Discussion:Logiciel propriétaire

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Re-ecrire l'article...[modifier le code]

Cet article est à réécrire complètement (sauf peut-être la partie critique)

  • Un logiciel propriétaire n'est pas forcément payant.
  • proprietary system (en): système exclusif (journal officiel du 22/09/2000)

Domaine : Informatique Définition : Système d'exploitation ou architecture conçu pour un matériel ou un ensemble de matériels d'un constructeur donné.

  • La section sur les formats de donnée est très moyenne ..
  • Une constante référence au retro-engeniering qui n'est pas forcement légal

Un peu plus de faits et d'infos et un peu moins d'ideologie ! Je vais essayer de faire un peu de menage mais j'aurais besoin d'aide !!! Tieum512 7 septembre 2005 à 18:10 (CEST)[répondre]

Wed Feb 13 19:24:18 CET 2008 : C'est toujours le cas, l'article est biaisé voire HS (paragraphe complet sur le logiciel libre). Le ton adopté n'est pas neutre : il faudrait un bandeau jusqu'à réécriture. Je peux faire qqs modifs mais besoin d'aide. Exemple : passage sur la qualite supposée de Firefox. Pb : Opera a bcp moins de failles et n'est pas libre.

Bien volontiers pour l'aide demandée, il y avait en effet un peu trop d'idéologie dans cet article. D'ailleurs je viens de m'y mettre (désolé, mais ce faisant j'ai dû rétablir des portions que tu avais supprimées, car soit elles me semblent parfaitement exactes, soit elles n'avaient besoin que d'un petit aménagement). J'ai également intégré tes remarques. Merci de me corriger si je me suis trompé (l'idéal étant d'en calmement discuter ici).
PS: J'ai laissé le désaccord de neutralité, mais il me semble un peu excessif. Peux-tu exposer tes motifs ? Iznogoud 8 septembre 2005 à 10:20 (CEST)[répondre]
Pour moi il y a vraiment un probleme de neutralité car l'article ne presente pas de maniere concrete les logiciel propriétaire mais présente uniquement l'idéologie derriere.
Les critique que tu a ajouté ou qui etait la avant ne reflete pas Le logiciel proprietaire en temps que tel mais certain logiciel, ou en tout cas certain type de license. Ex :
"*les sources ne sont pas accessibles : les failles de sécurité, l'existence de spywares, et les bogues ne peuvent être accessible à l'utilisateur " C'est faux beaucoup de logiciels propriétaires ont certaine partie de leur code ouverte (pas forcement publique, mais des audits peuvent etres fait pour des besoins particuliers eg. l'armée). C'est simplement le fait de ne pas pouvoir 1)Reutiliser 2) Redistribuer 3) modifier et Redistribuer le code qui fait que le logiciel est propriétaire.
"*il ne peut être adapté à ses propres besoins par l'utilisateur sans autorisation préalable de l'éditeur." C'est pas tres bien dis et donc presque faux, bien que je n'ai pas d'exemple de vendeur le logiciel autorisant la modification du code source, ce n'est encore un fois qu'une question de license. Une boite peut tres bien vendre un logiciel en autorisant la modification mais pas la redistribution, ce qui rend ce logiciel propriétaire. En fait l'autorisation préalable n'est que le contrat de license (c'est pourquoi ce n'est pas completement faux).
La section "Reproche" presente les limites, Ok ce sont des reproche de la part de la communauté du logiciel libre, mais ce sont surtout la definmition du logiciel proprietaire.
La partie sur le mot "Open" dans le slogan de boite est peut etres vrais (as tu des exemples ?) mais c'est un peu anecdotique et n'a pas vraiment sa place dans l'article, au moins pas dans l'intro, surtout que ca teinte un peu l'article d'une couleur anti-logiciel propriétaire.
Tieum512 8 septembre 2005 à 13:09 (CEST)[répondre]

Voila j'ai repris l'article, j'ai enlevé l'annonce sur la neutralitée . Par contre 1) j'ai un clavier sans accents. 2) Je suis tres mauvais en orthographe.... Donc va falloir quelque passage de corection je pense ... Tieum512 8 septembre 2005 à 14:02 (CEST)[répondre]

La page Discuter:Logiciel propriétaire/Neutralité est donc à clôre ? si oui, alors je viens d'ajouter un (X) dans Wikipédia:Liste des articles non neutres --Boly 4 décembre 2005 à 00:13 (CET)[répondre]
il sent l'intégriste du libre cet article :)
Scandale 10 juillet 2006 à 12:01 (CEST)[répondre]


Ok, j'ai encore modifié plusieurs phrases, et surtout corrigé les (nombreuses!) fautes d'orthographe et de style. Je pense qu'il y a encore quelques progrès à faire pour atteindre la neutralité absolue... par exemple dans la critique à la fin. Sinon, la phrase

"Le logiciel propriétaire exigeant au minimum un désassemblage et une étude
par rétro-ingénierie, processus long et complexe voire illégal. "

est intéressante mais je ne crois pas qu'elle soit dans le bon paragraphe (Critique du logiciel libre), peut-être faudrait il créer un nouveau paragraphe traitant des aspects techniques du logiciel propriétaire. Commentaire ajouté le 17 juillet 2006 à 14:03 par Avililui

Désolé pour les fautes, c'était en grande partie les miennes ... Je suis d'accord avec toi pour les remarques et de plus je pense qu'il faudrait déplacer le paragraphe "Critique du logiciel libre" dans la page logiciel libreOuts 17 juillet 2006 à 14:39 (CEST)[répondre]
lol pas de problème, y'en avait pas tant que ça en fait ! Je pense en effet que la critique du logiciel libre devrait se trouver dans la page qui porte son nom. Par contre une partie "défense du logiciel propriétaire" pour contrebalancer la partie "critique du logiciel propriétaire" me parait nécessaire pour conserver la neutralité de l'article.--Avililui 17 juillet 2006 à 22:40 (CEST)[répondre]
voilà j'ai un peu transformé la fin...--Avililui 17 juillet 2006 à 22:53 (CEST)[répondre]

Ma version de l'article serait....[modifier le code]

#REDIRECT [[Logiciel libre]]

Jmfayard 22 novembre 2005 à 22:44 (CET)[répondre]

Je trouve que c'est une excellente idée. Le logiciel propriétaire ne se définit que par opposition au logiciel libre, et c'est dans ce contexte que cette dénomination est née.
Dans cet état d'esprit, que penseriez-vous de mettre un bandeau de fusion ?
--JonathanIlias 24 novembre 2005 à 18:59 (CET)[répondre]
Pour ces articles c'est séduisant, mais si on commence comme ça on va devoir fusionner blanc et noir, dictature et démocratie, lumière et ombre, etc. Iznogoud 25 novembre 2005 à 09:29 (CET)[répondre]
Oui, mais en l'occurence, dans les exemples que tu donnes, les termes se définissent très bien sans leur antonyme. Alors que l'expression «logiciel propriétaire» n'a de sens que pour quelqu'un qui sait ce qu'est un «logiciel libre». Hors contexte, j'en connais qui comprennent qu'il s'agit d'un logiciel «home-made». Le sens employé ici ne me semble pas assez répandu pour en faire un article à part, même sur une encyclopédie «libre» :). --JonathanIlias 4 décembre 2005 à 10:39 (CET)[répondre]
je ne suis pas d'accord, si quelqu'un clique sur le lien "logiciel propriétaire" et qu'il tombe sur l'article "logiciel libre", il risque de confondre, non ? Par contre je suis d'accord qu'on pourrait alleger l'article, en faisant une description brève puis un lien vers le logiciel libre Adhes 5 avril 2006 à 08:56 (CEST)[répondre]
Logiciel libre et Logiciel propriétaire sont antonymes, il ne peut y avoir de redirection. J'ai modifié la définition en question pour la placer dans une section « Définition du point de vue du logiciel libre ». J'ai rédigé une définition qui est également discutée sur ma page. Qu'en pensez-vous ? Qu'y a-t-il à améliorer à votre avis ? Nÿco 5 avril 2006 à 11:35 (CEST)[répondre]
C'est une catastrophe. La notion de logiciel proprietaire ne fait vraiment sens que par rapport au developpement recent du logiciel libre. Les considerations historiques et les definitions sorties d'un chapeau ne sont pas pertinentes. GL 6 avril 2006 à 19:54 (CEST)[répondre]
C'est pas trop mal maintenant, non ? Outs 25 juin 2006 à 22:54 (CEST)[répondre]
C'est pénible l'intégrisme pro-libre dans cette article, y'a encore des NPOV qui ont été rajouté. Le proprio c'est pas la mal absolu non plus... Outs 2 février 2007 à 21:35 (CET)[répondre]


PRIVÉ ou PRIVATEUR, pas propriétaire[modifier le code]

Il y a 2 problèmes avec le mot propriétaire. D'abord ce n'est pas le logiciel qui est propriétaire mais la société ou la personne qui possède les droits d'auteur. Le logiciel est une propriété. De plus, propriétaire n'est pas un adjectif. C'est pourquoi l'expression LOGICIEL PRIVATEUR est déjà mieux. Mais pourquoi ne pas dire simplement LOGICIEL PRIVÉ ? Privé comme une propriété privée, ou une soirée privée, où le public n'a pas accès (Le Petit Robert) ; la licence donnant un droit d'accès (avec des conditions). (Cf. Privé, 3.). Il me semble qu'il faudrait renommer l'article. Logophile (d) 4 novembre 2008 à 22:14 (CET)[répondre]

Euh, parce que le terme a été popularisé par l'appellation « propriétaire », et le principe de moindre surprise tend à s'appliquer sur Wikipédia. Sinon, il faudrait ajouter une source sur le mot « privateur » dans l'article, pour montrer que c'est Stallman qui a popularisé le terme. Diti le manchot 3 février 2009 à 21:31 (CET)[répondre]

Cela fait plusieurs années que j'étudie l'industrie du logiciel et je n'ai jamais entendu employer le mot "privateur" ou "privé". En outre, le mot "privateur" est bien mal taillé pour décrire un logiciel non libre. "Privateur" est très rarement employé et son étymologie ("privare") véhicule un aspect péjoratif : "écarter de, ôter de, dépouiller" (Trésor de la langue Française, CNRS, 2004). Par conséquent, il convient de suivre l'usage et d'utiliser les expressions suivantes "propriétaire", "non libre" ou encore "fermé".

Propriétaire est autant un adjectif qu’un substantif. Et il n’est pas nécessaire que propriétaire soit un adjectif pour que logiciel propriétaire soit correct : on peut l’analyser comme une apposition. Cela dit, bien entendu le sens est incorrect. Mais l’expression fautive est passée dans l’usage, comme d’innombrables autres avant elle, et ce n’est pas à Wikipédia de militer contre. Palpalpalpal (d) 18 janvier 2012 à 17:53 (CET)[répondre]

OK mais...[modifier le code]

Pour moi, le terme "logiciel propriétaire" ne peut effectivement pas être éludé, c'est le mot que tout le monde utilise. Cependant, beaucoup d'incohérences émanent de l'utilisation du terme "propriétaire" à toutes les sauces dans le début de l'article: "au moins une de ces actions est interdite ou limitée par le propriétaire"; "Les logiciels [...] ont un propriétaire [...] n'ont pas de propriétaire"; "Le terme "Propriétaire" fait référence au fait que l'auteur du logiciel reste propriétaire des droits de propriété [...] de son logiciel." (pfff!); "le principe de propriété du logiciel"...

On ne parle pas ici d'un "propriétaire" du logiciel mais du "détenteur ou titulaire des droits d'auteur" (l'auteur ou l'éditeur du logiciel), qui définit, grâce au contrat de licence ou licence d'utilisation, la façon dont il compte mettre en œuvre ses droits d'auteur une fois qu'il publie son œuvre.

On ferait mieux, je pense, de commencer par l'aspect historique, pour pouvoir situer le terme dans son contexte (antonyme de logiciel libre), poursuivre par le mécanisme juridique (brièvement parce l'article Licence de logiciel est déjà très bien), puis reprendre peut-être des éléments de la partie "Autres licences" de l'article Logiciel libre#Autres_licences et renvoyer à: licence de logiciel, logiciel libre pour le reste. La partie "Caractéristiques", c'est plutôt un long débat qu'une liste d'arguments parfois anecdotiques. Ils faudrait plutôt mentionner des sources intéressantes sur cette question et formuler les grands enjeux.

Par ailleurs, dans les sources à mentionner ou les arguments à étayer, je vois: "même si de nombreuses lois du droit d'auteur traitent le logiciel comme un cas particulier": lesquelles? --Aurélie 85.27.111.83 (d) 19 février 2009 à 02:05 (CET)[répondre]

Origine de l'expression[modifier le code]

Connaissez-vous l'origine de l'expression "Logiciel propriétaire" ? Quand et où est-elle apparue ? Le dictionnaire Harrap's Compact donne comme traduction de Proprietary, de propriété, DE propriétaire ou breveté. Est-ce que logiciel breveté est synonyme de logiciel propriétaire ? Logophile (d) 10 février 2009 à 23:25 (CET)[répondre]

Malheureusement ce sont les canadiens qui traduisent les mots informatiques anglais et comme nos maudis cousins ;) ont de curieuses habitudes ("j'ai p'té mon tire" pour "j'ai crevé mon pneumatique"), ils ont tendance à déformer la langue française. On leur doit notamment le très célèbre "Webmestre" qui ne veux absolument rien dire puisque mestre vient du latin maestro qui veut dire "Maitre(au sens d'expert) enseignant". Or "Webmaster" venant de la contraction de "Website Master" qui signifie "Maitre (dans le sens de propriétaire ou manager) du site web" ce qui n'a rien à voir. Cependant, en France, comme on est plus que les sous-traitants du continent américain, on valide tout ce que montréal décide sans vérifier que cela est linguistiquement correct. Donc ne pas s'étonner de l'abus de langage lors de la traduction de "propriétary" soit "breuveté" devenu "propriétaire".
Maître en français, maestro en italien et master en anglais ont une origine commune, magister en latin. (Par ailleurs, l’étymologie ne peut qu’expliquer le sens, non le révéler contre l’usage.)
http://cnrtl.fr/etymologie/ma%C3%AEtre
http://www.etimo.it/?term=maestro&find=Cerca
http://www.merriam-webster.com/dictionary/master
Palpalpalpal (d) 18 janvier 2012 à 17:48 (CET)[répondre]

caractéristique supprimés :[modifier le code]

En relisant et retouchant l'article j'ai butté sur les caractéristiques. Je déplace ici celle qui ne sont pas inhérente au particularité de ce qui est appelé logiciel propriétaire :

  • Responsabilité de l'éditeur : le code source étant maîtrisé par un unique prestataire, son éditeur, la responsabilité pour non-conformité du logiciel à ses spécifications est clairement identifiée ; c'est l'éditeur et lui seul qui a l'obligation de modifier le produit pour le rendre conforme.

