Utilisateur:Logret de Carlin/Tourisme à Gassin

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Office de Tourisme de Gassin
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Devise : « Gassin, la plus belle vue du Golfe »

Situation
Région Provence-Alpes-Côte d'Azur
Création 2015 (par délibération ; le bureau d'accueil a ouvert en 2016)
Type Service public administratif en régie autonome
Siège 20, place Léon Martel,
83580 Gassin, France
Coordonnées 43° 13′ 48,3″ N, 6° 35′ 08,1″ E
Langue Français, Anglais, Italien
Budget 150 000 € en 2017, 180 000 € en 2018
Organisation
Effectifs 4,5
Dirigeant Anne-Marie Waniart (présidente du conseil d'exploitation)
Personnes clés Anne-Marie Waniart (maire, première présidente), Guillaume (directeur général des services, premier directeur), Rémi Potier-Saffroy
Organisations affiliées Mairie de Gassin

Site web [1]
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(Voir situation sur carte : Var)
Office de Tourisme de Gassin
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(Voir situation sur carte : France)
Office de Tourisme de Gassin

Le tourisme à Gassin s’est développé depuis la fin du XIXe siècle, devenant l’un des principaux moteurs économiques de la commune. Son développement décalé et plus tardif par rapport à d’autres communes de la presqu’île de Saint-Tropez a conduit à des effets

est un service relevant de la mairie de Gassin chargé du tourisme sur le territoire de Gassin.

Histoire[modifier | modifier le code]

Des atouts touristiques majeurs reconnus dès le XIXe siècle[modifier | modifier le code]

La vue depuis le village est un élément remarqué très tôt comme attrait touristique.

La vue depuis le village est un élément remarqué très tôt comme attrait touristique. La commune est recherchée pour ses espaces sauvages, ses plages, ses criques et son climat qui en font rapidement une destination recherchée comme station balnéaire, autant hivernale qu’estivale.

La vue depuis le village est un élément remarqué très tôt comme attrait touristique.

Mettre image Terrassehttps://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57611994/f462.item.r=h%C3%B4tel%20pension%20Cavalaire.zoom

La commune est recherchée pour ses espaces sauvages, ses plages, ses criques et son climat qui en font rapidement une destination recherchée comme station balnéaire, autant hivernale qu’estivale. certaines espaces de développent rapidement, principalement sur les secteurs de Bertaud, de Cavalaire et de La Croix. Les grandes familles royales avaient choisi Nice et la Riviera des Alpes-Maritimes, les Dracénois voisins Saint-Aygulf, et les soyeux, qui ont eu à découvrir les lieux grâce à la sericulture, se fixent à Gassin, suivis d’autres industriels.

Le choix d’une vie rurale contre le développement touristique (jusqu’aux années 1920)[modifier | modifier le code]

d

La perte de deux secteurs majeurs (entre-deux-guerres)[modifier | modifier le code]

En 1929 et 1934,

Néanmoins, Gassin est connu comme un havre de paix, recherché par les peintres[1].

Gassin, la discrète vigie du Golfe (après la Seconde Guerre mondiale)[modifier | modifier le code]

ee

Le développement touristique (à partir de 1980[modifier | modifier le code]

À partir des années 1980, la commune prend un nouveau virage, en développant le tourisme, notamment dans son versant luxe. C’est la volonté des maires successifs Robert Dho, Joseph Desdéri et Yvon Zerbone, et l’hôtellerie de luxe apporte un plus à l’économie locale[2].

La création d’un office de tourisme et la prise en compte de ce secteur[modifier | modifier le code]

Le caractère touristique de Gassin a été très tôt pris en compte. Cela tenait à la présence de personnalités impliquées dans le monde du tourisme. Ainsi, le maire Félix Ayot, élu en 1926, est également président du syndicat d’initiatives de Saint-Tropez.

