lieu "Sidi Amer el Kbar". On y voit d'intéressantes structures, qui pourraient être d'anciens silos. Daumas, consul, et donc un peu espion, à Mascara, répertorie en 1838 « 300 silos à Djemaâ près du Gaâda des Oulad Ali », rassemblant l'impôt en nature pour l'Etat d'Abd el Kader des tribus « Oulad Ali, Oulad Sidi Ghranem, Maâchou, Maidja » (réf: lettres du Capitaine Daumas - éd. Alger 1912 - p.624). Cordialement. --Tmouchentois (d) 19 novembre 2010 à 12:58 (CET)[répondre]
Je pense que tu es tombé dans le mille. Bing maps situe aussi àcet endroit "Sidi Amer el Kbar" et, vers cinq kilomètres à son nord, le "Douar Blaïhia", également cité dans la liste. --Indif (d - c) 19 novembre 2010 à 13:27 (CET)[répondre]
Il y a aussi cette image qui corrobore tes dires. --Indif (d - c) 19 novembre 2010 à 13:59 (CET)[répondre]
Re. Mes dires sont des hypothèses. Le site que tu m'indiques ressemble à celui-ci: (Averroes était-il un Mahaja ?). Certains auteurs des nombreux blogs et sites internet sur El Gada (mais peut-être n'y a-t-il qu'un seul auteur ?), ont une certaine tendance à la fantaisie (voir par exemple le portrait d'Averroes pour illustrer « Ben Abdelkader ben abdallâh Mohamed Tahar Al Mahaji »). Je pense qu'il(s) sait(savent) quand même où se situe leur village. Mais j'aimerais en être sûr, et cela semble impossible, tant le lieu parait ignoré même de l'administration algérienne (sauf la poste !). Cordialement. --Tmouchentois (d) 19 novembre 2010 à 15:08 (CET)[répondre]
Damned ! 7 fois j'aurais dû tourner ma main autour du clavier. J'ai trouvé cet article, avec une carte du découpage des communes, mais la qualité est si déplorable qu'elle en est inutilisable. --Indif (d - c) 19 novembre 2010 à 15:28 (CET)[répondre]
Il y a aussi cette carte, qui permet de situer très grossièrement El Gaada. --Indif (d - c) 19 novembre 2010 à 16:57 (CET)[répondre]
Merci. C'est déjà ça. En voici une autre, tout aussi imprécise, mais qui situe le village sur une route venant du Sig, probablement la W25. --Tmouchentois (d) 19 novembre 2010 à 18:16 (CET)[répondre]

Bonjour à tous. Je viens de remettre la main sur une carte routière d'Algérie et de Tunisie datant de 1981. Il y a un encart de la région d'Oran au 1/300000. On y retrouve certaines des villes et villages cités plus haut (et dans les cartes que vous avez référencées ici) mais j'ai beau prendre ma loupe (en plus de mes lunettes) je ne trouve aucune trace de El Gaada. je vous fait un scan que je mets ici sous peu. --Poudou99 (d) 19 novembre 2010 à 20:41 (CET)[répondre]

ici.--Poudou99 (d) 19 novembre 2010 à 21:31 (CET)[répondre]
Mauvaise pioche alors pour ce que tu as proposé, Tmouchentois (Smiley: triste). D'après la carte, nous avons affaire a Aïn Affeurd. --Indif (d - c) 19 novembre 2010 à 21:48 (CET)[répondre]
On va bien finir par situer cette ville. En tout cas elle a une existence officielle ici (JO n° 47 du 10/07/2002 - page 33). --Poudou99 (d) 19 novembre 2010 à 22:12 (CET)[répondre]
Fier 00-213-45-83-31-03 Fier. Tel est le numéro de téléphone de la mairie d'El Gaada. Un petit tour par le site du ministère algérien de l'intérieur pour avoir le numéro de la préfecture de Mascara, un petit coup de fil et c'est bon. J'ai réussi à avoir la mairie d'El Gaada ! De l'intersection entre la N97 et W25, il faut compter 16 à 18 kilomètres sur la W25. À vos règles ! Émoticône --Indif (d - c) 20 novembre 2010 à 12:12 (CET)[répondre]
Bonjour. Je ne trouve pas la N97 ! L'article donne Aïn Affeurd comme centre-ville d'El Gaada. Donc, si je puis me permettre une conclusion: El Gaada est le nom de la commune, relatif à une zone géographique, le plateau d'El Gada, et composée de plusieurs villages où lieux-dits, et son chef-lieu est le village d'Aïn Affeurd ??? Pas si mauvaise pioche, ou bien je vais trop vite ? Cordialement. --Tmouchentois (d) 20 novembre 2010 à 12:59 (CET)[répondre]
L'intersection se trouve . La N97 part du Sig en direction de Sidi-Bel-Abbès. Pour l'hypothèse du chef-lieu, je trouve que l'article se contredit : il présente Aïn Affeurd comme un douar, alors qu'il a plutôt l'air d'un gros bourg. Je rappellerai pour avoir le cœur net. --Indif (d - c) 20 novembre 2010 à 13:26 (CET)[répondre]
J’étais arrivé à la même conclusion hier soir. Notamment en regardant la liste des douars qui composent la commune et que j’avais retrouvés sur ma carte. J’attendais encore quelques indices supplémentaires pour en être sûr.
 Je crois qu’il n’est pas si rare qu’une "commune", nouvellement créée et regroupant plusieurs villages ou hameaux, porte un nom différent de ces villages (nom de personnalité, nom d’une zone géographique,…).--Poudou99 (d) 20 novembre 2010 à 13:35 (CET)[répondre]
Sur ma carte, la W97 correspond à la W5, il a dû y avoir une renumérotation. J'ai refait un scan car il manquait un bout de la carte dans le scan précédent. On y voit bien au moins la moitié des douars cités. --Poudou99 (d) 20 novembre 2010 à 13:58 (CET)[répondre]

Distances El Gaada-Mascara et El Gaada-Oran[modifier le code]

Bonjour à tous. Pour la détermination des distances qui séparent El Gaada de Mascara et d'Oran, j'ai utilisé Google Maps, dont le module de calcul d'itinéraire donne :

  • pour Mascara : environ 65 km ;
  • pour Oran : environ 50 km.

J'ai corrigé en conséquence. --Indif (d - c) 26 novembre 2010 à 19:38 (CET)[répondre]

Bonsoir Indif. Je suis d'accord avec toi, à quelques hectomètres près. 24.202.10.18 ne semblant pas , pour sa part, l'être, je redonne ton chiffre, en lui suggérant de venir s'exprimer ici. Cordialement. --Tmouchentois (d) 26 novembre 2010 à 20:24 (CET)--Tmouchentois (d) 26 novembre 2010 à 20:24 (CET)[répondre]
Bonjour tous le monde, je vois qu'il y a eu beaucoup de modifications et beaucoup de discution sur le village d'Al-Gaada. Je suis la si vous avez besoin de quoique ce soit. Salutations. --Fayçal.09 (discuter) 2 décembre 2010 à 19:05 (CEST)[répondre]
Bonjour à tous. Finalement, j'ai mis à jour les distances qui séparent El Gaada d'Oran et de Mascara en prenant les distances à vol d'oiseau, ce qui donne :
  • El Gaada-Oran : 42 km ;
  • El Gaada-Mascara : 41 km.
--Indif (d - c) 19 décembre 2010 à 08:08 (CET)[répondre]
Bonjour grand aigle. Bon, c'est une solution, mais voyons si elle satisfera notre IP montréalaise. Cordialement. --Tmouchentois (d) 19 décembre 2010 à 10:00 (CET)[répondre]
Croisons les doigts Émoticône sourire --Indif (d - c) 19 décembre 2010 à 11:01 (CET)[répondre]
Ben, c'est râté ! --Tmouchentois (d) 19 décembre 2010 à 18:14 (CET)[répondre]
Malheureusement (Smiley: triste). Je lui ai laissé un mot sur sa PdD, peut-être que la lumière lui viendra. L'espoir fait vivre Sifflote. --Indif (d - c) 19 décembre 2010 à 18:20 (CET)[répondre]

Bonjour à Tous. Il y a quand même quelque qui me turlupine dans cette histoire de distance d’une ville par rapport à une autre. Il me semble qu’en général (et dans le cadre des villes) on exprime les distances "par la route". ET, d’autre part, la notion « à vol d’oiseau » n’est pas très "encyclopédique". Ne pourrions-nous pas prendre une carte routière et calculer les distances pertinentes. --Poudou99 (d) 20 décembre 2010 à 14:04 (CET)[répondre]

