Discussion:El Gaada

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A propos des renommages El Gaada/El-Gaada, et vice versa, perte d'historique[modifier le code]

Bonjour. D'accord pour le renommage en El Gaada.
Mais comment se fait-il que l'on ait perdu tout l'historique depuis le précédent renommage ?
Y a-t-il un moyen d'y remédier ?
Cordialement. --Tmouchentois (d) 26 janvier 2011 à 08:43 (CET)[répondre]

Oups, c'est bien vrai ! Pour remédier à cela, deux solutions :
Le plus simple étant apparemment le renommage. --Indif (d - c) 26 janvier 2011 à 08:59 (CET)[répondre]
Bonjour Indif. J'ai l'impression inverse, c'est à dire que la fusion d'historiques résoudrait définitivement la question. Je m'y risque, et si tu penses que je fais erreur, en vieux routier de la maison, tu sauras défaire ce que j'ai entrepris. Cordialement. --Tmouchentois (d) 26 janvier 2011 à 10:28 (CET)[répondre]
C'est fait demandé ici --Tmouchentois (d) 26 janvier 2011 à 10:37 (CET)[répondre]
(Conflit d'édition) La solution du renommage que je propose ne convient que pour corriger les dernières opérations de Poudou99. Mais s'il y a eu un précédent déplacement de texte sans fusion d'historique ni crédit d'auteurs, alors oui, une fusion d'historique s'impose (il y a aussi la solution de l'apposition du modèle {{Crédit d'auteurs}}, mais elle est plutôt réservée aux traductions pour lesquelles les fusions d'historiques sont très délicates à réaliser, même si WP:en les pratique déjà depuis quelque temps). --Indif (d - c) 26 janvier 2011 à 10:49 (CET)[répondre]

Bonjour à tous. Je suis vraiment désolé (Smiley: triste) si mon opération d’hier soir a eu des effets de bords inattendus. Au départ, je ne voulais pas procéder à des renommages (car il y avait une redirection), mais aux transferts de textes (et des discussion) de El-Gaada vers El Gada et d'inverser les redirections. J'i voulu faire simple et je me suis planté Émoticône. Désolé pour le boulot que cela entraine. --Poudou99 (d) 26 janvier 2011 à 13:12 (CET)[répondre]

Non, ne sois pas désolé, puisque ta manip. a permis de repérer que l'historique était dédoublé. --Tmouchentois (d) 26 janvier 2011 à 13:25 (CET)[répondre]
Avec tout ce que tu abats comme boulot, qui oserait te reprocher quoi que ce soit ? Émoticône --Indif (d - c) 26 janvier 2011 à 13:44 (CET)[répondre]

Bonjour. Maintenant, on peut écrire: c'est fait. Merci Udufruduhu (d · c · b), car j'ai l'impression que cela n'a pas été aisé de débrouiller tous les renommages successifs. --Tmouchentois (d) 27 janvier 2011 à 16:11 (CET)[répondre]


Étude d'anthropologie culturelle et sociale sur El Gaada[modifier le code]

Bonjour à Poudou 99, Indif,

Le site http://mhadja.elgaada.free.fr, vous présente une étude d'anthropologie culturelle et sociale sur El Gaada et ses habitants Mhadja (Bibliothèque Nationale de France, avril 2011). Tmouchentois a déjà reçu le PDF. Voici la copie de la page index du site :

« LES MHADJA D’EL GAADA »


LES FAMILLES MHADJA D’EL GAADA DANS L’ATLAS TELLIEN ORANAIS (ALGERIE)

Sites géographiques, repères historiques, personnalités, martyrs de la Révolution algérienne et collaborateurs du colonialisme

El Gaada est une commune du plateau tellien oranais située à 40 kilomètres d’Oran, sur une altitude de 600 mètres dans l’axe sud-est de la capitale oranaise. Cette étude d’anthropologie sociale et culturelle faite par un natif du pays a été réalisée à partir d’articles, d’ouvrages, de lettres, de documents administratifs, d’études et de guides de l’époque coloniale, de récits de vie et de témoignages consignés par écrit, de plusieurs documents inédits présentés en annexes et d’observations sur le terrain lors de séjours prolongés de l’auteur de l’étude.

Sa principale problématique est de cerner l’identité des Mhadja, et ce qui la caractérise, à travers leurs itinéraires, œuvres et actions pour l’Islam et la défense de la Oumma contre le colonialisme dans les domaines politiques et militaires et contre le charlatanisme dans les domaines religieux.

Les Mhadja d’El Gaada furent considérés par les populations de l’Ouest et du Sud-Ouest algériens, ainsi que par celles du Nord-Est et Sud-Est marocains, comme des chorfa (nobles). Cerner leur vraie identité, c’est impérativement détecter les mythes, fables, mensonges, impostures et légendes qui circulent à leurs propos afin de restituer au lecteur une connaissance rationnelle sur ces Mhadja d’El Gaada, aujourd’hui répartis en Algérie, Europe, Amérique, Proche Orient et ailleurs.

