Aller au contenu

« Kamel Jendoubi » : différence entre les versions

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Contenu supprimé Contenu ajouté
m modèle
Josce (discuter | contributions)
→‎Controverses : suppressions d'interpretations personnelles
Ligne 51 : Ligne 51 :
En octobre [[2012]], Kamel Jendoubi est à nouveau chargé de l'organisation d'élections en [[2013]]<ref>{{Article|langue=fr|titre=Tunisie : élections en été 2013|périodique=[[Le Figaro]]|numéro=|date=8 octobre 2012|pages=|issn=1241-1248|lire en ligne=http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/10/08/97001-20121008FILWWW00662-tunisie-elections-en-ete-2013.php|consulté le=5 décembre 2017|id=}}.</ref>, à la suite d'un accord de la [[Troïka (Tunisie)|troïka]] sur le futur régime politique<ref>{{Article|langue=fr|titre=Tunisie : accord de la coalition au pouvoir sur le futur régime politique|périodique=[[Le Monde]]|numéro=|date=13 octobre 2012|pages=|issn=0395-2037|lire en ligne=https://www.lemonde.fr/tunisie/article/2012/10/13/tunisie-accord-de-la-coalition-au-pouvoir-sur-le-futur-regime-politique_1775173_1466522.html|consulté le=5 décembre 2017|id=}}.</ref>. Toutefois, le scrutin est repoussé et [[Chafik Sarsar]], enseignant universitaire en [[droit constitutionnel]], est finalement élu président de la nouvelle Instance supérieure indépendante pour les élections<ref>{{Lien web|langue=fr|titre=Chafik Sarsar, officiellement, nouveau président de l'ISIE|url=http://www.businessnews.com.tn/chafik-sarsar-officiellement-nouveau-president-de-lisie,520,43446,3|date=9 janvier 2014|site=businessnews.com.tn|consulté le=5 décembre 2017}}.</ref>.
En octobre [[2012]], Kamel Jendoubi est à nouveau chargé de l'organisation d'élections en [[2013]]<ref>{{Article|langue=fr|titre=Tunisie : élections en été 2013|périodique=[[Le Figaro]]|numéro=|date=8 octobre 2012|pages=|issn=1241-1248|lire en ligne=http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/10/08/97001-20121008FILWWW00662-tunisie-elections-en-ete-2013.php|consulté le=5 décembre 2017|id=}}.</ref>, à la suite d'un accord de la [[Troïka (Tunisie)|troïka]] sur le futur régime politique<ref>{{Article|langue=fr|titre=Tunisie : accord de la coalition au pouvoir sur le futur régime politique|périodique=[[Le Monde]]|numéro=|date=13 octobre 2012|pages=|issn=0395-2037|lire en ligne=https://www.lemonde.fr/tunisie/article/2012/10/13/tunisie-accord-de-la-coalition-au-pouvoir-sur-le-futur-regime-politique_1775173_1466522.html|consulté le=5 décembre 2017|id=}}.</ref>. Toutefois, le scrutin est repoussé et [[Chafik Sarsar]], enseignant universitaire en [[droit constitutionnel]], est finalement élu président de la nouvelle Instance supérieure indépendante pour les élections<ref>{{Lien web|langue=fr|titre=Chafik Sarsar, officiellement, nouveau président de l'ISIE|url=http://www.businessnews.com.tn/chafik-sarsar-officiellement-nouveau-president-de-lisie,520,43446,3|date=9 janvier 2014|site=businessnews.com.tn|consulté le=5 décembre 2017}}.</ref>.