Bonjour Poudou ! Comme je l'explique dans la demande de blocage de l'IP, les distances à vol d'oiseau sont, entre autres, utilisées par le Projet:Essonne Émoticône. Tant qu'à mettre une distance, autant que ce soit une qui ne souffre d'aucune contestation (quoique, avec cette chère IP... Sifflote). --Indif (d - c) 20 décembre 2010 à 14:19 (CET)[répondre]
Bonjour à tous. Il me semble aussi, qu'instinctivement, on donne les distances routières. Et c'est bien ce qu'avait fait Indif dans un premier temps. Mais son calcul "à vol d'oiseau" avait, à mon avis, intention pédagogique: comment amener l'IP "québécoise" à s'exprimer clairement ? Perseverare est tellement diabolicum que je commence à en ressentir du malaise (et même un trouble de l'esprit, puisque je commence à raisonner dans les catégories de notre interlocuteur). Cordialement. --Tmouchentois (d) 20 décembre 2010 à 14:29 (CET)[répondre]
(Après conflit d’édition — je re-écris mon texte sous ce paragraphe)Certes. En France, vue la densité du réseau routier, il n’y a pas beaucoup de différence entre les 2 concepts. Personnellement j’ai toujours donné des distances "routières" (ou "à vol d’oiseau" à l’insu de mon plein gré). Cependant, pour des pays où le réseau est peu dense et où la géographie est contraignante (relief, franchissement de rivière, contournement de lacs,…) les deux notions donnent de grandes différences de résultats. Ce qui compte pour les habitants d’une ville, c’est la distance par la route (ou par la piste). À moins d’avoir un hélicoptère personnel (ou une catapulte), la distance à vol d’oiseau intéresse peu de monde localement. De plus, ce qui fait peut-être débat ici, c’est certainement la différence avec les distances indiquées sur les panneaux routiers. --Poudou99 (d) 20 décembre 2010 à 14:38 (CET)[répondre]
Si je reprends ma carte Michelin des environs d'Oran (au 1/300 000) je lis : Aïn Affeurd - Oran : 49km et 48,3 km avec le calcul d'itinéraire de Google Map. --Poudou99 (d) 20 décembre 2010 à 14:45 (CET)[répondre]
(conflit d'edith) Émoticône Et si on mettait les deux ? (Certes, cela donnera aussi deux fois plus d'opportunités à l'IP de se distinguer Sourire diabolique) --Indif (d - c) 20 décembre 2010 à 14:47 (CET)[répondre]
T'as oublié la distance pifométrique dans le sens du vent Émoticône. Sérieusement, pourquoi ne pas en revenir au calcul de Google Map ? (je sais, j'interviens un peu après la bataille (Smiley oups) ). --Poudou99 (d) 20 décembre 2010 à 14:53 (CET)[répondre]
Ah, tu sais, peu m'importe que ce soit ou l'autre, tant qu'on a quelque chose de tangible et de vérifiable. Reste à convaincre l'IP du bien-fondé de la méthode de mesure de distance choisie et des mesures données. --Indif (d - c) 20 décembre 2010 à 17:35 (CET)[répondre]
Panneau indicateur

Et si vous appelez le maire d'El GAADA? Il vous dira qu'il y a quatre sorties de la ville d'El GAADA, chacune avec une indication du kilométrage : Oran 50 km, Mascara 70 km, Bel Abbès 50 km, Sig 20 km. Qui a raison, le maire de la ville ou les correspondants de Wikipedia ? Mairie d'El Gaada 00 213 45 83 31 03 (tous les jours sauf le vendredi et samedi).

Bonjour ! Je suppose que tu es la même personne qui, à partir de Montréal, veut à tout prix que qu'Oran soit à 50 km d'El Gaada ? Heureux que tu acceptes finalement de discuter, ce qui est une bonne nouvelle et accessoirement la abase de Wikipédia : quand on n'est pas d'accord, on discute jusqu'à trouver un consensus. Pour votre histoire du panneau indicateur, je t'ai mis un exemple qui te montre sa non pertinence : J'habite la charmante ville de Crosne, et son nom s'écrit C-R-O-S-N-E. Le panneau en image ci-contre indique C-R-O-S-N-E-S, avec une S supplémentaire. Dois-je croire le panneau ? Non. C'est la même chose pour ce panneau d'El Gaada. Autre chose : les infrastructures routières ne sont pas immobiles, elles vivent, elles évoluent : au gré des travaux, les routes s'allongent ou raccourcissent, elle contournent ou coupent à travers villes ou champs, d'autres naissent, plus rapides mais plus longues, ou le contraire... De quand date donc ce panneau ? A-t-il suivi les évolutions des routes ? Qui nous dit que le maire ne nous racontera pas des sornettes, pour une raison ou une autre ? Un exemple à lire : Jumelage Crosne-Wangwangwé. Voilà en gros pourquoi ton idée n'est pas si bonne. (Et le numéro d'El Gaada, je l'avais déjà donné, une section plus haut.) Cdlt. --Indif (d - c) 21 décembre 2010 à 17:14 (CET)[répondre]
Bonsoir à tous. Pour Indif, en ce qui concerne le premier point, le contributeur n'est pas l'IP Montréalaise. L'IP montréalaise insiste beaucoup pour que la distance soit de 40 km d'Oran à El Gaada. Pour le second point, le maire, Google, toi et notre intervenant, que je salue, sont au moins d'accord pour la distance de 50 km de El Gaada à Oran.
Pour l'intervenant, j'ai noté que vos interventions d'il y a plusieurs semaines semblaient être de première main. Vous serait-il possible de les sourcer, pour les mêmes raisons indiquées plus haut pour les distances par Indif.? D'autre part, quel lien faites vous entre les Mahaji et les Ouled Ali ?
Cordialement. --Tmouchentois (d) 21 décembre 2010 à 18:02 (CET)[répondre]
Au temps pour moi (Smiley oups). Je présente mes excuses à l'intervenant sous IP, si j'ai semblé un peu rude dans mes propos. Les distances données par Google maps correpondent grosso-modo à celles du panneau kilométrique. Reste donc à obtenir l'avis de l'IP montréalaise. --Indif (d - c) 21 décembre 2010 à 18:40 (CET)[répondre]

Beni Amer: sources écrites, sources orales, usages wikipédiens[modifier le code]

Il n'existe aucun lien de parenté entre les Ouled Ali et les Mahadja. Les premiers sont une fraction des Bani Amer, c'est-à-dire des descendants des tribus hillaliennes (les Banou Hilal, un fléau pour tout le Maghreb) connues pour leurs faibles observances des règles islamiques, comme tant de tribus bédouines arabes, selon Ibn Khaldoun, le meilleur témoin de ce qui s'est passé dans cette région au XIVe siècle et avant. Les seconds sont des Idrissides venus de Fès, installés à Tlemcen, puis a Boudjebha, avant de demeurer jusqu'à présent sur ce plateau tellien appelé El Gaada (à 50 kilomètres d'Oran).

Bonsoir. J'ai bien lu votre intervention, à laquelle je souhaiterais réagir, sur divers points. Mais mon temps et mon esprit sont pris par la célébration de Noël. A bientôt. --Tmouchentois (d) 24 décembre 2010 à 18:28 (CET)[répondre]
Bonjour. Merci d'abord de venir participer sur la page de discussion.
Loin de moi le début de l'idée de contredire Ibn Khaldoun, mais depuis le XIVe siècle, les Beni Amer ont pu changer. C'est ce que semble indiquer cette petite étude sur eux que j'avais déjà mise en référence de l'article [1]. Elle rappelle en page 18 l'appréciation d'Ibn Khaldoun que vous nous avez donnée, pour indiquer aussitôt le rôle que des réformateurs musulmans, marabouts, joueront sur eux (comme d'ailleurs, c'est moi qui note, sur nombre de populations arabo-berbères du Maghreb), et en particulier l'influence de la Derkaoua sur les Beni-Amer à partir du XVIIIe siècle. L'auteur, Pierre Boyer, note ailleurs que ces arabes nomades vont commencer au XVe à intégrer des éléments berbères sédentaires après leur installation dans le Tell oranais au XIVe siècle, et notamment des fractions maraboutiques. Il indique même, que « Les Ouled Ali se diviseront à peu près par moitié en marabouts et non marabouts. Même chose pour les Ouled Slimane. » (pp.7-8)
D'autre part, on trouve dans la Revue Africaine, une étude de L.Rinn publiée de 1897 à 1899 sur les tribus d'Algérie, portant à la fois sur leur situation politique à l'égard du pouvoir ottoman en 1830, et leur situation géographique. Il situe la grande confédération des Beni Amer parmi les tribus raïas du beylik d'Oran, et distingue 4 fractions d'Ouled Ali: Ouled Ali-Fouagha à El Tenia, Ouled Ali-Tahta à El Ksar, Ouled Ali-Ghoualem à Sidi Ghalem et Ouled Ali-Maadja à El Gaada. (N°228 1898 p.18 [2]). Je ne sais ce que vaut cette étude de L.Rinn, mais la donnée sur el Gaada est recoupée par l'information du capitaine Daumas que j'avais donnée plus haut dans cette page de discussion sur le "Gaada des Ouled Ali". Sachant l'importance que les marabouts et les Chorfas ont joué dans l'Etat d'Abd el Kader, je suis étonné qu'il ait échappé à ces deux auteurs français qu'un important groupe de Chorfas vivait au Gaâda. La réflexion de Pierre Boyer sur les Ouled Ali à moitié marabouts pouvant en revanche s'appliquer à ceux qui habitaient le plateau d'El Gaäda.
Cordialement. --Tmouchentois (d) 25 décembre 2010 à 21:45 (CET)[répondre]