Le recours au "copier-coller" sans précautions porte un grave préjudicie à Internet. Dans l'annexe 1 de cette étude de 142 pages contenant 15 photos récentes et 13 documents annexes, on trouvera la liste de 65 sites, articles et blogs contenant des informations non vérifiées sur El Gaada et Mhadja.

L'auteur — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 88.160.186.59 (discuter), le 31/07/2011

Bonjour. Je suis très circonspect, car je ne saisis pas le but de votre message. Peut-être désirez-vous nous signaler l'existence de votre étude sur El Gaada et nous la proposez-vous en tant que source pour enrichir l'article ? Mais cette étude n'est pas admissible. Elle ne l'est pas parce qu'elle n'a pas été publiée (nécessairement à compte d'éditeur), et constitue donc du travail inédit non vérifiable. Ah, qu'elles sont dures les règles de Wikipédia ! Cordialement. --Indif (d - c) 31 juillet 2011 à 18:46 (CEST)[répondre]
Bonjour. Il est bon que vous ayiez publié votre étude sur le net. Je ne peux vous redire que ce que je vous écrivais en privé au mois de mai: votre travail est intéressant, et j'ajoute qu'il permettra sans doute au débat de s'approfondir parmi ceux, en Algérie, qui disposent de données solides sur El Gaâda et ses habitants. Il démontre également les excellentes raisons que l'on a, sur Wikipedia, de se méfier des seules sources orales, des souvenirs fragiles, non étayés par des documents fiables. Comme je vous l'écrivais: « Sur le fond, je ne vois pas en quoi votre étude permet de démontrer, avec des sources probantes, que les Mahaja sont l'essentiel de la population des douars d'El Gaada, disons jusqu'au XIX° siècle. »
Très accessoirement, mais cela concerne malgré tout la fragilité des témoignages, je vous conseille de ne pas trop vous fier à ce que l'on vous dit de l'origine des Français d'Algérie qui ont vécu vers El Gaada: de même que le patronyme Hugounenq n'est pas d'origine allemande (comme je l'écrivais naguère dans cette PdD), mais occitan (Hérault et Aveyron), le patronyme Ryckwaert n'est pas espagnol (c'est un nom flamand, et cette famille était originaire du département du Nord). Ce qui n'exclut pas, bien évidemment, qu'ils aient peut-être aussi des ascendants espagnols, alsaciens, ou autres, puisque, comme vous le notez très judicieusement, une généalogie ne s'arrête pas à la branche paternelle.
Je redonne le lien de votre étude: http://mhadja.elgaada.free.fr . Bien cordialement. --Tmouchentois (d) 1 août 2011 à 12:03 (CEST)[répondre]

Alerte plagiat et erreurs[modifier le code]

Message aux administrateurs. Bonjour, Je me permets de vous signaler des plagiats et des bizarreries dans cet article consacré à El Gaada. Plusieurs passages sont pris d’une étude mise en ligne début de l’année 2011 et dont le texte fut déposé à la Bibliothèque nationale de France en avril 2011. Actuellement ce sont les éditions L’Harmattan (Paris) qui détiennent les droits de cette oeuvre publiée sous forme d’ouvrage en octobre 2014, sous le titre : Les Mhadja d’El Gaada et leur identité face au colonialisme : 1830-1962, Mokhtar Lakehal. Depuis la date de transfert des droits, le site les Mhadja d’El Gaada ne contient que la couverture de l’ouvrage et la table des matières. Plagiat :

1) « El Gaada, signifie en arabe 《le Plateau 》 dans le sens partie haute et plate d'un territoire. La signification d'El Gaada est le Plateau, au géographique. Le préfixe arabe 《EL》signifie indifféremment 《LE》ou 《LA》. Ce sont des Arabes qui donné un nom arabe Gaada à ce Plateau. »L'expression 《Ain Fard》 est composée de 《Ain》(point de) et 《Fard》(obligation), Ain Afard est une sorte de plate-forme vers laquelle convergeaient toutes les tribus du plateau (El Gaada) qui devaient payer leur 《fardh》(aumône, impôt et taxes) et également l'endroit d'où partaient les contributions en solidarité avec les communautés dans le besoin. » Source : « « El Gaada » signifie en arabe « le plateau », dans le sens de partie haute et plate d’un territoire. Ce n’est ni « l’endroit de retraite », ni « le caravansérail », comme j’ai pu l’entendre ou le lire. (…) Les Anciens ont toujours utilisé l’expression Aïn Farḍ et non « Aïn Affeurd » ou « Aïn Afferd ». L’expression « Aïn Farḍ » est composée de « Aïn » (point de …) et « Fardh » (obligation). Aïn Farḍ est une sorte de plate-forme vers laquelle convergeaient toutes les tribus du plateau (El Gaada) qui devaient payer leur « fardh » (aumône, impôts et taxes) et également l’endroit d’où partaient les contributions en solidarité avec les communautés dans le besoin (lire annexes 6, rapports entre Aïn Farḍ et Damas). (Les Mhadja d’El Gaada et leur identité face au colonialisme français : 1830-1962, page 9)