Le {{date|23 janvier 2015}}, il est nommé au poste de ministre auprès du [[Chef du gouvernement tunisien|chef du gouvernement]] chargé des Relations avec les institutions constitutionnelles et la société civile dans le gouvernement de [[Habib Essid]]<ref>{{Article|langue=fr|titre=Tunisie : le Premier ministre désigné présente son gouvernement|périodique=[[Le Point]]|numéro=|date=23 janvier 2015|pages=|issn=0242-6005|lire en ligne=http://www.lepoint.fr/monde/tunisie-le-premier-ministre-designe-presente-son-gouvernement-23-01-2015-1899102_24.php|consulté le=5 décembre 2017|id=}}.</ref>. Le {{date|6 janvier 2016}}, il prend aussi en charge les Droits de l'homme<ref>{{Lien web|langue=fr|titre=Tunisie : liste complète des ministres du nouveau gouvernement Essid|url=http://directinfo.webmanagercenter.com/2016/01/06/tunisie-habib-essid-annonce-un-remaniement-ministeriel/|date=6 janvier 2016|site=directinfo.webmanagercenter.com|consulté le=5 décembre 2017}}.</ref>.
Le {{date|23 janvier 2015}}, il est nommé au poste de ministre auprès du [[Chef du gouvernement tunisien|chef du gouvernement]] chargé des Relations avec les institutions constitutionnelles et la société civile dans le gouvernement de [[Habib Essid]]<ref>{{Article|langue=fr|titre=Tunisie : le Premier ministre désigné présente son gouvernement|périodique=[[Le Point]]|numéro=|date=23 janvier 2015|pages=|issn=0242-6005|lire en ligne=http://www.lepoint.fr/monde/tunisie-le-premier-ministre-designe-presente-son-gouvernement-23-01-2015-1899102_24.php|consulté le=5 décembre 2017|id=}}.</ref>. Le {{date|6 janvier 2016}}, il prend aussi en charge les Droits de l'homme<ref>{{Lien web|langue=fr|titre=Tunisie : liste complète des ministres du nouveau gouvernement Essid|url=http://directinfo.webmanagercenter.com/2016/01/06/tunisie-habib-essid-annonce-un-remaniement-ministeriel/|date=6 janvier 2016|site=directinfo.webmanagercenter.com|consulté le=5 décembre 2017}}.</ref>. En [[mai 2021]] il signe une tribune dans [[Le Monde]] dénonçant le manque de courage face à l'islamisme et les insuffisances de l'état Tunisien comme étant un facteur dans la multiplication d'attentats terroristes commis par des Tunisiens<ref>{{Article |langue=fr |titre=Djihadisme : « Il faut mettre un terme au gâchis tunisien » |périodique=Le Monde.fr |date=2021-05-03 |lire en ligne=https://www.lemonde.fr/afrique/article/2021/05/03/djihadisme-il-faut-mettre-un-terme-au-gachis-tunisien_6078930_3212.html |consulté le=2021-05-03 }}</ref>.


Le {{date|5 décembre 2017}}, il est désigné, par le [[Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme]] à la tête d'un groupe d'experts internationaux et régionaux pour enquêter sur les violations des droits de l'homme au [[Yémen]]<ref>{{Lien web|langue=fr|titre=Kamel Jendoubi nommé président d'un groupe d'experts sur le Yémen par le Haut Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme|url=http://www.huffpostmaghreb.com/2017/12/05/kamel-jendoubi-yemen-onu_n_18731190.html|date=5 décembre 2017|site=huffpostmaghreb.com|consulté le=5 décembre 2017}}.</ref>.
Le {{date|5 décembre 2017}}, il est désigné, par le [[Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme]] à la tête d'un groupe d'experts internationaux et régionaux pour enquêter sur les violations des droits de l'homme au [[Yémen]]<ref>{{Lien web|langue=fr|titre=Kamel Jendoubi nommé président d'un groupe d'experts sur le Yémen par le Haut Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme|url=http://www.huffpostmaghreb.com/2017/12/05/kamel-jendoubi-yemen-onu_n_18731190.html|date=5 décembre 2017|site=huffpostmaghreb.com|consulté le=5 décembre 2017}}.</ref>.