Bonsoir. Voici quelques précisions historiques utiles. Concernant les tribus arabes d’Algérie, tout honorable que soit le travail du colonisateur français pour ceux qui n’ont pas accès à d’autres sources (plus particulièrement les sources arabes) – que l’auteur soit géographe, soldat-laboureur ou administrateur – , il n’en demeure pas moins que lorsqu’il s’agit d’Arabes, la transmission orale de la tradition et les écrits des auteurs arabes ayant vécu parmi ces tribus méritent d’être entendus pour contribuer à rendre crédible tout article de Wikipedia sur ce sujet. Certes les Ouled Ali sont des descendants des Bani Amer (des Arabes hilaliens). Certes en tant que tribus nomades ils occupèrent un vaste territoire qui allait de l'actuel village qui porte leur nom (situé entre la ville de Oued Imbert et le village de Makedra, sur la route Oran-Bel-Abbes), jusqu’à l’actuelle ville de Sfisef (Wilaya de Bel Abbas) en englobant ce plateau tellien appelé El Gaada. Mais ni Pierre Boyer, ni L.Rinn, ni le capitaine Dumas que vous citez ne pouvaient prétendre connaître mieux que nos Oulama l’existence des tribus, les limites géographiques de leur territoire conclues par des accords tacites, la nature de leurs mœurs, leurs rapports avec les colonisateurs successifs et les confréries. Si Tayeb El M'Hadji, membre fondateur de l’Association des Oulama algériens, dans son ouvrage en arabe : أنفس الذخائر وأطيب المآثر في أهم ما اتفق لي في الماضي والحاضر Qu’on peut traduire littéralement par : « Les précieux bienfaits et les mémorables souvenirs de ce que j’ai vécu d’important au passé et au présent ». Dans ce livre, le cheikh rappela à plusieurs reprises que les M'Hadja, de même que les Ouled Slimane (une autre branche des Beni Amer), se sont installés sur les territoires des Ouled Ali. Selon les récits des anciens, les Mhadja seraient arrivés de Fès à l’Oasis de Figuig (ville située actuellement au Sud Est du Maroc), puis sont passés par Tlemcen, quatre siècles au moins après la fondation d’Oran. Donc, ils seraient arrivés dans l’Algérie actuelle après les Beni Amer. A Fès, la signification la plus plausible du terme Mhadja était « min ha ja ou », traduit en français par « d’elle (la Mecque) ils sont venus ». Il n’est pas impossible que des familles des deux groupes se soient alliées par des mariages d’autant plus que les Ouled Ali sont des arabes (Idris Ie aurait lui-même épousé Kenza, une femme berbère). Dans un célèbre pamphlet, Sidi Abdelkader Boudjellal, un membre des Oulama de Mahadja, cité par l'Emir Abdelkader dans son autobiographie, fustigea l’opportunisme des tribus des Beni Amer qui ont toujours soutenu l'occupant. Plus de 60 tribus sont citées et, parmi elles les Ouled Ali tiennent une bonne place. Ce pamphlet de Sidi Abdekader Boudjellal Al Machrafi a été écrit dans les premiers jours de Rajab 1178 et plus exactement du 25 décembre 1764 au 3 janvier 1765. Sidi Abdelkader mourut le 19 Ramadhan 1192 (2 Octobre 1778). Le titre du pamphlet a été traduit ainsi ; "Agrément de celui qui s'intéresse aux chroniques de ceux qui se sont soumis, parmi les Arabes, aux Espagnols, tels que les Béni amer".

Concernant vos trois sources (Pierre Boyer, L. Rinn et le capitaine Dumas) pour parler des tribus de la région d’Oran, c’est bien connu dans la pratique des colonisateurs successifs de l’Algérie, de mettre toujours en avant les tribus qui les servent et faire oublier de l’histoire les tribus qui se dressent devant l’occupant. L’arabe noble ne saurait être valorisé par le colonisateur, bien des études le montrent (voir la synthèse des recherches faites sur le sujet et publiée sous le titre : Les Arabes et l’Islam vus par les manuels scolaires français, Marlène Nasr, Edition Karthala Paris et Center for Arab Unity Studies, Beyrouth, 2001). Voici des exemples que les enseignants français continuent à découvrir jusqu’à présent dans les mémoires de recherches de leurs étudiants qui, grâce à Internet, peuvent facilement faire du bon copier-coller et à cause d'Internet peuvent également faire du mauvais copier-coller. Exemples de mauvais copier-coller : « L’Algérie où sur le plan ethnique 99 % des citoyens algériens sont des berbères, … ». Pauvres arabes, 320 000 immigrés au milieu de 32 millions de berbères !«  L’Etat algérien étant une création coloniale, …». Bien évidemment, avant l’arrivée du soldat-laboureur français qui expulsait l’Arabe et le Berbère de leurs terres pour les leur prendre, l’Algérie était une sorte de Biled el sayba (territoire sans contrôle politique) et ce depuis le départ des Romains, autre colonisateur qui n'aurait trouvé aucun Etat pour lui résister.

Dernier point. L’article aura besoin d’être nettoyé d’erreurs et d’imprécisions. Dès que nous aurons le temps, nous lui ferons un lifting conforme à la réalité historique et présente des Mahaja. « Il faut se garder de trois fautes : parler sans y être invité ; ne pas parler quand on y invité ; parler sans observer les réactions de l’autre » (Confucius). Signé, au nom des Mhadja, par deux lettrés Mhadji.

Bonsoir.
Les informations provenant de lettrès ne sont malheureusement pas privilégiées sur Wikipedia, car il est impossible de les distinguer dans la masse des collaborateurs de Wikipedia, simplement sur leurs dires. Les sources orales n'y sont pas davantage recevables. On doit noter, sur ce dernier point, que le territoire de l'Algérie après l'islamisation a accédé à une haute culture où les sources écrites n'ont pas manqué. Les sources arabes que vous auriez à produire ne sont pas refusées, car nombre de contributeurs, dont je ne fais pas partie, sont aptes à les examiner.
Votre critique convenue des sources françaises est un procès d'intentions. La référence au capitaine Daumas concerne la période (1838) où il était "consul" à Mascara auprès de l'Etat d'Abd el Kader, et les Ouled Ali dont il parle font partie à l'époque des forces qui soutiennent l'émir; les documents dont sont tirés ces informations sont adressés à ses supérieurs, ce qui laisse supposer qu'il a donné le meilleur des informations collectées. La référence à Rinn concerne une étude sur l'ensemble des tribus d'Algérie, et n'exclue ni les Chorfas, ni les Zaouias, ni les tribus qui tinrent le plus longtemps leur résistance aux armées françaises, ni les Maadja. La référence à Pierre Boyer, relative à une étude ciblée sur les Beni-Amer, nuance considérablement la diatribe de Sidi Abdelkader Boudjellal , ou les propos de même acabit rapportés par les auteurs français du XIXe sur la "marque d'infamie" des Beni-Amer, et leur prétendue "soumission" aux Espagnols. Mais je ne vais pas m'étendre, il est aisé de lire le texte que j'ai donné en référence. Vous y noterez en particulier que de tous les Beni Amer qui s'exilèrent en 1845 au Maroc, plus ou moins contraints par Abd el Kader, seuls les Ouled Ali (dont les Ouled Ali Maadja), ne virent partir aucune de leurs tentes.
Je vois évidemment ce que ces informations ont de partiel, et nous sommes preneurs de toute information supplémentaire qui serait documentée et crédible.
Procès d'intention pour procès d'intention, je ne doute pas des connaissances des Oulémas, mais je doute de leur volonté de les transmettre dans leur intégrité.
De la part d'un paysan-laboureur. --Tmouchentois (d) 26 décembre 2010 à 22:59 (CET)[répondre]
Bonsoir au paysan-laboureur
Pour mettre fin à la discussion stérile sur la distance qui sépare El Gaada d’Oran, un intervenant a eu le bon sens de vous dire qu’il fallait demander au maire de la commune, il vous répondra certainement qu’il y a quatre sorties dans sa ville, chacune avec un panneau d’indication des destinations et distances entre les villes. Un autre intervenant a réagi vivement en disant que le maire peut nous raconter n’importe quoi, qu’il vaut mieux mesurer la distance entre El Gaada et Oran avec l’étalon « à vol d’oiseau ». Le sage japonais dit que « celui qui confesse son ignorance la montre une fois ; celui qui essaie de la cacher la montre plusieurs fois ». Notre intervenant au eu l’humilité de s’excuser et laisser la discussion qui s’enlisait, passer à un aspect bien plus fondamental qui m’a poussé à intervenir dans ce genre de média : Quel rapport entre les Ouled Ali et les Mahaja ?
Vous, au lieu de dire je n’ai pas accès aux documents écrits par des Arabes sur des Arabes (les Ouled Ali et les Mahaja), pas accès non plus aux documents écrits en Arabe par des oulama sur ces Arabes, vous vous êtes senti personnellement attaqué et vous persistez qu’il faut prendre pour vérité absolue tout ce que les représentants du colonialisme (fonctionnaires et militaires) ont raconté sur les tribus arabes de la région d’Oran. Vous voulez que les tribus algériennes acceptent leur histoire telle qu’elle est rapportée par des Boyer, Rinn et Dumas qu’il ne faut surtout pas soupçonner de représenter le colonialisme (car cela s’appelle un procès d’intention). Vous êtes donc prêt à contraindre les descendants actuels des Sioux, Apaches, Aztèques, Zoulous, Pulls, d’accepter leur histoire, strictement comme elle fut racontée par les Blancs et Hollywood, parce qu’elle a été consignée dans les livres et revues de Blancs. Même dans les grandes universités Américaines et Européennes d’aujourd’hui, on prend un grand soin d’interroger toute tradition orale (quand il n’y a pas d’écrit) pour établir l’histoire de tous ces peuples qu’on méprisait jusqu’aux années quatre-vingt (on les appelait « peuples sans écriture », « peuples sans histoire », « peuples primitifs »).
Vous me faites penser à tous ces Occidentaux qui se sont insurgés contre l’écrivain libanais Amin Maalouf quand il a publié Les Croisades vues par les Arabes (1983). Ils ont dit, on ne va pas refaire nos manuels d’histoire pour un petit libanais qui a exhumé des lettres, des écrits, et des récits écrits en arabe qui ne coïncident pas du tout avec la vérité de nos historiens officiels, celle que nous enseignons depuis des siècles à nos enfants. En plus, non seulement nos historiens ne connaissent pas du tout ces prétendus écrivains arabes qu’il cite, mais ce Amin Maalouf ose affirmer que des atrocités ont été commises par nos Croisés partis seulement pour protéger le Saint Sépulcre contre les mécréants (musulmans). On a attendu 2005 pour que l’Américain Ridley Scott sorte son film Kingdom of Heaven (Royaume des cieux) qui montre tout autre chose que les récits des historiens des Croisades. Tout à coup on découvre des seigneurs arabes et non pas des mécréants. Comme on avait attendu 1990, pour que le film Dance avec les loups de Kevin Costner, nous raconte une toute autre histoire des Peaux-rouges d’Amérique que ce qu’on apprenait aux élèves et étudiants américains. Et là aussi on découvre des êtres humains avec leurs qualités et défauts d’être humains, et non pas des sauvages.
Si Wikipedia est un instrument du colonialisme, je comprendrai tout à fait qu’aucune tribu n’ait le droit de regard sur sa mémoire et son identité, cela relève des ethnologues, orientalistes et du Bureau arabe (comme à l’époque coloniale); mais je ne pense pas qu’on ait créé ce formidable outil d’information au service d’une puissance coloniale ou d’une officine idéologique. Alors, Monsieur Tmouchentouis, laissez les peuples raconter chacun son histoire avec les témoignages de ses ancêtres d’abord, sans rejeter les regards étrangers tout en ayant conscience qu’ils sont des regards étrangers. Laissez les utilisateurs de Wikipedia s’informer grâce à la diversité des sources et des méthodes de travail, chacune avec ses mérites et ses faiblesses. « Il est grand celui dont on peut compter les défaillances » (Talmud).
Je n’ai plus rien à ajouter à cette discussion, sinon cette leçon du plus noble des Mahaja que nous apprenons à tous nos enfants : « l’ignorant fait à lui-même ce qu’un guerrier fait à son ennemi ».
Un lettré Mhaji
Bonjour à tous. Citation pour citation, j'ai moi aussi la mienne : « Quand sur Wikipédia tu t'invites, avec humilité tu t'informes des règles du site ». Tout est compilé ici : Aide:Sommaire/Règles.
L'une des règles les plus importantes est celle dite du travail inédit, qui établit en gros que Wikipédia n'est pas destinée à servir de lieu de publication pour les travaux inédits, correspondant à des recherches qui n'ont jamais été publiées en dehors de Wikipédia, ce qui est exactement le cas des traditions orales. Ces traditions deviendront admissibles dès qu'elles auront auront fait l'objet de travaux de recherches publiées, ce que, en tant que lettrés, je vous exhorte à faire.
Une autre règle à connaître de Wikipédia est celle dite de la neutralité de point de vue. Wikipédia ne cherche pas à prouver que la seule vérité est celle racontée par les méchants colonisateurs européens, ou que seules les tribus concernées sont aptes à raconter leur admirables gestes. Wikipédia est neutre et ne fait que synthétiser le savoir, tout le savoir, noir, blanc ou gris, en donnant à chaque avis l'importance qu'il mérite. Ce n'est pas la faute de Tmouchentois si les documents les plus accessibles et les plus cités sont ceux de Boyer, Rinn ou Dumas, ou si les Lettrés Algériens n'ont pas encore eu le temps de rapporter, par des travaux universitaires, leur propre histoire.
Encore une autre règle wikipédienne : la vérifiabilité. Aussi honorables que vous puissiez être, je ne connais rien de vous sauf votre adresse IP à partir de laquelle vous contribuez. Comment fera le lecteur pour vérifier les affirmations d'un article Wikipédia si les personnes qui les rapportent se cachent derrière une adresse IP ou un pseudonyme (ce qui est mon cas) et peuvent disparaître du jour au lendemain ? Pour cette raison, seules des sources publiées, précisément référencées, permettant d'établir la véracité des points de vues, sont acceptées pour servir de fondations aux articles.
Pour toutes ces raisons, Wikipédia incite, que dis-je, oblige ses contributeurs à citer leurs sources. Donc, si vous avez accès aux documents écrits par des Arabes sur des Arabes, ou aux documents écrits en Arabe par des oulama sur ces Arabes, alors citez-les, référencez-les, mais souffrez que Tmouchentois cite aussi les siennes.
Enfin, mes excuses portaient sur la rudesse de mes propos. Concernant la détermination des distances kilométriques, c'est non pour le maire. Cela reviendrait à accepter la prévalence d'un argument d'autorité.
Dernière question : mais pourquoi ne vous créez-vous pas un compte ? Ce serait certainement plus facile pour tout le monde Émoticône sourire.
Cordialement. --Indif (d - c) 27 décembre 2010 à 07:40 (CET)[répondre]