->Oui, mais c'est valable aussi pour un éditeur de logiciels libre.

Pas complètement pour le logiciel libre, si les sources sont fournies il est possible que les logiciels soient rectifiés par un autre prestataire. Cependant comme cela induit une mauvaise image envers l'éditeur original, en général ils reprennent spontanément le logiciel et le plus souvent gratuitement, ce qui évite généralement de se faire évincer par un prestataire concurrent.
  • Clarté des versions : le contenu des différentes versions des logiciels est établi par un acteur unique et identifié, l'éditeur, qui peut s'engager sur le contenu d'une version.

->Idem

  • Dans les domaines complexes qui ne nécessitent pas seulement des compétences en informatique, comme la Traduction automatique de texte, le modèle propriétaire semble plus apte à engager les moyens nécessaires à l'écriture d'un logiciel.

->google a gagné un concours de traduction avec un code libre je crois, la seul méthode établie sans prendre en considération la compréhension humaine (elle était uniquement mathématique donc algorithmique, car les auteurs du logiciel ne parlait pas les langues traduites).

J'ai laissé et reformulé le reste mais les autres points ne caractérisent pas forcément mieux ce qu'est un logiciel propriétaire. Je serais pour la suppression de l'ensemble de cette partie qui tend à appeler la controverse, mais comme il y a surement là dedans pas mal d'efforts de contributeurs multiples je préfère avoir vos avis sur la question. ;-) 1 août 2009 à 17:33 (CEST)[répondre]

Logiciel libre[modifier le code]

L'essentiel de ce qui est dit sur le logicel libre est hors sujet dans cet article, il vaudrait mieux faire un renvoi vers logiciel libre.

En même temps, la notion est apparue par opposition avec les logiciels libres (voir les discussions plus haut, notamment) ; on est obligé d'en parler un minimum. Ta définition de "privateur" nécessite d'être sourcée. J'ai annulé le reste de tes ajouts car ils sont aussi un point de vue très personnel sur ce qu'est le libre (on peut gagner de l'argent en vendant du logiciel libre ; une licence libre protège autant son auteur qu'une licence propiétaire car c'est un contrat). Romainhk (QTx10) 7 septembre 2010 à 09:58 (CEST)[répondre]
Bien sûr que non, le pov-pushing c'est vous qui le faites en définissant propriétaire par rapport à logiciel libre.
- Le terme propriétaire existait bien avant le logiciel libre et signifiait propriétaire d'une enterprise par rapport aux autres entreprises, on parlait de technologie propriétaire.
- Vous avez retiré que la majorité des logiciels sont propriétaires. Pourquoi, est-ce faux, avez-vous besoin d'une source ?
- Indiquez-moi SVP une seule source utilisant "privateur" dans le monde des entreprises, c'est évidement impossible.
Cet article pour le moment est de la propagande pour le logiciel libre.
Pensez-vous que le concept est différent en français et en anglais ? Le sens que vous mettez en avant est celui de R. Stallman, c'est archi POV.
Lisez ça, d'où ça vient d'après vous ? "Proprietary software is computer software licensed under exclusive legal right of its owner. The purchaser, or licensee, is given the right to use the software under certain conditions, but restricted from other uses, such as modification, further distribution, or reverse engineering. Complementary terms include public domain software, which is not subject to copyright and can be used for any purpose, and free software, licensed by the owner under more permissive terms. Many proponents of free and open source software including Richard Stallman use proprietary or non-free to describe software that doesn't meet their criteria for free or open source, though specific definitions vary."
Voici une définition correcte de logiciel propriétaire: http://www.businessdictionary.com/definition/proprietary-software.html 74.115.209.14
De plus notez le "Almost all commercial (shrinkwrapped) software is proprietary" (d) 7 septembre 2010 à 10:37 (CEST)[répondre]
En bref: il y avait surtout beaucoup de redites à supprimer dans la modification faite par 74.115.209.14 (d · c · b), mais c'est pertinent sur le fond. Cet article effectivement plus militant que respectueux de la neutralité de point de vue est entièrement à revoir, et cette modification parfois maladroite allait dans le bon sens. Je suggère donc de repartir de la dernière version de 74.115.209.14 (d · c · b) et de regarder tranquillement les points à y améliorer. Cordialement, --Lgd (d) 7 septembre 2010 à 10:40 (CEST)[répondre]
Je suis conscient des redites mais je voulais supprimer le moins possible de texte par respect. Les redites devraient d'après-moi être supprimées en amont car les caractéristiques détaillées du logiciel libre doivent être données uniquement dans l'article logiciel libre, ce qui est déjà fait bien entendu. 74.115.209.14 (d) 7 septembre 2010 à 10:49 (CEST)[répondre]

@Lgd : Je veux bien revoir les points à modifier un par un (cf. la suite) ; mais pas écrire n'importe quoi (une licence libre protège bien la propriété intellectuelle, c'est une licence!). Des exemples précis de dérapages NPOV seraient le bienvenue. Mais plus de modifications avant que l'on soit d'accord (y compris sur d'autres articles). Romainhk (QTx10)

@74.115.209.14 : Ce qui me chagrine en générale, c'est que l'on ne connaît aucun soutient à vos thèses. Existe t'il des livres/publications sur ce sujet ? (à part chez les libristes) Romainhk (QTx10)

Ce ne sont pas mes thèses personnelles, et oui il faut des sources si vous doutez.
Alors apportez les. Sans ça, votre thèse n'est pas défendable. Qui a étudié le marché des logiciels en dehors des libristes ? Quelques économistes peut-être ? Romainhk (QTx10)
  • « la majorité des logiciels sont propriétaires » : il faudrait une source, des chiffres, pour justifier "majorité" (malgré que des estimations soient quasiment impossibles dans ce domaine : chacun peut créer son propre logiciel chez soit). De plus, je ne crois que cela soit vrai : il y a 230 000 logiciels en majorité libres rien que sur sourceforge.net ([1]). Le terme "plus courant" serait peut être plus adapté dans un sens ; ou alors en l'associant à la vente : « la majorité des logiciels vendus sont propriétaires ». Romainhk (QTx10)
Même si 230.000 vous parait beaucoup, c'est probablement une infime partie de la totalité des logiciels, et les logiciels faits chez soi sont tout aussi bien propriétaires.
Avis personnel. Je parlais des "logiciels maisons" (qui peuvent toute à fait être proprio ou libre) pour montrer qu'il est impossible d'évaluer le nombre total de logiciels existants ; et donc il est impossible d'en faire une proportion ("majorité") à priori. Romainhk (QTx10)
  • "businessdictionary.com" n'est pas la même valeur que le Littré ou le TLF. Romainhk (QTx10)
Le litré définit-il "logiciel propriétaire" ?
Non ("logiciel" n'est même pas dedans), mais ce que je voulait dire c'est que je ne reconnais pas businessdictionary.com comme un site de référence, c'est à dire qui à fait l'objet d'une construction/vérification académique. Je pourrais très bien créer "monsuperdico.fr" qui dit exactement le contraire. Romainhk (QTx10)
  • le mot "privateur" est de l'apanage de Stallman principalement (cf. le chapitre "Les différentes formulations du logiciel propriétaire"). On peut peut-être le retirer de l'intro. Romainhk (QTx10)
J'approuve, ce terme est une provocation à mon avis.
Peut-être, chacun son avis. Romainhk (QTx10)
  • Ce n'est pas parce que wikipédia:en le dit que c'est forcément vrai. Romainhk (QTx10)
Ils ne sont pas mauvais qd même.
De ce que j'ai vu, c'est TRÈS variable. Wikipédia n'est pas une source (pas même secondaire). Romainhk (QTx10)
  • Enfin, pour moi, il y a effectivement un POV à la base et pour cause : la définition de propriétaire a été posée par le mouvement libriste. Je ne connais pas de définition de "logiciel propriétaire" avant les années 70 (et pour cause, il n'y avait pas de marché) ; c'est l'apparition progressive du marché qui a poussé les libristes à définir cette notion. (D'ailleurs, je ne connais pas de développeur de logiciel propriétaire qui se définisse en tant que tel, donc l'usage est limité au monde libre.) Romainhk (QTx10)
C'est ce que je disais, c'est le "libre" qui s'est défini par rapport (en opposition) aux logiciels commerciaux des éditeurs.
Ils ont donc créé leur propre terminologie. Il n'y a plus de problème puisse-que c'est un mot inventé. Romainhk (QTx10)

En fait, vous voyez le titre de l'article comme étant issu de l'association "logiciel" + "propriétaire" (dans le sens de la propriété). Dans ce cas, je comprends tout à fait votre avis et le fait que je fasse du POV-pushing selon vous! Dans ce sens, l'apparition du marché logiciel (et donc la définition implicite de logiciel propriétaire) est antérieur au mouvement libriste. Je suis d'accord pour reformuler l'intro en faisant apparaître deux définitions :

  • celle implicite (le concept économique : vendre des logiciels), bien que je ne connaisse pas d'usage de ce terme en dehors du mouvement libriste.
  • celle explicite (la définition apportée par le mouvement libriste et ses raisons). Romainhk (QTx10) 7 septembre 2010 à 13:16 (CEST)[répondre]
J'ai fait des modifs en faisant apparaitre les deux conceptions, n'hésitez pas à corriger.
Il manque des sources, et le passage sur VA Linux est hors sujet. Il n'y a toujours de consensus donc je remet ta version de l'intro en dessous avec mes corrections. Romainhk (QTx10) 8 septembre 2010 à 11:30 (CEST)[répondre]

Propriétaire dans les premiers temps[modifier le code]

Longtemps avant l'apparition du "libre", les premiers micro-ordinateurs étaient en technologie propriétaire (non "compatible") par rapport à l'IBM-PC que tout fabricant a pu ensuite produire. Des spécifications sont depuis publiées et le matériel est 100% compatible, ce n'est plus "propriétaire" d'IBM. Que certains théoriciens du libre se soient réapproprié les termes avec un succès certain c'est un fait, mais on est pas là pour leur servir de porte-voix. 74.115.209.14 (d) 7 septembre 2010 à 11:12 (CEST)[répondre]

Les "premiers temps", ce n'est pas les années 80, mais les années 50-60. (Le mouvement libre est apparue en 1984.) Ensuite, vous faites l'amalgame entre technologie et logiciel. Les ordis sont bien fermés technologiquement (le mouvement pour l'architecture libre est apparu beaucoup plus tard), mais les logiciels utilisés pour les faire fonctionner étaient parfois fournis (parfois pas du tout ; à charge pour l'utilisateur de le développer) et modifiable/redistribuable (je pense notamment aux bas-fonds hackers : les premiers drivers et aux OS spécialisés des années 60 : CTSS, ITS...). Le droit d'auteur pour un logiciel est apparu pendant les années 70, avec le marché associé. Romainhk (QTx10) 7 septembre 2010 à 13:16 (CEST)[répondre]
Je voulais souffler que "propriétaire" n'est pas une invention du "libre", de plus le concept correspond à la totalité de la production non informatique depuis toujours, vous n'achetez pas les plans de fabrication de votre voiture et encore moins des secrets de fabrication. 74.115.209.59 (d) 7 septembre 2010 à 20:43 (CEST)[répondre]
Évidement, ils n'ont pas inventé la roue. Mais c'est ce mouvement qui a associé les deux concepts. Je met au défis quiconque de trouver un usage de "logiciel propriétaire" en dehors du cadre libriste.
Le concept est lié aux logiciels, pas à toute l'informatique, loi de là (sinon, IBM n'aurait jamais existé). Pour l'analogie avec les plans d'une voiture, pas tant que je veuille en modifier une ; alors, j'ai besoin de spécifications, pas de secrets ou d'une carte complète, juste les informations nécessaires pour que je puisse en changer des pièces et que cela fonctionne correctement. Romainhk (QTx10) 8 septembre 2010 à 11:30 (CEST)[répondre]

Respect de la chronologie[modifier le code]

Le concept de "logiciel libre" a existé bien après le "propriétaire" (qui est depuis toujours la norme absolue dans le monde économique et pas seulement en informatique), donc dire que le propriétaire est défini par rapport au "libre" est ni plus ni moins que de la propagande. C'est précisément le concept de "logiciel libre" qui est défini en oppostion au "logiciel propriétaire". 74.115.209.14 (d) 7 septembre 2010 à 11:33 (CEST)[répondre]

Je ne suis pas vraiment convaincu, à vous lire, que vous soyez le mieux placé pour neutraliser cet article, qui en aurait pourtant en effet bien besoin. Le monde est mal fait, WP aussi, demain est un autre jour : je vous invite à tourner la page. Cordialement, --Lgd (d) 7 septembre 2010 à 12:30 (CEST)[répondre]
"Tourner la page", pas sûr de comprendre, vous me demandez de ne pas contribuer à cet article ? 74.115.209.14 (d) 7 septembre 2010 à 12:38 (CEST)[répondre]
Je n'ai pour ma part aucun problème à repartir de la version que vous suggérez et à demander à romainhk (et d'autres contributeurs) de proposer des modifications même importantes des dernières modif. La neutralisation est forcément le résultat d'une discussion, éventuellement contradictoire, et policée ! 74.115.209.14 (d) 7 septembre 2010 à 12:53 (CEST)[répondre]
Comparons ce qui est comparable : "logiciel libre" après "propriétaire" certes, mais avant "logiciel propriétaire". Ensuite, lequel de ces concepts est-il apparu avant : "libre" ou "propriétaire" ? Romainhk (QTx10) 7 septembre 2010 à 13:16 (CEST)[répondre]
Je ne peux rien affirmer, cherchons des sources si vous le voulez bien (surtout une date pour l'utilisation de "logiciel propriétaire"). Mais quoi qu'il en soit vous pouvez facilement admettre que l'industrie de l'informatique (qui valide effectivement l'appellation de "propriétaire") ne se définit en aucune façon par rapport aux doctrines de M. Stallman. 74.115.209.14 (d) 7 septembre 2010 à 13:25 (CEST)[répondre]
D'accord. Stallman n'a fournit que son interprétation. Il est évident que les acteurs d'un marché ne forment pas un être morale. Romainhk (QTx10) 8 septembre 2010 à 11:30 (CEST)[répondre]

Nouvelle intro[modifier le code]

Un logiciel propriétaire est un logiciel qui est la propriété de ses droit d'auteurs. On l'oppose généralement[1],[2] au logiciel libre, mais à tort[3], l'opposé stricto sensu étant un « logiciel privateur ». La propriété d'un logiciel est aujoud'hui sujet à débats, comme celui de la brevetabilité du logiciel.

