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'''''Pipistrellus murrayi''''', la '''pipistrelle de l'île Christmas'''<ref>{{ouvrage|auteur1=Barbara Taylor|titre=Le Livre extraordinaire des animaux disparus|éditeur=Little Urban|année=2022|passage=40-41}}</ref>, est une [[espèce]] [[extinction des espèces|éteinte]] de [[chauves-souris]] de la [[Famille (biologie)|famille]] des [[Vespertilionidae]]. Elle était [[endémisme|endémique]] de l'[[Île Christmas (Australie)|île Christmas]] en [[Australie]]. Elle est parfois considérée comme une [[sous-espèce]] de ''[[Pipistrellus tenuis]]'' sous le [[taxon]] '''''Pipistrellus tenuis murrayi'''''.
'''''Pipistrellus murrayi''''', la '''pipistrelle de l'île Christmas'''<ref>{{ouvrage|auteur1=Barbara Taylor|titre=Le Livre extraordinaire des animaux disparus|éditeur=Little Urban|année=2022|passage=40-41}}</ref>, est une [[espèce]] [[extinction des espèces|éteinte]] de [[chauves-souris]] de la [[Famille (biologie)|famille]] des [[Vespertilionidae]]. Elle était [[endémisme|endémique]] de l'[[Île Christmas (Australie)|île Christmas]] en [[Australie]]. Elle est parfois considérée comme une [[sous-espèce]] de ''[[Pipistrellus tenuis]]'' sous le [[taxon]] '''''Pipistrellus tenuis murrayi'''''. Le dernier spécimen vivant a été aperçu en {{date-|août 2009}}, sans autre observation depuis, malgré des efforts intensifs pour localiser l'espèce<ref name="FlannerySMH">{{article|langue=en|nom=Flannery|prénom=Tim|titre=Unmourned death of a sole survivor|url=http://www.smh.com.au/environment/conservation/unmourned-death-of-a-sole-survivor-20121116-29hbg.html|périodique=The Sydney Morning Herald - Environment|éditeur=Fairfax|consulté le=14 décembre 2012|date=17 novembre 2012}}</ref>{{,}}<ref>{{article|langue=en|nom=<!--Staff-->|date=22 septembre 2017|titre=News at a glance|url=http://science.sciencemag.org/content/357/6357/1216.full|journal=Science|volume=357|numéro=6357|pages=|passage=Christmas Island bat is officially no more}}</ref>.


== Taxonomie et étymologie ==
Le dernier spécimen a été aperçu en {{date-|août 2009}}<ref name="FlannerySMH">{{article|langue=en|nom=Flannery|prénom=Tim|titre=Unmourned death of a sole survivor|url=http://www.smh.com.au/environment/conservation/unmourned-death-of-a-sole-survivor-20121116-29hbg.html|périodique=The Sydney Morning Herald - Environment|éditeur=Fairfax|consulté le=14 décembre 2012|date=17 novembre 2012}}</ref>{{,}}<ref>{{article|langue=en|nom=<!--Staff-->|date=22 septembre 2017|titre=News at a glance|url=http://science.sciencemag.org/content/357/6357/1216.full|journal=Science|volume=357|numéro=6357|pages=|passage=Christmas Island bat is officially no more}}</ref>.
Elle a été décrit comme une nouvelle espèce par le paléontologue britannique [[Charles William Andrews]], dans une monographie publiée en 1900. Son [[nom d'espèce]] ''"murrayi"'' a probablement été inspiré par [[Sir John Murray]], qui a aidé à payer l'expédition d'Andrews sur l'île Christmas où il l'a décrit<ref name="Andrews 1900">{{cite book|last=Andrews| first1= C. W.| date= 1900| title= A Monograph of Christmas Island (Indian Ocean)| publisher= Printed by order of the Trustees| pages=[https://archive.org/details/monographofchris00brit/page/26 26]–28|url=https://archive.org/details/monographofchris00brit}}</ref>.

