Rue du Colonel-Driant
1er arrt Rue du Colonel-Driant
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Situation | |||
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Arrondissement | 1er | ||
Quartier | Halles, Palais-Royal | ||
Début | 29-39, rue Jean-Jacques-Rousseau | ||
Fin | 8, rue de Valois | ||
Morphologie | |||
Longueur | 262 m | ||
Largeur | 16 à 20 m | ||
Historique | |||
Création | 16 décembre 1915 17 avril 1928 |
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Dénomination | 4 février 1926 14 février 1947 numérotage : arrêté du 11 juin 1952. |
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Géocodification | |||
Ville de Paris | 2207 | ||
DGI | 2205 | ||
Géolocalisation sur la carte : Paris
Géolocalisation sur la carte : 1er arrondissement de Paris
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Images sur Wikimedia Commons | |||
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La rue du Colonel-Driant est une voie du 1er arrondissement de Paris, en France.
Situation et accès
[modifier | modifier le code]Longue de 262 mètres, orientée ouest-est, elle commence rue du Louvre et finit au 8, rue de Valois.
Le quartier est desservi par les lignes de métro 1 et 7 à la station Palais-Royal - Musée du Louvre.
Origine du nom
[modifier | modifier le code]Elle porte le nom du colonel Émile Driant (1855-1916).
Historique
[modifier | modifier le code]Le percement de la rue entre la rue Jean-Jacques-Rousseau et la rue Croix-des-Petits-Champs est déclaré d'utilité publique par décret le 16 décembre 1915. Le prolongement à l'ouest jusqu'à la rue de Valois est déclaré d'utilité publique par décret le 17 avril 1928. La première section prend son nom actuel par arrêté le 4 février 1926 et la seconde par un autre arrêté le 14 février 1947[1].
Le percement de la partie comprise entre la rue des Bons-Enfants et la rue de Valois a nécessité la démolition de la chancellerie d'Orléans. À l'origine, cette rue devait relier la bourse de commerce de Paris à l'avenue de l'Opéra à travers le Palais royal, mais le projet n'a jamais été réalisé[2].
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
[modifier | modifier le code]- No 1-3, donnant sur la place des Deux-Écus : immeuble achevé en 1954 par l'architecte Émile Molinié à la toute fin de sa carrière : il était alors âgé de 87 ans. La même année, il bâtissait l'avenue Myron-Herrick dans un style parfaitement semblable.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « Dénominations des emprises des voies actuelles », sur Open data de la ville de Paris (consulté le ).
- Albert Mousset, « Une rue percera-t-elle le jardin des Tuileries ? », Le Monde, .