Le commerce des logiciels propriétaires repose généralement sur la vente de droits d'utilisation, selon un contrat de licence utilisateur final (CLUF) établi par le vendeur et qui ouvre certains droits d'utilisation à l'acquéreur de cette licence[4]. On parle communément du fait d’« acheter un logiciel » comme on parle d'« acheter un film » : cette acquisition concerne un droit d'utilisation limité au cadre établi par la licence. Un transfert de propriété n'existe qu'en cas de cession de l'exploitation du droit d'auteur associé.

Le concept de logiciel privateur a été forgé par le mouvement du logiciel libre pendant les années 1980 par une opposition : il s'agit d'un logiciel qui ne garantit aucunes des quatre libertés du logiciel libre. C'est-à-dire que sa licence d'utilisation ne permet pas de l'utiliser, de le modifier, de le dupliquer, ou de le re-distribuer sans autorisation ni restrictions. L'usage de ce terme est donc intimement lié à l'histoire du logiciel libre.

Lorsqu'un logiciel propriétaire est proposé gratuitement, on parle de freeware, ou de shareware s'il l'offre est limitée dans le temps ou dans ses fonctionnalités.

Références
  1. Free Software Foundation, « Catégories de logiciels libres et non libres » (consulté le )
  2. http://jargonf.org/wiki/logiciel_propri%C3%A9taire
  3. « Pour traduire l’expression anglaise (proprietary software), la plupart des francophones utilisaient le mot « propriétaire » en procédant à une dérivation impropre du nom vers l’adjectif. » dans Richard Stallman et la révolution du logiciel libre : Une biographie autorisée, p13 web
  4. Sandrine Carneroli, Les contrats commentés du monde informatique : Logiciels, bases de données, multimédia, internet, Larcier, coll. « Création Informatique Communication Pratique », , 158 p. (ISBN 2804420922 et 9782804420925, lire en ligne), « Qu'est-ce que la licence de logiciel libre ? », p. 25 :

    « Un logiciel est qualifié de propriétaire lorsqu'il est interdit de l'utiliser sans avoir obtenu l'accord exprès de son créateur, accord conditionné la plupart du temps par une licence à accepter et souvent (mais pas toujours) par une rémunération à accepter »

  5. « Privateur, -trice, adj., rare. Qui prive. », TLF

Notes[modifier le code]

concernant les modifications que je souhaite apporter :

  • « La licence de distribution "logiciel propriétaire" défend la propriété intellectuelle et économique des ayants droits du logiciel (auteurs ou éditeurs) » : hors sujet, et pas pas particulier au logiciel proprio. Toute licence défend le droit d'auteur (elle repose dessus).
  • pour la définition de "Business Dictionnary.com" : pas acceptable, voir plus haut.
  • passage sur VA Linux : hors sujet, 10 ans de retard ; pour un exemple de libre, il vaut mieux piocher dans GNU.
  • un sous-paragraphe ne me parait pas nécessaire.
  • "cession de l'exploitation du droit d'auteur" car en france, le droit d'auteur est en deux parties, dont une incessible.
  • il doit aussi y avoir un passage exploitable dans ce livre mais je n'arrive pas à la consulter :S. Romainhk (QTx10) 9 septembre 2010 à 13:26 (CEST)[répondre]
J'ai essayer de reprendre depuis le début de la section logiciel libre jusqu'ici, c'est quasiment illisible!
Autant dans le corps de l'article c'est l'imbrication qui fait la qualité, autant dans une page de discussion c'est le contraire. On doit bien pouvoir retrouver qui a voulu dire quoi et dans quel ordre a partir de d'étude des différences dans l'historique, mais franchement ne pas se parler les uns après les autres n'aide pas à ouvrir la réflexion a de potentiel nouveaux contributeurs. :-) 8 septembre 2010 à 20:43 (CEST)[répondre]
Oups, effectivement, j'ai oublié de signer et de signaler l'ancienne version. Je corrige cela. Romainhk (QTx10) 9 septembre 2010 à 13:26 (CEST)[répondre]

Mes commentaire sur l'intro sont les même que ceux écrit plus bas dans #commentaire de modification. Au passage quel drôle d'idée de préciser exclusive. Quelle en est la raison?

La propriété de ces droit d'auteurs si on ne cache pas le lien est déjà nettement plus sérieux. L'ensemble de la polémique probablement insupportable a lire si dessous traite précisément de cette volonté de re-définir après coup une notion improprement nommé relativement a ce que signifieraient les terme pris indépendamment l'un de l'autre, on ne peut pas faire ça.

A contrario, cette opposition de terminologie doit bien évidement être présenté. La notion de propriété d'un logiciel est a elle seule un très vaste sujet complexe avec des avis contradictoire. Peut être qu'une page distincte permettrait de dépasser les contradictions, au lieux d'essayer de tout faire entrer dans le présent article, ce qui embrouille tout. qu'est-ce que vous en pensez? :-) 13 septembre 2010 à 13:33 (CEST)[répondre]

Effectivement, "exclusive" n'a pas lieu d'être puisque c'est une redite de "propriété".
Je ne pense pas que séparer soit une solution car il n'y a pas d'usage de "logiciel propriétaire" séparément de l'évocation du logiciel libre (voir ma réponse longue plus bas). Romainhk (QTx10) 14 septembre 2010 à 11:31 (CEST)[répondre]
Il y a en tout cas une articulation historique : la terminologie a été employé au début pour signifier l'utilisation d'une logique issue du matériel a de de l'immatériel (On pourrait associer ça a opposition faite ultérieurement des biens rivaux et des biens anti-rivaux). On peut trouver les traces historique du début des années 80, associé a l'éternel discours sur les recettes je pense.
Il était donc bien question de distinguer les logiciel qui étaient de libre cours et de les opposer a ceux soumis a une restriction de "propriété abusivement assimilé à celle d'un objet matériel" alors qu'elle était appliqué a des "objets de l'esprit". C'était l'idée en terme de possibilité offerte par les logiciel a l'utilisateur ce qui fait que les raison techniques ne sont pas exclues et que l'utilisation des droits d'auteur pour défendre ces possibilités n'y est pas opposé.
Qu'on sépare ou pas, il y a bien une articulation entre la notion de propriété et son utilisation en contexte, et il vas falloir la présenter pour ne pas interdire toute compréhension. Le contexte historique et les dates sont des repères fiables et infalsifiables. Si quelqu'un veux ensuite ajouter a quel date une autre acceptation a été utilisé ça ne pourra jamais que préciser l'article une fois la chronologie établie. :-) 14 septembre 2010 à 16:10 (CEST)[répondre]

Je pense que l'article actuel est meilleur que sa précédente version seulement il faut se garder de généralité, ce que l'intro de l'ancien article évitait. La définition d'un logiciel propriétaire se fait bien par rapport à un logiciel libre. A mon avis la phrase "sa licence restreint au moins l'une des possibilités que se doivent d'offrir les logiciels libre : étudier, modifier, dupliquer et diffuser (donner ou vendre) le logiciel" est à conserver. Ce qui fait qu'un logiciel est propriétaire est qu'il n'est pas libre. C'est le monde du libre qui, en définissant les conditions nécessaire pour qu'un logiciel soit propriétaire, ont défini par exclusion, tout ce qui est un logiciel propriétaire. C'est bien limiter l'une des liberté du logiciel libre "étudier, modifier, dupliquer et diffuser" qui rend un logiciel propriétaire simplement car il ne peut être considéré comme un logiciel libre.

La section "Caractéristiques du logiciel propriétaire" est extrêmement POV puisqu'il ne présente pas les "Caractéristiques" mais les argument des défenseur du libre. (A part la phrase que j'ai ajouté sur la garantie sur le fonctionnement).

Dans toute la rédaction de l'article il faut garder en tête que beaucoup de logiciels propriétaires offrent par exemple un accès à une partie du code source (notamment Microsoft dans leur Shared Source Initiative [2]), c'est une pratique finalement assez fréquente dans les logiciels ou système complexes. Beaucoup autorisent également leur client à corriger eux même des bugs voir à développer des évolutions. Bref attention au généralités qui ne sont valable le plus souvent uniquement pour les logiciels grand public. Tieum512 BlaBla 8 septembre 2010 à 10:05 (CEST)[répondre]

Tout à fait d'accord. "Caractéristiques du logiciel propriétaire" est rempli de points négatifs (pas très constructif).
Par contre, je ne comprends pas certains de tes ajouts d'hier :
  • « Par opposition au logiciel libre, un logiciel propriétaire protège l'investissement de son auteur, qui est souvent une entreprise, contre un usage non rémunéré de sa création. » : on peut pourtant vendre du libre innovant (Red Hat, Mandriva...).
  • « La possibilité d'obtenir une garantie sur le fonctionnement du logiciel et/ou sur la correction des bugs éventuels » : un prestataire libre est tenue des même responsabilités face à ses clients et peut leur assurer ; ce n'est pas particulier aux logiciels propriétaires. Romainhk (QTx10) 8 septembre 2010 à 12:07 (CEST)[répondre]
Pour le premier point ce n'est pas incompatible. Bien sûr que l'on peut faire du commerce avec du libre, mais la licence libre ne protège pas l'auteur contre un usage non rémunéré de sa création. Je ne vois pas où est la contradiction. Les boites qui font du business sur le libre vendent un service, une expertise, des formations... beaucoup de chose mais la licence ne les protège pas contre un usage non rémunéré de leur création.
C'est peut être mal formulé mais le fait est que c'est un argument de poids pour le logiciel propriétaire. Avec un logiciel propriétaire, un client à en face un seul distributeur qui est responsable de son produit ; avec le libre il se trouve face à une communauté qui, selon les logiciel concerné peut ne pas être aussi réactive. Un prestataire du libre ne fournira pas une garantie sur un soft complexe car il n'en a absolument pas la maitrise. Tieum512 BlaBla 9 septembre 2010 à 09:25 (CEST)[répondre]
La vente de service, de formation et d'expertise est un usage rémunéré (certes indirect, mais qui rapporte beaucoup plus que le produit en lui-même). C'est "protégé" qui me gêne surtout, comme si il y avait une agression... (à moins que l'on ne parle ici de "piratage" ; ce serait autre chose.) On pourrait tourner ça dans l'autre sens : « Par opposition au logiciel libre, un logiciel propriétaire garantit le retour sur investissement et la rémunération de son auteur, qui est souvent une entreprise, contre l'usage non rémunéré de sa création. » ?
Si il peut le maîtriser (bien que cela ne soit pas systématique). Red Hat par exemple a des employées a temps plein qui améliorent/corrigent son logiciel en permanence selon les besoins. La communauté est là aussi, mais l'entreprise possède toujours la maîtrise du produit ; tant qu'elle est bien justifiée et que les deux sont d'accord, il n'y a pas de fork (cas Mambo/Joomla par exemple). Il en est de même pour le plupart des ERP libres, sinon, ils ne tiendraient pas la concurrence 5 minutes. Romainhk (QTx10) 9 septembre 2010 à 13:46 (CEST)[répondre]
J'ai modifié les deux passages comme proposé. Romainhk (QTx10) 4 octobre 2010 à 15:29 (CEST)[répondre]

Opposition propriétaire / libre[modifier le code]

Les deux notions correspondent à des licences de distribution, et il y en a d'autres. Elles sont différentes, offrent des protections aux auteurs et des droits aux utilisateurs différents, point. Vouloir les opposer relève du discours quasiment idéologique initié par Stallman, vous ne trouverez aucun acteur de l'indutrie informatique adhérer à cette logique militante. Donc à chaque fois que vous comparez ces licences en termes de conflit vous êtes dans la discours orienté de Stallman. 74.115.209.62 (d) 8 septembre 2010 à 12:33 (CEST)[répondre]