Bonjour à vous tous. Nous nous sommes renseignés et avons découvert que l’article El Gaada a été proposé par une jeune professeur d’Anglais d'Oran qui, bien que portant un nom de la région, ne connait apparemment ni la géographie, ni l’histoire d’El Gaada et de ses habitants. Elle voulait sans doute faire oeuvre utile comme nous tous, chacun en fonction de ses connaissances. Qu’elle soit remerciée de nous avoir donné l’occasion de vous connaître et d’avoir discuté avec vous tous. Nous avons été alertés par le contenu de cet article au moment où nous ne pouvions accéder à la modification des erreurs et combler les lacunes. Nous vous avions promis un lifting de cet article et nous sommes en train de consulter les documents et les personnes compétentes pour proposer à Wikipedia une toute autre version, complète et exacte, qui fera plaisir à tout le monde, une version débarrassée des anachronismes, des mythes et des approximations géographiques et autres, loin de susciter la moindre polémique. Patienter quelques jours, nous avons terminé toutes les rubriques sauf celle qui nous surprend le plus, la zaouia darkaoui dont nous ne retrouvons aucune trace historique dans toute la commune d’El Gaada. Que Monsieur Tmouchentois soit rassuré, la partie découpage administratif et ses références ne sera pas modifiée, nous avons trouvé de quoi concilier ses Ouled Ali avec nos Mhaja qui, historiquement, n’ont jamais eu de conflit de voisinage d’après nos sources. Bonnes fêtes et meilleurs vœux à tous. Deux lettrés Mhaji

Bonjour à tous. Voilà donc un "conflit" qui déboucherait sur du positif, une connaissance bien documentée et débarrassée des légendes; tout le monde , je pense, s'en réjouira. S'agissant de mes ajouts, je n'en suis pas satisfait, non pas pour la qualité des sources, qui se protègent, en quelque sorte, "d'elles mêmes", sur Wikipedia, mais parce que les ayant exploitées insuffisamment à l'époque, et trompé par la fascination que l'article porte aux chorfas, mon attention s'était portée sur une des tribus de l'ancienne CM de St Lucien (Zahana aujourd'hui), les Cheurfas el Guetarnia, qui sont hors-sujet de l'article. Je pense donc retoucher cette partie "découpage administratif", qui avait sans doute été créée par le jeune professeur d'anglais, en en retirant certains de mes ajouts. Mes sources, mieux recoupées aujourd'hui, me permettront d'informer directement la section historique elle-même, quand j'en trouverai le temps, entre deux labours. Cordialement. --Tmouchentois (d) 30 décembre 2010 à 09:33 (CET)[répondre]
Bonjour à tous. L'ouvrage en arabe signalé ci-dessus, « L'agrément du lecteur, notice historique sur les Arabes, tels que les Beni Amer qui reconnaissent la souveraineté des Espagnols » par Abou-l-Makarim-Sidi-Abdelkader-ben-Abdallah-ben-Abi-Djellâl il Mecherfi l Gherisi, est consultable, texte arabe, et traduction française, dans la Revue africaine de 1924 (téléchargeable ici - 1924 - pp.197-220 pour le texte arabe ; pp.221-260 pour la traduction). Plutôt qu'une diatribe, c'est un véritable réquisitoire, d'ailleurs assorti d'une sentence (pp.258-259), dont l'intérêt réside dans les détails sur certaines tribus, et la précision sur leur origine. Malheureusement, les faits reprochés sont rédigés de manière globale, insultante mais assez floue, sans trop de détails historiques. On comprend néanmoins que cela concerne la période antérieure à 1708, et le réquisitoire est dressé en 1764 ! Les Ouled Ali sont traités pp.246-251 (ils comptaient à l'époque près de 70 douars d'après l'auteur). Cordialement. --Tmouchentois (d) 23 janvier 2011 à 10:02 (CET)[répondre]

Zaouïa (École Coranique)[modifier le code]

J’aimerais bien comprendre le rapport entre El Gaada et la section "Zaouïa (École Coranique)"

Pour l’instant, après lecture des articles cités dans ce paragraphe, je me suis aperçu que la plupart des informations de cette section étaient déjà présentes dans les articles : Sidi Bouazza Al Mahaji, Moulay Larbi Derkaoui et Derkaoua.