2) « El Mhadja incriminés étant ceux d'El Gaada.《Nous sommes un peuple qu'Allah a élevé par l'islam. Chaque fois que chercherons l'élévation par autre que l'islam Allah nous rabaissera》 ». Cette citation est celle du calife Omar El Khattab. L’auteur l’a prise de l’ouvrage Les Mhadja d’El Gaada et leur identité face au colonialisme français : 1830-1962, page 26, pour la placer ici comme « un cheveu sur la soupe ». Dans l’ouvrage elle intervient à la fin d’une longue liste de fautes que tout Mhadji ne doit pas faire : « En matière de comportements sociaux vertueux, point de place au déterminisme génétique. Aujourd’hui certains enfants de familles non nobles sont mille fois plus vertueux que certains enfants de « familles nobles ». La décadence de la noblesse arabe n’est pas la tare des seules familles princières ou dirigeantes ; elle a atteint depuis plusieurs siècles la glèbe. Qu’est-ce qu’un musulman prétendant appartenir à Mhadja pourra affirmer de chérifien (noble) en lui, alors qu’il s’adonne à l’un ou à l’autre de tout ce que l’Islam interdit : l’Islam interdit et refuse de se soumettre à la Sunna (règles de vie édictées par Mohamed (ç)) ? Qu’est-ce qu’un charif qui ne fait pas ses cinq prières quotidiennes et celle du vendredi ou ne jeûne pas ? Qu’est-ce qu’un charif qui consomme de l’alcool, (…) passe son temps à médire, calomnier ou envier les autres, oublie Allah et voue un culte à son père ou à son oncle, quand il n’est pas corps et âme dans la superstition, la sorcellerie, le culte des saints, l’associationnisme (chirq) et les innovations blâmables (bid’a) ? « Nous sommes un peuple qu’Allah a élevé par l’Islam. Chaque fois que nous chercherons l’élévation par autre que l’Islam, Allah nous rabaissera » (Calife Omar Ibn El Khattab) (Les Mhadja d’El Gaada et leur identité face au colonialisme français : 1830-1962, pages 24 et 25)

3) « Mais non assimilées par des alliances matrimoniales par les familles d'El Mhadja, a provoqué un exode rural principalement vers Oran et l'extension des trois quartiers qui a transformé ce petit Douar Ain Afard (le centre ville) d'El Gaada , en véritable grand village de près de quatre mille habitants qui s' étend sur les quatre coins cardinaux. » Source : « l’accueil de plusieurs familles nomades (les Hmiyènes) venues du Sahara, toutes sédentarisées mais non assimilées par des alliances matrimoniales par les familles Mhadja – a provoqué un exode rural principalement vers Oran et l’extension des trois quartiers qui a transformé ce petit village d’Aïn Farḍ, en véritable ville de quatre mille habitants qui s’étend sur les quatre coins cardinaux. » (Les Mhadja d’El Gaada et leur identité face au colonialisme français : 1830-1962, pages 10-11).

Je vous signale par ailleurs plusieurs absences de source et plusieurs anomalies.

4) « Ce plateau est occupé par une tribu berbère appelée Azdadja et puis l'arrivée des Mhadja à fouler le territoire d'El Gaada dans le Moyen Âge. »

« Quelles fouilles archéologiques ont été menées pour avoir le moindre indice que ces Mhadja – des Arabes vivant sous la tente jusqu’au début du XXe s. comme tous les autres Arabes non citadins – sont arrivés à telle époque et occupé tel site avant tel autre ?  Car nous ne sommes pas en Europe mais dans une région du monde où, jusqu’à la colonisation française, il n’existait ni service d’état civil pour enregistrer toutes les naissances, mariages, décès, ni l’équivalent du registre « des baptêmes » (tsemya) conservé dans les mosquées, comme celui des chrétiens d’Europe conservé par leurs églises, ni des services d’archives communales, départementales, nationales, antérieurs à la colonisation française, ni études notariales avec conservation des minutes, etc. » (Les Mhadja d’El Gaada et leur identité face au colonialisme français : 1830-1962, page 20)

5) « Ce village dénommé El Gaada est le premier village dans la région d'Oran, »