Bah en même temps c'est stallmann qui a inventé la terminologie, et qui lui a préféré privateur par la suite. Il n'y a pas eut de distinction avant que la notion de liberté d'utilisation soit identifié par lui, donc pas de notion de logiciel propriétaire avant lui (et son entourage des tout premier temps des années 1980). L'histoire c'est passé comme ça. C'est pas par ce qu'en 2010 on veux lire une notion de droit de propriété que la notion n'est pas issue de la dénonciation d'une privation de liberté. :-) 8 septembre 2010 à 20:02 (CEST)[répondre]
Vous avez surement remarqué que le "logiciel propriétaire" correspond à 100% au Droit de la "propriété intellectuelle", Stallman n'y est donc pour rien en ce qui concerne le concept. Maintenant grâce aux nombreuses campagnes médiatiques issues de ses théories on est maintenant obligé de répéter une lapalissade à savoir que le créateur d'un logiciel en est le propriétaire et en garde tous les droits s'il le souhaite. Donc oui le "logiciel libre" à popularisé "logiciel propriétaire" en même temps que "logiciel libre", ça on peut l'écrire dans l'article sans se tromper. 74.115.209.15 (d) 8 septembre 2010 à 23:51 (CEST)[répondre]
Non, non, c'est a vos yeux que ça correspond au droit de la propriété intellectuelle, et selon la définition choisie par votre source business...com (surement très neutre a vos yeux).
Les faits historique, eux, révèlent eux que c'est une notion de privation de liberté qui est défini avec cette terminologie, par des personnes qui ne crois pas en la pertinence de la notion même de propriété intellectuelle, mais qui on utilisé les notion légales de droit d'auteur dans l'objectif de défendre les liberté d'utilisation.
Si le premier a avoir instaurer une terminologie n'est pour rien dans le concept qui en découle, si l'utilisation générale d'une terminologie ne doit pas définir le concept, alors c'est la teuf, on peut faire dire tout ce qu'on a envie de faire dire au vocabulaire comme on a envie de le lire. Trop fort : Vous avez surement remarqué que le "relativité" correspond à 100% au Droit de la "relativité économique", Einchtein n'y est donc pour rien en ce qui concerne le concept. :-) 9 septembre 2010 à 09:24 (CEST)[répondre]
Ce que vous affirmez est stupéfiant, j'espère pour vous que vous n'y croyez pas vraiment, mais revenons au sujet. Les points de vue sur la propriété sont variés, mais la très grande majorité des gens sur la planète pensent que la propriété individuelle (à laquelle se rattache la propriété intellectuelle et le logiciel propriétaire pour la loi) est légitime. Or Wikipédia a pour mission de refléter les points de vue en fonction de leur poids dans la société. Il est clair que les théories de Stallman qui considèrent que seul le logiciel libre est "éthique" sont archi minoritaires, y-compris vis à vis de l'open source, à vous de voir si vous voulez que l'article reste aussi orienté. Perso je ne toucherai plus à l'intro après déjà deux reverts de mes modif. mais je considère que l'article actuel est de la propagande, pas un article encyclopédique. 74.115.209.42 (d) 9 septembre 2010 à 13:02 (CEST)[répondre]
(Au passage : Mon premier revert montrait le conflit ; le deuxième avait été annoncé : plus de modifications avant que l'on ne soit d'accord ici. Vous êtes bien entendu invité à modifier/commenter/argumenter la Nouvelle intro. Je suis d'accord avec l'aspect "propagande". Romainhk (QTx10) 9 septembre 2010 à 13:56 (CEST) )[répondre]

Le problème de traduction à l'origine du quiproquo :[modifier le code]

Il est intéressant de noter que la notion de "propriétaire" au lieu de "privateur" est juste due a une erreur de traduction :

« Vocabulaire Logiciel « privateur » — plutôt que « propriétaire » L’emploi de l’expression « logiciel privateur » (en anglais proprietary software) nécessite quelques explications. Pour traduire l’expression anglaise, la plupart des francophones utilisaient le mot « propriétaire » en procédant à une dérivation impropre du nom vers l’adjectif. Or, depuis quelque temps, dans ses discours en français, Richard Stallman préfère qualifier ces logiciels de « privateurs » pour en souligner les effets nocifs. Notons que ce terme n’est pas un néologisme. D’après le Trésor de la Langue Française : « Privateur, -trice, adj., rare. Qui prive. » Plusieurs raisons justifient le choix de ce qualificatif. D’abord, l’expression « logiciel propriétaire » laisse croire à tort qu’il faudrait renoncer à ses droits d’auteurs (assimilés aux droits de propriété) pour créer un logiciel libre. Or, comme il en sera notamment question au chapitre 9, la GNU General Public Licence créée par Richard Stallman emprunte à la logique du droit d’auteur en stipulant les conditions d’exercice de ce droit sous la forme de quatre libertés accordées à l’utilisateur du logiciel : utiliser le programme, en étudier le code source, le modifier et distribuer des copies de la version originale ou modifiée.[1] »

  1. « Richard Stallman et la révolution du logiciel libre » Une biographie autorisée, p13 web
Très bonne référence, je modifie l'intro pour l'inclure. Romainhk (QTx10) 9 septembre 2010 à 14:05 (CEST)[répondre]
Smily voici une définition de proprietary sans équivoque "proprietary adj. relatif à la propriété industrielle, selon un brevet; relatif aux droits d'auteur; relatif à une marque déposée; relatif à un propriétaire" [3], et une autre en anglais "1. Of, relating to, or suggestive of a proprietor or to proprietors as a group: had proprietary rights; behaved with a proprietary air in his friend's house. 2.Exclusively owned; private: a proprietary hospital. 3. Owned by a private individual or corporation under a trademark or patent: a proprietary drug." [4]. Vous citez Stallman encore une fois : Stallman contre le reste des dictionnaires du monde et c'est son point de vue que vous donnez... 74.115.209.34 (d) 11 septembre 2010 à 09:58 (CEST)[répondre]
D'accord, mais la notion de logiciel propriétaire n'est jamais utilisé pour signifier "relatif a un propriétaire".
C'est assez malin de laisser croire que ceux qui parlent de logiciel propriétaire acceptent une notion de propriété sur le logiciel, mais c'est faux.
Pour moi, le but est de définir une notion qui est apparue sous le vocable de "logiciel propriétaire", non pas par stallmann mais par son entourage pour définir une opposition a ce que lui a définit comme logiciel libre.
Pour vous, le but semble être de ressortir les définition distincte de chacun des mots, pour leurs faire dire indépendamment de leur utilisation qu'ils devraient signifier ceci. C'est intéressant, mais ça ne peut pas se substituer au contexte d'utilisation sans devenir détournement du sujet. :-) 11 septembre 2010 à 12:09 (CEST)[répondre]
Malin ?
Soit vous faites 1. "Logiciel propriétaire selon Stallman", soit 2. "Logiciel propriétaire selon l'industrie de l'informatique", soit 3. "Logiciel propriétaire" mais pour l'instant c'est 3. avec le contenu de 1.
Où est votre référence à un dictionnaire anglais-français donnant "privateur" pour "proprietary" ?
L'expression "logiciel propriétaire" est acceptée par l'industrie informatique, pouvez-vous donner une référence indiquant qu'elle le définit par rapport à "logiciel libre" ? Au contraire tout CLUF se réfère au droit d'auteur et à la propriété intellectuelle.
Si vous parlez de "privateur" la seule référence c'est Stallman, donc dites "selon Stallman" et vous serez neutre. IP 74.115 (d) 12 septembre 2010 à 12:22 (CEST)[répondre]
La notion de "logiciel propriétaire" est historiquement née pour désigner un logiciel non libre, les référence sont au dessus, c'est pas par ce qu'il y a stallman dedans qu'elles sont invalide quant même, si?
Quiconque connais un tant soit peut le logiciel libre sait que cette terminologie est encore aujourd'hui très rependue avec ce sens, la première recherche de base le prouve avec évidence (google place en deux la définition selon gnu.org. Comment ce fait-ce-t-il donc?).
Trouves une source sérieuse qui explique la notion de logiciel propriétaire dans les années 70-80 indépendamment du contexte du logiciel libre, et alors tu pourra mettre en doute l'origine de la notion. En attendant tu ne le peut simplement pas. Et a mon humble avis tu ne risque pas de pouvoir. :-) 11 septembre 2010 à 15:46 (CEST)[répondre]
Déjà répondu plus haut ceci : "Vous avez surement remarqué que le "logiciel propriétaire" correspond à 100% au Droit de la "propriété intellectuelle", Stallman n'y est donc pour rien en ce qui concerne le concept. Maintenant grâce aux nombreuses campagnes médiatiques issues de ses théories on est maintenant obligé de répéter une lapalissade à savoir que le créateur d'un logiciel en est le propriétaire et en garde tous les droits s'il le souhaite. Donc oui le "logiciel libre" à popularisé "logiciel propriétaire" en même temps que "logiciel libre", ça on peut l'écrire dans l'article sans se tromper.". Sinon tu as remarqué que les CLUF du propriétaire font toujours référence à la propriété intellectuelle et jamais au libre, ça ne t'interpelle pas un peu ? IP 74.115 (d) 11 septembre 2010 à 12:22 (CEST)[répondre]
Parler de propriété ici met en évidence une piètre connaissance des bases légales du sujet, ce qui était probablement aussi le cas de ceux qui ont employé improprement ces termes a l'origine.
Il n'y a pas de propriété de logiciel légalement valable, mais un droit provisoire accordé a un titulaire, ce qui suspend le droit collectifs.
Si le sens originale est effectivement impropre vis a vis du sens des mots, le sens que vous voulez imposer est juste une ineptie. :-) 12 septembre 2010 à 11:20 (CEST)[répondre]
Vous nous dites que le "propriétaire" n'a rien à voir avec la propriété c'est bien ça ? Ça serait original.
Expliquez-vous que la propriété intellectuelle est une ineptie ? C'est une conception respectable mais tout de même un peu marginale sur la planète, je vous rappelle que même le Communisme reconnait la propriété individuelle et intellectuelle.
"Il n'y a pas de propriété de logiciel légalement valable" : avez-vous une source qui appuie cette grande nouveauté pour moi ?
En France les droits de TOUT logiciel sont protégés jusqu'à 70 ans après la mort de son auteur ou propriétaire, c'est la loi, en pratique ça signifie l'éternité si on sait qu'un logiciel est obsolète après seulement quelques années. Si un auteur ou propriétaire veut abandonner ses droits autant que la loi le permet il doit le faire savoir.
En France les droits moraux son inaliénables pour le "propriétaire" comme pour le "libre".
Dans ces conditions pouvez-vous m'indiquer une source disant qu'en France le libre est légal (à savoir un abandon de sa propriété avant même sa création) ?
J'espère toujours voir une référence nous indiquant qu'il y a une eu une erreur de traduction sur "proprietary".
Je me pose une question, êtes-vous en train de rédiger un article encyclopédique ou bien de nous dire que le principe de la propriété est une ineptie ? N'oubliez pas de répondre, ça pourrait dissiper un malentendu. IP 74.115 (d) 12 septembre 2010 à 12:22 (CEST)[répondre]
Logiciel! Logiciel propriétaire. Ici on traite l'utilisation des deux mot ensemble. La traduction aussi concerne proprietary sowtware, pas proprietary tout seule.
On considère que les idées sont de libre cours, et qu'elle n'ont pas de propriétaire, c'est ce qui en Europe s'oppose a une assimilation a une notion de propriété du logiciel.
Des droit sont accordés concernant le logiciel et d'autres sujets, mais ils ne correspondent pas exactement a une propriété car la facette idée reste de libre cours ... et ça ce change tout.
Je suis donc entrain d'essayer de présenter le sujet, y compris dans cette facette, dans cette nuance, dans cette finesse si vous voulez, que vous préfèreriez manifestement passer sous silence alors qu'elle suffisamment présente pour être au cœur d'un débat sur le sujet que toutes les analyses s'accordent en tout cas à présenter comme important pour l'avenir internationale du commerce en matière de logiciel.
Je ne crois pas que vous l'ignoriez, et je pense par contre que vous n'êtes pas de cette avis, donc que vous ne voudriez pas que ça apparaisse. Imposer le principe de logiciel propriétaire comme un fait de propriété du logiciel permet de laisser penser que c'est fait globalement accepté or les faits nous prouve qu'a l'évidence ça ne l'est pas.
Mais comme on est comme vous le rappelez dans une encyclopédie, il n'est pas question de passer sous silence des facettes importante du sujet, qu'on soit pour ou contre. :-) 12 septembre 2010 à 13:05 (CEST)[répondre]
Parmi une myriade de référence à ce sur quoi s'appuient entre autre mes propos voici une référence audio de propos qui ne se serraient pas tenu au parlement européen si le présupposé de propriété du logiciel était validé : http://www.framasoft.net/IMG/rocard2.mp3 et un petit discours audio du même auteur (rocard) qui explique un peut plus le principe et les enjeux : http://www.ffii.fr/IMG/ogg/rocard_lyon3.ogg :-) 12 septembre 2010 à 13:33 (CEST)[répondre]
Avez-vous une référence indiquant qu'aux Etats-Unis la propriété sur le logiciel n'est pas reconnue ?
Oui c'est tout à fait ce que je veux dire : le "logiciel propriétaire" correspond à une conception archi-majoritaire dans le monde, conception traduite dans les lois de tous les pays à ma connaissance.
Pour l'instant l'introduction correspond à la conception et au vocabulaire de Stallman ("privateur"), ce n'est pas ce qu'on attend de Wikipédia, ma dernière proposition mentionnait clairement le point de vue de Stallman (voir l'historique).
C'est très bien d'avoir une myriade de références mais n'oubliez pas de les apporter et de dire à quel propos chacune se rattache. IP 74.115 (d) 12 septembre 2010 à 13:45 (CEST)[répondre]
Euh vous ne confondez pas un peu la propriété sur le logiciel et la brevetalité du logiciel ? Pour info la quasi totalité des logiciels n'est pas concernée par la possibilité de déposer un brevet. IP 74.115 (d) 12 septembre 2010 à 13:49 (CEST)[répondre]
Il n'y a pas de propriété sur le logiciel, mais une propriété des droits accordés relativement au logiciel, c'est pas pareil, et impossible a assimiler a une propriété en ce qui concerne le droit d'auteur.
La nuance est moins évidente avec les brevet car une exclusivité d'utilisation rapproche beaucoup plus significativement la possession d'un brevet d'une notion de propriété.
Une analyse trouvé dans le site du CNRS permet d'y voir plus claire (et de constater que les tournure font toujours la distinction que je présente, comme dans la question a qui appartiennent ces droit?") : http://www.dgdr.cnrs.fr/daj/propriete/logiciels/logiciels.htm :-) 12 septembre 2010 à 14:15 (CEST)[répondre]
Au passage je viens d'y lire (p5) qu'ils définissent le logiciel propriétaire et comme opposé au logiciel libre. Mais le lien hypertexte de logiciel propriétaire renvoie à la page licence ce qui fait un peut larsen. :-) 12 septembre 2010 à 14:26 (CEST)[répondre]
Le logiciel propriétaire est géré par le droit d'auteur qui se rèfère à la propriété intellectuelle, elle-même un sous-domaine de la propriété, on est d'accord avec ça ?
Est-on d'accord pour parler de la brevetabilité dans un paragraphe spécifique si besoin de l'évoquer ?
Votre lien dit-il autre chose que ce que je suggère de mettre dans l'article ? Y-définit-on le Droit du logiciel (qui est proprétaire par défaut) par rapport au libre ? IP 74.115 (d) 12 septembre 2010 à 14:36 (CEST)[répondre]
Votre lien p5: "Pour la majorité de la doctrine, le créateur d'un tel logiciel n'abandonne pas ses droits d'auteur" ça signifie que pour le Droit français le libre n'existe pas comme un concept juridique autonome ("Une catégorie particulière", le libre est un logiciel propriétaire particulier, ça veut dire ça). IP 74.115 (d) 12 septembre 2010 à 14:51 (CEST)[répondre]