Le syndicat d’initiatives de la baie de Cavalaire[modifier | modifier le code]

À cette même époque, Gassin possède son propre syndicat d’initiatives, le Syndicat d’initiatives de la baie de Cavalaire[3].

Il est lié au fort développement de cette partie de la commune qui aboutit peu après au détachement de ce hameau et son érection en commune.

Le SI de la BDC est présidé par M. Alexis en 1931[4].

Un SI à La Croix[modifier | modifier le code]

M. Pellegrin est président du SI de La Croix, hameau de Gassin en 1931[4].

Un test office durant la saison 1992 (?)[modifier | modifier le code]

Un local situé sous l’église, du côté de la place deï Barri, les remparts est du village, fut alloué à un test d’office de tourisme en 1992 (?). Deux agents furent recrutés pour distribuer des plans et réaliser des statistiques sur les visiteurs venus demander des informations : nationalité, département d’origine pour les Français et thématique de visite.

Un personnel à la Maison du Tourisme[modifier | modifier le code]

En 2007, la commune conventionne avec la Maison du Tourisme (MDT) pour créer un poste à l’année dans le local de cet organisme intercommunal de promotion touristique. Avec une dotation de 40 000 euros, Marie Chlous, trilingue français, anglais, allemand, parlant également un peu l’espagnol, est embauchée pour une année. Cette subvention s’ajoute au 81 321 euros de subvention pour le fonctionnement de la MDT.

Cette création correspondait pour la commune à un besoin : pallier l’absence d’office de tourisme "à proprement

dit", tout en postulant au titre de commune touristique.

Historique[modifier | modifier le code]

Création[modifier | modifier le code]

L’office de tourisme de Gassin a été créé par une délibération municipale le octobre ou novembre 2015. Il a ouvert ses portes le . Deux agents ont été recrutés par la commune : Rémi Potier-Saffroy pour mettre en place l’office dans ses différents aspects (aménagement du local, achat du matériel, création des documents de promotion, prises de contact avec les principaux prestataires et partenaires, etc.) et Marilyne Minéo, plus spécialement chargée d’assurer l’accueil.

Trois jours avant son ouverture, le 29 mars 2016, Gassin accueil son premier éductour, organisé en partenariat avec la Maison du Tourisme, l’organisme de promotion intercommunale du golfe de Saint-Tropez. Signe de

Il a accueilli plus de 10 000 visiteurs lors de ses neuf premiers mois d’existence.

Lutte pour sa sauvegarde[modifier | modifier le code]

Le 15 décembre 2016, l’office obtient par arrêté préfectoral son classement en catégorie III, impératif pour son maintien dans le giron communal. En effet, le vote de la loi Montagne II par le parlement ajuste les importantes modifications imposées par la loi NOTRé quelques mois plus tôt au secteur touristique institutionnel. En particulier, les communes ne peuvent dès lors conserver leur office de tourisme que si elles sont classées station de tourisme, ou, à défaut, que si elles ont entrepris les démarches nécessaires pour le faire : être classé au plus tard commune touristique au 31 décembre 2016, et par conséquent posséder un office de tourisme classé au minimum catégorie III.

Label Qualité et catégorie I[modifier | modifier le code]

Organisé depuis sa création selon les impératifs de la catégorie I des offices de tourisme et le besoin de détenir un label Qualité (marque Qualité Tourisme).

Attente du résultat du dossier de la station de tourisme[modifier | modifier le code]