== Controverses ==
== Études ==
=== Polémiques académiques ===
Kamel Jendoubi s'inscrit à l'[[université de Tunis]] à la fin des [[années 1960]] afin d'y poursuivre des études en [[physique-chimie]]<ref name=":1">{{Lien web|langue=fr|titre=Qui est Kamel Jendoubi, ministre délégué chargé des Relations avec la Société civile?|url=http://www.leaders.com.tn/article/16121-kamel-jendoubi|date=23 janvier 2015|site=leaders.com.tn|consulté le=11 janvier 2019}}.</ref>. Un an plus tard, en [[1971]], il déménage à [[Paris]], et ayant échoué à s'inscrire en école de médecine, poursuit des études de [[pharmacie]]<ref name="garant">{{Article|langue=fr|titre=Kamel Jendoubi, le garant des premières élections du printemps arabe|périodique=[[Le Monde]]|numéro=|date=15 octobre 2011|pages=|issn=0395-2037|lire en ligne=https://www.lemonde.fr/tunisie/article/2011/10/15/kamel-jendoubi-le-garant-des-premieres-elections-du-printemps-arabe_1588008_1466522.html|consulté le=11 janvier 2019|id=}}.</ref>. Durant cette période, il fait la connaissance de nombreux immigrés tunisiens et choisit de délaisser ses études au profit du militantisme<ref name=":1"/>.
Kamel Jendoubi s'inscrit à l'[[université de Tunis]] à la fin des [[années 1960]] afin d'y poursuivre des études en [[physique-chimie]]<ref name=":1">{{Lien web|langue=fr|titre=Qui est Kamel Jendoubi, ministre délégué chargé des Relations avec la Société civile?|url=http://www.leaders.com.tn/article/16121-kamel-jendoubi|date=23 janvier 2015|site=leaders.com.tn|consulté le=11 janvier 2019}}.</ref>. Un an plus tard, en [[1971]], il déménage à [[Paris]], et ayant échoué à s'inscrire en école de médecine, poursuit des études de [[pharmacie]]<ref name="garant">{{Article|langue=fr|titre=Kamel Jendoubi, le garant des premières élections du printemps arabe|périodique=[[Le Monde]]|numéro=|date=15 octobre 2011|pages=|issn=0395-2037|lire en ligne=https://www.lemonde.fr/tunisie/article/2011/10/15/kamel-jendoubi-le-garant-des-premieres-elections-du-printemps-arabe_1588008_1466522.html|consulté le=11 janvier 2019|id=}}.</ref>. Durant cette période, il fait la connaissance de nombreux immigrés tunisiens et choisit de délaisser ses études au profit du militantisme<ref name=":1"/>.


En [[1979]], Kamel Jendoubi, après un court retour en Tunisie, revient en France afin de reprendre des études, en [[mathématiques]] cette fois-ci, avant de se réorienter une nouvelle fois, et d'intégrer l'IAE de Paris, d'abord, et la Sorbonne ensuite<ref name=":1"/>.
En [[1979]], Kamel Jendoubi, après un court retour en Tunisie, revient en France afin de reprendre des études, en [[mathématiques]] cette fois-ci, avant de se réorienter une nouvelle fois, et d'intégrer l'IAE de Paris, d'abord, et la Sorbonne ensuite<ref name=":1"/>.

=== Liens avec le Qatar ===
Kamel Jendoubi est lié à deux organisations réputées proches du [[Qatar]]. Il préside le Cairo Institute for Human Rights Studies (Institut du Caire pour l'étude des droits humains), une association critiquée pour son silence sur les violations des droits de l'homme dans ce pays<ref>{{Lien web|langue=en|titre=Biographies of the members of the Group Eminent Experts on Yemen|url=https://www.ohchr.org/EN/HRBodies/HRC/YemenGEE/Pages/Members.aspx|site=ohchr.org|consulté le=23 août 2019}}.</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|langue=fr|auteur=Wassim Kacem|titre=Kamel Jendoubi sera-t-il reconduit comme expert des Nations unies ?|url=https://blogs.mediapart.fr/wassim-kacem/blog/210819/kamel-jendoubi-sera-t-il-reconduit-comme-expert-des-nations-unies|date=21 août 2019|site=blogs.mediapart.fr|consulté le=23 août 2019}}.</ref>. D'après le site d'information Egypt Today, l'organisation figure sur la liste noire des organisations associées aux [[Frères musulmans]] soutenues par le Qatar<ref>{{Lien web|langue=en|auteur=Amr Mohamed Kandil|titre=US-funded rights entity aims to intervene in Egypt's domestic affairs: Arab Movement|url=http://www.egypttoday.com/Article/2/67463/US-funded-rights-entity-aims-to-intervene-in-Egypt-s|date=25 mars 2019|site=egypttoday.com|consulté le=23 août 2019}}.</ref>. Le Cairo Institute for Human Rights Studies a aussi reçu le soutien de la fondation [[Alkarama]] dont le fondateur, [[Abdul Rahman Omeir al-Naimi]], est listé comme terroriste par les [[États-Unis]]<ref>{{Lien web|langue=en|titre=“Shock and anger must translate into real action”: UN Secretary-General condemns cases of reprisals in report presented to Human Rights Council|url=https://www.alkarama.org/en/articles/shock-and-anger-must-translate-real-action-un-secretary-general-condemns-cases-reprisals|date=19 septembre 2018|site=alkarama.org|consulté le=23 août 2019}}.</ref>{{,}}<ref>{{Article|langue=en|auteur1=David Blair|auteur2=Richard Spencer|titre=Former head of human rights charity accused of leading double life as terrorist fundraiser|périodique=[[The Daily Telegraph]]|numéro=|date=20 septembre 2014|pages=|issn=0307-1235|lire en ligne=https://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/middleeast/qatar/11110928/Former-head-of-human-rights-charity-accused-of-leading-double-life-as-terrorist-fundraiser.html|consulté le=23 août 2019|id=}}.</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|langue=en|prénom1=Eli Lake|titre=Terrorists for Human Rights|url=https://www.thedailybeast.com/articles/2013/12/20/terrorists-for-human-rights|date=20 décembre 2013|site=thedailybeast.com|consulté le=23 août 2019}}.</ref>.