Je reviens a droite on vas finir par sortir de la machine si non. :)

  • A la première question la réponse est non, car la notion de logiciel propriétaire que vous utilisez ne concorde pas avec son origine historique (et son sens actuel, y compris d'après ce lien). Par contre je suis d'accord avec les inclusion en terme d'étage juridique, mais elles ne concernent pas le logiciel dans sa totalité, mais la partie protégé par ce droit du logiciel qui est aussi constitué de parties qui "appartiennent au domaine de l'idée". (P2).
  • Si on peut parler de brevetabilité dépends du rapport au sujet, c'est pas mon accord qui importe, mais la pertinence. Vous voulez qu'on traite du contenue alors même que vous réfutez le sujet?
  • Ce liens dit complètement autre chose que ce que vous suggérez de mettre dans l'article puisqu'il distingue la propriété des droits, qu'il ne parle pas de propriété du logiciel et qu'au contraire il distingue dans le logiciel ce qui est soumis a la protection du droit d'auteur de ce qui ne peut pas l'être.
  • Enfin le logiciel libre n'est pas un concept juridique, mais comme les bases juridique elles même c'est d'abord un principe moral qui a été seulement dans un deuxième temps traduit en terme juridique. Ce liens qui est très pertinent en terme juridique se prend lui même les pied dans le tapis en définissant le logiciel libre comme un logiciel propriétaire particulier tout en écrivant, je cite « Le logiciel libre (différent du logiciel propriétaire) » .

On ne sortira pas de cette opposition sans élever le débat au niveau de la moral qui précède le juridique. Faire du libre une simple licence, en plus d'être une grossière erreur (reprise dans le lien que j'ai donné effectivement), c'est annihiler dans le raisonnement même qui a aboutis au principe du libre. Refermer cet espace (en assimilant logiciel propriétaire et propriété du logiciel) interdit d'accéder à la simple compréhension du principe (et je ne parle pas d'acceptation). L'enjeu de cette discussion est la réfutation implicite du principe même de logiciel libre qui n'existe plus si c'est juste une partie de ce à quoi il s'oppose. Ca permet a ceux qui ne comprennent pas de laisser croire que c'est n'importe quoi. vous comprenez? :-) 12 septembre 2010 à 16:54 (CEST)[répondre]

C'est simple donnons des sources et des références vérifiables, pour vous le logiciel propriétaire est "immoral" contrairement au logiciel libre donc indiquez dans l'article quels auteurs présentent cette conception. Pour moi ce sont des licences de distribution et rien d'autre, indiquons les arguments et les sources externes décrivant ces deux visions, qu'en pensez-vous ?
Avez-vous une source indiquant que l'expression "logiciel propriétaire" a été inventée par Stallman et le mouvement du logiciel libre (en évitant Stallman qui est une source première) ?
Allez-vous apporter des sources pour appuyer vos affirmations ?
Le logiciel libre existe indiscutablement comme un mouvement médiatique, il n'a pas d'existence juridique distincte du logiciel en général, c'est votre dernier lien qui le dit. IP 74.115 (d) 12 septembre 2010 à 23:11 (CEST)[répondre]
Je ne vous permet pas de préjuger de mon opinion, d'ailleurs elle n'est pas en cause ici. La moralité précède le juridique, c'est valable aussi pour les réflexion qui ont menées a créer les droit d'auteurs.
Pour vous c'est des licences de distribution, rien d'autre, mais ce n'est la base des évènements historique.
La référence vous l'avez et vous la refusez par ce que vous ne la comprenez pas, ou par ce que vous refusez de la comprendre, je sais pas.
Qu'on l'adule ou qu'on le dénigre, stallman est le point d'articulation de la définition du libre, et par opposition du propriétaire en terme de logiciel. Vous le refusez et demander un autre cours de l'histoire, mais je ne peut pas changer l'histoire pour la mouler dans une forme que vous déniez accepter. :-) 13 septembre 2010 à 11:04 (CEST)[répondre]
Je ne préjuge de rien c'est vous qui parlez de moralité, Stallman est-il philosophe ? Est-il juriste ? Est-il un élu et fait-il des lois ? Non c'est un programmeur... Ça ne me gène pas qu'on parle de ses thèses, je dis seulement qu'on doit préciser que ce sont ses théories quand c'est le cas. Allez-vous enfin donner les sources demandées dans l'introduction ? IP 74.115 (d) 13 septembre 2010 à 12:42 (CEST)[répondre]

Besoin de références[modifier le code]

"désigne (par traduction de l'expression anglaise « proprietary software ») un logiciel qui n'est pas un logiciel libre"
Avez-vous une référence pour une telle affirmation ?
Voici des définitions :

  1. proprietary : Privately owned and controlled. In the computer industry, proprietary is the opposite of open. A proprietary design or technique is one that is owned by a company. It also implies that the company has not divulged specifications that would allow other companies to duplicate the product. http://www.webopedia.com/TERM/p/proprietary.html
  2. proprietary : In information technology, proprietary describes a technology or product that is owned exclusively by a single company that carefully guards knowledge about the technology or the ..." http://whatis.techtarget.com/wsearchResultsB/0,,sid9,00.html?query=proprietary
  3. proprietary : 1. [n] an unincorporated business owned by a single person who is responsible for its liabilities and entitled to its profits 2. [adj] protected by trademark or patent or copyright; made or produced or distributed by one having exclusive rights; "`Tylenol' is a proprietary drug of which `acetaminophen' is the generic form". http://www.hyperdictionary.com/search.aspx?define=proprietary
  4. proprietary : Software that is owned by an individual or a company. To use the software, one must purchase a license. http://www.techdictionary.com/search_action.lasso?-Database=db_A00534&-Table=Layout+%231&-ResponseAnyError=%2Fsearch_error.lasso&-OperatorLogical=OR&-Operator=eq&-Token=-Search&term=proprietary
  5. proprietary : Privately owned or controlled. Generally referring to a technology that has been developed by an individual, corporation, or other legal entity that considers the specifications to be a trade secret of value and that retains the exclusive right to exploit it, either for its own use or that of legitimate licensees that pay for the privilege. Proprietary technologies generally are patented, which prevents others from copying or otherwise duplicating them. http://www.yourdictionary.com/computer/proprietary
  6. Proprietary software is computer software licensed under exclusive legal right of its owner. The purchaser, or licensee, is given the right to use the software under certain conditions, but restricted from other uses, such as modification, further distribution, or reverse engineering. http://en.wikipedia.org/wiki/Proprietary_software
  7. El software propietario (también llamado privativo, de código cerrado o software no libre) es cualquier programa informático en el que el usuario final tiene limitaciones para usarlo, modificarlo o redistribuirlo (con o sin modificaciones), o cuyo código fuente no está disponible o el acceso a éste se encuentra restringido por un acuerdo de licencia, o por tecnología anticopia. Para la Fundación para el Software Libre (FSF) este concepto se aplica a cualquier software que no es libre o que sólo lo es parcialmente (semilibre), sea porque su uso, redistribución o modificación está prohibida, o requiere permiso expreso del titular del software. http://es.wikipedia.org/wiki/Software_propietario

Je pense que vous allez finir par vous rendre compte que la vision que vous mettez en avant est celle un type complètement marginal qui a eu le talent de subjuguer les médias avec des thèses aussi personnelles que déconnectées de la réalité de l'Informatique et de l'Economie, en bref ce qu'on appelle habituellement un gourou. IP 74.115 (d) 13 septembre 2010 à 00:03 (CEST)[répondre]

Je l'ai mis en dessous la référence, et si dessus en page de discussion aussi.
Vos définition concerne "proprietary" et pas "proprietary software" (sauf celles des wikipédia qui ont correspondu a votre point de vue. Sans déconner, vous le faite exprès, le but est juste de noircir cette page, non? :-) 13 septembre 2010 à 11:08 (CEST)[répondre]
"proprietary" est un adjectif qui s'applique a software comme a technology, si vous considérez que "proprietary software" est un néologisme créé par qqun (Stallman ?), qu'attendez-vous pour donner la source ? Pouvez-vous au moins donner la page de son livre dans lequel il prétend avoir créé ce terme ? Comment pouvez-vous laisser dans l'introduction que la propriété sur le logiciel n'est pas reconnue France en mélangeant logiciel et brevet ? IP 74.115 (d) 13 septembre 2010 à 12:37 (CEST)[répondre]
6) et 7) sont des références vers wikipédia -> pas acceptable.
1) et 5) parlent de "proprietary" dans le sens de technologie ; encore faut-il démontrer qu'un logiciel est une technologie (pour l'instant, ce sont des opérations mathématiques).
2) ok, si un logiciel est un produit. (lien vers la definition complète)
3) définition de "proprietary" seule, pas de cadre informatique
4) rien à dire à part que je ne sais pas si techdictionary.com est une source sérieuse
Pour la traduction de "proprietary", mon dico me dit que c'est "individuelle (entreprise)" en français ([5]) et la traduction de "propriétaire" en anglais est "owner, landlord, proprietor" ([6]). Il n'y a que google translate pour traduire "proprietary" en "propriétaire" ([7]). Travailler depuis l'anglais ajoute ici une difficulté dont il faut tenir compte. Romainhk (QTx10) 15 septembre 2010 à 10:50 (CEST)[répondre]

Travail collaboratif ?[modifier le code]

Smily, ça ne vous gêne pas de continuer à modifier l'introduction tout seul sans donner aucune référence de vos affirmations alors que par deux fois celle que j'ai proposée a été purement et simplement effacée ? IP 74.115 (d) 13 septembre 2010 à 07:12 (CEST)[répondre]

En parlant de travail en collaboration, vous êtes toujours invité à corriger/commenter mes modifications sur votre introduction. "Purement et simplement" : non, je l'ai déplacé ici pour commentaires. Romainhk (QTx10) 13 septembre 2010 à 10:13 (CEST)[répondre]
... :-) 13 septembre 2010 à 13:13 (CEST)[répondre]
J'attends de voir les sources demandées à Smily, sinon à quoi bon ? IP 74.115 (d) 13 septembre 2010 à 13:29 (CEST)[répondre]
Mais dit moi, t'es combien dans ton IP? Vous êtes tout seul a vos opposer a ce que tout le monde se tue a expliquer et a référencer depuis le début. Vous compter tenir combien de temps comme ça a refuser de lire que qu'on explique et référence a tour de bras et a jouer les victimes en clamant l'absence de référence. T'es payé pour embrouiller l'article ou juste incapable de lire les références qu'on donne? :-) 13 septembre 2010 à 13:45 (CEST)[répondre]
Je vais continuer à te demander des références aussi longtemps que tu refuseras de le faire, mais je peux t'aider à résumer la liste qui s'allonge à chacune de tes affirmations, la dernière étant que le propriété logicielle n'est pas reconnue en Europe. Par contre je ne réponds pas à tes commentaires incorrects. IP 74.115 (d) 13 septembre 2010 à 15:57 (CEST)[répondre]

commentaire de modification[modifier le code]

« ou bien un logiciel qui est la propriété exclusive d'un auteur ou d'un éditeur de logiciels selon la quasi totalité des dictionnaires informatiques consultables en ligne »

C'est faux, quel que soit le type de logiciel. => Une partie du logiciel est concerné par les droit d'auteur (qui peuvent, ces droits, appartenir a des titulaire qui ne sont pas les auteurs), et une autre partie du logiciel ne peut y être soumis car elle est du domaine de l'idée. éxpliqué et rééxpliqué en long et en large dans l'échange si dessus avec notamment cette référence. P2

La référence au dictionnaire est fallacieuse car elle ne concerne pas l'expression logiciel propriétaire, mais la définition du terme anglais proprietary tout seul, alors que tout le monde s'accorde a dire que la notion de logiciel propriétaire use d'une terminologie inapproprié.