« D’abord ce sont des Arabes qui ont donné un nom arabe, El Gaada, à ce Plateau, soit les Mhadja lors de leur installation, soit les tribus hilaliennes arrivées en Ifriquia (Tunisie) en 1050, qu’on appelle les Béni Ameur d’où sont issus les Ouled Ali, des tribus nomades, qui ont occupé progressivement toutes les plaines de l’Oranie. Oran a été fondée en 902 par les Omeyyades andalous. On a prétendu que ce fut un Mhadji, Sidi El Khrouti El Mhadji, qui lui donna le nom de Wahran (duel de wahr qui signifie lion en arabe), alors qu’on n’est même pas sûr que le nom « Mhadja » existait à cette époque (voir page 21, récits contradictoires de Léon Bastide et du fqih Si Taïeb el Mhadji). C’est cette même erreur de localisation historique et géographique qui a fait dire (dans des dizaines de sites) qu’El Gaada était un caravansérail où se croisaient les caravanes en partance d’Oran pour toutes les directions (y compris l’Afrique, affirment-ils !), et les caravanes en direction d’Oran. On parle de vestiges romains sur ce plateau (cf. note  (2), page 73, Guide Hachette 1879), mais pas de caravansérail arabe. Actuellement ces « ruines romaines » ne sont pas localisées. Pour ceux qui connaissent un peu la géographie de la région, cette assertion de « caravansérail » fait sourire. De même que j’ai trouvé dans plusieurs sites qu’El Gaada est le premier village d’Oran. Mais qui peut croire que sur une distance de plus de soixante kilomètres qui sépare Aïn Farḍ de Raïs el Aïn (l’une des deux banlieues d’Oran en 1830) on ne trouvait aucun village? L’une des caractéristiques du Maghreb soulignées par Ibn Khaldûn qui vécut de 1332 à 1406, soit cinq siècles après la fondation d’Oran (902), c’est le peu de villes existantes (Discours sur l’Histoire Universelle, t. 1). Il est donc invraisemblable qu’il n’y ait pas eu de villages berbères (groupement de maisons) et de douars (groupements de tentes bédouines) entre Oran et El Gaada (v. carte, p. 129). Mais où donc vivaient les tribus d’Arabes hilaliens – tribus Béni Amer  (Ouled Ali) – qui ont peuplé les plaines oranaises depuis le XIIe et XIIIe siècle ? » (Les Mhadja d’El Gaada et leur identité face au colonialisme français : 1830-1962, page 17)

6) « Une grande famille idrisside s'installa sur ce site géographique et sera connue sous le nom d'Al Mahaja qui, après l'apparition du maraboutisme s'appellera Al Mahaja rab'ine chachias (Al Mahaja les 40 coupoles) selon la légende populaire régionale. »

« Selon Léon Bastide, c’est « Un nommé Sliman-ben-Brahim-ben-Amer, qui eut en 1378 (780 de l’hégire), le commandement des Béni-Amer, [qui] donna son nom à la tribu des Ouled-Sliman, dont l’histoire se confond, au début, avec celle des précédents. Lorsqu’ils vinrent du Djebel-Amour, ils s’installèrent d’abord dans le pays occupé aujourd’hui par les Ouled-Mimoun (…).  Les Ouled-Sliman se subdivisent en Ouled-Sliman arabes, dont l'origine vient d'être indiquée, et en Ouled-Sliman marabouts qui descendaient de trois frères : Youb, Mimoun et Madji, venus quelque temps après de Saguiat-el-Hamera. Par leurs connaissances en droit musulman et leurs pratiques religieuses, ces trois frères acquirent bientôt une grande réputation de sainteté, et leurs descendants, qui prirent le nom de Mliadja, formèrent les deux tribus que nous connaissons sous la dénomination de Mhadja des Ouled-Ali et Mhadja des Ouled-Sliman ; ces derniers sont les Ouled-Sliman marabouts » ([4] pages 212-213). (…)A priori ces Mhadja évoqués par Léon Bastide, maire de Sidi-Bel-Abbès qui s’intéressa aux problèmes des tribus des années 1870-80, ne sont pas les Mhadja dont s’identifie avec insistance le fqih Si Tayeb El Mhadji [5]. Car ils n’ont en commun ni le point de départ, ni le point d’arrivée. L’un parle de 2 frères: « Maïmoun » et « Ayoub », arrivés à El Mabtouh du Maroc ; l’autre de 3 frères: « Maïmoun », « Youb » et « Madji » venus à Sidi-Bel-Abbès en provenance du Sahara occidental. Léon Bastide accrédite donc la tradition la plus répandue: presque tous les chorfa de l’Ouest et du Centre d’Algérie affirment venir de Saguiat-el-Hamera (extrême Nord de l’actuel Sahara occidental). L’ouvrage de Léon Bastide, malgré son volume (460 pages), ne contient ni référence bibliographique, ni arbre généalogique d’aucune des tribus citées. C’est une histoire reconstruite par recueil d’oralités et recueil d’observations. Puisqu’il n’évoque nulle généalogie écrite des tribus connues, on déduira qu’il n’en a pas trouvé de vraies solidement établies par des historiens, ou bien que celles qu’il examina lui parurent fort suspectes. Pour un cartésien, on n’appelle pas « arbre » ce qui n’a ni dates ni lieux et qui de surcroît exclut épouses, filles, frères, sœurs, cousines et cousins. » (Les Mhadja d’El Gaada et leur identité face au colonialisme français : 1830-1962, pages 20-21).