L’équipe de l’office de tourisme, avec l’aide des services techniques, comptabilité et le secrétariat général, dépose le dossier de demande de classement de la commune en station de tourisme le . L’existence de l’office de tourisme en tant qu’organisme communal indépendant est suspendu au résultat de cette par les services de la préfecture du Var, de la DIRECCTE Provence-Alpes-Côte d’Azur et du ministère de l’Économie et des Finances. En cas de validation du dossier, le classement de Gassin en station de tourisme permettrait le maintien de l’office dans le giron communal. En cas de refus, il deviendrait un bureau d’information rattaché à l’office de tourisme intercommunal du golfe de Saint-Tropez. Ce dernier exerce, en 2019, sa compétence sur les territoires des communes de Cogolin, la Garde-Freinet, la Môle, le Plan-de-la-Tour et le Rayol-Canadel. Sur le territoire de la communauté de communes du golfe de Saint-Tropez, les offices des six autres communes sont restés communaux : Cavalaire-sur-Mer, la Croix-Valmer, Grimaud, Ramatuelle, Saint-Tropez, Sainte-Maxime.

Équipe[modifier | modifier le code]

color:Saisonnier
bar:Lorenzo  from:01/03/2018 till:30/04/2018
bar:Inco   from:01/06/2018 till:05/08/2018
bar:Elisa     from:01/08/2018 till:31/08/2018
bar:Isabelle  from:01/09/2018 till:10/10/2018
bar:Isabelle  from:01/04/2019 till:end
Color:grey
bar:Lorenzo  from:01/03/2018 till:30/04/2018
bar:Inco   from:01/06/2018 till:05/08/2018
bar:Elisa     from:01/08/2018 till:31/08/2018
bar:Isabelle  from:01/09/2018 till:10/10/2018
bar:Isabelle  from:01/04/2019 till:end

Autre[modifier | modifier le code]

Quelques dates de l’histoire du tourisme à Gassin.
Nouveau village de Gassin
Quelques dates de l’histoire de France du tourisme dans le Var

Histoire politique et religieuse de Candes-Saint-Martin Histoire architecturale de Candes-Saint-Martin

 : premier classement de l'office en catégorie III (arrêté préfectoral)

 : premier classement de la commune en commune touristique (arrêté préfectoral)

1er décembre 2017 : première labellisation de l’office en Marque Qualité tourisme (arrêté préfectoral)

 : premier classement de l’office en catégorie I (arrêté préfectoral)

17 décembre 2019 : premier classement de la commune en station de tourisme

Établissements[modifier | modifier le code]

Restaurants[modifier | modifier le code]

Le Bertaud (-1920-) : vendu en 1920[5].

Le Bello Visto (-1960-2022-) (voir hôtel) ; repris en 2015 par Laurence et Sylvain Humbert[6]

Le Micocoulier (-1963-2022-)[7]

Les Sarments

Le Belrose (1997-aujourd’hui) (une étoile au guide Michel de 2002[8],[9] à 2019)

Anciens restaurants

L’Os et l’Arête (place Hannibal de Châteauneuf) (-av. 2015)

Le Carat (-2004-av. 2015)[10]

Restaurant des Trois Ponts (La Foux - Cogolin ?) ( - 1931[11] - 1934[12] )

Buffet de la Gare de la Foux (Cogolin) 1911 https://bibnum.ville-frejus.fr/viewer/9774?medianame=b830616201_levar_1911_10_19_000004&q=gassin#page=4&viewer=picture&o=search&n=0&q=gassin

Hébergements[modifier | modifier le code]

Hôtels en 2019[modifier | modifier le code]

  • Bastide d’Antoine****
  • Capucines***
  • Bello Visto

Anciens hôtels[modifier | modifier le code]

Grand Café. [13]