Elle a parfois été considéré comme synonyme de ''[[Pipistrellus tenuis]]''<ref>{{cite journal|last=Koopman|first=KF|year=1973|title=Systematics of Indo-Australian pipistrelles|journal=Periodicum Biologorum|volume=75|pages=113–116}}</ref>{{,}}<ref>{{cite book|last=Koopman|first=KF|year=1993|chapter=Order Chiroptera|pages=137–241|editor1-last=Wilson|editor1-first=DE|editor2-last=Reeder|editor2-first=DM|title=Mammal Species of the World. A Taxonomic and Geographic Reference|publisher=Smithsonian Institution Press|location=Washington}}</ref> ; cependant, les révisions du genre basées sur le baculum ont identifié ''Pipistrellus murrayi'' comme une espèce distincte<ref>{{cite journal|last1=Kitchener|first1=DJ|last2=Caputi|first2=N|last3=Jones|first3=B|year=1986|title=Revision of the Australo-Papuan Pipistrellus and Falsistrellus (Microchiroptera: Vespertilionidae)|journal=Records of the Western Australian Museum|volume=12|pages=435–495}}</ref>{{,}}<ref name="Hill1987">{{cite journal|last1=Hill|first1=J.E|last2=Harrison|first2=D.L.|date=30 July 1987|title=The baculum in the Vespertilioninae (Chiroptera: Vespertilionidae) with a systematic review, a synopsis of Pipistrellus and Eptesicus, and the descriptions of a new genus and subgenus|journal=Bulletin of the British Museum (Natural History)|volume=52|pages=225–305|ISSN=0007-1498}}</ref>. Cela a été soutenu par des travaux génétiques menés pour le gouvernement australien dans le cadre de son enquête sur le déclin de l'écologie de l'île Christmas et de la pipistrelle à la mi-2009 ; les résultats de cette analyse indiquent que la pipistrelle de l'île Christmas était étroitement apparentée mais distincte des autres pipistrelles asiatiques<ref name="environment.gov.au">{{cite book|title=Revised Interim Report|author=Christmas Island Expert Working Group to Minister for the Environment, Heritage and the Arts|date=July 2009|url=http://www.environment.gov.au/parks/publications/christmas/pubs/revised-interim.pdf}}</ref>.

== Description ==
C'était une petite chauve-souris pesant environ 3 à 4,5 g. Elle avait une fourrure brun foncé<ref name="AU DOE"/>, avec les pointes de ses poils jaunâtres<ref name="Andrews 1900"/>. Son avant-bras mesurait 30 à 33 mm de long. C'était la plus petite espèce de chauve-souris décrite en Australie<ref name="AU DOE">{{cite web |url=http://www.environment.gov.au/cgi-bin/sprat/public/publicspecies.pl?taxon_id=64383 |title=Pipistrellus murrayi — Christmas Island Pipistrelle |author=Department of the Environment |date=2018 |website=environment.gov.au |publisher=Department of the Environment, Canberra |access-date=25 January 2018}}</ref>. Ses oreilles étaient triangulaires et arrondies aux extrémités. Son [[uropatagium]] avait un [[Calcar (chiroptères)|calcar]] distinct. Sa queue dépasse très légèrement (2 mm) au-delà de l'uropatagium. La longueur de sa tête et de son corps était de 35 à 40 mm de long ; sa queue mesurait 30–31 mm de long ; son oreille mesurait 9–11 mm ; sa patte arrière mesurait 6–8 mm de long<ref name="Andrews 1900"/>.

== Biologie ==
Cette espèce se nourrissait d'insectes et se perchait dans les creux des arbres et la végétation en décomposition<ref>{{cite book|last1=Schulz|first1=M|last2=Lumsden|first2=L|year=2004|title=National Recovery Plan for the Christmas Island Pipistrelle ''Pipistrellus murrayi''|publisher=Department of Environment and Heritage|isbn=978-0-642-55012-5|url=http://www.environment.gov.au/biodiversity/threatened/publications/recovery/p-murrayi/introduction.html}}</ref>{{,}}<ref>{{cite book|editor1-last=van Dyck|editor1-first=S.|editor2-last=Strahan|editor2-first=R|year=2008|title=The Mammals of Australia}}</ref>.

== Déclin et extinction ==
La pipistrelle de l'île Christmas a décliné de façon spectaculaire à partir de 1990<ref name = "Lumsden">{{cite book|last1=Lumsden|first1=L|last2=Schulz|first2=M|last3=Ashton|first3=R|first4=Middleton|last4=D|year=2007|title=Investigation of threats to the Christmas Island Pipistrelle. A report to the Department of the Environment and Water Resources|publisher=[[Arthur Rylah Institute for Environmental Research]], Department of Sustainability and Environment|location=Heidelberg, Victoria}}</ref>. Elle était autrefois couramment vue dans toute l'île, y compris dans la colonie<ref>{{cite book|last=Tidemann|first=C|year=1985|title= A study of the status, habitat requirements and management of the two species of bats on Christmas Island (Indian Ocean)|publisher=Australian National Parks and Wildlife Service|location=Canberra}}</ref>.