Kamel Jendoubi est également proche du {{Lien|langue=en|trad=National Human Rights Committee (Qatar)|fr=National Human Rights Committee (Qatar)|texte=National Human Rights Committee}}, une organisation qatarie proche de la mère de l'[[Liste des émirs du Qatar|émir du Qatar]]<ref>{{Lien web|langue=en|titre=In cooperation with the Arab Institute for Human Rights and UNESCO. The NHRC participates in the organization of an international conference in Tunisia|url=http://nhrc-qa.org/en/in-cooperation-with-the-arab-institute-for-human-rights-and-unesco-the-nhrc-participates-in-the-organization-of-an-international-conference-in-tunisia/|date=10 septembre 2018|site=nhrc-qa.org|consulté le=23 août 2019}}.</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|langue=en|titre=2010 Forum for the Future: Democracy Leader Looks Ahead|url=https://wikileaks.org/plusd/cables/09DOHA667_a.html|date=16 novembre 2009|site=wikileaks.org|consulté le=23 août 2019}}.</ref>.

=== Liens avec la mouvance islamiste ===
Kamel Jendoubi a longtemps promu {{citation|la nécessité d'intégrer progressivement les islamistes dans le jeu politique}} tunisien<ref name="garant"/>{{,}}<ref name=":0"/>.


== Distinctions ==
== Distinctions ==

Version du 3 mai 2021 à 23:26

Kamel Jendoubi
Illustration.
Kamel Jendoubi lors d'une conférence de presse de l'Isie.
Fonctions
Ministre tunisien chargé des Relations avec les institutions constitutionnelles et la société civile et des Droits de l'homme[N 1]

(1 an, 6 mois et 21 jours)
Président Béji Caïd Essebsi
Chef du gouvernement Habib Essid
Gouvernement Essid
Prédécesseur Poste créé
Successeur Mehdi Ben Gharbia
Biographie
Date de naissance (71 ans)
Lieu de naissance Tunis, Tunisie
Nationalité tunisienne
Parti politique Indépendant
Diplômé de Institut d'administration des entreprises
Université Panthéon-Assas

Kamel Jendoubi (arabe : كمال الجندوبي), né le à Tunis, est un militant des droits de l'homme et homme politique tunisien.

Biographie

Jendoubi est titulaire d'un diplôme de l'IAE de Paris et d'un diplôme d'études approfondies de l'université Panthéon-Assas[1].

Il est membre et président de plusieurs associations de défense des droits de l'homme, notamment le Réseau euro-méditerranéen des droits de l'homme depuis 2003[2].

En 2011, il est élu par la Haute instance pour la réalisation des objectifs de la révolution, de la réforme politique et de la transition démocratique comme président de l'Instance supérieure indépendante pour les élections chargée de l'organisation de l'élection d'une assemblée constituante[3].

En octobre 2012, Kamel Jendoubi est à nouveau chargé de l'organisation d'élections en 2013[4], à la suite d'un accord de la troïka sur le futur régime politique[5]. Toutefois, le scrutin est repoussé et Chafik Sarsar, enseignant universitaire en droit constitutionnel, est finalement élu président de la nouvelle Instance supérieure indépendante pour les élections[6].

