Marie Lematte
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Marie Lematte
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| Fiche d’identité | |
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| Nationalité |  France
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| Grade | International |
| Sport | Rugby à XV |
| Désignations nationales | |
| Années | Compétition |
| 2013 – 2018 | Fédérale 3 |
| 2013 – 2018 | Fédérale 2 |
| Désignations internationales ** | |
| Années | Compétition |
| 2014 – 2017 | Coupe du monde de rugby à XV |
| Tournoi des Six Nations féminin | |
** Compétition internationale d'équipes nationales. |
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Marie Lematte est une arbitre française internationale de 2014 à 2018. Elle fait ses débuts dans le rugby à XV en tant que joueuse.
Biographie[modifier | modifier le code]
Jeunesse et carrière de joueuse[modifier | modifier le code]
Originaire du Poitou-Charentes, Marie Lematte fait d'abord de la gymnastique[1]. Elle joue ensuite pendant sept ans au Stade poitevin puis sept autres années au CSM Gennevilliers[1], avec lequel elle joue en 1er division[2]. Elle atteint à deux reprises les demi-finales du championnat[3]. À cause d'une blessure, elle décide d'arrêter sa carrière de joueuse mais elle souhaite continuer dans le rugby à XV, d'où l'idée de devenir arbitre[2].
Carrière d'arbitre[modifier | modifier le code]
Elle se rapproche de Poitiers, passe ses examens à la fin de l'année 2012 et arbitre rapidement ses premiers matchs[2]. En , la direction technique de l'arbitrage la fait accéder en Fédérale 3 puis en Fédérale 2[1],[2],[4]. En 2014, elle représente la France parmi les officiels de la Coupe du monde féminine de rugby à XV où elle est arbitre assistante[5]. Elle arbitre ensuite la Coupe du monde féminine de rugby à XV 2017 sur la touche puis le Tournoi des Six Nations féminin au centre[3]. En 2018, elle prend sa retraite d'arbitre[3].
Vie privée[modifier | modifier le code]
Marie Lematte est mariée à l'un des entraîneurs du Stade poitevin[2]. Ils ont deux enfants, Jean et Antoine[2].
Outre ses activités d'arbitre, Marie Lematte enseigne l'éducation physique et sportive dans le civil[1], d'abord en région parisienne, avant de revnir à Poitiers en 2005 pour enseigner au collège de Latillé, puis à l’Université de Poitiers[3].
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Frédéric Sugnot, « On nous appelle vite Monsieur… », sur L'Humanité, (consulté le ).
- Pierre Samit, « À Saint-Georges, monsieur l'arbitre était une dame », sur La Nouvelle République, (consulté le ).
- Claire Brugier, « Une femme en ovalie », sur le7.info, (consulté le ).
- « Les arbitres de la saison », sur Fédération Française de Rugby, (consulté le ).
- (en) « Match officials announced for Women's RWC », sur Women's Rugby World Cup, (consulté le ).