Donc

  1. La notion de logiciel libre est apparue pour définir des libertés.
  2. La notion opposé a été nommé logiciel propriétaire, effectivement avec une terminologie mal a propos, et c'est effectivement relatif au mouvement du libre, cette précision là au moins est pertinente.
  3. La notion se serrait rapproché de l'expression de propriété du logiciel ... pourquoi pas, je ne peut pas affirmé le contraire mais perso je ne l'ai pas constaté. C'est ce point qui doit être trouver une référence si on veux avancer sérieusement.

S'il faut référencer mot par mot l'intro alors que les référence sont dans le corps du texte, il n'y a pas de problème, on peut, ça serra juste un peut ridicule, mais ça ne faussera pas l'exposé. :-) 13 septembre 2010 à 12:34 (CEST)[répondre]

Autre éléments : l'implication ajouté qui sous entend que cette appellation ne sort pas du cercle fermé de la communauté du libre et qu'elle n'auraient pas cours dans l'industrie. Un exemple qui prouve a l'évidence le contraire. http://www.items.fr/IMG/pdf/Etude_sur_l_Industrie_du_Logiciel_Partie_2-Rapport.pdf (je me ferrais un plaisir d'en fournir d'autre sur demande) :-) 13 septembre 2010 à 12:59 (CEST)[répondre]
Et bien la propriété logicielle est exclusive de ce qui est protégé et pas le reste. C'est pareil pour la propriété foncière, il y a des limites, vous possédez une maison mais parfois vous n'avez même pas le droit de modifier le type de la toiture.
Faites un paragraphe pour indiquer ce qui est protégé et ce qui ne l'est pas.
"que tout le monde s'accorde à dire" : Qui ? Sources ?
"elle ne concerne pas l'expression logiciel propriétaire" : Comment le savez vous ? Où est-ce écrit ?
"La notion opposé a été nommé logiciel propriétaire" : pour Stallman ? Source ? Et le reste du monde ne compte pas ?
"l'implication ajouté qui sous entend que cette appellation" : Quelle appellation ? IP 74.115 (d) 13 septembre 2010 à 13:19 (CEST)[répondre]
C'est pas le sujet. la notion est né du libre, c'est comme ça et c'est référencé. Si vous refuser le lire les références ca deviens l'art de foutre la merde, je suis de plus en plus certain que c'est le seul but de votre présence ici. et a mon avis les admins vont finir par se saisir de ce qui deviens flagrant. :-) 13 septembre 2010 à 13:49 (CEST)[répondre]
"la notion est né du libre, c'est comme ça et c'est référencé", Avez-vous une référence, quels auteurs, quand ?
"je suis payé", maintenant "les admin vont finir...", je ne réponds pas à vos propos incorrects, j'attends toujours vos sources dans le texte de l'introduction actuelle. IP 74.115 (d) 13 septembre 2010 à 16:09 (CEST)[répondre]
La naissance du la notion du libre dans la vie de stallman est le point le plus lointain qu'on puisse atteindre dans l'origine de l'utilisation ensemble des terme "logiciel propriétaire. Ca remonte aux années 80 et a l'émergence du mouvement issue pour le logiciel libre. La référence a l'ouvrage qui retrace cette période (on peut pas faire mieux) vous la refusez sous prétexte que ça ne colle pas avec le terme propriété utilisé, mais c'est vous qui n'avez aucune source antérieur a y opposer.
Plusieurs autres contributeur se sont donnée du mal a l'expliquer, a expliquer que vos référence a wikipédia ne sont pas valable et vous les ressortez encore, a vous expliquer que la notion utilise les deux termes ensemble et vous rejouez le petit jeux de la définition de propriétary tout seul, a tel point qu'il deviens franchement difficile a croire a de la bonne fois. Oui mes propos sont incorrect, mais ouvertement au moins. Votre position qui consiste a entretenir un débat sans tenir conte des réponses n'est certainement pas moins incorrect.
Reste un problème réel, celui d'une notion qui utilise une terminologie inapproprié. Est-ce un prétexte suffisant pour effacer l'existence même de cette notion dans la terminologie? A ce jeu là on pourrait dire que qu'un black mail (chantage) ne peut s'écrire que sur un papier noir, qu'un corbeau (dans la même veine) ça doit forcément voler, qu'un "entrechat" c'est pas humain ça concerne les chats, qu'un logiciel libre est un logiciel qui n'est pas condamné par la loi, et qu'une envolé lyrique c'est une sorte de harpe avec des ailles comme le représente certaines bandes dessinées. mais biensur je refait un débat qu'on peut poursuivre en retournant au début puisque ça a déjà été détaillé en long et en large, et plusieurs fois encore, alors je renvoie au début pour le poursuivre, nos claviers y gagneront #Logiciel libre. :-) 14 septembre 2010 à 10:29 (CEST)[répondre]
"La référence a l'ouvrage qui retrace cette période" est une source première, habituellemnt refusée dans Wikipédia.
Qui a parlé d'effacer la référence à Stallman ? Je demande seulement de la remettre à sa place et de ne pas faire comme si ses vues étaient partagées par tout le monde.
"black mail" : encore un commentaire à côté de la plaque, si vous ne connaissez pas l'anglais laissez tomber les problèmes de traduction (?) "proprietary software" ne pose aucun problème de traduction, ça signifie "logiciel propriétaire" (en adjectivant un nom ce qui est assez banal même en français) et ça veut "logiciel ayant un propriétaire". Au passage le "logiciel libre" a aussi des propriétaires, donc c'est l'expression "logiciel libre" qui est aussi vague et problématique que "Encyclopédie libre" qui cause beaucoup de soucis avec les nouveaux contributeurs.
Oui vous pouvez refuser de neutraliser l'article mais ce n'est pas une attitude très wikipédienne selon moi. IP 74.115 (d) 14 septembre 2010 à 11:44 (CEST)[répondre]
CQFD, votre but est bien d'effacer le principe de logiciel libre. :-) 14 septembre 2010 à 15:06 (CEST)[répondre]
A nouveau des propos incorrects, il suffit de consulter mes deux propositions d'introduction dans l'historique. CQFD ? IP 74.115 (d) 14 septembre 2010 à 15:23 (CEST)[répondre]
Oui justement, elle font du logiciel libre un type de logiciel propriétaire, sous entendu c'est n'importe quoi les thèses du libre. :-) 14 septembre 2010 à 16:34 (CEST)[répondre]
Je vous laisse à nouveau la responsabilité de vos insinuations. Il y a deux aspects dans le "logiciel libre", une licence de distribution, et une doctrine politique, ça c'est factuel et neutre. Pour la doctrine idéologique lire ceci qui est sans ambiguité : "Le logiciel propriétaire (peut-être comprendrez-vous commercial et industriel), dont le « libre » est une alternative affichée devient aux yeux de certains un ennemi objectif. La simple concurrence du marché ne peut suffire à expliquer leur engouement. Ils parlent de choix de société et trouvent parfois un écho favorable chez certains responsables politiques nationaux, qui ajoutent le thème dans leurs programmes." IP 74.115 (d) 14 septembre 2010 à 21:00 (CEST)[répondre]

Proposition de distinction de deux article sur "la notion de propriété relativement au logiciel" et "la notion de logiciel distinct des logiciels libre".[modifier le code]

Après un coup de colère je viens de réalisé qu'en fait si on pratique cette distinction les polémiques n'auront plus de support. Des opposition à ce qu'on procède a cette distinction? :-) 13 septembre 2010 à 14:10 (CEST)[répondre]

Pourquoi pas, il y a certainement des choses intéressantes à faire. IP 74.115 (d) 13 septembre 2010 à 20:13 (CEST)[répondre]
Pour aller dans votre sens je vous propose ce qui suit, "Logiciel propriétaire" sans contenu mais avec une désambiguïsation : soit "Un cas particulier de technologie propriétaire.", soit "Dans la terminologie du logiciel libre, un logiciel non libre". La notion de "logiciel distinct des logiciels libres" peut être développée dans logiciel libre il me semble si ce n'est pas déjà assez détaillé. IP 74.115 (d) 13 septembre 2010 à 20:30 (CEST)[répondre]
Vous voulez effacer cet article? :-) 14 septembre 2010 à 10:36 (CEST)[répondre]
Je suis contre une séparation pour la simple et bonne raison qu'il n'y a pas d'usage de "logiciel propriétaire" en dehors d'une opposition au logiciel libre : j'ai parcouru les 10 premières pages de résultat google sur "logiciel propriétaire" et je ne rien trouvé à part ceci, qui est loin d'être une référence. Romainhk (QTx10) 14 septembre 2010 à 11:08 (CEST)[répondre]
J'ai fait cette proposition pour jouer le jeu mais je savais parfaitement qu'elle serait refusée tôt ou tard. Non Romainhk, il n'y a d'opposition que pour les gens du logiciel libre, les autres n'ont aucune raison d'adhérer à ce filtre. Le "propriétaire" n'est pas plus opposé au "libre" qu'il ne l'est du freeware, car 99% du propriétaire qui nous intéresse est payant et le freeware est gratuit. Vous continuez de voir cette question à travers les thèses de Stallman, c'est ce que j'appelle orienter l'article (non neutre). Si vous étiez cohérent vous demanderiez de faire un renvoi de cet article vers logiciel libre. IP 74.115 (d) 14 septembre 2010 à 11:34 (CEST)[répondre]
Joli trope : vous mélangez "accord" et "refus" (catégorique). Une redirection, c'est autre chose ; pourquoi pas (mais cela rallongerait beaucoup l'article logiciel libre ; et faudrait mélanger deux choses contraires, pas toujours facile à faire). "Les autres" : Encore une fois, Qui ? Qui parle de "logiciel propriétaire" (l'expression entière) sans penser au logiciel libre ? Où ?
S'il y avait d'autres points de vue défendable (sourçable ; c'est-à-dire un "état de l'art"), je serais d'accord pour les inclure aussi : voila la neutralité de point de vue. S'il n'y a qu'un point de vue défendable, c'est dommage, c'est tout. Si wikipédia était écrite il y a 1500 ans, l'article Terre préciserait comme certain qu'elle est plate. Défendez votre point de vue et alors l'on pourra aviser de comment l'inclure avec le reste. Romainhk (QTx10) 14 septembre 2010 à 13:47 (CEST)[répondre]
Romainhk, je ne vois toujours pas de référence indiquant que "logiciel propriétaire" a été inventé par le logiciel libre et à quelle date, ni de référence d'un ouvrage de Stallman indiquant qu'il revendique cette création, alors qu'attendez vous ? Je pense même qu'il récuse cette appellation au profit de "logiciel privateur" n'est-ce pas ? Je vous ai donné 5 ou 6 liens de définition de "proprietary software" qui ne comporte aucune mention de "logiciel libre", combien vous en faut-il ? Encore une fois puisque vous prétendez que Logiciel propriétaire ne concerne que le logiciel libre, pourquoi n'écrivez vous pas : "Le logiciel propriétaire est une expression qui n'est utilisée que dans le monde du logiciel libre avec le sens de logiciel non libre." et pour bien faire renommez l'article en "Logiciel propriétaire d'après le logiciel libre". Là vous serez neutre à mon avis, autrement vous faites de la propagande. IP 74.115 (d) 14 septembre 2010 à 15:00 (CEST)[répondre]
Un mot n'appartient à personne (encore heureux ; exception faite des marques). Il n'y a pas à montrer que le terme ait été "inventé" (il n'y a que l'académie pour inventer des mots ^^) par le mouvement du logiciel libre, il suffit d'en constater l'usage majoritaire. Pour vos références, je veux bien les re-critiquer une par une. Arrêter de déformer mes propos, vous me faites l'avocat d'une idéologie, ce que je refuse : je n'ai jamais dis que le "logiciel propriétaire ne concerne que le logiciel libre" (ce qui est faux d'ailleurs), mais je constate que le terme n'est utilisé que dans le cadre libriste. Qu'importe votre définition de neutralité, vous ne croyez pas à la neutralité par les sources ? Dans ce cas, il vaudrait mieux vous y faire car c'est un des principes fondateurs de Wikipédia. Romainhk (QTx10) 15 septembre 2010 à 10:25 (CEST)[répondre]
J'ai proposé de distinguer les notions sans qu'il ne soit question de terminologie (d'où la formulation du titre). :-) 14 septembre 2010 à 13:26 (CEST)[répondre]
Pas pratique comme nom d'article aussi :S. Romainhk (QTx10) 14 septembre 2010 à 13:47 (CEST)[répondre]
Pas pratique et pas valable pour les liens interlangue surtout, mais sur le principe de traiter distinctement la notion de propriété en matière de logiciel? Ca reste un vaste sujet qui doit être distinguer de celui-ci si on souhaite avancer, non? :-) 14 septembre 2010 à 17:03 (CEST)[répondre]
Faites une proposition, mais même si on a plusieurs articles il faudra apporter des sources, on est sur Wikipédia, pas dans un forum militant. IP 74.115 (d) 14 septembre 2010 à 21:02 (CEST)[répondre]

Retrait du passage "La vision développée..."[modifier le code]

Le passage : « La vision développée par cette communauté est fortement politisée, son principal inspirateur Richard Stallman se déclare "contre la société de marché", considére que le "logiciel propriétaire est immoral et ne doit pas exister" et déclare ne pas s'intéresser à la viabilité économique des entreprises créant des logiciels libres [1]. »

Commentaires :

