Carlo Pollonera
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Pollonera |
Carlo Pollonera, né le à Alexandrie et mort le à Turin, est un peintre italien, en particulier de paysages, mais également un important malacologue.
Biographie
[modifier | modifier le code]Le père de Carlo Pollonera, Giovanni B. Pollonera, est avocat à Alexandrie[2]. Il meurt quand Carlo est un enfant, après quoi sa mère retourne en Italie à Gênes et se remarie[3],[4]. À l'âge de dix-sept ans, Carlo combat avec Garibaldi lors de la campagne du Trentin en 1866[5]. En 1865, la famille s'installe à Turin, où Pollonera commence à étudier la peinture avec Alberto Maso Gilli. Il s'inscrit à l'Accademia Albertina et étudie avec Gamba et Andrea Gastaldi. Pollonera, élève rebelle, veut peindre exactement ce qu'il voit, plutôt que, par exemple, de changer un arrière-plan gênant. Ce principe de ne pas améliorer ce qu'il voit reste une marque de fabrique de sa peinture tout au long de sa carrière[6]. Après quatre ans chez Gastaldi, en 1873, il fréquente l'école privée d'Antonio Fontanesi[6],[2]. En janvier 1875, il voyage avec son ami proche Carlo Stratta à Paris, où il étudie auprès de Thomas Couture et est influencé par l'école de Barbizon[7]. Il se rend également à Milan en 1874 et à Rome entre 1900 et 1912, où il s’ associe avec Antonio Mancini, Pietro Canonica et John Singer Sargent[8],[9]. Ses joueurs de cartes, une de ses premières œuvres, est exposée au Promotrice de Turin en 1873, où il expose ensuite régulièrement[10]. Parmi ses œuvres on peut citer : Canavese ; Aprile ; Le oche ; Tranquillità ; Il ballo ; La métisse ; Terrena Fiorito et Il Malone. En 1882, il expose le portrait entier d' Il seminatore[11]. Certains de ses tableaux sont aujourd'hui évalués à des milliers, voire des dizaines de milliers d'euros[12],[13].
Enfant, Pollonera devient le beau-fils de l'éminent naturaliste et sénateur Michele Lessona, dont la seconde épouse (la mère de Pollonera, Adele Masi Lessona) et les enfants sont très impliqués dans sa production scientifique, en particulier les traductions[4],[15]. Bien que Pollonera ait commencé à étudier les sciences naturelles, il se tourne rapidement vers la peinture[6]. Néanmoins de 1882 à 1916 Pollonera écrit plus de 50 articles scientifiques sur les mollusques non marins[2],[4],[16]. Voir sa page bibliographique. La plupart des articles sont écrits en italien pour des revues italiennes, mais il y a aussi des articles écrits en français, anglais, portugais et allemand pour des revues de ces pays. Sa production atteint son apogée dans la décennie 1884-1893, alors qu'il travaille sur la faune de l'Italie et des régions adjacentes ; seulement 16 articles sont apparraissent après 1898, quand son attention se porte davantage sur la faune de l'Afrique. La première publication de Pollonera est une monographie sur les limaces italiennes en collaboration avec son demi-frère cadet Mario Lessona[17], mais par la suite il en est toujours le seul auteur. Cependant, la section ci-dessous sur les taxons nommés d'après Pollonera fournit de nombreux exemples de coopération généreuse avec d'autres scientifiques, parfois en rédigeant des descriptions d'espèces dans d'autres documents ou en dessinant les plaques. Alors que certains de ses articles sont des recueils de brèves notes sur des sujets disparates[18], d'autres sont des monographies faisant autorité sur des taxons particuliers[19], son nécrologue Colosi[2] souligne que ses descriptions approfondies et bien observées des espèces étaient appréciées même par ceux qui ne partageaient pas ses conclusions sur la systématique. Son talent d'artiste se manifeste également dans les planches illustrant ses articles (voir exemples ci-dessous). Un aspect particulièrement important de ses recherches est qu'il dissèque les animaux pour leur donner des caractères anatomiques supplémentaires, ce qui devient la norme depuis, mais qui était à l'époque une approche de pointe[16],[20]. Cette approche est particulièrement utile pour étudier les limaces, qui est le groupe sur lequel il publie le plus , bien que ses autres articles concernent les escargots terrestres et parfois l'eau douce et des fossiles. Sa collection se trouve au Museo Regionale di Scienze Naturale di Torino[21].