Le , il est nommé au poste de ministre auprès du chef du gouvernement chargé des Relations avec les institutions constitutionnelles et la société civile dans le gouvernement de Habib Essid[7]. Le , il prend aussi en charge les Droits de l'homme[8]. En mai 2021 il signe une tribune dans Le Monde dénonçant le manque de courage face à l'islamisme et les insuffisances de l'état Tunisien comme étant un facteur dans la multiplication d'attentats terroristes commis par des Tunisiens[9].

Le , il est désigné, par le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme à la tête d'un groupe d'experts internationaux et régionaux pour enquêter sur les violations des droits de l'homme au Yémen[10].

Études

Kamel Jendoubi s'inscrit à l'université de Tunis à la fin des années 1960 afin d'y poursuivre des études en physique-chimie[11]. Un an plus tard, en 1971, il déménage à Paris, et ayant échoué à s'inscrire en école de médecine, poursuit des études de pharmacie[12]. Durant cette période, il fait la connaissance de nombreux immigrés tunisiens et choisit de délaisser ses études au profit du militantisme[11].

En 1979, Kamel Jendoubi, après un court retour en Tunisie, revient en France afin de reprendre des études, en mathématiques cette fois-ci, avant de se réorienter une nouvelle fois, et d'intégrer l'IAE de Paris, d'abord, et la Sorbonne ensuite[11].

Distinctions

  • Commandeur de l'Ordre tunisien de la République (2011)[13] ;
  • Prix Hermès pour la promotion de la liberté d'expression et de l'échange des informations en Méditerranée (2016)[14].

Publications

  • Que vive la République ! Tunisie (1957-2017) [sous la dir. de], éd. Alif, Tunis, 2018[15]
  • Tunisie dix ans et dans dix ans (ouvrage collectif), éd. Leaders, Tunis, 2021[16]

Notes et références

Notes

  1. Ministre tunisien chargé des Relations avec les institutions constitutionnelles et la société civile jusqu'au 12 janvier 2016.

Références

  1. « Biographie de Kamel Jendoubi, ministre chargé des Relations avec les Instances constitutionnelles, la Société civile et les Organisations des droits de l'homme », sur businessnews.com.tn, (consulté le ).
  2. « Qui est Kamel Jendoubi ministre des Relations avec les Instances constitutionnelles, la Société civile et les Droits de l'homme ? », sur leaders.com.tn, (consulté le ).
  3. Sadok Sayedi, « Membres du Conseil de l'instance supérieure pour la réalisation des objectifs de la révolution, de la réforme politique et de la transition démocratique », sur tunisienumerique.com, (consulté le ).
  4. « Tunisie : élections en été 2013 », Le Figaro,‎ (ISSN 1241-1248, lire en ligne, consulté le ).
  5. « Tunisie : accord de la coalition au pouvoir sur le futur régime politique », Le Monde,‎ (ISSN 0395-2037, lire en ligne, consulté le ).
  6. « Chafik Sarsar, officiellement, nouveau président de l'ISIE », sur businessnews.com.tn, (consulté le ).
  7. « Tunisie : le Premier ministre désigné présente son gouvernement », Le Point,‎ (ISSN 0242-6005, lire en ligne, consulté le ).
  8. « Tunisie : liste complète des ministres du nouveau gouvernement Essid », sur directinfo.webmanagercenter.com, (consulté le ).
  9. « Djihadisme : « Il faut mettre un terme au gâchis tunisien » », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  10. « Kamel Jendoubi nommé président d'un groupe d'experts sur le Yémen par le Haut Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme », sur huffpostmaghreb.com, (consulté le ).
  11. a b et c « Qui est Kamel Jendoubi, ministre délégué chargé des Relations avec la Société civile? », sur leaders.com.tn, (consulté le ).
  12. « Kamel Jendoubi, le garant des premières élections du printemps arabe », Le Monde,‎ (ISSN 0395-2037, lire en ligne, consulté le ).
  13. « Des personnalités décorées par le président de la République par intérim », sur leaders.com.tn, (consulté le ).
  14. « Kamel Jendoubi, lauréat du Prix Hermès de la liberté d'expression », sur kapitalis.com, (consulté le ).
  15. « 60 ans après, la République tunisienne remise en débat », sur leaders.com.tn, (consulté le ).
  16. « Un ouvrage collectif de témoignages et d'analyses : Tunisie dix ans et dans dix ans », sur leaders.com.tn, (consulté le ).

Voir aussi

Liens externes