  • "fortement politisée" : qui ? où ? quand ? on devrait avoir une avalanche d'exemples de débats politiques/médiatiques ici.
  • reprise tronquée d'une source primaire (interview) : extrait
    • Journaliste : « Comment les entreprises développant des logiciels libres peuvent-elles vivre de leurs programmes ? »
    • RMS : « Cette question ne m'intéresse pas. Moi, je suis contre la société de marché. Je dis : tant qu'on respecte les libertés des autres, on peut faire du commerce. En revanche, si vous développez un programme mais que vous avez peur qu'on vous emprunte des idées, alors, ne faites rien ! »
Elle ne l'interesse pas, soit, c'est son avis personnel ; il a pourtant déjà publier plusieurs manières de faire de l'argent avec du logiciel libre (manifeste gnu...).
"Moi, je suis contre la société de marché." ; encore un avis personnel, mais il ne faut pas séparer cette phrase de la suivante, qui explique son point de vue là-dessus : "Je dis : tant qu'on respecte les libertés des autres, on peut faire du commerce." ; il place les libertés fondamentales et morales avant la liberté de commerce.
  • fixation hors propos sur stallman : il n'a pas le monopole du... libre. Pour compléter sa biographie, c'est par ici.
  • par contre, la phrase le "logiciel propriétaire est immoral et ne doit pas exister" irait très bien ailleurs dans l'article (mais pas dans l'intro car c'est l'avis d'une personne). Romainhk (QTx10) 16 septembre 2010 à 09:21 (CEST)[répondre]
D'accord avec ce retrait et les points présentés ci-dessus. D'autant que je viens juste de retravailler l'intro pour l'alléger. IP 74.115 devrait lire vers quoi un bon article doit tendre. Le point 2 en est :
  • Il commence par une définition et une description claire du sujet. L'introduction amène et explique le sujet clairement et précisément, sans entrer dans des détails inutiles : c'est un résumé introductif.
Les développements n'ont pas leurs place dans l'intro. Qui plus est l'ajout parlait de communauté avant même que celle-ci soit identifié, chose faite dans le paragraphe suivant. On ne peut pas non plus attribuer à toute une communauté l'opinion d'un de ses membres au-delà des sujets qui les fédère, fut-il un membre éminent. --Psychoslave (d) 16 septembre 2010 à 09:34 (CEST)[répondre]
note: Je me suis permis de modifier la mise en forme de vos réponse pour mieux identifier qui dit quoi. N'hésitez pas a revenir en arrière si vous jugez que j'ai eut tords.
Je pense que présenté dans le développement, sans volonté de déstructurer les sens, ça peut expliquer pourquoi ce terme de propriété se retrouve dans cette expression, et permettre comprendre et donc de dépasser la confusion entre logiciel propriétaire et propriété du logiciel que beaucoup font en toute bonne fois. :-) 16 septembre 2010 à 12:24 (CEST)[répondre]
Je constate que vous faites votre marché dans les déclarations de Stallman, vous lui attribuez la paternité de "logiciel propriétaire" sans donner aucune source malgré mes demandes répétées, vous en concluez que le point de vue des éditeurs de logiciels propriétaires peut être passé sous silence, et vous rejetez des déclarations de Stallman sourcées. IP 74.115 (d) 16 septembre 2010 à 12:36 (CEST)[répondre]
Ben non, c'est vous qui faite votre marché dans les déclarations de Stallman et qui au passage donnez une sources qui confirme, même si 2001 c'est un peut tardif. :-) 16 septembre 2010 à 13:15 (CEST)[répondre]
Le point de vu des éditeurs de logiciels propriétaire peut être développé dans le texte. Merci encore une fois de ne pas surchargé l'introduction. Il me semble difficile de concilier le développement des points de vues tout en répondant au besoins de concision de l'intro. --Psychoslave (d) 16 septembre 2010 à 15:54 (CEST)[répondre]
Omettre le point de vue des éditeurs de logiciels propriétaires (pour définir "logiciel propriétaire" !) alors qu'ils représentent 97,6% de part de marché en France (2007), c'est enfreindre massivement la neutralité de point de vue. Merci de confirmer si vous allez insister dans cette voie ou non. IP 74.115 (d) 16 septembre 2010 à 16:26 (CEST)[répondre]
Il ne s'agit pas de l'omettre, il s'agit de ne pas surcharger l'introduction avec les divers points de vu. Si tu estimes que ce point mérite d'être mieux développé dans l'article, en ce qui me concerne, tes contributions sont les bienvenus. --Psychoslave (d) 16 septembre 2010 à 16:57 (CEST)[répondre]
Pourquoi imposes-tu ton point de vue et comment peux-tu mettre dans l'introduction une conception qui correspond à seulement 2,4 % de part de marché ? Que fais-tu du respect du poids des points de vue dans la société ? IP 74.115 (d) 16 septembre 2010 à 17:07 (CEST)[répondre]
Une part de marché n'a pas de point de vu, même si tu avais cité une source pour appuyer ton chiffre. Je ne cherches pas à imposer mon point de vu mais à maintenir une introduction courte. Les différents points de vu peuvent être développés dans l'article. --Psychoslave (d) 16 septembre 2010 à 18:28 (CEST)[répondre]
40 mots contre 64 pour l'introduction de logiciel libre, c'est court. IP 74.115 (d) 16 septembre 2010 à 20:06 (CEST)[répondre]

Fusion de pages[modifier le code]

Je vais demander la fusion des pages Licence propriétaire et Logiciel propriétaire qui reprennent exactement les mêmes contenus et qui toutes les deux sont exactement conforme au point de vue du "logiciel libre" (pov-pushing évident). IP 74.115 (d) 16 septembre 2010 à 17:18 (CEST)[répondre]

Fait ici. IP 74.115 (d) 16 septembre 2010 à 17:26 (CEST).[répondre]

Où est la neutralité ?[modifier le code]

Psychoslave, expliquez-nous pourquoi vous donnez une définition de "logiciel propriétaire" correspondant à la communauté du logiciel libre alors que par définition ils n'en font pas ? Comment peut-on prendre la définition de gens qui se déclarent ennemis du logiciel propriétaire (voir votre lien 1, GNU) ? Si vous ne voulez qu'une seule définition, ça ne vous parait pas plus logique de donner la définition de ceux qui en font à savoir les éditeurs de logiciel propriétaire ? IP 74.115 (d) 16 septembre 2010 à 22:21 (CEST)[répondre]

Tu mélanges la définition et la source donnée pour cette définition. La définition est neutre : logiciel sous licence propriétaire. Tu peux ajouter d'autres sources pour cette définition si tu le souhaites. --Psychoslave (d) 17 septembre 2010 à 11:11 (CEST)[répondre]
La définition n'est pas neutre puisqu'elle ne donne que le point de vue du "logiciel libre" (la communauté) sans dire que c'est sa définition, communauté qui est publiquement hostile au "logiciel propriétaire", on ne pourra pas avancer si tu n'admets pas ça. Tu te permets de réverter toutes mes modifications totalement sans proposer aucun amendement et d'insérer les tiennes en supprimant même les modif. des autres contributeurs, tu te comportes comme si tu étais l'auteur unique de l'article. Je ne pense pas que tu changeras d'attitude, aussi es-tu d'accord pour qu'on demande conjointement un arbitrage, non sur le contenu mais sur la démarche de collaboration et le respect du principe de neutralité ? IP 74.115 (d) 17 septembre 2010 à 11:42 (CEST)[répondre]
Elle ne donne pas le point de vue mais la définition puisque cette définition est la seule en vigueurs qui est accepté et utilisé aux delà de tous cercle. Un utilisateur a quant même exploré les dix première page google, et si tu le faisait tu remarquerais la mêmes choses! S'il y a eut utilisation par les éditeurs, c'est a postériori, pour tenter de récupérer la notion et lui donner le sens qu'ils préfèreraient qu'il aient. Ont pourra le préciser aussi.
De plus, s'il y a une préférence commune pour les logiciel libre dans les communauté du libre, forcément, il n'y a pas nécessairement d'opposition au logiciel propriétaire. Stallmann a un point de vue, le plus ancien mais pas le seul, les autres en ont d'autres. Sauf que c'est lui qui est a l'origine du mouvement, et probablement de cette terminologie, alors que lui même ne s'oppose qu'aux restrictions d'utilisation engendré, ce qu'on peut lire si on remet en contexte le trois mot que vous avez sortis du lien : « Le logiciel propriétaire est immoral et ne doit pas exister. Si vous me donnez une copie de ce programme, j'ai le droit de l'utiliser librement. Les utilisateurs ont le droit de décider eux-mêmes ce qu'ils font des logiciels qu'ils utilisent. ». Son point de vue est détaillé dans Pourquoi les logiciels ne doivent pas avoir de propriétaire, mais là encore c'est pas le point de vue de l'ensemble des communautés ; et s'il y a un lien au principe de propriété c'est exclusivement en ce qu'il s'oppose a la libre circulation de chose de l'esprit.
Tu débarque probablement dans les sujets du logiciel libre, et on ne comprend pas tout d'un seul coup, mais c'est pas une raison pour accuser les autre de ne pas admettre tes propres conclusions, qui de mon point de vue n'ont pas a être admise puisqu'elles découlent de lacunes. :-) 17 septembre 2010 à 21:12 (CEST)[répondre]
La source utilisé le texte pour défendre cette idée ( « (...) mid-1970s it was usual to find proprietary software » ) cite Jesus M. Gonzalez-Barahonain et c'est lui qui le nomme ainsi a postériori en 2000, a partir du principe de "propriété intellectuelle" qui lui date de 1967 apparemment. Et dans quel contexte il emploie cette terminologie? A brief history of open source software! Sérieusement, c'est avec ça que vous voulez affirmer que la notion existe indépendamment de la définition donné par les mouvement du logiciel libre (dont l'open source fait partie)? :-) 17 septembre 2010 à 21:24 (CEST)[répondre]
Je ne vois toujours pas de référence indiquant que Stallman ou la communauté du logiciel libre revendiquent la paternité de l'expression "logiciel propriétaire".
"Cette définition est la seule en vigueur", par quel organisme officiel ? As-tu une référence ?
"la seule en vigueur" mais "pas utilisée par les éditeurs", tu n'as pas peur de te contredire ?
Les 10 premières pages de Google, c'est une référence pour Wikipédia ? Ça signifie quoi, que le "logiciel libre" est très fort pour noyer le web avec sa "philosophie" ?
"le sens qu'ils préfèreraient qu'il aient", qui est aussi le sens légal (CLUF) aux Etats-Unis et dans tous les pays du monde, ça c'est une vraie référence.
"Stallmann a un point de vue", tu mets Stallman en avant quand ça t'arrange et tu le minimises aussi quand ça t'arrange.
"Tu débarque probablement dans les sujets du logiciel libre", qu'en sais-tu ?
"la notion existe indépendamment de la définition donné par les mouvement du logiciel libre", ok j'ajoute ceci dans l'introduction qui lève déjà selon moi beaucoup d'ambiguités : "Ces termes concernent le contexte du logiciel libre et ne sont pas usités par les éditeurs de logiciel propritétaires".
Ça sera probablement une dernière tentative avant de demander un arbitrage, il semble impossible de contribuer à cet article malgré de nombreuses propositions et une grande patience, je considère que le pov-pushing qui s'y opère ne laisse aucune chance de neutralisation. IP 74.115 (d) 17 septembre 2010 à 22:23 (CEST)[répondre]
J'essaie de faire des efforts pour rendre l'article plus neutre. Mettre des affirmations polémiques comme « selon la vilaine propagande de RMS » dans l'intro ne va pas en ce sens (je grossi le trait mais c'est le ton qu'il me semble on peut décelé dans tes propos). Je ne peux pas donc les laisser. Je ne fait pas des modifications pour passer sous silence des thèses, mais dans l'optique d'en faire un bon article. J'ai par exemple modifié l'intervention de smily parce qu'elle me semblait trop abscons tout en tenant compte de la remarque ci-dessous comme quoi tout logiciel propriétaire n'est pas forcément sous licence libre. Je prend également en compte tes remarques. Tu remarqueras que je n'ai pas hésiter à ajouté une référence vers une page du site officiel de microsoft qui traite du sujet. Le fait est qu'il n'y a pas beaucoup de matière du coté des éditeurs de logiciel propriétaire sur le sujet. Je ne supprime pas ce que tu écris quand cela ne me paraît pas relevé du pamphlet, par exemple « Certains éditeurs de logiciels propriétaires utilisent ce terme en référence au droit de la propriété intellectuelle », mais j'apprécierais que tu sources de tels propos. J'ai pas mal cherché (preuve en est j'ai trouvé des sources qui indiquent que les deux termes apparaissent à peut prêt au même moment), mais je n'ai rien trouvé. Sur le même point tu te plaints que le libre n'a pas la paternité du terme logiciel propriétaire en soulignant qu'il n'y a pas de source à ce sujet (tu as bien raison) mais tu ne fournis aucune source qui en désigne un autre. Une source serait la bienvenu donc. --Psychoslave (d) 18 septembre 2010 à 09:53 (CEST)[répondre]

références[modifier le code]


Le problème du rapport à la licence :[modifier le code]

L'intro dit "désignent tout logiciel distribué sous une licence propriétaire." C'est faux, le cas des logiciel du domaine public don les sources ne sont pas disponible n'entre pas dans cette définition or il sont considéré comme des logiciel propriétaire :http://www.gnu.org/philosophy/categories.fr.html

Comme dans la définition du logiciel libre c'est une distinction forte, au cœur du sujet, celui de la distinction du principe même. :-) 17 septembre 2010 à 12:59 (CEST)[répondre]

