Discussion:Consommation de carburant des véhicules automobiles

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Cet article a été entièrement revisité et complèté en reprenant des éléments de l'ébauche existante. --Phd-sia (discuter) 1 avril 2015 à 13:27 (CEST)phd-sia[répondre]

Bonjour à tous, Cet article totalement remodelé est maintenant en ligne depuis plusieurs mois.Il n'a subi depuis que quelques modifications mineures et est visité de façon régulière. Je propose de le soumettre au vote au titre de Bon Article pour améliorer sa visibilité sur le portail Automobile.

Merci d'avance pour vos commentaires / remarques / corrections. Émoticône sourire

production de CO2 d'un litre de carburant[modifier le code]

Bonjour, il est dit dans l'introduction qu'un litre de carburant produit 2,4 kg de CO2. Comment peut-on produire plus de CO2 que son propre poids ? En tout état de cause il semble nécessaire d'apporter des précisions sur cette curiosité car elle met en danger le reste des affirmations de la page

Merci de vos éclairages

L'oxygène (O2) nécessaire à la combustion du carburant vient de l'air et sa masse atomique (m= 2*16) est nettement supérieure à celle du carbone (m= 12) provenant du carburant.
On a donc (en simplifiant car la réaction chimique réelle est plus complexe), une masse de CO2 égale à "(2*16 + 12)/12" = 3,66 fois la masse en Carbone du carburant or un litre de carburant contient environ 660 g de carbone (+ ou - pour diesel et essence, densité variant de 750 à 850 g/l) ; d'où un ratio "masse CO2 / litre de carburant" d'environ 2,4 (3,66 * 0,66). Abaca (discuter) 11 novembre 2017 à 15:29 (CET)[répondre]

Liens externes modifiés[modifier le code]

Bonjour aux contributeurs,

Je viens de modifier 4 lien(s) externe(s) sur Consommation de carburant par les voitures. Prenez le temps de vérifier ma modification. Si vous avez des questions, ou que vous voulez que le bot ignore le lien ou la page complète, lisez cette FaQ pour de plus amples informations. J'ai fait les changements suivants :

SVP, lisez la FaQ pour connaître les erreurs corrigées par le bot.

Cordialement.—InternetArchiveBot (Rapportez une erreur) 6 août 2018 à 14:56 (CEST)[répondre]

Changement de nom et élargissement sujet[modifier le code]

Bonjour. En cherchant des information sur les consommations de carburants des véhicules automobiles, je suis tombé sur cet article! Le nom me parait trop restrictif et surtout trop connoté populaire, le terme "voitures" me parait inadapté, "véhicules automobiles" me semble plus en adéquation et moins réducteur, il permettrai d'élargir l'article à d'autres véhicules automobiles! Je laisse quelques temps au contributeurs suivant l'article pour réagir avant d'entamer une quelconque modification! Polo (discuter) 3 février 2019 à 13:36 (CET)[répondre]

Bien vu : "Véhicules automobiles" serait plus précis (il y a des voitures à chevaux). On peut se demander si l'article ne pourrait pas être étendu à tous les véhicules routiers dont les camoins (heu pardon : les Poids lourds routiers, car un camion est aussi un récipient pour la peinture : "nom donné au bac dont se sert le peintre pour tremper son rouleau ou son pinceau"). Le renommage de l'article apparaît ici nécessaire, mais cette procédure est complexe. Amicalement, Bernard de Go Mars (discuter) 23 novembre 2019 à 15:51 (CET)[répondre]

Extension de la notion de finesse aérodynamique à tous les types de véhicules (routiers, aquatiques ou sous-marins).[modifier le code]

Bonjour à tous ! Je viens d'ajouter, au bas de l'article finesse (aérodynamique, une petite note sur l'extension de la finesse (rapport Poids/Traînée) à tous les véhicules. Cela donne :

  • Plus généralement, la notion de finesse peut s'appliquer à tout mode de transport. En effet, le rendement de chaque véhicule est le quotient du poids de ce véhicule sur les forces de traînée qui le freinent. Pour un vélo, par exemple, dont le coefficient de résistance au roulement va de 0,0022 à 0,005, la finesse ira de (soit 454) à 200 (si l'action du vent est négligeable). Autre exemple : Pour une berline la traînée est la somme de sa traînée aérodynamique et de sa résistance au roulement). Le coefficient de roulement des meilleurs trains de pneumatiques pour berlines s'abaisse jusqu'à 0,006. La finesse d'une telle berline en ville est donc plus faible[1] que , soit 166. Mais il suffit de pousser un tel véhicule pour constater que, malgré cette excellente finesse, la traînée de roulement est très forte (donc la perte d'énergie par roulement très forte également). Cela suffit à suggérer que la finesse ne soit plus définie comme le quotient du poids du véhicule sur sa force de traînée mais comme le quotient du poids de ses passagers sur la force de traînée que leur déplacement suscite (la traînée du véhicule), soit pour deux passagers (200 kg) dans l'exemple ci-dessus une finesse de simplement 33,3 (et 16,7 pour le conducteur seul)[2].

Le problème c'est que je n'ai aucun sourçage possible autre que la définition du cahier de charges d'une automobile : "La mission (énergétique) d’une automobile est de transporter une charge utile sur une distance donnée à une certaine vitesse, au moindre coût et dans des conditions de sécurité et de nuisances acceptables." (RÉFLEXIONS SUR L’ÉNERGÉTIQUE DES VÉHICULES ROUTIERS, Matthieu BARREAU & Laurent BOUTIN). Comme je m'en explique à l'onglet discussion de l'article : Si la charge utile est le poids des passagers et de leurs bagages, si le moindre coût est une plus petite consommation (c’est ce qu’on appelle le coût d’"utilisation" mais ce n’est pas le coût de "détention") et si on laisse les règlements juger des «conditions de sécurité et de nuisances acceptables», on obtient la formule de la finesse généralisée à vitesse donnée.
Certains d'entre-vous ont-ils déjà rencontré un tel quotient tellement évident ? Amicalement, Bernard de Go Mars (discuter) 18 mai 2020 à 17:56 (CEST)[répondre]

  1. du fait de la traînée aérodynamique qui viendra abaisser progressivement ce chiffre dès les 30 ou 40 km/h.
  2. Dans ce mode de calcul de la finesse, plus le véhicule est lourd et plus sa finesse se dégrade, ce qui correspond bien aux impératifs climatiques actuels.