Kate Field
| Naissance | |
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| Décès | |
| Sépulture | |
| Nom de naissance |
Mary Katherine Keemle Field |
| Nationalité | |
| Formation |
Lasell College (en) |
| Activités |
Actrice, dramaturge, écrivaine, socialite, journaliste, conférencière, magazine writer |
| Père |
Joseph M. Field (en) |
| Mère |
Eliza Riddle Field (en) |
Kate Field, née Mary Katherine Keemle Field le à Saint-Louis (Missouri) et morte le à Honolulu, est une journaliste, conférencière et actrice américaine.
Biographie
Fille de Joseph M. Field, comédien et homme de presse américain, Kate Field fut élevée en Nouvelle-Angleterre, aux États-Unis, puis en Angleterre. Elle prolongea son séjour en Europe en tant que correspondante de divers journaux américains, écrivant également pour des magazines.
À son retour aux États-Unis, elle donna des conférences et des lectures publiques. En 1874, elle interpréta le rôle de Peg Woffington au Booth's Theatre, la salle de spectacle montée par Edwin Booth, à New York.
Elle abandonna ensuite la comédie pour se tourner vers la danse, la chanson et les lectures publiques, mais ne connut pas un succès marquant. En 1882-1883, elle prit la direction d'une Cooperative Dress Association, à New York, mais cette entreprise fut un échec. En 1889, elle fonda le Kate Field's Washington, un journal hebdomadaire paraissant dans la capitale. Après 1868, elle publia de nombreux volumes au contenu divers.
Elle ne se maria jamais. En , alors qu'elle rendait visite à sa mère établie à Florence, en Italie, elle rencontra le célèbre romancier britannique Anthony Trollope, dont elle devint l'une des plus proches amies. Trollope la tenait en très haute estime, ainsi qu'il l'écrivait dans son Autobiographie : « There is an American woman, of whom not to speak in a work purporting to [be] a memoir of my own life would be to omit all allusion to one of the chief pleasures which has graced my later years. »[1] Vingt-quatre des lettres de Trollope adressées à Kate Field ont été conservées[2], mais aucune de celles que de son côté elle lui écrivit.
Kate Field meurt d'une pneumonie en 1896 lors d'une visite à Hawaï alors qu'elle séjournait dans la villa du docteur John Strayer McGrew[3] .
Publications
Sélection d’œuvres accessibles sur le site archive.org[4]
- The Drama of Glass, éd. Libbey Glass Co., 1890
- Charles Albert Fechter, éd. James R. Osgood & Company, 1882
- Hap-Hazard, éd. James R. Osgood & Company, 1875,
- Ten days in Spain, éd. James R. Osgood & Company, 1875,
- The Truth About You, Me and Us, éd. Accent Press, 2016
- The Magic of Ramblings, éd. Accent Press, 2016
Notes et références
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Kate Field » (voir la liste des auteurs).
- « Il y a une femme, américaine, de laquelle ne pas parler dans un ouvrage visant à [être] les mémoires de ma vie équivaudrait à omettre toute allusion à l'un des plus grands plaisirs que m'ont accordé mes dernières années. »
- Elles peuvent être consultées à la Boston Public Library.
- George F. Nellist, The Story of Hawaii and Its Builders, The Honolulu Star Bulletin, Territory of Hawaii, 1925
- (en) « Internet Archive Search: ((subject:"Field, Kate" OR subject:"Kate Field" OR creator:"Field, Kate" OR creator:"Kate Field" OR creator:"Field, K." OR title:"Kate Field" OR description:"Field, Kate" OR description:"Kate Field") OR ("1838-1896" AND Field)) AND (-mediatype:software) », sur archive.org (consulté le )
Annexes
Liens externes
- (en) Annonce de décès
- (en) Kate Field
- (en) « Kate Field », dans New International Encyclopedia [détail des éditions]
- Wilkie Collins - Letters