7) « En 1832, Abd el-Kader qui obtint une fatwa des tribus d'El Mhadja à El Gaada dans les environs d'Oran, seules a même de pouvoir lui rassembler quarante imams à la tête de l'ordre Sidi El Freih Mhadji et sont fils Tayeb, dirigea le soulèvement contre la conquête coloniale française. » Source : « Mais qui a raconté cette légende qui circule sur la Toile ? « En 1832, l’Emir Abd el-Kader aurait obtenu une fatwa des tribus des chorfa dans la grande Zaouïa Derkaouïa Mahajia dans les environs d’Oran, seules à même de pouvoir lui rassembler quarante imams à la tête de l’ordre Sidi Amar Lakehal Al Mahaji, pour diriger le soulèvement contre la conquête coloniale française ». N’est-ce pas faire injure aux respectables oulama des autres tribus chorfa (nobles) et non chorfa (non nobles), vivant autour de Mascara, qui étaient aussi capables que nos imams d’El Gaada d’aligner un nombre représentatif d’imams pour prononcer une fatwa (décret) ouvrant le djihad contre l’occupant français ? D’abord, si Mhadja étaient les seuls habilités, pourquoi le jeune Abdelkader a été envoyé à Bettioua (Arzew) en 1822 pour ses études religieuses chez Si Ahmed ben Tahar (Abdelkader, Etienne Bruno, Hachette, 1994, p. 48) ? Ensuite, depuis quand faut-il 40 imams pour prononcer une fatwa ? Enfin, n’est-ce pas un ‘alem mufti (jurisconsulte de haut rang) qui la prononce ? Lire annexe 3, page 89, liste des lieutenants présents à la Mubay’a de 1832 de l’Emir Abdelkader. » (Les Mhadja d’El Gaada et leur identité face au colonialisme français : 1830-1962, pages 27).

8) Mais qui est ce Sidi El Freih Mhadji ? On a donc remplacé Sidi Amar Lakehal el Mhadji par un Sidi El Freih Mhadji ! « La trentaine de douars d’El Gaada portent soit un nom de site géographique, soit un nom de tribu : Aïn Farḍ, Araïba, Blaïhia, Brabir, Bradid, Bouadid, Chnetfa, Dhaïna , Djefafla, ḍiayet, Fraïha, Gouassem, H’maida, Hnaïna, Mekhtria, Kdadra, Khleifa, Mkhachich, Mouamna, Ouled M'barek, Ouled Sidi Amar, R’maïssiya, S’aïdiya, Skarna, Shaïlia, Souaïhia, Souala, Twahria, Zlalta, Zouadra * Le redécoupage administratif a fait passer les Gouassem et les Twahria à la commune de Zahana, et les Zlalta à la commune de Djeniène Mesquine ». (Les Mhadja d’El Gaada et leur identité face au colonialisme français : 1830-1962, pages 10). Personne ne connaît ce personnage (Sidi El Freih Mhadji). Comme on peut le lire dans le paragraphe précédent extrait du livre Les Mhadja d’El Gaada et leur identité face au colonialisme français : 1830-1962, sur les trente tribus d’El Gaada, une seule porte le nom des Ouled Sidi. Ce sont les Ouled Sidi Amar Lakehal El Mhadji. Le visiteur de cette ville peut le constater en interrogeant le premier habitant qu’il rencontrera à l’une des quatre entrées de la ville. Il suffit de lui poser la question suivante. « Pouvez-vous m’indiquer où je peux trouver un membre des Ouled Sidi El Freih Mhadji » et vous aurez la réponse « Je ne connais pas de Ouled Sidi Freih, mais je connais un douar qui s’appelle tantôt El Melha et tantôt El Fraïha ». Les habitants de l’Ouest algérien ont l’habitude d’appeler, à tort ou à raison, les descendants d’un saint homme (wali Allah) les Ouled Sidi … et les descendants d’un homme sans sainteté, les Ouled … ou les Beni … Par ailleurs, tous les saints de Mhadja portent un nom précédé de Sidi et ont leur mausolée soit sur le territoire de la commune d’El Gaada, soit dans la commune d’El M’sid (ville de Sfizef, ex-Mercier Lacombe, département de Bel Abbès). Dans cette ville d’El M’sid, il existe un cimentière où sont enterrés les saints hommes de Mhadja. On en compte vingt mausolées (goubbas). Sidi Amar Lakehal el Mhadja est bien enterré dans ce cimetière, dans l’un des vingt mausolées, mais le caïd Benamar (un arrière oncle) et les serviteurs (khoudem) du marabout lui ont construit un cénotaphe à El Gaada (un mausolée sans tombe). Il paraît totalement improbable que ce marabout qui un de mes aïeux ait réuni quarante imams pour donner une fetwa à l’Emir Abdemlader, pas plus que ce mythique Sidi El Freih Mhadji. L’Emir Abdelkader est le fils de Mouhyiddine, un mufti très connu à son époque pour lui faire une fetwa ; il nous a laissé une autobiographie qu’on peut consulter en arabe et en français (Autobiographie de l’Emir Abdelkader, fac-similé édité par le professeur Abdelmadjid Méziane, sous l’égide du Ministère de la Culture, Alger, 1983). Lors de l’investiture (Mubay’a) de l’Emir : « Les lieutenants de l’Emir chargés d’appliquer ce programme et présents lors de cette Proclamation étaient : Berkani Muhammad ben Aïssa, Benallal Muhammad Ouled Sidi Embarak, Mustafa Benthami, Bouhamidi, Ben Salem, Benabdesselam, Benazzouz, Abdelbaki, Bel Kharroubi, Miloud ben Arrach, Hadj Tahar abu Zïd et son aide Hadj Al-Jilali. Tous ces hommes étaient présents à la réunion, installés derrière la famille de l’Emir : oncles, frères, quelques parents, les Boutaleb, les Benthami. Source : Bruno Etienne, Abdelkader, Hachette, 1994, pages 129-130. (Nota. Aucun des hommes présents à cette investiture n’appartient à l’une des tribus d’El Gaada qui rallieront le djihad dès qu’elles auront été sollicitées). (Les Mhadja d’El Gaada et leur identité face au colonialisme français : 1830-1962, page 89).