J’ai donc supprimé ces informations (qui étaient de plus incompréhensibles dans cet article) et j’ai ajouté à la place :

--Poudou99 (d) 1 janvier 2011 à 22:31 (CET)[répondre]

Bonjour Poudou. Les intervenants lettrés Mhaji signalent eux aussi l'anomalie de la présence de cette zaouia à el Gaada, ou dans l'article el Gaada. L'ennui de renvoyer à l'article Sidi Bouazza Al Mahaji, c'est que cet article lui-même contient au moins une approximation, et même une erreur, du même genre que celles que nous pouvons remarquer sur les articles informés par le contributeur "montréalais". La Derkaoua était très active en Oranie bien avant sa naissance (celle de sidi Bouazza), et il ne saurait en être le fondateur oranais (épisode très documenté de la révote Derkaoua de 1805 contre les Turcs, sous la conduite de Abdel kader ben ech Cherif d'une fraction maraboutique de la tribu des Doui-Inejdad). L'article sidi Bouazza contient quelques autres incohérences, mais ce sera pour plus tard. Cordialement. --Tmouchentois (d) 2 janvier 2011 à 10:10 (CET)[répondre]
Bonjour Tmouchentois. Oui, je sais, les choses ne sont pas simples. Dans un premier temps, j’ai souhaité alléger l’article sur El Gaada. Il faudra ensuite faire un peu de ménage dans les autres articles (dont des passages sont dupliqués un peu partout). Les interventions de "nos passionnés" d’El Gaada, de leurs familles et activités au cours des siècles, se retrouvent dans beaucoup d’articles (un vrai sac de nœuds). Démêler tout cela n’est pas évident pour qui n’est pas expert du domaine (ce qui est mon cas). Alors, pour l’instant, je travaille sur la structure et la compréhension de ces articles, je ne suis pas qualifié du tout pour travailler sur le fond. --Poudou99 (d) 2 janvier 2011 à 14:53 (CET)[répondre]
Bonsoir Poudou, je profite d'une correction sur une expression un peu ambigüe de mon message précédent, pour te répondre. Je ne suis pas plus spécialiste que toi de ces questions, mais comme elles rejoignent un peu mes "recherches" sur l'histoire d'Aïn Témouchent, j'ai pu mieux me rendre compte des anomalies, que je n'ai pas pour l'instant toutes signalées, sur cette série d'articles.
Je réponds également à propos de la suppression de l'ouvrage des lettrés. Je t'approuve totalement, et je regrette simplement qu'ils n'aient pas désiré se plier aux règles de référencement, car il me parait évident que ce qu'ils ont écrit, ils l'ont bien tiré de "quelque part".
Un bémol: nos contributeurs lettrés ont la même tendance à l'approximation (que l'IP du québec) quand la passion les saisit. Un exemple dont le contrôle m'a été facile, car cela rejoint un de mes dadas. Ils nous citent une famille "Huguenengue" de colons allemands installés à El Gaada au XX°. Un rapide coup d'oeil sur l'annuaire de 1961 nous indique que ce sont des Hugounenq (parfois Hugouneng), d'origine héraultaise [3], plus précisément de Lodève, avant un passage à St Geniès en Aveyron pour ce qui concerne les Hugounenq d'Oranie[4]. Cordialement. --Tmouchentois (d) 2 janvier 2011 à 21:15 (CET)[répondre]

discussion de 88.160.186.59[modifier le code]

Bonjour, Comme promis nous avons nettoyé l'article El Gaada de ses légendes et anachronismes, en apportant beaucoup d'éléments historiques et géographiques, des références en arabe pour équilibrer les sources, le tout pour mieux situer cette commune et ses populations Mhaji et non Mhaji. Il faudrait que quelqu'un fasse le nettoyage des articles sur les confréries (Darkaouia et autres) avec lesquels El Gaada n’a pas de rapport, comme le suggère Monsieur Tmouchentois, car ils induisent en erreur bien des utilisateurs de Wikipedia sur les intentions de certains cheikhs de zaouia. Il fallait que nous répondions à ceux qui cherchent une caution spirituelle des Mhaja pour faire rayonner leur zaouia. Enfin, nous n'avons pas touché à la partie découpage administratif, puisque Monsieur Tmouchentois avait l'intention d'apporter des éléments nouveaux par rapport à nos discussions des jours précédents. Cordialement. Les deux lettrés Mhaji.

Bonjour. Si j’apprécie votre volonté d’améliorer la qualité de l’article sur El Gaada, je ne puis accepter vos derniers ajouts, pour les raisons suivantes :
  • Certains textes ne sont pas placés dans les bonnes sections. Par exemple : les infos sur l’agriculture doivent aller dans la section Economie (et non Geographie) ; les infos sur les habitants doivent aller dans la section Démographie (et non Geographie), et ainsi de suite
  • La section histoire (déjà très compliquée dans sa version précédente) s’est encore plus alourdie par des phrases difficilement compréhensibles par qui n’est pas un expert des familles d’El Gaada et de leur histoire au cours des siècles. Ici, on parle principalement de l’histoire de la ville, si l’histoire des familles méritent un article sur Wikipedia, alors écrivez le et faites y référence dans l’histoire d’El Gaada (par des wikiliens).
  • Il y a beaucoup de textes évasifs commençants par : "Il semblerait que", "on dit que…", "Ce Brahim El Mhaji a dû avoir des frères et des oncles…", "ceux-ci, laisse penser que…", "Mais malheureusement", "Certains disent qu’au...", "La légende raconte que…", "Il faut également sortir du gouffre d’une seconde légende…", "On raconte que", "Enfin,…" etc. Le texte en est truffé.
  • Présence de citations en arabe non traduites
  • absence de références
En conclusion, l'article étant devenu encore plus incompréhensible qu'avant, j'ai supprimé vos modifications. --Poudou99 (d) 2 janvier 2011 à 14:18 (CET)[répondre]
Bonjour tout le monde. Je viens de finir de lire (enfin, presque Gnii) l'étonnante ouvrage dont nous ont gratifiés les deux lettrés sous IP. J'approuve totalement la révocation de Poudou99 et ses explications.
Je croyais avoir longuement et patiemment expliqué la « philosophie » de Wikipédia, sa façon de fonctionner, ses règles, mais les contributeurs sous IP n'ont semble-t-il rien compris, ou feignent de ne pas comprendre. C'est dommage, ce dialogue de sourds.
Répétons donc une seconde fois : le travail inédit n'a pas sa place sur Wikipédia, et on entend par travail inédit toute information, théorie, hypothèse, légende ou même tout savoir que ne vient étayer aucune source de qualité. La vérifiabilité est une autre règle essentielle selon laquelle « une information ne peut être mentionnée que si les lecteurs peuvent vérifier qu'elle a déjà été publiée par une source ou référence de qualité » ; mais elle est allègrement transgressée. Ne parlons pas des distances El Gaada-villes voisines, qui une fois de plus sont arrangées par nos lettrés à leur bon vouloir.
Mon conseil gratuit du jour : chers contributeurs sous IP, vous vous trompez de lieu pour ce que vous voulez rédiger et passer comme message. Il existe quantité de plateformes de blog et des hébergement gratuits dans lesquels personne ne viendra vous chercher noise. Allez-y, si vous ne voulez pas vous plier aux règles de Wikipédia.
Cordialement. --Indif (d - c) 2 janvier 2011 à 15:09 (CET)[répondre]
Bonsoir,
Vous avez entièrement raison. Surtout, veillez bien à ce que personne ne modifie rien à cet article !!!
Cordialement. Deux lettrés Mhaji
Il n’est absolument pas question d’interdire à qui que cela soit de modifier cet article. Il est question de faire en sorte que les modifications respectent les règles d’écriture et d’admissibilité des articles de Wikipedia. Si des contributeurs ajoutent des informations sur El Gaada, et qu’elles sont jugées pertinentes, alors elles seront acceptées. Aucun article, pas plus El Gaada qu’un autre, est un domaine réservé.
Comme je l’ai écrit hier dans cette discussion, les contributeurs au projet Maghreb de Wikipedia, ont  tous  à cœur à voir écrire des articles de bonne qualité mais souhaitent que ces articles soient correctement écrits et surtout non contestables (d’où le principe des sources et du respect des règles). --Poudou99 (d) 2 janvier 2011 à 18:31 (CET)[répondre]
(conflit d'édit) Au contraire, le but de notre présence tous ici est que cet article soit modifié, amélioré, enrichi, mais selon les règles de Wikipédia. L'idée n'est pas de vous interdire de l'améliorer, mais de vous aider à bien l'améliorer. Cela me barberait de le faire, mais si vous le voulez, je vous décortiquerai phrase par phrase votre écrit pour vous en montrer les défauts. Mais je ne voudrai simplement pas perdre mon temps à donner des explications à quelqu'un qui n'en veut pas. Si vous le voulez donc, on fera de cet article un exemple d'article encyclopédique, conforme aux exigences de Wikipédia. Chiche donc ? --Indif (d - c) 2 janvier 2011 à 18:42 (CET)[répondre]

Bonsoir, En 2011, on peut donc trouver une encyclopédie qui parle des Arabes, en se passant des sources arabes? Concernant Les Idrisides d'El Gaada et leur histoire,voici quelques-uns des écrits d'auteurs arabes bien plus connus que ceux qui nous parlent des Ouled Ali et des Monts Ouled Ali, alors qu'il n'y a aucune famille des Ouled Ali dans toute la commune d'El Gaada.