Pendant 20 ans, Pollonera entretient une relation avec une pianiste, dont le nom est aujourd'hui perdu; c'est une des raisons pour lesquelles il reste à Turin. Mais en 1913, Pollonera épouse Ulma de'Bartolomeis (1886-1981), 37 ans sa cadette, qui avait suivi des cours privés de peinture avec lui[6]. On sait qu'ils ont parfois travaillé ensemble sur la même toile[22]. Il n'a qu'une seule fille, Sabina (1914-1996). Carlo Pollonera meurt le 17 juin 1923 après un court passage à l'hôpital San Giovanni de Turin[6].
Pollonera n'était pas un chrétien pratiquant mais croyait en un être supérieur. Marziano Bernardi a résumé son personnage comme "silencieux et solitaire par nature, rebelle et intransigeant" ("un silenzioso e un solitario per temperamento, un ribelle e un intransigente"). Une anecdote frappante est que les commentaires du critique littéraire et peintre Enrico Thovez sur la perspective d'une des peintures de Pollonera ont amené Pollonera à proposer un duel ! Au lieu de cela, l'affaire a été réglée en cour, et les deux protagonistes ont par la suite inventé[6].
Taxons nommés d'après Pollonera
[modifier | modifier le code]Texte anglais à traduire :
The list of taxa that have been named after Pollonera documents not only the esteem in which he was held but also the milieu of his scientific contacts as his influence spread.
The first to name a species after Pollonera was his half-brother Mario Lessona, who described the land snail Clausilia pollonerae in 1880[23]. The only locality he listed is one reported by Pollonera. The name is now considered a synonym of Charpentieria dyodon thomasiana[24].
In 1884, the geologist Federico Sacco named a Pliocene freshwater snail Viviparus pollonerae, dedicated to this "kind and talented malacologist" ("al gentile quanto valente malacologo")[25]. Sacco also acknowledged Pollonera's help with his work: the two were contemporaries in Turin. In 1886, Sacco named a species of slug known only from its fossil shell (Miocene) as Limax pollonerae after his colleague who "so lovingly deals with the study of Limacidae" ("con tanto amore si occupa dello studio dei Limacidi")[26]. The same year, Sacco coined the name Polloneria for a subgenus of the land snail genus Clausilia, naming it after "one of the most illustrious Italian malacologists"[27]; Polloneria has since been raised to the rank of genus and given rise to the name of the tribe Polloneriini[28]. In the same article Sacco described Ferussacia Pollonerae. Other colleagues in Turin were responsible for the only two non-molluscan species named after Pollonera. In 1896, Achille Griffini named an orthopteran from Central America Cocconotus Pollonerae (now in the genus Eubliastes)[29]. And in 1912, Lorenzo Camerano named a horsehair worm Chordodes pollonerae[30]; Camerano was originally, like Pollonera, a painter, who had become a protégé of Pollonera's step-father Michele Lessona, eventually taking his place as head of the Turin museum, becoming a senator, and also marrying Pollonera's half sister Luigia[31],[15].