L'auteur du livre Les Mhadja d'El Gaada et leur identité face au colonialisme français : 1830-1962

— Le message qui précède, non signé, a été déposé par 85.69.121.103 (discuter), le 28 janvier 2016 à 16:02‎

Bonjour,
J'ai fais une demande de prise en compte de votre alerte et de modification de l'article. Auriez-vous d'autres informations utiles à nous transmettre?
Cordialement. Laszlo Quo? Quid? 30 janvier 2016 à 23:17 (CET)[répondre]

Aux administrateurs Bonjour et merci d’avoir revu cet article en évitant le plagiat flagrant suite à la mise en garde que je vous ai adressée. Néanmoins, deux passages doivent être récrits par des intervenants conscients qu’on ne badine par avec la Vérité historique.

1) « Lakehal Bouhadi Amar Amar (1930-1983), dit Si Amar Al Mahaji, nationaliste résistant au colonialisme français, membre du FLN (Front de Libération Nationale) 1954-1962 (wilaya V), commissaire du FLN (1957-1962) au quartier Lamur arrondissements d’El Hamri d’Oran, condamné à mort par ses tortionnaires dans les camps d'internement (la déclaration du cessez-le-feu le 19 mars 1962 le sauva, mais les séquelles de la torture finirent par abréger son espérance de vie à 53 ans) ».

2) « En 1832, Abd el-Kader qui obtint une fatwa des tribus d'El Mhadja à El Gaada dans les environs d'Oran, seules a même de pouvoir lui rassembler quarante imams à la tête de l'ordre Sidi El Freïh Mhadji et sont fils Tayeb, dirigea le soulèvement contre la conquête coloniale française. »

La première assertion concerne mon frère Lakehal Bouhadi Amar Amar (1930-1983). Il est présenté dans votre article comme un » commissaire politique » alors qu’il était un recruteur du FLN. On ne peut pas prétendre contribuer à l’histoire de la région d’El Gaada en multipliant les confusions des rôles de ses acteurs. Il est présenté également comme un « condamné à mort », ce qui est faux. Concernant ce frère, je n’ai pas retrouvé de papier dans les archives de mes parents stipulant sa condamnation à mort par la puissance coloniale. Mais dans l’un des trois documents en ma possession signés par le général de la division, commandant de la 29 D.J. et la Zone Centre Oranais, daté du 30 mai 1959, il est stipulé formellement qu’il a été interné pour « activité dangereuse pour la sécurité et l’ordre publics ». Les copies de ces documents se trouvent en pages 102, 103 et 104 du livre Les Mhadja d’El Gaada et leur identité face au colonialisme français : 1830-1962, Editions L’Harmattan, Paris, septembre 2014.