  1. Sidi Abderrahmane El Fassi (1631-1685) dans son célèbre « جوهرة العقول في ذكر آل الرسول » où l’on retrouve l’origine des M’hadja et de l’Emir entre autres, Ibn Khaldoun, El Bikri, Aboul Fida, Ahmed En-Naciri, Ibn Hazm, Ismaïl El Arabi Ibn Abd-El-Hakem et tant d’autres.
  2. Dans son autobiographie, le Cheikh Abou Ras Naciri, mort en 1823, citant ses maîtres, dit avoir étudié le Coran chez Sidi Mohamed Ben Brahim (à Boujebha, actuellement Wilaya de Bel Abbès). (Source : «كتاب فتح الإله ومنته بالتحدث بفضل ربي ونعمته », édition SNED (Alger), Bibliothèque Nationale d’Alger).
  3. On peut trouver également des indications sur les familles idrisides dans l’ouvrage de Mohamed Ben Hassan El Makhloufi. Source : «الدر النثير فيمن اشتهر وصح نسبه من شرفاء الوادغير"  » « La perle disséminée de ceux qui se sont rendus célèbres par leur appartenance véritable aux Chorafas dits Loudghir », Imprimerie Feddala, Mohammedia, Maroc, (écrit en 1847), Bibliothèque générale de Rabat).
  4. Si Tayeb El M'Hadji, membre fondateur de l’Association des Oulama algériens, donne également quelques éclairages dans son ouvrage en arabe : أنفس الذخائر وأطيب المآثر في أهم ما اتفق لي في الماضي والحاضر « Les précieux bienfaits et les mémorables souvenirs de ce que j’ai vécu d’important au passé et au présent » (édition de la Société algérienne d’édition et de papeterie, Oran, 1966).
  5. «  L’Encyclopédie du Soufisme », du Docteur Abd El Mon’im El Hanafi, 1ère édition 2003, Editions Medbouli, le Caire, comptant 1034 pages, l’auteur cite 334 grands noms : de Soufis de toutes régions, de tous siècles et de ceux qui les ont critiqués en ne tenant compte exclusivement que de leurs convictions religieuses.
  6. « Le Maroc avant la colonisation », Mohamed El Mansour, (Edition originale en anglais), traduction à l’arabe par Mohamed Houbeïda, Editions du « Centre Culturel Arabe », 2006, Beyrouth et Casablanca).
  7. « Chroniques d’Oran, Alger, d’Espagne et de France jusqu’à la fin du XIXème siècle », tome I. Par Benaouda El Mzari, éditions Dar El Gharb El Islami, Beyrouth, 1990, commentaires de Yahya Bouaziz.
  8. « La répulsion des dissensions dans les guerres entre les Turcs et Derkaoua », autobiographie du Cheikh Abou Ras. « ردء الشقاوة في الحروب بين الأتراك ودرقاوة ».

Ainsi, tous ces savants arabes musulmans, dont certains ont eu des milliers d'élèves, n'apportent donc rien comparés à trois articles écrits par des Dumas et autres fonctionnaires coloniaux? Ces Arabes auraient dû écrire alors dans la langue du colonisateur, ils avaient donc tort d'écrire en arabe. La preuve, c'est qu'on veut absolument les ignorer alors même qu'il s'agit de leur propre histoire et de celle de leur région et famille (l'itinéraire des tribus idrisides et leur installation à El Gaada). "Ils ont été dirigés dans le chemin de Celui qui est digne de louanges" (Coran). Que peut-on dire d'autre qu'indiquer des sources à ceux qui ont décidé de mettre absolument à équidistance (39 et 42 km) El Gaada, des villes d'Oran et de Mascara! "Errare humanum est, perseverare diabolicum". Vous nous avez traités de gens qui ne savent pas écrire en Français, nous allons faire l'effort d'apprendre à écrire dans la langue de notre colonisateur, et peut-être même qu'un jour nous deviendrons des écrivains (qui peut préjuger de l'avenir?). Notre ancêtre Mohamed (ç) nous a dit que celui qui apprend la langue d'un peuple, Allah le protègera contre ce peuple. Mais vous, de grâce, si vous voulez parler honnêtement et fidèlement de nous (El Gaada et Mhaja), il faudra faire l'effort d'apprendre l'Arabe. Les deux Mhajis vous saluent.
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 88.160.186.59 (discuter)

Bonjour 88.160.186.59.
Encore une fois, vous vous trompez de débat et ne voulez rien entendre sur le rôle de de Wikipedia et sur son mode de fonctionnement.
  • Tout d’abord, fr.wikipedia est la version francophone de wikipedia, vous comprendrez que ses lecteurs ont pour langue principale le français et ne lisent pas tous l’arabe. Il existe une version arabe de wikipedia qui est adaptée aux lecteurs/contributeurs arabophones.
  • Ensuite, personne ne remet en cause le travail des savants, auteurs, chercheurs, homme de sciences,… Arabes (des siècles présents ou de notre temps). Tout le monde reconnait qu’ils ont apporté énormément de choses à la civilisation occidentale. Leurs œuvres ont été traduites vers les langues occidentales (français, anglais, espagnol…) par des occidentaux ou par des Arabes, et c’est ainsi que ces œuvres nous sont connues et utilisées. Pardonnez-nous, si les œuvres que vous citez n’ont pas de traductions. Alors, vous comprenez que nous ne pouvons les utiliser en l’état.
  • Pour terminer, vous vous trompez de lieu et d’interlocuteurs pour ce débat. Vous ignorez à qui vous vous adressez. Les contributeurs ici, sont d’origines diverses (arabes, berbères, françaises, espagnoles, pied-noir,… ou tout ça à la fois), ils ont tous en commun la passion du Maghreb et souhaitent en parler sur Wikipedia du mieux possible afin de faire connaitre cette région (ses hommes, son histoire, sa culture, son, apport au reste du monde,…) aux autres lecteurs. Mais ils veulent le faire honnêtement, en respectant les règles de Wikipedia.--Poudou99 (d) 4 janvier 2011 à 23:35 (CET)[répondre]
Bonjour 88.160.186.59 (d · c · b)
Vous voilà soudain devenu bien intransigeant pour la rédaction de cet article. Depuis près de 18 mois que vous y intervenez, vous n'avez pas voulu le nettoyer des données légendaires que vous avez signalées il y a peu de jours, vous n'avez pas utilisé les sources que vous citez aujourd'hui, et vous prétendez maintenant dénigrer les informations sourcées sur votre village, péniblement rassemblées, et maintenant présentées ! Votre rage tient-elle à ce qu'il s'agissait, pour vous et les autres intervenants sur cet article, d'occulter justement ce que disent les sources présentées hier ? --Tmouchentois (d) 5 janvier 2011 à 09:27 (CET)[répondre]
Bonjour à tous. S'il faut être pédagogue, soyons-le. Je constate que certaines des références apportées par le contributeur sous IP sont admissibles, d'autres non. Passons-les en revue :
  1. Sidi Abderrahmane El Fassi (1631-1685) : « جوهرة العقول في ذكر آل الرسول ».
    • 163-1685 : n'est-ce pas un peu trop vieux, dépassé ? N'y a-t-il pas de recherches plus récentes ? Cependant, s'il est si célèbre, où peut-on le trouver ? Est-il disponible, par exemple, à l'IMA ? Et si l'on suppose qu'il est admissible, quelle partie de l'histoire d'El Gaada permet-il de sourcer ? De quel Emir parlez-vous ?
  2. Cheikh Abou Ras Naciri, mort en 1823 : «كتاب فتح الإله ومنته بالتحدث بفضل ربي ونعمته », édition SNED (Alger).
    • Avez-vous la date de publication de cet ouvrage ? Quels passages de ce livre numéro de pages exacts) sourcent quelles partie de l'histoire d'El Gaada ?
  3. Mohamed Ben Hassan El Makhloufi : «الدر النثير فيمن اشتهر وصح نسبه من شرفاء الوادغير"  » « La perle disséminée de ceux qui se sont rendus célèbres par leur appartenance véritable aux Chorafas dits Loudghir », Imprimerie Feddala, Mohammedia, Maroc, (écrit en 1847), Bibliothèque générale de Rabat).
    • Quels passages sourcent exactement quelle partie de l'histoire d'El Gaada ?
  4. Si Tayeb El M'Hadji : أنفس الذخائر وأطيب المآثر في أهم ما اتفق لي في الماضي والحاضر « Les précieux bienfaits et les mémorables souvenirs de ce que j’ai vécu d’important au passé et au présent » (édition de la Société algérienne d’édition et de papeterie, Oran, 1966).
    • Idem.
  5. « L’Encyclopédie du Soufisme », du Docteur Abd El Mon’im El Hanafi, 1ère édition 2003, Editions Medbouli, le Caire.
    • ibid.
  6. « Le Maroc avant la colonisation », Mohamed El Mansour, (Edition originale en anglais), traduction à l’arabe par Mohamed Houbeïda, Editions du « Centre Culturel Arabe », 2006, Beyrouth et Casablanca).
    • ibid.
  7. « Chroniques d’Oran, Alger, d’Espagne et de France jusqu’à la fin du XIXème siècle », tome I. Par Benaouda El Mzari, éditions Dar El Gharb El Islami, Beyrouth, 1990, commentaires de Yahya Bouaziz.
    • Ibid.
  8. « La répulsion des dissensions dans les guerres entre les Turcs et Derkaoua », autobiographie du Cheikh Abou Ras. « ردء الشقاوة في الحروب بين الأتراك ودرقاوة ».
    • Manque l'éditeur, la date et le lieu d'édition, ainsi que la précision sur quels passages sourçant quelles parties de l'histoire d'El Gaada.
Si vous vous donniez la peine de mieux vérifier les contributions de Tmouchentois dans la section Histoire , vous verriez que chaque passage est convenablement sourcé, renvoyant par un appel de notre vers une référence indiquant précisément la source d'où est tirée l'information, y compris le numéro de page. Tmouchentois prend même la peine d'ajouter une section Remarque historiographique dans laquelle il précise les limites de disponibilités des sources (cependant, je considère que cette section est inutile, car constituant du TI). Il suffit de réaliser le même travail : muni de vos sources, vous indiquez pour les passages les plus importants de vos ajouts une référence formulée avec soin et précision : plus personne ne prendra alors le risque de supprimer vos informations. C'est aussi simple que cela. Êtes vous prêt à vous investir dans ce travail de clarification ?
Cordialement. --Indif (d - c) 5 janvier 2011 à 13:18 (CET)[répondre]

Bonjour chers utilisateurs de cet article El Gaada, sachez que deux hommes originaires d’El Gaada, qui y ayant vécu et continué à s’y rendre fréquemment, connaissant ses populations, coins et recoins, comme leur poche, vous avertissent de l’existence de plusieurs anomalies dans cet article. Ils vous avertissent aussi qu’ils ont tenté, à plusieurs reprises, de les corriger en proposant un autre article, mais à chaque fois leurs corrections et apports sont annulés (lisez les arguments ci-dessus). Avant d’abandonner définitivement ce dialogue de sourds avec « les gardiens du Temple », ils veulent sincèrement vous mettent en garde sur 11 points exactement, pas un de plus ni de moins, pour vous aider à bien identifier le lieu (El Gaada) et les Idrisides (Mhaja) qui l’occupent depuis des siècles.