"des logiciels dont l'utilisateur ne détient qu'un nombre restreint de droits" c'est pas exact non plus. C'est l'auteur qui détiens des droits, l'utilisateur lui, il a des possibilités légale d'utiliser, et ce que j'explique pour le domaine publique montre bien que c'est pas seulement un problème de légalité, puisque dans le cas des logiciels du domaine public l'utilisateur "détiens tous les droit" qu'on veux pour reprendre tes termes, mais il n'a pas la possibilité d'utiliser le logiciel dans les sens définies pour le logiciel libre.
Ce qui parait être du chipotage sur la terminologie est en fait le cœur de la définition que vous tenter d'établir en terme juridique mais qui en fait n'est pas établie selon ce cadre. :-) 20 septembre 2010 à 13:05 (CEST)[répondre]
Puisque la modification n'a pas été faite j'en ai fait une. Autre point non précisé au dessus : on ne peut pas le définir relativement a l'utilisateur finale. C'est bien l'utilisation, y compris par les programmeurs et éditeurs qui est en cause. L'aspect droit d'utilisation est plus précisément le sujet de l'article licence propriétaire. Un exemple est la base BSD utilisé pour mac OSX. Cette utilisation modification et étude et redistribution a été autorisé par ce que le logiciel initial n'était pas propriétaire. Par contre il n'était pas copylefté, la diffusion libre n'était pas imposé, ce qui est bien une restriction des droits de l'utilisateur qui ne fait pas du logiciel un logiciel propriétaire. :-) 21 septembre 2010 à 09:39 (CEST)[répondre]
OS X est un logiciel proprio pour autant que je sache. Je ne peux pas en distribuer des copies par exemple. Il incorpore des logiciels libres, mais ça ne fait pas de l'ensemble un logiciel libre. --Psychoslave (d) 21 septembre 2010 à 17:40 (CEST)[répondre]
 
Je n'aime pas ce que tu as proposé comme modif, je trouve la phrase trop alambiqué pour être compréhensible de prime abord. --Psychoslave (d) 21 septembre 2010 à 17:44 (CEST)[répondre]
Oui pour OSX, et justement, cette utilisation n'auraient pas été possible sur une base de logiciel propriétaire. C'est la preuve qu'on ne peut pas le définir que relativement a l'utilisateur finale.
Oui aussi pour la modif, je trouve que tu as raison sur la complexité de la phrase, mais malheureusement l'ensemble du sujet n'est pas accessible de prime abord. Si j'embrouille c'est aussi que j'essaye de me passer du simple " qui n'est pas un logiciel libre", mais c'est surement un tord. N'hésite pas a ré-modifie, à force on finira bien par trouver un truc à la fois simple et juste. :-) 22 septembre 2010 à 10:38 (CEST)[répondre]
D'après les références pointé dans l'intro pour les terminologies on a :
  • pour gnu : « tous les logiciels qui ne sont pas libres » pour non-libre et « un logiciel qui n'est ni libre, ni semi-libre » pour logiciel propriétaire.
  • Pour l'April c'est les programment qui « privent les utilisateurs de leurs libertés » pour logiciel privateur (en substitution de logiciel propriétaire)
  • Pour Debian c'est ceux « qui ne sont pas conformes aux principes du logiciel libre selon Debian » qui sont dit non-libre.
Chez Debian c'est utilisé non pas pour définir le mot mais pour qualifier ces dépots, c'est sensiblement différent, mais le « Qui ne sont pas conforme aux principe du logiciel libre. » me parait bien. :-) 22 septembre 2010 à 11:01 (CEST)[répondre]
Voilà, j'ai fait une nouvelle proposition. Cela me paraît moins abscons, mais évidement je suis le moins bien placé pour juger de ça. À mon humble avis, on devrait également arrêté l'intro juste après « Les droits des utilisateurs de logiciels propriétaires sont souvent réduits à son exécution pour des usages donnés. », et déplacer le reste dans des sections appropriés. --Psychoslave (d) 23 septembre 2010 à 09:59 (CEST)[répondre]
Pas mal du tout. Je pense que "l'axe du point de vue" est le bon.
Oui pour arrêter l'intro et replacer le reste a sa place.
Pour fignoler je dirais "pour les utiliser, y compris pour les faire évoluer, indépendamment de celui qui détiens les droits". La singularité du logiciel libre sous l'aspect juridique c'est justement que les licences stipulent une forme d'indépendance à celui qui détiens les droits, donc dans le fond la tournure est drôlement bien trouvé. :-) 23 septembre 2010 à 10:39 (CEST)[répondre]

Je propose de fusionner les pages Licence propriétaire et Logiciel propriétaire qui contiennent le même contenu, ca ressemble à du rabachage des mêmes thèses. IP 74.115 (d) 16 septembre 2010 à 17:24 (CEST)[répondre]

Contre. Comme indiqué sur la PDD la première page est un fork de la seconde qui est né justement du besoin de traiter les deux sujets (qui sont évidemment liés) à part. Il serait plus constructif d'aider au développement des deux articles. --Psychoslave (d) 16 septembre 2010 à 18:04 (CEST)[répondre]
Contre Ca reviendrais à effacer ce qui dans la notion de logiciel propriétaire n'est pas une question de licence. Techniquement les logiciels du domaine publique n'ont pas de licences, ils n'en sont pas moins soit des logiciels propriétaire si les sources sont indisponibles soit des logiciel libre si elle sont disponible (source). (pour info ce sujet est issue d'un troll démarré depuis un moment [ici]).
Unanimitée contre la proposition, j'archive la requête.--Nouill (d) 21 septembre 2010 à 09:44 (CEST)[répondre]

De la propriété intelectuelle aux logiciels propriétaire[modifier le code]

Si on veux faire remonter l'histoire de la notion à celle de propriété intellectuelle, puisque ça reste planté au milieu de l'intro, on peut peut être prendre exemple sur l'article anglais sur l'histoire du logiciel libre (en:History_of_Free_Software) et exposer la façon dont la chose a été amené vers le logiciel ( avec notamment l'allusion à la lettre de bill gate An Open Letter to Hobbyists de 1976), et rappeler que au milieux des années 70 ça ne coulait donc pas de sources d'appliquer la chose aux logiciel. Il y a eut d'abord un mouvement demandant son application au logiciel avant que ça n'entre en pratique puis que ce soit combattue et appelé "logiciel propriétaire".

L'ensemble de cette histoire me semble entrer dans le sujet de cet article même si c'est peut être un peut court présenté comme ça, trop caricaturale dans les personnifications notamment. Mais peut être qu'il faut effectivement remonter aux prémisses antérieur au termes pour aboutir a une présentation plus complète et éviter les raccourcis un peut trop rapides. :-) 2 octobre 2010 à 12:47 (CEST)[répondre]

Je suis d'accord : une description du contexte (les années 60-70 aux USA) dans lequel est apparu la notion de logiciel propriétaire peut-être utile (prendre l'exemple de la lettre de Gates, des premières applications du droit d'auteur...). Romainhk (QTx10) 4 octobre 2010 à 15:24 (CEST)[répondre]
(edit) Je viens de voir qu'il y avait déjà une partie "Historique" ; il suffirait de la développer plus. Romainhk (QTx10) 4 octobre 2010 à 15:42 (CEST)[répondre]

ref Benkeltoum 2009[modifier le code]

On veux écrire que la distinction entre logiciel libre et logiciel propriétaire est historiquement daté sur la base de cette référence p 109.

Moi je n'y lis que les dates de créations des premiers ordinateur individuelle et du système apranet. Je veux bien que ce soit lié, c'est tout le sujet de la thèse, mais 1-c'est une thèse, 2- le rapport au notion logiciel propriétaire et logiciel libre n'est même pas évoqué sur cette page! :-) 8 octobre 2010 à 12:17 (CEST)[répondre]

Réponse :

La thèse évoque cette distinction à plusieurs reprises : aux pages 108-109 (cela commence un peu plus haut pour le passage entier, il n'est pas fait référence à "logiciel propriétaire" mais à logiciel fermé, l'idée est toutefois là), aux pages 15-17 (en introduction il y a une longue description relatant cette scission).

Les références sont mises à jour dans l'article.

Ok, je visais surtout à biens distinguer des évolutions factuelles de l'énoncé de principes. L'origine de la notion fait débat semble-t-il, donc l'origine du "mécanisme" dont traite la thèse doit être présenté de façon non équivoque. La différenciation des mode de fonctionnements est un sujet qu'on peut faire remonter aux années 50-60, alors que leur distinction est difficile a faire remonter avants les années 80. Des sources identifiants la chose en mettant des mots dessus avant cette date serrait d'un grand intérêt pour l'article s'il y en a. :-) 20 octobre 2010 à 14:12 (CEST)[répondre]

Il existe un article Logiciel commercial récemment créé. Je m'interroge sur l'admissibilité de cet article et son rapport avec le présent article sur le logiciel propriétaire. Golfestro (d) 6 mars 2013 à 08:32 (CET)[répondre]

cf ma remarque dans le sujet suivant "Logiciel privateur" où j'explique en quoi "privateur", "propriétaire", et "commercial" sont des sujets indépendants les uns des autres. --Galuel (d) 3 juillet 2013 à 09:35 (CEST)[répondre]

"privateur" est le mot qui signifie "non-libre" (privateur de liberté, alors que propriétaire de liberté n'est pas correct), et pas "propriétaire", ce qui fait que à la base cet article est faussée. Deux mots "privateur" et "propriétaire" sont mal compris, ils ne signifient pas du tout la même chose. En effet l'utilisateur est pleinement propriétaire de son logiciel, qui en retour permet les libertés s'il est libre, ou ne les permet pas s'il est privateur. "Commercial" est aussi indépendant. Ainsi "RedHat" est une distribution GNU/Linux qui est un logiciel à la fois libre (donc non-privateur) et commercial, la société du même nom en faisant une activité économique. L'utilisateur étant pleinement propriétaire de son logiciel libre, tandis que concernant un logiciel privateur, la propriété est aussi acquise, mais sans les libertés logicielles. Il faut donc revoir de placer le terme "Logiciel Privateur" indépendamment de "Logiciel propriétaire" qui ne signifie rien de concordant avec le contenu de l'article à ce jour. --Galuel (d) 3 juillet 2013 à 09:07 (CEST)[répondre]

Je rajoute des exemples pour bien faire comprendre l'incohérence :

  • Jean est propriétaire de son système d’exploitation libre GNU/Linux Debian. De ce fait Jean est en droit de faire le geste de réaliser une copie de sa propriété, et de la transmettre librement à Jacques, qui devient de-facto propriétaire lui aussi d’un système d’exploitation libre.
  • François, propriétaire d’une instance de MS/Windows logiciel privateur, ne peut pas faire le geste équivalent réalisé Jacques, car ce logiciel le prive de toute liberté (d'où le terme juste trouvé par Richard Stallman de "privateur" au sens de privateur de libertés) de transmission d’une copie à un tiers.
  • On notera d’ailleurs que Paul n’est pas en droit de venir sur l’ordinateur de Jean, pour y faire une copie, ou une modification du logiciel libre, sans l’accord explicite de Jean pour cela, car Jean exerce son droit de propriété sur son bien libre.
On voit donc parfaitement par ces exemples précis que propriété et privation de liberté sont deux notions différentes. Nous nous retrouvons dans le même cas que Richard Stallman a magnifiquement résumé dans la phrase “free as in free speech, not free as in free beer”, qui était nécessaire car en Anglais free possède le double sens “libre” et “gratuit”, différencié en Français.

La même raison doit donc nous faire comprendre que le terme “privateur” (de libertés) n’a pas le sens de “propriétaire”. Cet article sur les logiciel n'est donc nommé correctement, il ne fait que participer de la confusion entre notions distinctes. --Galuel (discuter) 16 août 2013 à 11:21 (CEST)[répondre]

Au vu des commentaires précédents il me semble nécessaire de déplacer cet article, car "propriétaire" ne signifie pas "privateur de libertés" pas plus que "non-libre", c'est très clairement faux dans les deux cas au vu des démonstrations effectuées.--Galuel (discuter) 16 août 2013 à 11:21 (CEST)[répondre]

Propagande ?[modifier le code]

J’aimerai bien voir la tête des propagandistes de cet article, si l’article de Wikipédia sur le logiciel libre, était autant pollué par les opinions des partisan(ne)s des logiciels propriétaires sur le logiciel libre, qu’est pollué cet article sur le logiciel propriétaire par les partisans du logiciel libre.

Faut‑il aller faire un tour sur l’article sur le logiciel libre pour y ajouter des choses du style : « le logiciel libre s’oppose au principe que tout travail mérite salaire », « le logiciel libre s’oppose à l’obligation de moyen et de résultat », « le logiciel libre s’oppose au droit de la propriété privé », « le logiciel libre s’oppose au droit patrimonial », « le logiciel libre s’oppose à la garantie », « le logiciel libre s’oppose à la coordination et au strict respect des standards », etc.

Vous imaginez un peu la tête que ferait les propagandistes libristes si on faisait chez eux ce qu’ils se permettent chez les autres ? C’est une poilade cet article ou c’est vraiment censé être sérieux ? Il n’y a pas de borne à la propagande anti‑commerce et anti‑droit d’auteur sur Wikipédia ? Et ça se dit « encyclopédique » ?

D’ailleurs au passage, si ça peut éclairer les libristes : le logiciel est un service, pas un objet physique. Le noter éviterait de confondre plusieurs sens du mot « propriété » et que la propriété sur un logiciel, n’est pas la propriété sur un objet (un fichier binaire), et que la chose qui s’acquière avec un logiciel, n’est pas un fichier, mais un service ou l’accès à une fourniture de service (ce qui s’acquière n’est pas les bits d’un fichier, c’est ce qu’il fait, le service utile qu’il fourni).

--Hibou57 (discuter) 3 janvier 2014 à 05:52 (CET)[répondre]

Open source[modifier le code]

"Le logiciel propriétaire se définit de manière différente par opposition aux logiciels libres et open source."

Attention a ne pas faire de confusion avec logiciel ``closed-source``.

en gros:

  • logiciel propriétaire s’oppose à logiciel libre
  • Open source s’oppose à closed source


  • un logiciel libre et forcement open source
  • un logiciel open source peut être libre ou propriétaire
  • un logiciel propriétaire peut être open source ou close source
  • un logiciel closed source est forcement propriétaire


open sourceclosed source
libreokimpossible
proprietaireokok