Passerelle de Trévoux
| Passerelle de Trévoux | ||||
 Vue de la passerelle. | ||||
| Géographie | ||||
|---|---|---|---|---|
| Pays | France | |||
| Région | Auvergne-Rhône-Alpes | |||
| Département | Ain | |||
| Commune | Trévoux (Ain) Quincieux (Rhône) |
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| Coordonnées géographiques | 45° 56′ 21″ N, 4° 46′ 20″ E | |||
| Fonction | ||||
| Franchit | la Saône | |||
| Fonction | pont piéton et piste cyclable | |||
| Caractéristiques techniques | ||||
| Type | pont suspendu | |||
| Longueur | 165 m | |||
| Construction | ||||
| Construction | 1851 | |||
| Architecte(s) | Paul-Léon Lehaître | |||
| Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Ain
Géolocalisation sur la carte : Rhône-Alpes
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La passerelle de Trévoux est un petit pont suspendu traversant la Saône et reliant Trévoux dans l'Ain à Quincieux dans le Rhône. Elle est uniquement accessible aux piétons et aux cyclistes.
Elle est inscrite à l’inventaire national des monuments historiques[1].
La passerelle mesure 165 m[1].
Histoire[modifier | modifier le code]
XIXe siècle[modifier | modifier le code]
En 1842, la municipalité de Trévoux planifie[2] la construction d'un pont suspendu sur la Saône. Sa construction selon les plans de l’ingénieur Paul-Léon Lehaître[3] débutera[2] en 1850 et sera achevée en 1851 : après une phase de test en [2], l'inauguration de la passerelle a lieu[2] le .
De 1851 à 1889, un péage est établi pour le passage sur la passerelle[2].
XXe siècle[modifier | modifier le code]
Après la Seconde Guerre mondiale, les câbles sont remplacés.
En , un projet de destruction de la passerelle rencontre l'opposition des habitants[2].
En 1982, le tablier en bois et les câbles déposés sont démontés, mais dès 1986, le pont muni d'un nouveau[2] tablier métallique en alliage d'aluminium est à nouveau opérationnel.
Références[modifier | modifier le code]
- Notice no IA01000058, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Passerelle de Trévoux », sur structurae.de (consulté le ).
- « Paul-Léon Lehaître », sur cths.fr, Comité des travaux historiques et scientifiques (consulté le ).