1. D’abord, nous vous avertissons que les distances indiquées qui séparent El Gaada d’Oran, de Mascara et de Bel Abbès sont fausses selon les cartes routières et les Ponts et Chaussées français (époque coloniale) et algériens. Les distances exactes sont : 50km pour Oran, 70 km pour Mascara et 50 km pour Bel Abbès.

2. Ensuite, il est faux que « les documents arabes sur l'histoire d'El Gaâda sont d'accès difficile, ou inexistants, et les rares informations accessibles sur El Gaâda et ses habitants se trouvent dans des sources européennes », comme vous avez pu le lire au début de l’article. Vous avez la liste des ouvrages signalés ci-dessus pour vous rendre compte (lire notre précédente intervention). En guise de réactions, l’un « gardiens du Temple » nous a gratifié d’une section entière sur les Ouled Ali (dont les descendants actuels seraient très surpris de se retrouver dans un article consacré à El Gaada), et l’autre nous invite à nous adresser à Wikipedia en arabe pour proposer un article avec des références arabes. Merci du conseil. Mais permettez-nous de rappeler que les respectables orientalistes qui écrivaient en français ou en anglais, sur les arabes et musulmans, pour les Européens (et non pour les arabes), utilisaient tous les documents et traditions locales qui les intéressaient, en apprenant l’arabe, le berbère, le turc, le perse, et leurs diverses dialectes, libres d’interpréter en leur âme et conscience ce qu’ils découvraient.

3. Les références uniquement françaises (plutôt coloniales), à l’exception d’Ibn Khaldoun sur l’histoire des Berbères dont n’appartiennent ni les Ouled Ali, ni les Mhaja) auxquelles renvoie l’article El Gaada ne parlent d’aucune des vingt-six factions des tribus qui habitent El Gaada depuis bien avant l’arrivée du colonisateur français et qui portent soit un nom de lieu géographique, soit un nom de tribu : Ain Affeurd, Blaihia, El-Fraïha, El-Aâraiba, El-Msatfa, El-Rmaysiya, El-Bradid, El-Jfafla, El-Mkhachich, El-Twahriya, El-Gwasem, El-Skarna, El-Diyayet, El-Bouadid, El-Saaîdiya, El-Kdadra, El-Zwadra, El Hmaïda, El Blayhiya, El Dyayate, El Saaida, El Skarna, Ouled M'barek, Ouled Sidi Amar, Shailia, Souaihia.

4. Une section entière est consacrée à la tribu des Ouled Ali (Arabes hilaliens, les Mhaja sont des Arabes idrisides), nos voisins respectables que nous connaissons famille par famille, mais dont aucune n’occupe un site géographique situé dans la commune d’El Gaada. Lors de notre prochaine visite chez eux, nous ferons savoir à ceux de nos amis et à ceux avec qui nous avions longtemps travaillé, que désormais ils doivent se considérer comme des Gaadaoui, qu’ils le veuillent ou non, c’est Wikipedia qui en a décidé, ils pourraient même venir voter chez nous.

5. Il est douteux d’affirmer que « La localité (El Gaada) aurait accueilli l'une des premières tribus constituées dans l’Oranie occidentale, bien avant l’arrivée des Omeyyades de Cordoue et des Fatimides au Maghreb ». Les Mhaja sont entrés en Algérie (dans ses frontières actuelles), venant du Maroc, à la fin du XIVe ou début du XVe siècle; même les Arabes hilaliens (1050) (dont sont issus les Ouled Ali) sont arrivés après les Omeyyades de Cordoue. Les Mhaja ont été précédés par leurs cousins les Soulaïmaniyine, descendants du frère d’Idris I, Sidi Soulaïmane Ben Abdellah Al Kamil dont le fils Mohamed s’installa à Tlemcen sur conseil de son cousin Idris II (793-828).

6. « Au temps du commerce caravanier, lit-on, les douars d’Al-Mahaja d'El-Gaada étaient un relais obligé pour des caravanes ». La vérité historique et la réalité géographique indiquent toute autre chose. Certains de ces douars étaient plutôt des centres culturels (écoles coraniques dirigées par de grands (fqihs) jurisconsultes, cas de Sidi Miloud Ben Brahim, de son nom Adda Brahim Miloud) que des centres commerciaux ou des passages obligés pour atteindre une ville.

7. Il existe une liste de noms d’hommes ayant fait allégeance (Baïa) en 1832 à l’Emir Abdelkader et un lieu historique identifié où eut lieu cette cérémonie (avec son monument ouvert aux visiteurs) situé à côté de la ville de Mascara où l’Emir s’est réuni avec ces hommes pour déclarer la guerre à l’occupant français. Consultez-donc l’association Emir Abdelkader, elle vous éclairera sur ce point d’histoire. Mhaja et en particulier Sidi Amar Lakehal El Mhaji, n’ont pas besoin de briller avec des légendes, pourquoi laisse-t-on dans l’article ce passage insultant pour certaines tribus ? « En 1832, Abd el-Kader, qui obtint une fatwa des tribus des Chorfas dans la grande Zaouia Darkouia Mahajia dans les environs d’Oran, seules à même de pouvoir lui rassembler quarante imams à la tête de l’ordre Sidi Amar Lakehal Al Mahaji, dirigea le soulèvement contre la conquête coloniale française. » Cela fait injure aux respectables oulama des autres tribus chorfa (nobles) et non chorfa (non nobles), vivant autour de Mascara, qui étaient aussi capables que nos imams d’El Gaada d’aligner un nombre représentatif d’imams pour prononcer une fetwa (décret) ouvrant le Djihad contre l’occupant français. D’abord depuis quand existe-il un nombre requis de 40 imams pour prononcer une fetwa ? Ensuite, ce n’est pas un imam mais un alem mufti qui prononce la fetwa (qualification nettement au-dessus) ; un seul homme de religion habilité et reconnu comme tel (alem moufti) par les autres oulama peut prononcer une fetwa, mais souvent par scrupule et révérence envers ses pairs, il consulte quelques-uns.

8. Quant à la zaouia darkaouia (confrérie soufie, qui aurait été introduite par Darkaoui en Algérie), nous pouvons vous affirmer que du haut de notre vénérable âge, nous n’avons trouvé à El Gaada ni lieu qui sert (ou avait servi) de zaouia, ni maître de zaouia. D’ailleurs nos grands parents ne nous en ont jamais parlé. Il y a certainement une confusion grossière entre mosquée avec prise en charge entière d’élèves et zaouia (local de confrérie), confusion également entre un fqih (jurisconsulte) et cheikh de zaouia (chef d’une confrérie). Certes il existe quelques mausolées (cinq exactement, dont l’un ne contient même pas de tombe comme celle de Sidi Amar Lakehal) disséminée sur le territoire d’El Gaada, mais aucune procession ni fête annuelle (waada ou mawsem) pour les vénérer, alors que dans les environs, on célèbre la waada des Ouled Ali (village des Ouled Ali, passés à la darkaouia dès la fin du XVIIIe siècle) et la waada d’El Mcid (Wilaya de Bel Abbès).

9. Enfin, il y a erreur sur la personne de Mohamed Benfreha Al-Mahaji, qualifié de «premier Gouverneur de l’Etat de l’Emir Abd El Kader ». Mohamed Benfréha El Mhaji qui était Khalifat (remplaçant ou successeur et non gouverneur) de Mascara n’est pas issu d’El Gaada. Il s’agit de Benfréha Ben El Khodheïr El M’Hadji de Ouled Mimoun. Il appartient à la fraction des Mhadja Ouled Sidi Ouis. Son père El Khodheïr a été intermédiaire entre le Bey Mohamed Ben Othmane et les Hchems dans les terribles conflits fomentés par Derkaoui.

10. De même qu’il y a erreur sur la personne du poète Mostefa Ben Brahim. Jamais cet homme ne fut Mhadji, ni Gaadaoui ; il n’était pas né non plus à Boudjebha (Wilaya de Bel Abbès) comme cela est écrit. Il est arrivé à Boudjebha à l’âge d’un an, avec son père, de la ville saharienne d’Aflou où il est né (Sud-Est de l’Algérie).

11. Quant à Mohamed Benfreha, il y a également confusion avec un autre compagnon de l’Emir, qui lui est bien un Mhaji originaire d’El Gaada, mais n’a pas occupé le poste cité de gouverrneur. En revanche, l’émir l’a bien désigné a la tête du tribunal de sa capitale politique et militaire, Mascara. Ce Mohamed Benfreha est grand érudit et non moins grand soldat et compagnon de l’Emir. Il fut présent jusqu’à l’embarquement à Ghazaouet de ce dernier sur le Solon, bateau qui devait l’emmener au soir du vendredi 24 décembre 1847 à Oran, d’où il quitta définitivement l’Algérie le jour de Noël, à bord de la frégate « Asmodée », pour subir les retombées de l’une des trahisons de la parole française. Benfreha fut à son tour déporté en Corse où il fut enterré.