Une réévaluation du nombre d'individus restants en janvier 2009 a suggéré qu'il ne restait peut-être que 20 individus. Le seul gîte commun connu ne contenait que quatre individus. Trois ans auparavant, il y avait 54 individus dans cette colonie et il y avait plusieurs autres colonies connues de taille similaire. La surveillance au début de 2009 a montré que certaines chauves-souris avaient survécu dans la nature, ce qui a incité le gouvernement australien à annoncer le 1er juillet 2009 qu'il tenterait de sauver la chauve-souris en amenant les derniers individus restants en captivité, avec l'aide de chercheurs bénévoles de la Société des Chauves-souris de l'Australasie<ref>{{cite news|last=Galvin|first=Nick|title=Garrett goes in to bat for species on sticky wicket|url=http://www.smh.com.au/environment/conservation/garrett-goes-in-to-bat-for-species-on-sticky-wicket-20090215-8889.html|work=The Sydney Morning Herald - Environment|publisher=Fairfax|access-date=14 December 2012|date=16 February 2009}}</ref>{{,}}<ref>{{cite web|first1=Peter|last1=Garrett|first2=Warren|last2=Snowdon|date=1 July 2009|title=Christmas Island Ecosystem Rescue|url=http://www.bats.org.au/wp-content/uploads/mr_christmas-island-010709.pdf |access-date=2009-07-28 |url-status=dead |archive-url=https://web.archive.org/web/20090913145413/http://www.bats.org.au/wp-content/uploads/mr_christmas-island-010709.pdf |archive-date=13 September 2009}}</ref>. Début août 2009, le gouvernement australien a autorisé la capture des chauves-souris pour établir un programme d'élevage en captivité. Cependant, après quatre semaines d'enquête, une seule chauve-souris a été localisée grâce à son écholocation. Les chercheurs n'ont pas pu l'attraper et le dernier appel d'écholocation de cette chauve-souris a été enregistré le 26 août 2009, lorsqu'elle s'est tue. Le 8 septembre 2009, le gouvernement australien a annoncé que les tentatives de capture des chauves-souris avaient échoué. Aucune pipistrelle de l'île Christmas n'a été vue ou entendue depuis, et on pense que l'espèce est maintenant éteinte<ref>{{cite news| url=http://www.time.com/time/world/article/0,8599,1946471,00.html | archive-url=https://web.archive.org/web/20091213021855/http://www.time.com/time/world/article/0,8599,1946471,00.html | url-status=dead | archive-date=13 December 2009 | work=Time | date=9 December 2009|title=Should Wild Animals Become Pets to Ward Off Extinction?|first=Marina|last=Kamenev}}</ref>{{,}}<ref>{{cite web|url=http://news.mongabay.com/2012/05/island-bat-goes-extinct-after-australian-officials-hesitate/|title=Island bat goes extinct after Australian officials hesitate|first=Jeremy|last=Hance|date=23 May 2012|publisher=Mongabay}}</ref>. On pense qu'il s'agit de la première extinction de mammifères en Australie en 50 ans<ref name="Martin 2012">{{cite journal| last1=Martin| first1= T. G.| last2=Nally| first2= S.| last3= Burbidge| first3= A. A.| last4= Arnall| first4= S.| last5= Garnett| first5= S. T.| last6= Hayward| first6= M. W.| last7= Possingham| first7= H. P.| date= 2012| title= Acting fast helps avoid extinction| journal= Conservation Letters| issue= 5| volume=4| pages= 274–280| doi= 10.1111/j.1755-263X.2012.00239.x}}</ref>.

== Cause du déclin ==
La cause du déclin de la pipistrelle de l'île Christmas est inconnue. Plusieurs menaces potentielles ont été suggérées : la prédation ou la perturbation des sites de repos et les maladies<ref name = "Lumsden"/>. Des espèces introduites telles que le ''[[Lycodon capucinus]]'', le mille-pattes géant<ref>{{cite web|url=http://www.ento.csiro.au/aicn/name_s/b_3704.htm|title=Scolopendra morsitans|publisher=CSIRO}}</ref>, la [[fourmi folle jaune]], le [[rat noir]] ou les chats sauvages ont toutes été identifiées comme des suspects potentiels responsables du déclin, soit par la prédation, soit par la perturbation des chauves-souris. On a également émis l'hypothèse qu'une menace pour la santé non identifiée ou un empoisonnement par l'insecticide [[Fipronil]] utilisé pour contrôler les « supercolonies » de fourmis folles jaunes pourrait être responsable du déclin<ref name="environment.gov.au"/>{{,}}<ref name = "Lumsden"/>.


