Mo Brooks

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Mo Brooks
Illustration.
Fonctions
Représentant des États-Unis

(12 ans)
Élection 2 novembre 2010
Réélection 6 novembre 2012
4 novembre 2014
8 novembre 2016
6 novembre 2018
3 novembre 2020
Circonscription 5e district de l'Alabama
Législature 112e, 113e, 114e, 115e, 116e et 117e
Prédécesseur Parker Griffith
Successeur Dale Strong
Représentant de l'Alabama

(10 ans)
Circonscription 18e district (1982-1984)
10e district (1984-1992)
Prédécesseur Frank Riddick
Successeur Tom Drake
Biographie
Nom de naissance Morris Jackson Brooks Jr.
Date de naissance (69 ans)
Lieu de naissance Charleston (Caroline du Sud, États-Unis)
Nationalité Américaine
Parti politique Parti républicain
Religion Christianisme non confessionnel[1]

Mo Brooks, né le à Charleston en Caroline du Sud, est un homme politique américain. Il est membre du Parti républicain et représentant de l'Alabama de 2011 à 2023.

Biographie[modifier | modifier le code]

Il est membre de la Chambre des représentants de l'Alabama de 1982 à 1992. En 2010, il est élu à la Chambre des représentants des États-Unis pour le 5e district de l'Alabama. Il est réélu en 2012, 2014, 2016, 2018 et 2020 et ne se représente pas en 2022.

En , Brooks déclare que certains républicains ne veulent pas abroger l'Obamacare même si leur parti a voté plusieurs fois pour le faire[2].

Il juge l'élection de Joe Biden à la présidence des États-Unis frauduleuse et appelle à annuler le scrutin. Il justifie par la suite sa présence au rassemblement « Save America » à Washington en janvier 2021, lequel a été suivi de l'invasion du Capitole par des partisans de Donald Trump, faisant cinq morts dont un policier, et des dizaines de blessés[3].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. (en) « Member Profile - Rep. Mo Brooks, R-Ala. », sur data.rollcall.com (consulté le ).
  2. (en) Lee Fang, « GOP Lawmakers Now Admit Years of Obamacare Repeal Votes Were a Sham », sur The Intercept, (consulté le ).
  3. (en) « Republican Congressman Legitimizes Violence as Response to Election Dispute », sur The Intercept,

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]