Dans cet ouvrage, en page 37, j’ai fait la précision suivante aux historiens qui s’intéressent à Mhadja, à El Gaada, à la noblesse maghrébine et à la Révolution algérienne.

«  Lakehal Bouhadi Amar Amar ould Hadj Bénamar Lakehal (dit Si Amar el Mahaji) (1930-1983) (annexes 10, 11 et 12). Il fréquenta l’école communale d’Aïn Farḍ et étudia, comme son frère Kaddour (1935-1958), le Coran et le Fiqh chez plusieurs maîtres dans l’Ouest algérien. Nationaliste résistant au colonialisme français, membre recruteur du FLN (Front de Libération Nationale) de 1957-1962 pour alimenter le maquis de la Wilaya V. Il ouvrit un commerce comme couverture, 32, rue du capitaine Rahou (aujourd’hui rue des Frères Benaida) au quartier El Hamri (Lamur) d’Oran. Détenu pour 3 mois, le 30 mai 1959, il purgera 6 mois pour « activité dangereuse pour la sécurité et l’ordre publics » (Arrêté signé, pour Le Général de Division, par le colonel adjoint délégué, De Préval, voir annexes 9, 10 et 11). Assigné à résidence surveillée pendant 3 mois, il sera de nouveau dénoncé et arrêté en pleine nuit; mais il continua son activisme jusqu’au cessez-le-feu du 19 mars 62. Avant que les militaires ne fracturent la porte de sa boutique, il eut le réflexe de jeter des papiers (avec la photo de son frère Kaddour (dit Si Rachid) en tenue et arme) dans le gros bidon de pétrole, ce qui lui sauva la vie que les séquelles des tortures finirent par abréger à 53 ans ».

Concernant la fetwa faite à l’Emir Abdelkader par les Mhadja. Il faut arrêter cette propagande, les Mhadja n’ont pas besoin de briller avec des assertions invraisemblable commises par des hagiographes qui veulent coûte que coûte mettre en avant un membre de leur tribu à chaque fois qu’il s’agit d’écrire l’histoire de l’Algérie.

Dans plusieurs blogs a circulé une assertion que j’ai combattue, consistant à soutenir, sans la moindre preuve, que ce fut mon aïeul Sidi Amar Lakehal el Mhadji qui fut sollicité par l’Emir Abdelkader pour obtenir une fetwa afin de lancer le Djihad contre les Français. Ceci n’est ni plus ni moins que de la propagande tribale. J’ai combattu cette propagande car Sidi Amar Lakehal el Mhadji était d’une sainteté telle qu’il aurait été révulsé d’apprendre ce qu’on raconte sur lui si cette propagande avait circulé à son époque. Les vrais saints ne cherchent jamais le prestige auprès de leurs semblables, mais le pardon (el roufraan) d’Allah et son assentiment (ridhaa). Après avoir combattu cette propagande, voilà que je découvre une nouvelle propagande dont Wikipedia sert maintenant involontairement de relais : l’un des intervenants a mentionné, à la place de Sidi Amar Lakehal el Mhadji, un « Sidi El Freïh Mhadji et son fils Tayeb » qui auraient fait bénéficier l’Emir de leur science en promulguant une fetwa l’autorisant à combattre les Français qui se présentaient comme « Les Gens du Livre » (des monothéistes). Mais quand est-ce qu’on va arrêter d’insulter la famille de l’Emir (qui est tout de même le fils de Muhieddine, un grand mufti) et tous les Oulama des tribus de la région de Mascara (El Gaada et à 50 km d’Oran et à 70 kilomètres de Mascara) ? Mais quand est-ce qu’on va arrêter aussi de nous attribuer, à nous les Mhadja, un exploit qui n’est pas de notre fait. Outré par cette propagande tribale éhontée qui glorifie mes aïeux, d’abord la tentative de mettre en avant Sidi Amar Lakehal el Mhadji (aïeul du côté de mon père) puis Sidi Freïh el Mhadji et son fils (un prétendu aïeul du côté de ma mère), ces hagiographes finiront un jour par les insulter en leur attribuant la médaille d’honneur du Premier révolutionnaire algérien (comme toutes les médailles que les Occidentaux ont accroché au burnous de à l’Emir) et à nous, leurs descendants, des cartes de Première famille Révolutionnaires d’Algérie ? J’ai réagi dès que j’ai découvert ce mensonge sur Sidi Amar Lakehal el Mhadji, d’abord dans la version étude (2011) et enfin dans la version livre de mes recherches sur mes ancêtres : « Les Mhadja d’El Gaada et leur identité face au colonialisme français : 1830-1962 », éditions L’Harmattan, Paris, septembre 2014, pages 27-28 :