Meanwhile, Napoleone Pini, based in Milan, had named two species after Pollonera in different 1885 articles printed in the same volume: one was the snail Pupa pollonerae (now Orcula spoliata)[32] and the other the slug Arion pollonerae[33]. In the first case, it was Pollonera who had passed on the specimens of the "new" species to Pini and, in the second, he had drawn the plates illustrating the article. In 1888, another Italian malacologist Giorgio R. Sulliotti, used the name Polloneria for a genus of sea butterfly[34]. As Sacco had used the name already, this new use was invalid and the older name Heliconoides is used today. A year later Sulliotti named a marine bivalve from Sardinia Tapes Pollonerianus in honour of Pollonera "to whom we owe the most recent and best study of the malacological fauna of Piedmont, and with whose friendship I am honored"[35]. Sullioti compared this form with the common Ruditapes decussatus, from which it is not now distinguished.
Pollonera's work and reputation had now begun to spread beyond Italy. In 1889, the German slug specialist Heinrich Simroth named a species of slug from Palermo Agriolimax Pollonerae[36]. This is today considered a synonym of Deroceras panormitanum[37], which Lessona and Pollonera had already described in 1882, also from Palermo[17]. In 1890, another German, Karl Flach, better known as an entomologist, named a variety of Pupa biplicata as "Pollonerae", having discussed Pollonera's recent work on this species[38],[39]. The Swedish malacologist Carl Westerlund in 1892 named a soil-living snail from Malta Cionella pollonerae[40]; this is today considered a synonym of Cecilioides acicula.
Two expeditions led by Borelli to Paraguay and Argentina yielded mollusc collections that Giuseppe Paravicini (of Milan) and then César Ancey (working in Algeria) wrote up in 1894 and 1897[41],[42]. Each named a snail species after Pollonera: Helix Pollonerae (now in the genus Epiphragmophora) and Bulimulus Pollonerae. Ancey thanked Pollonera for having directed the collection to him.
In 1897, the cleric and malacologist Pietro Arbanasich (using the pseudonym Fra Piero) authored the description of a species of semi-slug from Sardinia under the name Vitrina Polloneriana[43]. Really, Pollonera himself wrote and illustrated the description[44], and one might suppose that the naming was Arbanasich's way of thanking him. Current names in use for this species are Oligolimax pollonerianus and Sardovitrina polloneriana[45].
In his large 1903 monograph on the Corsican non-marine mollusc fauna, the French soldier-turned-malacologist Eugène Caziot named a variety of Helix raspaili as pollonerae (now Tacheocampylaea acropachia pollonerae)[46], acknowledging the considerable help of the "Italian dissector"[47]. The collaboration was close enough that Pollonera is given as the authority for another new species described in the work.
The leading North American malacologist Henry Pilsbry named two species after Pollonera in his major 1919 work on molluscs from the Belgian Congo, the slug Trichotoxon pollonerae and the snail Gulella polloneriana[48]. The latter was most likely so named because of its resemblance to G. camerani, which had been described by Pollonera. Ptchotrema pollonerae is another species of landsnail from the Belgian Congo, this one named in 1913 by Hugh Preston[49], a shell dealer in London who "realized the market value of new names"[50].
Pollonera was commemorated even after his death. In 1939, Polloneria was used a third time, this time by Alonza and Alonza Bissachi, for a subgenus of unrelated hygromiid snails[51], The next year, to avoid the homonym, they replaced the name with Polloneriella[52],[53]. Polloneriella is nowadays sometimes considered as a montoypic genus[54] or sometimes considered a subgenus of Xerosecta[55].
Signature: p. 162 of Taylor (1905)[1]. See [10] for other examples.
Traduction du texte anglais :
proposition de traduction
Galerie
[modifier | modifier le code]Quelques peintures de Pollonera à la Galleria Civica d'Arte Moderna e Contemporanea, Turin
[modifier | modifier le code]Les titres et les dates suivent ceux d'Aldo Picco[6]
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Exemples de planches dessinées par Pollonera illustrant ses articles malacologiques
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Notes et références
[modifier | modifier le code]- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Carlo Pollonera » (voir la liste des auteurs).
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Annexes
[modifier | modifier le code]Article connexe
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives aux beaux-arts :