== Notes et références ==
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Version du 7 mai 2022 à 17:55

Pipistrelle de l'île Christmas

Pipistrellus murrayi, la pipistrelle de l'île Christmas[3], est une espèce éteinte de chauves-souris de la famille des Vespertilionidae. Elle était endémique de l'île Christmas en Australie. Elle est parfois considérée comme une sous-espèce de Pipistrellus tenuis sous le taxon Pipistrellus tenuis murrayi. Le dernier spécimen vivant a été aperçu en , sans autre observation depuis, malgré des efforts intensifs pour localiser l'espèce[4],[5].

Taxonomie et étymologie

Elle a été décrit comme une nouvelle espèce par le paléontologue britannique Charles William Andrews, dans une monographie publiée en 1900. Son nom d'espèce "murrayi" a probablement été inspiré par Sir John Murray, qui a aidé à payer l'expédition d'Andrews sur l'île Christmas où il l'a décrit[6].

Elle a parfois été considéré comme synonyme de Pipistrellus tenuis[7],[8] ; cependant, les révisions du genre basées sur le baculum ont identifié Pipistrellus murrayi comme une espèce distincte[9],[10]. Cela a été soutenu par des travaux génétiques menés pour le gouvernement australien dans le cadre de son enquête sur le déclin de l'écologie de l'île Christmas et de la pipistrelle à la mi-2009 ; les résultats de cette analyse indiquent que la pipistrelle de l'île Christmas était étroitement apparentée mais distincte des autres pipistrelles asiatiques[11].

Description

C'était une petite chauve-souris pesant environ 3 à 4,5 g. Elle avait une fourrure brun foncé[12], avec les pointes de ses poils jaunâtres[6]. Son avant-bras mesurait 30 à 33 mm de long. C'était la plus petite espèce de chauve-souris décrite en Australie[12]. Ses oreilles étaient triangulaires et arrondies aux extrémités. Son uropatagium avait un calcar distinct. Sa queue dépasse très légèrement (2 mm) au-delà de l'uropatagium. La longueur de sa tête et de son corps était de 35 à 40 mm de long ; sa queue mesurait 30–31 mm de long ; son oreille mesurait 9–11 mm ; sa patte arrière mesurait 6–8 mm de long[6].

Biologie

Cette espèce se nourrissait d'insectes et se perchait dans les creux des arbres et la végétation en décomposition[13],[14].

Déclin et extinction

La pipistrelle de l'île Christmas a décliné de façon spectaculaire à partir de 1990[15]. Elle était autrefois couramment vue dans toute l'île, y compris dans la colonie[16].

Une réévaluation du nombre d'individus restants en janvier 2009 a suggéré qu'il ne restait peut-être que 20 individus. Le seul gîte commun connu ne contenait que quatre individus. Trois ans auparavant, il y avait 54 individus dans cette colonie et il y avait plusieurs autres colonies connues de taille similaire. La surveillance au début de 2009 a montré que certaines chauves-souris avaient survécu dans la nature, ce qui a incité le gouvernement australien à annoncer le 1er juillet 2009 qu'il tenterait de sauver la chauve-souris en amenant les derniers individus restants en captivité, avec l'aide de chercheurs bénévoles de la Société des Chauves-souris de l'Australasie[17],[18]. Début août 2009, le gouvernement australien a autorisé la capture des chauves-souris pour établir un programme d'élevage en captivité. Cependant, après quatre semaines d'enquête, une seule chauve-souris a été localisée grâce à son écholocation. Les chercheurs n'ont pas pu l'attraper et le dernier appel d'écholocation de cette chauve-souris a été enregistré le 26 août 2009, lorsqu'elle s'est tue. Le 8 septembre 2009, le gouvernement australien a annoncé que les tentatives de capture des chauves-souris avaient échoué. Aucune pipistrelle de l'île Christmas n'a été vue ou entendue depuis, et on pense que l'espèce est maintenant éteinte[19],[20]. On pense qu'il s'agit de la première extinction de mammifères en Australie en 50 ans[21].