Lecteurs de cet article, prenez en considération ces corrections pour éviter de propager ce qui est inexact sur El Gaada et ses habitants, région maghrébine qui vous intéresse ou qui vous est chère, et à laquelle, peut-être, vous êtes aussi attachés que nous. Quant à nous, vieux natifs d’El Gaada, nous pensions avoir fait notre devoir envers les nouvelles générations et les étrangers, un devoir de leur apporter les sources et avions même contribué à faire adoucir le ton de la discussion qui est devenu, progressivement, de plus en plus en adéquation avec notre éducation de Mhaji : « Celui qui est dépourvu de douceur est dépourvu de tout bien », avait dit notre prophète Mohamed (ç). Espérons que vous aurez la sagesse de corriger ces grossières erreurs sources d’orgueil pour les uns ou d’incompréhension pour les autres, voire de ricanement. Merci sincèrement de tout ce que vous nous avez appris, lors de ces échanges, sur les mœurs et le mode de fonctionnement de Wikipedia concernant la partie Maghreb, tout en vous disant Adieu. Car après cette mise au point, nous estimons que notre rôle est terminé (plus jamais d’intervention), et ceci tant que personne ne la modifiera d’une seule virgule ; une mise au point dont nous vous confions l’entière responsabilité pour sa protection.

Cordialement.

Deux lettrés Mhaji — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 88.160.186.59 (discuter)

Bonsoir 88.160.186.59 (d · c · b)
Pour persuader vos lecteurs, il faudrait que l'on puisse vous croire de bonne foi; or, si l'on consulte l'historique de l'article, on s'aperçoit que loin d'avoir corrigé les erreurs que vous signalez et dont vous vous offusquez, vous les avez avalisées [ou même renforcées puisque vous êtes un (et même deux) lettré(s)].
11 novembre 2010
  • vous renforcez l'idée de la première tribu constituée en Oranie, et la légende des 40 Goubbats (ajout de "coupoles"), [5]
  • vous complétez le thème du caravansérail [6]
12 novembre 2010
vous en rajoutez sur les 40 imams; apparemment l'idée que cela pourrait être insultant pour d'autres groupes ne vous inquiétait pas [7]
14 novembre 2010
vous intervenez sur la légende de la création du nom d'Oran(902) par un Mahaji(sensé ne pas être arrivé avant le 14° siècle), sans juger bon de la supprimer [8]
et la liste n'est pas exhaustive. Devant un tel comportement, on peut penser ce que valent vos autres affirmations péremptoires.
Je n'ai pas noté que vous ayiez réfuté la généalogie attribuée à Sidi Bouazza Al Mahaji
Je cite: « L'origine de Sidi Bouazza Al Mahaji remonte à Sidi Mimoun Al Mahaji ben Mohammed ben Abdullah ben moussa ben Issa Ben Al-Hussein Ben Amran Ben Ibrahim Ben Ali Ben al-Hassan Ben Ahmed Ben Muhammad Ben Idrîs II Al-Azhar Ben Idrîs Ieral-imam Ben Mawlâna Abdullah "le parfait" Ben al-Hassan II Ben al-Hassan as-Sibth Ben l'imam Ali ibn Abi Talib et Fatima Zahra fille du prophète d'Allah ». Cette généalogie est-elle celle qui fonde l'origine Idrisside des Mahajis ? Si tel est le cas, l'origine idrisside ne tient pas à deux minutes d'examen. L'intervalle moyen des 18 générations allant d'Ali (né vers 600) à sidi Bouazza (que je suppose né au plus tôt en 1780) est de 71 65 ans ! Ce qui se passe de commentaire. --Tmouchentois (d) 6 janvier 2011 à 20:24 (CET)[répondre]
Bonjour amis lettrés
Je suis désespéré. Nous avons déployé des trésors de patience à vous expliquer le fonctionnement de Wikipédia, mais votre refus de les entendre est proprement ahurissant. Ce sera là ma dernière tentative. Créez-vous un compte utilisateur (et n'hésitez pas à cliquer sur les mots compte utilisateur qui apparaissent en bleu, souligné d'un simple filet, pour accéder à la page d'aide sur les comptes d'utilisateur), accédez ensuite à ma page utilisateur (cliquez pour cela sur les mots ma page utilisateur) et dans la colonne de gauche, vous trouverez une section Boîte à outils qui, si elle est dépliée, fait apparaître un lien Lui envoyer un courriel sur lequel il vous suffit de cliquer (je redonne le lien direct ici : Lui envoyer un courriel) pour me contacter. Je m'engage, à vous répondre dans les plus brefs délais pour convenir d'un rendez-vous soit téléphonique soit de vive voix (étant donné que d'après votre adresse IP, vous êtes situé à Paris 12e), pour discuter avec vous d'El Gaada. S'il vous répugne d'ouvrir un compte utilisateur, je vous propose cette autre solution : je suis arbitre de la Wikipédia francophone et à ce titre joignable par le biais de la liste de distribution du comité d'arbitrage : n'hésitez donc pas à me contacter par ce biais (et la communauté et mes collègues arbitres me pardonneront, j'espère, ce détournement de moyens (Smiley oups)). Encore une fois : chiche ! --Indif (d - c) 7 janvier 2011 à 10:51 (CET)[répondre]

Consensus sur des détails, malgré des désaccords de fonds ?[modifier le code]

Bonjour, malgré le désaccord subsistant sur des questions de fond, il apparait qu'un certain consensus se dégage sur plusieurs points.

  • Distances: les distances routières, et non celles à vol d'oiseau, malgré le désaccord persistant de l'IP flottante avec les unes comme avec les autres.
  • Paragraphe 3.1 "Remarque historiographique" - faux, selon IP 88.160.186.59 (d · c · b), TI selon Indif. A supprimer.

Plusieurs autres passages légendaires pourraient être supprimés:

  • « La localité aurait accueilli l'une des premières tribus constituées dans l’Oranie occidentale, bien avant l’arrivée des Omeyyades de Cordoue et des Fatimides au Maghreb. » Il est évident que cette affirmation ne tient pas la route. L'Oranie était peuplée longtemps, très longtemps, avant les Omeyyades et les Fatimides.
  • « Au temps du commerce caravanier, les douars d’Al-Mahaja d'El-Gaada étaient un relais obligé pour des caravanes se dirigeant vers le grand centre commercial qu'était le port d'Oran ou partant de ce centre pour d'autres places commerciales dans le pays, voire à l'extérieur des frontières qui ont souvent changé au gré des successions dynastiques maghrébines. Ces caravanes venaient de tout le Maghreb et parfois de l'Afrique noire. C'est pour cette raison que le village prit le nom d'El-Gaada, qui signifie relais ou caravansérail. El-Gaada était alors une halte avant d'atteindre la porte de la ville d'Oran et également une halte avant de se diriger vers un autre centre commercial important en quittant le port d'Oran. » Je suis d'accord avec la démonstartion des lettrés. L'emplacement d'El Gaada ne peut correspondre à un lieu de passage important, et de toute façon El Gaada ne signifie pas "caravansérail".
  • « En 1832, Abd el-Kader, qui obtint une fatwa des tribus des Chorafas dans la grande Zaouïa Derkaouia Mahajia dans les environs d’Oran, seules à même de pouvoir lui rassembler quarante imâms à la tête de l’ordre Sidi Amar Lakehal Al Mahaji, dirigea le soulèvement contre la conquête coloniale française. D'où le nom d'Al Mahaja "Les Quarante Chéchias", qui veut dire les quarante coupoles (les 40 goubbat). éééé[réf. nécessaire]

Les mausolées de la plupart de ces imams se trouvent dans l'ancien cimentière de la petite ville du M'Cid, commune de la ville de Sfisef (wilaya de Bel Abbès), une ville proche de la plus réputée des stations thermales de tout l'Ouest algérien, appelée Hamam Bouhanifia. Dans l’État de l’émir Abd el-Kader, le premier gouverneur était Mohamed Benfreha Al-Mahaji installé à la ville de Mascara qui fut la capitale du nouvel Etat. Cette ville historique que les Français ne connaissent que par le vin qui porte son nom "Mascara", sera brûlée et partiellement détruite en 1835 par le maréchal Clauzel. ». En conservant "En 1832, Abd el-Kader dirigea le soulèvement contre la conquête coloniale française." J'adhère à la démonstration contenue dans un des écrits des lettrés: Abd el Kader n'a pas eu besoin de fetwa pour mener la guerre sainte. Et Abd el Kader lui-même ne parle pas de Gouverneur dans sa description de son organisation étatique.

  • Suppression du paragraphe Zaouia: idem.

J'opère toutes ces modifications, à l'exception de celle sur les distances. Il est évident que si elles vous paraissent trop cavalières, je ne me formaliserais pas d'une révocation . Cordialement. --Tmouchentois (d) 8 janvier 2011 à 11:13 (CET)[répondre]

Bonjour à tous.
Premièrement, pardon pour les distances, j'ai donné une fois de plus les distances à vol d'oiseau alors que le consensus semblait se dégager pour inclure les deux. Mais avant d'aller plus loin, je voulais vous proposer ces deux liens :
Et je vous avoue que les arguments donnés par Cyrilb1881 (d · c) emportent mon adhésion : si l'on indique une distance par la route, il faudrait aussi indiquer de quels types d'usagers peuvent l'emprunter : piétons, vélos, motos, voitures ou camions, la présence d'un tunnel de hauteur ou de largeur limitées, etc., ce qui complique quand même un peu les choses (Smiley: triste).
Ceci dit, j'approuve le grand coup de balai que tu as donné, Tmouchentois.
--Indif (d - c) 8 janvier 2011 à 12:41 (CET)[répondre]
Indif, désolé, je désapprouve Sifflote, j'en parle ici Sourire diabolique --Poudou99 (d) 8 janvier 2011 à 13:20 (CET)[répondre]