La Foux[modifier | modifier le code]
  • L’Hôtel du Golfe, restaurant, hôtel et pension de famille ( - 1935 - ). Géré jusqu’en 1935 par Antoine Villeneuve ; le bail est repris en 1935 par les propriétaires Jean et Gennari Conti[14].
Route de Saint-Tropez[modifier | modifier le code]
  • L’Oasis (1941 - ?). Ancêtre du Kube Hotel****, qui fut entretemps la clinique de l’Oasis. Il s’agissait déjà d’un bel hôtel, sur 6300 m², 2 étages, avec caves et grenier. Il possédait un grand parc avec jardin, vignes et arbres fruitiers [15]. Il s’étendait jusqu’au chemin de Malleribe.
Quartier Bertaud[modifier | modifier le code]
  • Hôtel-restaurant des Étrangers ( - 1919 [revente]), quartier Bertaud. L’exploitant jusqu’en 1919 est Secondo Colombo, qui revend le fonds de commerce à Pierre Villatte[16].
  • Hôtel-restaurant du Pin de Bertaud ( - 1940 - )[17]
  • Auberge restaurant au quartier Bertaud tenue par les époux Arsène Charreton et Marie Auvergnat, revendue en 1943 à,l’État français pour intégrer l’usine de torpilles[18],[19]. Arsène Charreton avait, avec sa mère Élisabeth Béziers (veuve Rémy Charreton), acheté une auberge quartier du four à chaux en 1924 (la même ?) à Jean-Baptiste Antoine Varrenne[20]. Arsène Charreton est CM en 1948[21]
  • Villa Bélieu ( - - - ) près du domaine Bertaud-Bélieu, aujourd’hui intégrée à ce domaine. Hôtel de grand luxe ayant été en activité environ de 1991 à 1995. Il possédait une vingtaine de chambres, spa, hammam, jaccuzi, piscine intérieure et extérieure, terrain de tennis et se trouvait lié au domaine de Bertaud-Belieu. Il fut créé par la famille Gourmelon qui avait racheté le domaine et dirigé par Caroline Gourmelon. Il fut mis en avant notamment par Vogue International.
Au village[modifier | modifier le code]
  • Rustic Hôtel ( - 1927-1957 - ) au village, aujourd’hui habitation privée ; existe encore en 1957 (correspondance Tardieu-Bougeaud[22]). A accueilli le maréchal Rommel durant la guerre (Peirugues). En 1927, il participe à un concours de cuisine à travers la Côte d'Azur. Malgréla concurrence de gros établissements situés dans des grandes villes, il obtient des suffrages[23],[24]. En 1930, 1931, l’hôtel est ouvert à l’année. Il propose une "cuisine bourgeoise"[25].
  • La Ramade[26] (-1948-) dirigé par Fernand Amoric
  • Les Lavandes (-2017). Propriété de Michel Buriassi jusqu’en 2004. Propriété ensuite de Monique Hoareau et Daniel Prigent.
Cavalaire[modifier | modifier le code]
  • Grand hôtel de Pardigon (1904-1915-1929 [détachement de la commune])[27][28][29]
  • Hôtel de la Plage (-1915-1929 [détachement de la commune] )[29]
  • Hôtel de Cavalaire (1915)[29]
  • Grand Hôtel (1915)[29]
La Croix[modifier | modifier le code]

Kensington Hotel ( - ? 1925[30]-1940[31] - )

Villa Louise [32]

Grand Hotel 1920[33] 1922[34] 1930[35]

Hotel d'Angleterre 1921[36]

Les hôtels dans le temps[modifier | modifier le code]

Campings[modifier | modifier le code]

  • Domaine de Verdagne****
  • Parc Saint-James-Montana****

Camping à la ferme[modifier | modifier le code]

  • Camping Jauffret

Résidences de tourisme[modifier | modifier le code]

  • Odalys Caesar Domus
  • Odalys Le Clos Bonaventure

Village de vacances[modifier | modifier le code]

Sport[modifier | modifier le code]

Loisirs[modifier | modifier le code]

Anciens loisirs

Un cinéma à Cavalaire[48]


Références[modifier | modifier le code]

Sources[modifier | modifier le code]

