Tête du Claus
| Tête du Claus | |||||
 La tête du Claus (au centre), vue depuis Pian del Valasco, en Italie. | |||||
| Géographie | |||||
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| Altitude | 2 889 à 2 897 m[1],[2],[3] | ||||
| Massif | Massif du Mercantour-Argentera (Alpes) | ||||
| Coordonnées | 44° 10′ 56″ nord, 7° 12′ 17″ est[1],[3],[2] | ||||
| Administration | |||||
| Pays |  France Italie |
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| Région française Région italienne |
Provence-Alpes-Côte d'Azur Piémont |
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| Département Province |
Alpes-Maritimes Coni |
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| Ascension | |||||
| Première | par Victor de Cessole, A. Maria et Jean Plent | ||||
| Voie la plus facile | depuis Isola 2000 | ||||
| Géologie | |||||
| Roches | Granite | ||||
| Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Italie
Géolocalisation sur la carte : Alpes-Maritimes
Géolocalisation sur la carte : Piémont
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La tête du Claus (ou tête de Claus dans certains ouvrages) est un sommet frontalier entre la France et l'Italie. Sa partie française est située dans la haute Tinée, dans le département des Alpes-Maritimes.
Toponymie[modifier | modifier le code]
Le toponyme claus signifie « clos, enclos » en langue occitane[4].
Géographie[modifier | modifier le code]
La tête du Claus se trouve sur la crête frontière, entre la France et l'Italie, au sud-est du mont Malinvern, et à l'est de la station de sports d'hiver d'Isola 2000. Il domine le lac du Claus, à l'est, en Italie. Son versant français fait partie du parc national du Mercantour, et son versant italien fait partie du parc naturel des Alpes maritimes. D'un point de vue géologique, la tête du Claus est constituée de granite[5].
Histoire[modifier | modifier le code]
La première ascension documentée, qui est également la première ascension hivernale, a été effectuée par Victor de Cessole, A. Maria et Jean Plent, le , en suivant l'itinéraire de l'arête nord-ouest[6].
Accès[modifier | modifier le code]
L'itinéraire de la voie normale démarre de la station d'Isola 2000. Il rejoint ensuite la baisse de la Lauze, puis la brèche du Claus. Le sommet est ensuite atteint en contournant le ressaut de l'arête nord-ouest par le versant sud, puis en suivant cette arête[6].
Notes et références[modifier | modifier le code]
- « Carte IGN classique » sur Géoportail.
- Visualisation sur le géoportail italien.
- Visualisation sur le géoportail du Piémont.
- Frédéric Mistral, Lou Trésor dou Félibrige, Culture Provençale et méridionale, Marcel petit, (ISBN 84-499-0563-X, lire en ligne), p. 568
- BRGM, « Saint-Étienne-de-Tinée - Carte géologique à 1/50000 », Bureau des recherches géologique et minières, (lire en ligne)
- Vincent Paschetta, Guide Paschetta des Alpes-Maritimes : Haute-Tinée, Haut-Var, Haut-Verdon, Nice, Club Alpin Français, , p. 24
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Cartographie[modifier | modifier le code]
- Carte 3640ET au 1/25 000 de l'IGN : « Haute Tinée 2 - Isola 2000 - Parc national du Mercantour »
- Sommet des Alpes françaises
- Sommet des Alpes italiennes
- Sommet dans les Alpes-Maritimes
- Sommet dans le parc national du Mercantour
- Sommet dans le parc naturel des Alpes maritimes
- Ligne de partage des eaux entre mer Adriatique et mer Méditerranée
- Frontière entre la France et l'Italie
- Valdeblore
- Massif du Mercantour-Argentera