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Thief of Fate est considéré comme étant le mieux conçu des jeux de la série grâce à de nouvelles fonctionnalités facilitant sa prise en main, notamment une carte générée automatiquement et l’option de sauvegarder à n’importe quel moment, mais aussi la possibilité de résoudre des énigmes en utilisant des objets, ce qui rend son système de jeu plus profond[1].
Il propose également l’environnement de jeu le plus vaste de la série, le joueur devant visiter des univers totalement différents incluant 84 niveaux de donjons et plus de 500 types de monstres[1].
Accueil
À sa sortie, le jeu reçoit un accueil mitigé dans la presse spécialisée[2].
↑ a et b(en) Matt Barton, Dungeons and Desktops : The History of Computer Role-Playing Games, Wellesley, CRC Press, , 451 p. (ISBN978-1-4398-6524-8, lire en ligne), « Chapter 6: The Early Golden Age », p. 96.
↑(en)Scorpia, « Old Prophecies Never Lies... E.A.'s Bard's Tale III, Thief of Fate », Computer Gaming World, no 48, , p. 20-21, 52.
↑
(en)
Keith Campbell, « Bard’s Tale III », Commodore User, , p. 87.
↑
(en)
Hartley, Patricia et Kirk Lesser, « The Role of Computer: Bard's Tale III », Dragon Magazine, no 138, , p. 71.
↑
(fr)
Dany Boolauck, « Bard’s Tale III : Destin du Voleur », Tilt, no 55, , p. 97-98.
↑
(en)
« Bard’s Tale III – Thief of Fate », Zzap, no 42, , p. 46.
↑
(fr)
Moulinex, « Bard’s Tales III », Joystick, no 12, , p. 156-157.
↑
(fr)
Jean-Loup Jovanovic, « Bard’s Tale III », Tilt, no 86, , p. 109.
↑
(en)
Mark Ramshaw, « The Bard’s Tale III », Amiga Power, no 1, , p. 91.
↑
(en)
John Diglan, « Bard's Tale III », Amiga Computing, no 37, , p. 47.
↑
(en)
Mark Patterson, « Bard's Tale III », CU Amiga, no 37, , p. 71-72.