  • « Office de tourisme : vers une nouveau classement ? », La Gazette du Golfe, se
  • Monique Ravel, « L’Office de tourisme au service des professionnels », Var Matin, 3 juillet 2017
  • Gilles Camacho, « Grand ciel bleu à l’horizon pour l’office de tourisme de Gassin », Turquoise, n°12, 2017-2017
  • « L’office de tourisme continue son développement », Gassin, La plus belle vue du Golfe, été 2017
  • « Double classement pour Gassin et son office », Gassin, La plus belle vue du Golfe, printemps 2017
  • « Dossier : l’office de tourisme », Gassin, La plus belle vue du Golfe, mai 2016. (L’office de tourisme de Gassin a ouvert ses portes – Eductour : découverte de notre patrimoine – Le mot de l’adjointe)
  • Monique Ravel, « Éductour poursuit son pélerinage », Var Matin, 5 avril 2016
  • Monique Ravel, « Top départ pour Les Secrets de Gassin », Var Matin,‎ (lire en ligne)
  • Monique Ravel, « Les pistes tracées afin de dynamiser le tourisme », Var Matin,‎ (lire en ligne)
  • Carola Czernecki, « Cette commune du Golfe de Saint-Tropez vise le classement "station tourisme" », Var Matin,‎ (lire en ligne)
  • « Gassin vise le classement en station tourisme », SFR Presse,‎ (lire en ligne)
  • « Le chiffre. 18 communes parmi les plus beaux villages de France », Nice Matin,‎ (lire en ligne)

Notes[modifier | modifier le code]