Cause du déclin

La cause du déclin de la pipistrelle de l'île Christmas est inconnue. Plusieurs menaces potentielles ont été suggérées : la prédation ou la perturbation des sites de repos et les maladies[15]. Des espèces introduites telles que le Lycodon capucinus, le mille-pattes géant[22], la fourmi folle jaune, le rat noir ou les chats sauvages ont toutes été identifiées comme des suspects potentiels responsables du déclin, soit par la prédation, soit par la perturbation des chauves-souris. On a également émis l'hypothèse qu'une menace pour la santé non identifiée ou un empoisonnement par l'insecticide Fipronil utilisé pour contrôler les « supercolonies » de fourmis folles jaunes pourrait être responsable du déclin[11],[15].

Notes et références

(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Christmas Island pipistrelle » (voir la liste des auteurs).
  1. Integrated Taxonomic Information System (ITIS), www.itis.gov, CC0 https://doi.org/10.5066/F7KH0KBK, consulté le 9 juin 2018
  2. UICN, consulté le 9 juin 2018
  3. Barbara Taylor, Le Livre extraordinaire des animaux disparus, Little Urban, , p. 40-41
  4. (en) Tim Flannery, « Unmourned death of a sole survivor », The Sydney Morning Herald - Environment, Fairfax,‎ (lire en ligne, consulté le )
  5. (en) « News at a glance », Science, vol. 357, no 6357,‎ , Christmas Island bat is officially no more (lire en ligne)
  6. a b et c (en) C. W. Andrews, A Monograph of Christmas Island (Indian Ocean), Printed by order of the Trustees, , 26–28 (lire en ligne)
  7. KF Koopman, « Systematics of Indo-Australian pipistrelles », Periodicum Biologorum, vol. 75,‎ , p. 113–116
  8. (en) KF Koopman, Mammal Species of the World. A Taxonomic and Geographic Reference, Washington, Smithsonian Institution Press, , 137–241 p., « Order Chiroptera »
  9. DJ Kitchener, N Caputi et B Jones, « Revision of the Australo-Papuan Pipistrellus and Falsistrellus (Microchiroptera: Vespertilionidae) », Records of the Western Australian Museum, vol. 12,‎ , p. 435–495
  10. J.E Hill et D.L. Harrison, « The baculum in the Vespertilioninae (Chiroptera: Vespertilionidae) with a systematic review, a synopsis of Pipistrellus and Eptesicus, and the descriptions of a new genus and subgenus », Bulletin of the British Museum (Natural History), vol. 52,‎ , p. 225–305 (ISSN 0007-1498)
  11. a et b (en) Christmas Island Expert Working Group to Minister for the Environment, Heritage and the Arts, Revised Interim Report, (lire en ligne)
  12. a et b Department of the Environment, « Pipistrellus murrayi — Christmas Island Pipistrelle », sur environment.gov.au, Department of the Environment, Canberra, (consulté le )
  13. (en) M Schulz et L Lumsden, National Recovery Plan for the Christmas Island Pipistrelle Pipistrellus murrayi, Department of Environment and Heritage, (ISBN 978-0-642-55012-5, lire en ligne)
  14. (en) The Mammals of Australia,
  15. a b et c (en) L Lumsden, M Schulz, R Ashton et Middleton D, Investigation of threats to the Christmas Island Pipistrelle. A report to the Department of the Environment and Water Resources, Heidelberg, Victoria, Arthur Rylah Institute for Environmental Research, Department of Sustainability and Environment,
  16. (en) C Tidemann, A study of the status, habitat requirements and management of the two species of bats on Christmas Island (Indian Ocean), Canberra, Australian National Parks and Wildlife Service,
  17. (en) Nick Galvin, « Garrett goes in to bat for species on sticky wicket », The Sydney Morning Herald - Environment, Fairfax,‎ (lire en ligne)
  18. Peter Garrett et Warren Snowdon, « Christmas Island Ecosystem Rescue » [archive du ], (consulté le )
  19. (en) Marina Kamenev, « Should Wild Animals Become Pets to Ward Off Extinction? », Time,‎ (lire en ligne)
  20. Jeremy Hance, « Island bat goes extinct after Australian officials hesitate », Mongabay,
  21. T. G. Martin, S. Nally, A. A. Burbidge, S. Arnall, S. T. Garnett, M. W. Hayward et H. P. Possingham, « Acting fast helps avoid extinction », Conservation Letters, vol. 4, no 5,‎ , p. 274–280 (DOI 10.1111/j.1755-263X.2012.00239.x)
  22. « Scolopendra morsitans », CSIRO

Liens externes

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