« Mais qui a raconté cette légende qui circule sur la Toile ? « En 1832, l’Emir Abd el-Kader aurait obtenu une fatwa des tribus des chorfa dans la grande Zaouïa Derkaouïa Mahajia dans les environs d’Oran, seules à même de pouvoir lui rassembler quarante imams à la tête de l’ordre Sidi Amar Lakehal Al Mahaji, pour diriger le soulèvement contre la conquête coloniale française ». N’est-ce pas faire injure aux respectables oulama des autres tribus chorfa (nobles) et non chorfa (non nobles), vivant autour de Mascara, qui étaient aussi capables que nos imams d’El Gaada d’aligner un nombre représentatif d’imams pour prononcer une fatwa (décret) ouvrant le djihad contre l’occupant français ? D’abord, si Mhadja étaient les seuls habilités, pourquoi le jeune Abdelkader a été envoyé à Bettioua (Arzew) en 1822 pour ses études religieuses chez Si Ahmed ben Tahar (Abdelkader, Etienne Bruno, Hachette, 1994, p. 48) ? Ensuite,  depuis quand faut-il 40 imams pour prononcer une fatwa ? Enfin, n’est-ce pas un ‘alem mufti (jurisconsulte de haut rang) qui la prononce ? Lire annexe 3, page 89, liste des lieutenants présents à la Mubay’a de 1832 de l’Emir Abdelkader. Mais qui a osé dire aussi que le nom de « Mhadja Arbaïn Chéchias » veut dire les quarante coupoles (les 40 goubbat) dont la plupart se trouvent dans l'ancien cimetière de la petite ville du M’cid, commune de la ville de Sfisef (Wilaya de Bel-Abbès) ? Pour aider ce plaisantin à mieux faire ses comptes, il faudra qu’il enlève la goubba (mausolée) de Sidi Amar Lakehal El Mhadji qui se trouve au douar Djfefla à El Gaada, car elle ne contient aucune tombe. Quand Sidi Amar Lakehal El Mhadji est mort, sa tribu a mis son cercueil sur le dos d'une mule pour l'emmener au cimetière du Mcid (12 km au Sud de la ville de Sfisef, Wilaya de Sidi-Bel-Abbès, route de Saïda) afin de l'enterrer à côté de sa mère et d’autres Mhadja. Arrivée à un endroit (son mausolée actuel qui se trouve au douar Djefafla), la mule a trébuché et le cercueil est tombé par terre. Le caïd Bénamar, oncle maternel de mon grand-père paternel Sidi Bénamar Srir qui épousa Mlouka bent caïd Idris des Chnetfa (cf. page 10) et Fatima bent Ali Amar Razali le barde (meddah), érigea une houwita (un muret d’une hauteur de quelques dizaines de centimètres, en forme rectangulaire ou fer à cheval) qui deviendra une goubba (mausolée) par la volonté des khouddam (serviteurs du saint homme). Le soir même de la construction de cette houwita, pris certainement de remords, il a vu en rêve Sidi Amar Lakehal El Mhadji qui lui dit: « J'étais bien caché  et tu m'as montré aux gens. Pourquoi? » (Kount laabed, beyentni lennes. A’lech ?). Qu’Allah ait pitié de l’âme de notre caïd ! Que pourra-t-il dire à son Seigneur qui nous a mis en garde contre la gravité de ces péchés : le « chirk » (associationnisme) et la « bid’a » (innovation blâmable)? « Ne donnez pas à Dieu des égaux, maintenant que vous savez » (Coran, sourate 2. El Baqara (la vache), verset 22). En Islam, les morts ne font ni du bien ni du mal aux vivants, ce sont les vivants qui peuvent aider par des invocations leurs morts attendant au Berzaq (une étape après la mort). Est-ce que le Prophète Mohamed (ç), l’un de ses compagnons ou l’un des grands oulama a dit : « Ô morts, intercédez pour nous ! » ? Jusqu’à présent des visiteuses et visiteurs, incultes ou diplômés de l’Université algérienne, continuent à venir de très loin, même d’Europe, se recueillir dans ce cénotaphe (un mausolée vide de sépulture), notamment les couples qui n’ont pas eu l’enfant mâle qu’ils désirent, dans l’espoir qu’il leur en donne un, au lieu de compter sur un très bon médecin et sur « Allah (qui) est le meilleur des pourvoyeurs » (Coran, sourate 62. Al-Joumou’a (Le Vendredi), verset 11).

Professeur Mokhtar Lakehal

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il faut écrire le mot mhadja en arabe pour connaitre l'origine "م ها جا" c'est à dire tout simplement " مسلمون هاجروا و جاهدوا " ceux qui sont venu avec okba ibn nafiaa au magreb arab fin de citation. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 41.111.167.117 (discuter), le 5 avril 2021 à 16:54 (CEST)[répondre]