  1. « Guide de l’Estivant », Les Tablettes de la Côte d’Azur,‎ (lire en ligne)
  2. a b c et d « Mas de Chastelas à Gassin: de la magnanerie aux 4 étoiles », sur Var-Matin, (consulté le )
  3. Union des fédérations des syndicats d'initiative (France) Auteur du texte, « Bulletin officiel / Union des fédérations des syndicats d'initiative de France, colonies et protectorats », sur Gallica, (consulté le )
  4. a et b « Médiathèque Villa-Marie de Fréjus - bibliothèque numérique », sur bibnum.ville-frejus.fr (consulté le )
  5. Le Petit Provençal, (lire en ligne)
  6. « Un été Francis Bacon au Grimaldi Forum - PDF Téléchargement Gratuit », sur docplayer.fr (consulté le )
  7. Henri (1929-2000) Auteur du texte Gault, A voir et à manger / Henri Gault ; préface d'Antoine Blondin, (lire en ligne)
  8. (en) « Biographie », sur thierrythiercelin (consulté le )
  9. « La nouvelle vie de Thierry Thiercelin », sur www.lhotellerie-restauration.fr (consulté le )
  10. WEBMASTER, « LE BOTTIN DES VILAINS », sur Le Bouche à Oreille (consulté le )
  11. « Médiathèque Villa-Marie de Fréjus - bibliothèque numérique », sur bibnum.ville-frejus.fr (consulté le )
  12. « Médiathèque Villa-Marie de Fréjus - bibliothèque numérique », sur bibnum.ville-frejus.fr (consulté le )
  13. « Médiathèque Villa-Marie de Fréjus - bibliothèque numérique », sur bibnum.ville-frejus.fr (consulté le )
  14. « Médiathèque Villa-Marie de Fréjus - bibliothèque numérique », sur bibnum.ville-frejus.fr (consulté le )
  15. « Médiathèque Villa-Marie de Fréjus - bibliothèque numérique », sur bibnum.ville-frejus.fr (consulté le )
  16. « Médiathèque Villa-Marie de Fréjus - bibliothèque numérique », sur bibnum.ville-frejus.fr (consulté le )
  17. « Le Petit Marseillais 2 janvier 1920 », sur Retronews - Le site de presse de la BnF (consulté le )
  18. « Médiathèque Villa-Marie de Fréjus - bibliothèque numérique », sur bibnum.ville-frejus.fr (consulté le )
  19. « Médiathèque Villa-Marie de Fréjus - bibliothèque numérique », sur bibnum.ville-frejus.fr (consulté le )
  20. « Médiathèque Villa-Marie de Fréjus - bibliothèque numérique », sur bibnum.ville-frejus.fr (consulté le )
  21. « Indicateur du Var : annuaire du département : commercial, industriel, etc... », sur Gallica, (consulté le )
  22. Jean Tardieu et Georges Borgeaud, Lettres de Jean Tardieu à Georges Borgeaud, 33 p. (lire en ligne)
  23. « Médiathèque Villa-Marie de Fréjus - bibliothèque numérique », sur bibnum.ville-frejus.fr (consulté le )
  24. « Médiathèque Villa-Marie de Fréjus - bibliothèque numérique », sur bibnum.ville-frejus.fr (consulté le )
  25. « Médiathèque Villa-Marie de Fréjus - bibliothèque numérique », sur bibnum.ville-frejus.fr (consulté le )
  26. « Indicateur du Var : annuaire du département : commercial, industriel, etc... », sur Gallica, (consulté le )
  27. « La Justice / dir. G. Clemenceau ; réd. Camille Pelletan », sur Gallica, (consulté le )
  28. Louis (1873-1944) Auteur du texte Porcheron, Guide pratique aux villes d'eaux. Stations climatiques. Plages marines françaises. 6e édition... (lire en ligne)
  29. a b c et d Touring-Club de France Auteur du texte, « Revue mensuelle / Touring-club de France », sur Gallica, (consulté le )
  30. « Médiathèque Villa-Marie de Fréjus - bibliothèque numérique », sur bibnum.ville-frejus.fr (consulté le )
  31. « Médiathèque Villa-Marie de Fréjus - bibliothèque numérique », sur bibnum.ville-frejus.fr (consulté le )
  32. « Médiathèque Villa-Marie de Fréjus - bibliothèque numérique », sur bibnum.ville-frejus.fr (consulté le )
  33. « Médiathèque Villa-Marie de Fréjus - bibliothèque numérique », sur bibnum.ville-frejus.fr (consulté le )
  34. « Médiathèque Villa-Marie de Fréjus - bibliothèque numérique », sur bibnum.ville-frejus.fr (consulté le )
  35. « Médiathèque Villa-Marie de Fréjus - bibliothèque numérique », sur bibnum.ville-frejus.fr (consulté le )
  36. « Médiathèque Villa-Marie de Fréjus - bibliothèque numérique », sur bibnum.ville-frejus.fr (consulté le )
  37. « Recensement des équipements sportifs, espaces et sites de pratiques », sur www.res.sports.gouv.fr (consulté le )
  38. « Recensement des équipements sportifs, espaces et sites de pratiques », sur www.res.sports.gouv.fr (consulté le )
  39. « Recensement des équipements sportifs, espaces et sites de pratiques », sur www.res.sports.gouv.fr (consulté le )
  40. « Recensement des équipements sportifs, espaces et sites de pratiques », sur www.res.sports.gouv.fr (consulté le )
  41. « Recensement des équipements sportifs, espaces et sites de pratiques », sur www.res.sports.gouv.fr (consulté le )
  42. « Recensement des équipements sportifs, espaces et sites de pratiques », sur www.res.sports.gouv.fr (consulté le )
  43. « Recensement des équipements sportifs, espaces et sites de pratiques », sur www.res.sports.gouv.fr (consulté le )
  44. « Recensement des équipements sportifs, espaces et sites de pratiques », sur www.res.sports.gouv.fr (consulté le )
  45. « Golf :: Mas de Chastelas », sur chastelas.com (consulté le )
  46. « Le golf », sur www.azurpark.fr (consulté le )
  47. « Attractions », sur www.azurpark.fr (consulté le )
  48. Association des directeurs de cinémas de Marseille et de la Région Auteur du texte, « La Revue de l'écran : organe officiel de l'Association des directeurs de cinémas de Marseille et de la région... ["puis" organe d'information et d'opinion corporatives] », sur Gallica, (consulté le )

Liens externes[modifier | modifier le code]

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